L’appel – Zéro dette pour l’Afrique – Vers des engagements pour combattre la pauvreté et donc la pandémie

Emmanuel Macron appelle la mise en œuvre de la dette à Zéro pour l’Afrique – Quelle réalité ?

Des mécanismes complexes des banques en système internationaux , des pays prêteurs, dont la Chine en puissance, les prêteurs privés, les intérêts de la dette, et ce sont quarante pays africains avec des dettes différentes, des taux différents, des accords internationaux avec des États, et des accords avec des investisseurs privés, il n’y a pas une dette, il y a une multitude de dettes en différentes années et sur différents secteurs.

Une dette en édifice colossal et portant sur des décennies et en valeur de posséssion de la Terre par des intérêts extérieurs, une colonisation larvée, indéfinie, en ombre lancinante et la Chine est particulièrement investie en Afrique.

Des mécanisques verrouillant la liberté, et donc la sortie libérant définitement les pays d’Afrique.

« Il faut encore trouver les mécanismes » disait Albert Zeufack, économiste en chef pour l’Afrique – Banque Mondiale.

La Banque Mondiale se réunira prochainement au cours du 17 au 19 avril, autour des ses Réunions de printemps.

Il sera de fonder un accord portant la volonté d’aller vers une lutte profondre contre l’extrême pauvreté qui sévit en Afrique et dans d’autres pays, depuis des décennies et d’ainsi combattre la pandémie qui est le révélateur de ce qui détruit.

Paris annonce qu’un accord de solidarité jamais égalé pourrait voir le jour lors de ces réunions de printemps avec la Banque Mondiale et le FMI et les 189 pays membres.

« Les mesures que nous prenons maintenant détermineront la vitesse et la vigueur de la reprise », déclare Kristalina Georgieva(FMI). Des mesures vertigineuses en milliards car est selon les propos de la directrice générale du FMI, « Nous prévoyons le pire ralentissement économique depuis la grande dépression. »

Pour parer à ce fait incontournable de l’effondrement du capitalisme mettant des entreprises, des travailleurs en danger, le FMI répond par des aides urgences aux économies mondiales. Le FIM répond également à son obligation, venir en aide aux pays pauvres, aux populations les plus vulnérables, aux personnes mises en situation de pauvreté par une course passée à dominer par l’argent, et qui face à la pandémie, reconnaît le FMI, « paient le plus lourd tribut à la crise sanitaire », comme les pays pauvres « devraient payer le plus lourd tribut à la crise économique ».

Un « état de grâce » pour citer Boris Jonshon, où les puissants de ce monde avait oublié que notre humanité était mise en état de grande vulnérabilité par les politiques faisant de l’être humain, un outil de profit et comprenant la Terre comme un profit sans fin, ignorant sa beauté, l’immensité de sa vie qui ne peut perdurer pour notre humanité que si nous respectons profondément notre alliance avec notre Terre mère, notre Terre nouricière.

Cette transmition des richesses partagées pour valeur économique est ce que prône la Banque Mondiale dont la volonté rejoint les engagements de l’ONU , à anéantir la pauvreté pour la décennie qui commence en cette année cruciale de 2020.

Des engagements qui doivent fédérer les volontés de conquérir les droits humains pour tous tant ils sont essentiels et le coronavirus démontre en pouvant toucher chacun de nous, le sens de la valeur de chacun d’entre nous et le fait que la pauvreté abandonne notre humanité toute entière à l’oubli de son sens d’existence.

Retrouver le sens de la vie, porter son nom plus que tout, c’est cette renaissance dont notre humanité a besoin. L’argent n’est qu’une valeur inventée sans origine de vie mais émanant de cette dualité troublant notre humanité depuis l’Antiquité. Nous avons divisé notre humanité en cette dualité permanente, l’amour et la cruauté. La cruauté n’avait pas valeur de mal quand elle portait la progression des cités riches puisqu’elle apportait à sa population une valeur de liberté de confort, d’assurance technologique, voilant sa propre pauvreté.

Une pauvreté est en accélération dans les pays développés et en voie de développement

La pandémie mettant l’économie mondiale au ralenti, pourrait par sa reprise axée sur une production très rapide, mettre notre en humanité en situation de péril par la pauvreté qui serait grandissante et la fragilité des populations ébranlées par la conscience de la mort, par cettte angoisse prenante qui avait qdans les pays quitté nos sociétés riches et qui était contenu dans les pays pauvres.

Les épidémies ont quitté leur lit et touche par la pandémie de coronavirus dépasse les frontières que nos politiques avaient fixé pour diviser notre humanité en riches et pauvres.

Des politiques qui ont établi des échelles de valeur allant de l’extrême pauvreté et à la pauvreté, celle qui a ses différentes échelles déséquilibre la totalité de notre monde. Nous avons puisé à la source de la vie nos richesses, au sang de la pauvreté, de l’esclavage la progression de nos cités. Ce qui était invisible, ce que ne pouvions plus voir, le sens de notre vie, apparaît aujourd’hui avec la plus grande des clartés.

