
L’urgence climatique et mille scientifiques signent une lettre ouverte publiée dans le journal Le Monde pour alerter et agir . Les politiques sont dans notre société à décider de ce qui emportera l’avenir de 8, 5 milliards d’habitants que comptera la Terre en 2030, selon l’Onu. À notre échelle, il nous apparaît bien impossible d’agir.
Comment réussir à favoriser la naissance d’une nouvelle civilisation dans cette immensité de la folie humaine qui a donné une réalité au mensonge ?
Quel mensonge que de croire que le système économique et politique actuel est une réalité absolue alors qu’il n’est issu que de l’imaginaire humain à concevoir un pouvoir par la domination. L’argent est à cette virtualité forte que la folie humaine transporte dans une réalité qui prend la dimension du mensonge par son inexistence dans le monde vivant. La terre n’a pas conçu la vie en dualité de dominé et dominant ce que le système mental de la politique impose. Et, il est un comparatif faux que celui rapprochant les prédateurs du monde animal qui veut qu’un lion attaque une gazelle, jugée alors plus faible, pour démontrer que l’homme est ce prédateur de naissance qui correspond à une réalité qui est dans la nature. L’être humain a évolué en modifiant son espace et non en s’y adaptant de façon immuable visant à ne pas détruire un équilibre relationnel entre la Terre et son vivant.
Un oiseau ne va vouloir modifier une structure pour voler plus vite. Les animaux protègent leur vie en s’adaptant à leur environnement et ils font naturellement corps à corps avec la nature. Ils ont ce privilège de se faire un avec leur environnement. L’homme lui est mis en incapacité de faire corps avec la Terre de façon stable durant toute son évolution. Il est cet orphelin qui grandit seul et qui doit réfléchir à construire sa survie. Dès la préhistoire, il va élaborer son émancipation par la recherche mathématique qui est son premier langage de communication avec son environnement. Celui-ci lui permet de transformer la matière en outil. Une pierre deviendra un outil utile à l’élaboration d’une société intelligente. Une intelligence qui lui donnera la connaissance de l’espace lui permettant son sens de la découverte. Tout au long de son histoire, l’homme va augmenter ses compétences de langages en créant les langues, les écritures, et à partir d’elles fabriquant un imaginaire structurant son environnement. La culture, les traditions, et la politique qui organise l’esprit de conquête . Découvrir prend alors le sens de posséder. Ce qui est très attachant pour l’homme que ne maîtrise pas sa naissance. Par la conquête l’homme décide de son territoire, d’en être le maître et d’y imposer ses choix de société. Son langage premier qui est la mathématique va lui permettre de faire grandir son imaginaire. De rendre sa construction mentale visible en la matérialisant, donc transformant la matière en outil, et par lui de s’instaurer en pouvoir dominant. À partir de ce moment d’élaboration, l’homme conçoit sa démesure et invente un élément destructeur qui est la cruauté. Il va être capable de mettre les siens en esclavage pour construire son schéma pyramidal et maîtriser artificiellement ce qui ne peut en réalité.
Un symbole toujours fort dans la conception politique et économique de notre société actuelle, et d’une philosophie qui tend toujours à rechercher la jeunesse éternelle, qui tend à dominer la dimension de la mort, qui lui attribuent une valeur de néant et donc de faire que la vie est cet absolu néant qui élabore des pyramides à l’infini pour échapper à une issue fatale et sans sens. L’abandon de la spiritualité et la limiter à un pouvoir religieux autoritaire et sectaire ne sera pas favorable à l’éclosion d’un monde meilleur. Il faut donner un sens véritable à la vie qui est la liberté . Elle a une dimension infinie des possibilités du plus petit au plus grand alors que le néant ne comporte aucune dimension . Et, une valeur inconnue ne signifie pas le néant. Ce n’est parce que nos connaissances ne peuvent évaluer une dimension , qu’elle n’a pas d’existence. On a donné une définition très limitative à la valeur de vie. Si nous disons que l’eau est vivante, c’est qu’est elle la vie.
