LIBERTERRA NATURE : LA VAGUE DES MÉDUSES

Un monde dans un monde, l’océan émerveille.

Première vie de notre planète bleue, ces profondeurs inaccessibles nous laissent la preuve de tout notre mystère.

Cet inconnu qui nous surprend par la beauté de la vie et notre liberté d’aller à sa rencontre.

Et, pour que cela soit, un respect de tout ce rêve qui nous entoure, qui nous porte vers elle, la nature, qui au-delà de l’humanité se conçoit et s’épanouit.

Nous dépendons d’elle, et elle, elle se passe de nous.

Elle nous a rêvé le temps de notre vie, et nous le vivons le temps de notre passage.

Plus on s’éloignera de notre relation sincère et affective avec notre Terre maternelle plus un matérialisme bien inutile remplacera son inégalable présence.

Se ressourcer près d’elle et fermer un instant les yeux et ne sentir alors que notre vie.

Si nous nourrissions que cette envie de vivre, l’argent n’existerait pas et la Terre ne subirait pas le désastre de l’Homme.

C’est peut être effrayant d’être humain car l’on comprend et l’on ne sait rien.

Notre interprétation n’est que par la portée de notre regard.

Il suffirait qu’il change pour que ce que nous avons conçu n’existe plus.

Nous sommes à une sorte de multitudes de langages.

De toutes ces langues que nous ne maîtrisons pas et pourtant, tous n’avons qu’une unique possibilité de voir notre univers.

Tant de différences pour avec les mêmes yeux regarder la même Terre et tant de désaccords pour partager la même nourriture.

L’inaccessible est ce que reste de concret à notre humanité.

Un nécessaire rappel au seul animal qui veut être Dieu…

Et, Dieu pourrait répondre à l’homme, « tu sais aimer »…

C’est de cela que nous voyons une vague, une méduse et tout un monde que nous avons inventé pour regarder le monde.

©Fédora Hélène

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