Les États devront durablement non faire surgir les crédits, les moratoires pour les créances, ils devront les vaincre, les anéantir, pour que soit ce renouvelement espéré.

Les réunions de printemps de la Banque Mondiale ne devraient-elles pas souhaiter ce zéro dette pour l’Afrique sans nul autre chemin d’accord ?

Nous avons oublié durant des décénnies de prendre ce choix, aujourd’hui, il devient celui à élaborer au delà de ce que nous avons su concevoir jusqu’à aujourd’hui. La pauvreté est un génocide. La misère impose une souffrance intense qui détruit. C’est le souffle de cette souffrance, ces vies meurtries qui jaillissent et que les milliards de dollars en cascades ne limiteront pas s’ils ne sont pas à cette capacité forte d’instaurer une dette zéro pour tous.

Ces milliards versés qui ont dix ans de retard

Le début du chaos que nous vivons signifie ce temps de ce qui est « trop tard » si nous gardons ce temps de civilisation actif. Une nouvelle civilisation permet un temps nouveau qui devra s’accorder avec le bouleversement planétaire. La conquête de notre humanité par sa valeur de liberté, de n’en perdre aucun, d’être cenous est la dimension que nous n’avons jamais entrepris. Nous sommes dans la dualité, la dimension exacte de notre humanité est le Un. Un en tout, tout est Un.

La pauvreté, c’est appartenir à une puissance et non à la Terre de sa naissance

La complexité des possessions par différentes puissances souhaitant posséder la Terre d’Afrique ne peuvent être à libérer les pays de la dette. Cette volonté nécessite impérativement la reconnaissance profonde de notre universalité, le « vivant », « la créativité », mots cités par Emmanuel Macron, pour fonder une unité civilisationnelle capable de porter la vie de notre humanité en un avenir serein de paix et de liberté.

Les milliards écroulent toute compréhension, toute limpidité de notre sens d’existence, toutes nos possibilités d’imaginer une humanité réconciliée et libre. L’effondrement de l’argent ne peut être que par un « état de grâce », pour citer Boris Johnson, où la fraternité serait au cœur de notre pensée, intelligence à créer une civilisation en renaissance.

Nous avons eu l’énergie colossale de polluer l’océan qui est la vie de notre Terre.
L’eau est les veines de notre Terre dans son unité absolue.
Notre air, tout est imprégné de cette eau source de vie.

Si nous avons su construire des cités intelligentes en prenant les ressources de la Terre, nous devons avoir les possibilités d’énergie immense pour fonder une nouvelle civilisation en osmose avec la Terre.
Non de prendre mais de recevoir.

Les milliards pour répondre à cet événement du bouleversement planétaire risquent de nous enfermer dans cette limite de l’argent. Les milliards maintiennent la pression des dettes, Zéro dette pour Tous libère notre humanité d’un endoctrinement économique fondé sur une valeur fausse et destructrice qu’est l’argent.

Nous ne pouvons être sans argent pense-t-on, posons-nous une autre question, pouvons nous être sans vie ? À l’heure où le monde s’unit pour sauver la vie, nous voyons la folie conscience que l’homme a édifié en l’argent.

L’universalité est notre chance car elle nous constitue.
Ce Nous Tous Ensemble, « c’est nous » disait Emmanuel Macron comme s’il appelait le réveil des peuples contre ce qui détruit. Imaginons une autre civilisation où l’enfant apprend à grandir pour être libre, non pour être un outil de profit.

L’activité des lobbies en Afrique, c’est-elle arrêtée ?

Nous mettons le monde en esclavage pour être riches d’argent.

Soyons riches de vie !

Nos cités si évoluées technologiquement ont enfermé le cœur des hommes. Nous avons bâti la division, déraciné l’arbre d’une autre Terre, laissé des épidémies récurrentes de choléra, notamment,être dans les pays pauvres faute d’eau potable, nous avons regarder la guerre, les crises humanutaires et ce sont 24 millions de personnes en urgence humanitaire au Yémen.

Si Emmanuel Macron souhaite réellement zéro dette pour l’Afrique, il a raison, mais rien ne pourra être réaliser s’il n’est pas dans la volonté de fonder une annulation des dettes pour tous et cela en bâtissant une économie de partage, de transmettre de l’un à l’autre, une communion d’échanges et non une domination volant la vie. Ce qui vole la vie ne peut vouloir sa liberté, son épanouissement, il détruit.

La pandémie de coronavirus est un révélateur, rend visible ce que ne voulions voir.

Avant elle, l’étoile Yémen, l’étoile de l’Afrique, la pauvreté en Inde, les enfants pauvres en France, partout sur Terre en cette mondialisation du bruit de l’argent, du pouvoir de dominer, ces étoiles aux ciels des pays en urgence humanitaire, nous montraient ce visible de la pauvreté.

La liberté est un consentement

Consentir à prendre conscience, à imaginer, à être vivant, créatif, et ce pays de France, qui par son humanisme, a en lui cette capacité de fonder en coopération avec les autres pays.