Puis, dans la recherche de l’origine de la dimension de notre humanité, de sa vie, il y a la volonté de découvrir l’Espace. C’est l’intelligence de notre curiosité , de notre créativité extraordinaire. Puis, il y a la conquête de l’Espace, la volonté de s’établir sur une autre planète, par l’impulsion des politiques, de leur folie à vouloir posséder. Les milliards de dollars investis actuellement sont pour atteindre ce but, et savoir quel puissance politique en sera le maître. C’est l’inverse de ce que construit notre intelligence de langage par la mathématique qui nous donne une vision théorique de notre espace , la possibilité de s’y déplacer, de le découvrir et d’élaborer la possession de celui-ci par la connaissance et non pour un but militarisé et en surpuissance de prédateurs. Puis, la volonté de dépasser la dimension Temps qui est le trou noir de notre cerveau, le point mystère que nous appelons notamment la mémoire. C’est la dimension de l’invisible que l’outil ne pas matérialiser ni transformer. C’est en fait la chance de l’être humain de ne pouvoir y accéder car cette dimension est en lui, la valeur ultime de la liberté. Sa mémoire contient ce qui le constitue et ce qui lui permet de transmettre donc de rester vivant dans sa réelle dimension humaine. On apprend à lire à un enfant car nous savons lire, si on oublie ce savoir, on ne peut plus le transmettre. Donc l’intelligence des prédateurs est de détruire la mémoire en lui apportant une telle souffrance qu’elle est traumatisée, impactée dans sa liberté et donc dans ces capacités à transmettre une liberté de vie pour soi-même et à transmettre un savoir à autrui issu de cette liberté.
Un prédateur tue le psychisme d’une personne, et il provoque une intense souffrance qui peut conduire au suicide. La victime est à se battre pour que sa liberté vive et le traumatisme est une bombe à retardement que la violence d’un prédateur a imposé et qui amène la victime au contraire de ce qui constitue sa volonté, ses envies, son but qui est de vivre. Cette folie des prédateurs a avoir conçu leur intelligence en utilisant uniquement la dimension de la cruauté pour être une valeur de puissance. Ils mettent un être humain en état d’esclavage pour servir l’élaboration de leur mental corrompu, annihilé par le mensonge et leur incapacité à donner une valeur autre que le néant à leur propre vie. La folie des prédateurs est suicidaire car elle veut posséder la dimension de la vie en la torturant pour qu’elle corresponde à leurs ambitions.

Plus l’outil devient intelligent plus son détournement par les prédateurs sera une arme redoutable nuisant à toute notre humanité.
C’est la conception des armes nucléaires, cette course actuelle à l’armement, à la supériorité militaire d’un pays sur un autre en un affrontement constant et de crier que la paix est menacée alors que l’intelligence va concevoir par un système empirique de la cruauté, l’arme qui tuera de manière puissante. Tout cet investissement prend les ressources qui seraient nécessaires à la conception d’un monde meilleur. Ce qui met l’écologie politique de facto en échec . Vouloir freiner une pollution qui est déjà dévastatrice, en industrialisant une nouvelle pollution que l’on nomme écologique, c’est un mensonge destructeur. La Terre n’est pas en mesure de supporter le poids d’une pollution moderne en développant en masse une technologie radioactive, qui use des mêmes procédés que ceux qui ont conçu la pollution que nous subissons actuellement. Puis, il est un facteur non maîtrisable qui est l’eau. La pollution de l’eau est la plus grande stupidité que l’homme est commise. Nous pensons faire des cultures bio avec une eau polluée ? L’eau , c’est le sang de la Terre. La polluer, c’est impacter sur tout le système de la Terre, y compris l’air que nous respirons.

Nous sommes au cœur d’un bouleversement, nous ne pouvons plus nous permettre le mensonge.
En premier point, immédiat, il serait que lors des élections municipales qui agitent actuellement la France, de ne pas tomber dans les pièges d’arrivistes qui jouent sur la corde sensible de l’écologie, de l’augmentation de la pauvreté pour gagner un pouvoir politique. Les verts en col blanc qui du jour au lendemain se sont inventés être de grands protecteurs de la nature ! Le mensonge , la manipulation est l’art politique et nous l’avons vu avec l’affaire Griveaux. Est-il le seul en politique à être sur cette valeur du discours fondé sur le mensonge ? S’attachant à la cruauté du concept dominant, dominé, à l’archaïsme du patriarcat ?
C’est ce fait, par exemple, il est actuellement un prédateur chargé de projet dans une institution régionale, par ce bidon des réseaux politiques, après ses incompétentes aux lycées, puis à l’Europe, qui n’a strictement aucun respect de l’être humain, des femmes, et contre qui a été déposé une plainte pour agression sexuelle et violences, qu’il serait de qualifier également en tentative de viol. Un prédateur qui en plus, simulait un acte sexuel violent pour humilier, insulter la mairesse de sa commune, dont il était élu conseiller municipal démissionnant. Car la personne est une femme, il se permet d’agresser par sa suprématie puisant sa nocivité dans la culture patriarcale, la culture du viol pour posséder, dominer ce qu’il ne peut acquérir par une force de bâtir et non de détruire. Puis, se posant sur les acquis de sa famille, leur notabilité et héritages d’argent, il s’impose en incontournable soutien à une liste électorale bourgeoise de gauche verte à la mode. Ce prédateur incarne le mensonge de notre société donnant une valeur à l’apparence et aux titres d’une caste bourgeoise . Lui qui se dit de gauche et se définit avec insistance en disant « Je suis très snob et très grossier » et alignant en discours des propos obscènes sur le corps de la femme, par cette prédation en domination de ce qui structure un système violent d’injustices. Il est injuste que la mairesse de cette ville se trouve fortement critiquer par une opposition qui soutient sans l’ignorer un prédateur car il correspond à la puissance de la manipulation. Ce qui provoque l’instable ne peut équilibrer . Ce prédateur est ce qui se glisse sur les listes électorales bien au delà de l’affaire Griveaux. Et, il serait également au candidat qui affiche le nom de ce prédateur sur sa liste de soutien de se retirer ! Un candidat doit avoir au moins le minimum de conscience et de connaître qui l’entoure . À croire que les manipulateurs constituent en permanence nos socles politiques.
Ceux qui cultivent la manipulation depuis des années, le mensonge , qui ont provoqué l’instable par la souffrance qu’ils ont imposé par leur violence à des êtres humains, impactant la mémoire de leurs victimes, sont actuellement à l’art des élections en imprimant une fausse version d’eux-mêmes, en trichant et en bernant de futurs électeurs. Le business électoraliste nous fait perdre un temps précieux . Des municipalités durant six années dans les mains de baltringues et manipulateurs, nous conduirons droit dans le mur face à cette échéance d’une décennie pour rétablir l’équilibre et pouvoir nourrir, donner accès à l’eau à 8, 5 milliards d’habitants sur Terre.
L’impact local est primordial car c’est au local que l’économie doit se rééquilibrer en donnant tous les moyens possibles pour favoriser une agriculture respectueuse de l’environnement et s’acheminant sur de courtes distances. Qu’il est de donner une force à la créativité en permettant un artisanat local fort qui est en capacité d’alimenter les besoins de consommation locale et utile. Redonner vie aux moyennes et petites communes en les libérant d’un carcan administratif, technocratique et pyramidal. Toute l’ énergie du mensonge dépenser pour des élections apparaît invraisemblable quand tant est à faire pour le bien de tous ! Toutes ces listes au service de partis politiques au lieu de penser réellement au bien des habitants d’une commune est en train de nous enliser dans un vieux concept politique de possession et de pouvoir.
La démocratie directe serait de loin la véritable nécessité de concevoir se soutenir mutuellement et de mettre les énergies en osmose au lieu de les contraindre à se dissiper en opposition stérile. Mais, s’il est à voter, il ne faut pas tomber dans les discours faux des bourgeois se prétendant écologistes et de gauche, qui n’ont jamais mené une seule lutte contre l’appauvrissement et qui ont été jusqu’à l’indifférence à l’égard des luttes sociales, votant consciemment LREM à la présidentielle, et qui ne servent que leurs intérêts et orgueils. Combien de prédateurs, manipulateurs sur les listes électorales qui vous vendent la ménagère en camelots politiques ? Qui en argumentaire économique ose proposer des projets pour la commune dans laquelle ils se présentent, en affirmant que leur financement concret sera « léger » terme qui n’a aucune valeur concrète en économie. Ils sont incapables d’un financement chiffré réel. Et en réalité, ils feront crédit sur crédit, et provoqueront une sur consommation bancaire inutile, ce qui est l’inverse de ce qu’ils prétendent vouloir, c’est à dire protéger l’environnement et lutter contre la pauvreté . Ces crédits qu’ils font pour eux-mêmes pour simuler une réussite par l’apparence des biens, l’étalage de voitures , de maisons , de loisirs et vivant sur leurs héritages et non par ce qu’ils ont construit par eux-mêmes . La seule chose qui prévaut réellement à leurs yeux est leur compte bancaire, l’argent qui leur permet leur paraître et satisfactions immédiates et bidonnages politiques en se prétendant vertueux. Ils ne peuvent concevoir que ce qu’ils connaissent . Les «bobos» écolos sont de graves incompétents s’imposant en chefs ! Leur laisser les clés d’une municipalité, c’est renier une écologie véritable. Pour réaliser un respect de notre Terre, il est nul besoin de jouer sur des financements brinquebalants et faisant le jeu des banques , de cabinets d’études financières, commissions, programmes politiques sur papier glacé qui sont des dépenses dans le vide.