Cette capacité de porter un drapeau universel

Ce ne sont pas les milliardaires de notre pays qui sont importants et décisionnaires, c’est la volonté humaine de tout un peuple.

Dévalorisons l’argent, les droits humains doivent être prédominants.

Dette à zéro

« Une dette non viable » dit le FMI, depuis tant d’années où la richesse était à affaiblir les plus pauvres

Les mots des politiques appelant « zéro dette » et la réalité, un moratoire pour des pays d’Afrique, « des annulations au cas par cas » selon Bruno le Maire, des aides d’urgence, des crédits taux zéro

Depuis la mi-mars, plus d’une vingtaine de pays africains ont fait des demandes d’aides urgentes.

Des milliards vertigineux

Kristalina Georgieva, directrice générale du FMI , déclarait, mardi 7 avril « Selon nos estimations, les besoins bruts de financement extérieur des pays émergents et des pays en développement s’élèvent à des milliers de millards de dollars ».

Des pays pauvres sont dans une urgence absolue car des familles vivaient également par l’apport financier d’un travailleur expatrié qui pouvait envoyer de l’argent par l’intermédiaire d’un travail souvent précaire et ne pouvant être pérenne pour la sécurité des familles et se trouvantà l’arrêt pendant la pandémie.

Kristialina Georgieva déclare que lors des réunions de printemps, « Notre Moniteur des finances publiques montrera que les mesures budgétaires prises par les pays du monde entier se chiffrent à environ 8 000 milliards de dollars »

Le G 20 contribuant par ailleurs à l’adoption de mesures massives sur le plan monétaire.

Prêteurs : États multiples et organismes internationaux privés

La Chine en puissance en Afrique :  dette estimée à 145 milliards de dollars

Des aides portées en urgence à 100 milliards de dollars – FMI

Banque Mondiale – 14 milliards de dollars et sur 15 mois : 160 milliards supplémentaires pour les pays en développement.

Union Européenne – 14 milliards d’euros – Aide d’urgence annoncée par la présidente de la Commission européenne.

FMI : programmes de prêt approuvés pour notamment le Kirghizistan, le Rwanda, Madagascar et le Togo.

La semaine en cours devrait donner jour à d’autres programmes d’aides à l’égard des pays à faible revenu, victimes de la crise.

Le Fonds fiduciaire d’assistance et de riposte aux catastrophes offre un allégement de dette immédiat aux pays les plus pauvres, pour leur permettre de consacrer leurs ressources aux besoins sanitaires urgents, plutôt qu’au remboursement de la dette, déclare le FMI.

Le Fonds fiduciaire sera porté à 1,4 milliard de dollars, en vue d’étendre la durée de l’allègement de dette, selon le FMI.

Quelle liberté demain face aux millards engagés aujourd’hui ?

Ne choisissons pas un moratoire qui laissera les dettes revenir en avalanche créant une pauvreté massive en deuxième vague dans un éternel recommencement .

Kristialina Georgevia, cite Victor Hugo, « Les grands périls ont cela de beau qu’ils mettent en lumière la fraternité des inconnus ».

La fraternité vivante et créatrice par la volonté que déclarait Victor Hugo, «Je suis pas de ceux qui croient qu’on peut détruire la misère. Remarquez le bien, Messieurs, je ne dis pas diminuer, amoindrir, limiter, circonscrire, je dis détruire. » «  La misère est une maladie du corps social, comme la lèpre était une maladie du corps humain, ; la misère peut disparaître comme la lèpre a disparu. Détruire la misère ! Oui, c’est possible. Les législateurs et les gouvernants doivent y songer sans cesse ; car, en paraille matière, tant que le possible n’est pas fait, le devoir n’est pas rempli ».

Les épidémies dues à la pauvreté peuvent disparaître,la pandémie liée également aux modifications extrêmes de notre environnement, à la pollution peuvent disparaître par ce possible de concevoir l’anéantissement de la pauvreté.

En cette année 1849, le choléra était dans Paris comme il l’est actuellement dans des pays pauvres comme en RDC.

La puissance des gouvernants, des décissicionaires détient des milliards d’argent qui ne sont issus que du travail des peuples et des ressources de la Terre, qui ne sont que l’incomprehensible, la division, la création de la pauvreté, la misère de notre humanité et non sa richesse par son immensité créatrice.

Nous pouvons fonder une civilisation, nous pouvons donner un sens à notre existence. Celui que nous recherchons depuis des millénaires, celui qui nous rend orphelin car ignorant notre origine, notre source nous donnant vie. Il s’agit du verbe aimer qui transmet la liberté que nous recevons alors. Il y a toujours eu des enfants mourant de faim ; réalisons, il n’y aura plus d’enfants mourant de faim.

Créons notre avenir pour la vie de notre humanité en osmose avec la Terre. Imaginons nos cités à l’eau limpide de la liberté !

Faisons le choix de ce Nous Tous Ensemble possible en demandant un temps nouveau, une renaissance, un fondement solide de fraternité et de liberté, demandons Zéro dette pour tous, exigeons ce possible.

© Fédora Hélène

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