L’essentiel à réaliser : dévaloriser l’argent
Puis, le point essentiel pour réaliser un espoir au cœur du bouleversement que nous vivons , est bien de dévaloriser la valeur de l’argent. En France, le coût de la vie, les charges sont beaucoup trop élevées. Le gouvernement a une position qui va à l’inverse d’une prise de conscience essentielle pour préserver notre avenir et saisir la chance extraordinaire d’appliquer une autre économie pour éviter de subir un effondrement du capitalisme de plein fouet.
Nous sommes à 1 % des plus riches qui détiennent plus de 80 % des richesses. Les conséquences, des conflits causent des crises humanitaires catastrophiques comme cela est au Yémen. Durant la décennie qui se présente à nous, il doit être l’effondrement du capitalisme pour que ne soit pas un génocide par l’émancipation de la pauvreté mondiale par les guerres, famines et catastrophes écologiques. Dévaloriser l’argent, c’est également redonner confiance et concevoir une démocratie locale directe évaluant le besoin d’infrastructures en adéquation avec les extrêmes climatiques qui se développent. Ce qui n’est absolument pas le cas aujourd’hui.
Puis, il est une multitude de professionnels capables dans tous les domaines de concevoir des constructions saines avec des matériaux recyclés, naturels. Il est des architectes qui peuvent restructurer un habitat ancien en sachant que nous méconnaissons 80 % de notre patrimoine immobilier existant et qu’il est inutile et nocif de bétonner comme cela est dans de nombreuses villes. Un bétonnage qui ne prend absolument pas en compte le bouleversement climatique.

Pour la première fois, l’humanité est confrontée à elle-même dans toute sa dimension de vie.
Nous n’avons plus le temps de nous endormir et de laisser faire les prédateurs qui ne feront qu’annuler la mémoire de notre humanité. Nos tours de verre et de béton deviendront ce sable qui perdra notre savoir. L’ultime zéro de notre langage d’origine, l’élaboration de notre évolution se confronte aujourd’hui avec la mathématique de notre langage de survie.
Faire alliance avec la Terre mère comme l’évoque les peuples autochtones, est à acquérir. Mais, comme notre société vit sur l’instant médiatique et l’argent qu’il génère , nous oublions très vite l’essentiel. Ce temps accéléré que l’on s’impose par la multitude infernale de la communication politique qui n’est qu’un serveur publicitaire dirigeant les émotions humaines pour répondre aux millions d’euros investis pour les élections, est dévastateur. Un vote correspond à une valeur financière investie pour qu’un candidat soit élu . Toute cette énergie dépensée est aberrante. Quand un tel concept politique règne, il est normal que les manipulateurs y fassent leur nid . Ils ne créent rien, ne transmettent rien, ne font aucun effort pour construire pour le bien de tous, et usent uniquement du mensonge pour servir leurs intérêts. C’est suicidaire pour l’humanité que de donner un pouvoir politique à des sur-prédateurs.
Nous n’avons plus le temps, les prédateurs doivent cesser de régner. Le mental qui établit la cruauté comme force pour dominer , qui est à ses masques et charmes, le temps des élections doit par la volonté de chacun ne plus être. Les « bobos écolos » se prétendant de gauche, sont le mensonge dont notre pays n’a strictement pas besoin. Surtout quand ils étaient les perdant à la précédente élection municipale, et qu’ils reviennent à la charge avec leurs frustrations et échecs cachés dans leurs promesses si parfaites le temps des élections. Les beaux parleurs pendant les élections, qui n’ont jamais ouverts les portes de leurs propriétés et jardins pour accueillir des enfants de cités ne vivant que le drame des quartiers populaires abandonnés, sont tous ces petits bourgeois indifférents se vêtant soudainement de gauche écologique.
La conception des jardins partagés est l’héritage des jardins ouvriers. Nombreuses villes cultivent cet art vertueux du partage depuis plusieurs années à l’initiative des habitants. C’est cela qui doit fleurir partout dans notre pays, l’initiative citoyenne.
Se faire confiance, se soutenir mutuellement , partager, ouvrir nos portes pour que se renouvellent en harmonie nos cités, sera le commencement de ce qui permet de concevoir une alliance avec notre Terre, la réconciliation.
©Fédora Hélène


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