Le choquant, le révoltant, au moment où la solidarité, la fraternité pouvait nous relever, le mensonge nous abat.
Il tombe lourd sans appel. Il se fait médiatique, politique, judiciaire, policier.
Il est là, surgit de ses ombres et attaque.
Le mensonge redoutable se révèle dans tout ce qu’il possède de troublant, de définitif comme si notre humanité ne pouvait lui échapper.
Il frappe, tue.
Des milliers de vies viennent de nous quitter.
Il est ces personnes qui ont payé des impôts toute leur vie et qui sont mortes enfermées dans des Ehpads que notre système a bâti en dernière demeure, où tout s’isole, où la vie devient impossible alors qu’elle est là.
Là , la vie qui restera enfermée dans ces Ehpads, car pour eux, il n’est pas de déconfinement.
Les personnes âgées sont libres de sortir lorsqu’elles sont chez elle mais dans les Ehpads, il n’est pas de répit au confinement.
On dit protéger les personnes âgées et l’horreur se fait, se vit.
Derrière une vitre, on salue sa mère, son père enfermés dans ces Ehpads du malheur de notre système qui sépare, divise, exclu.
Ces personnes âgées paient ces Ehpads qui deviennent leur prison. Qui voudrait vivre ainsi les dernières années de sa vie ?
Nous sommes dans l’impossibilité et tous ces gens laissant leurs propres parents en Ehpad. Ils ne peuvent sauver ceux qui leur ont donné la vie, et les confient à des étrangers pour s’occuper d’eux. Tout devient difficile, impossible. Ils n’ont même pas la capacité de sortir leurs parents de cet enfer, de cette cruauté. Les lieux sont désinfectés, et la froideur, le sans amour y règne.
On y meurt et c’est tout.
Quand nous serons vieux, seront nous abandonnés à cela ? Aurons-nous ainsi notre vie déchirée ?
Seul l’argent est loi, et la vie devient contrainte.
Les enfants enfermés dans des crèches, dans des écoles de la garderie du matin à celle du soir, puis les centres pendant les vacances. Des anciens en Ehpad, et tous les autres enfermés dans leur bureau, nous tous contraints jusqu’au dernier jour.
Nous tous éclatés, brisés au sein de nos familles, vivant chacun de notre côté, séparés et la moindre union semble impossible. Être à donner de l’amour à nos parents, à nos enfants semblent si compliqués et nous pensons être libres car nous sommes aux heures de pointes en rang, allignés tous à l’ordre unique de produire, de gagner de l’argent.
Puis, ces hommes qui sont pères et abandonnent leurs propres enfants, laissent dans la souffrance, la pauvreté, ne portent jamais secours aux leurs, ces milliers d’hommes lâches, prédateurs, cruels qui errent dans notre société, celle qui ne hisse pas l’amour mais le contraint, l’interdit.
Et, tout est normal, tout continue, rien ne s’arrête. Bientôt les bars réouvriront et tous ces hommes qui s’y retrouvent souvent, pourront fêter ensemble leur retour au vide , à leur absence de réalité si ce n’est celle de leurs mensonges.
Ils boivent, rient, baisent, mentent, trichent, trahissent et dans l’invisible un enfant, des enfants, une femme qu’ils ont volontirement fait souffrir, volontairement agressés, volontairement épuisés.
Ces mères isolées, ces vies durablement confinées et qui se libèrent au bonheur de savoir sourire , savoir dépasser toute blessure et se sauvent par l’amour qui est en elle, par celui qui donne , par celui de bonté , de douceur, de réalité contre ce qui ment et ce déchaînement de haines que sont les hommes qui se font prédateur.
Ces jugements de divorce ,tous plus faux les uns que les autres, ne rétablissant aucune justice, et laissant abandonnés ceux qui ont souffert.
On croyait conquérir la liberté par toutes ces lois et nous n’avons su que contraindre.
Emmanuel Macron parle de fraternité, il ment puisqu’il fait que les enfants retourneront à leur contrainte et des tous petits seront levés en hâte pour être déposés à la crèche, les autres à la garderie du matin jusqu’au soir et étant près de 12 heures par jour hors de chez eux, de tout amour, de tout respect de leurs droits humains qui est en premier d’être aimé.
Les anciens , eux seront cloîtrés derrrière une vitre en Ehpad et ils osent parler de déconfinement, de solidarité, de fraternité !
Des enfants à quelques mois de leur naissance ne seront plus bercés dans les bras de ceux qui leur ont donné la vie, ils ne seront plus bercés d’amour mais ils seront dans des lieux désinfectés avec des étrangers pour s’occuper d’eux, où chez des nourrices et tout devient cette mécanique considérée comme étant la liberté !
Les enfants apprenant à dire maman et papa à des gens qu’ils ne connaissent à peine et qui pourtant ils aiment plus que tout et reconnaissant des personnes qui passent leur journée à les élever comme étant les étrangers payés pour ! Le salaire des misères !
Le neuroscientifique, le Professeur Francis Eustache évoquait ces objets carrottes que l’ont donne à une personne âgée pour lui apporter un semblant de présence. Une peluche électronique et on s’en félicite. On fait des reportages et des personnels témoignent que cela est très bien ,que les personnes âgées sont contentes !
Un 21 ème siècle pour aboutir à ce qu’une personne vulnérable s’adresse à un objet en pensant qu’il s’agit un être humain et que cela lui apporterait du bonheur !
Des start-up de malins qui encaisseront l’argent de leur lamentable en vendant leurs peluches pour que chacun oublie d’aimer réellement.
Rien ne peut remplacer la présence d’une personne, d’un frère, d’un ami, d’un enfant, pas même une peluche robotisée.
Putain de 21 ème siècle où sont tes promesses de sociétes évoluées quand nos parents, nos vieux, nos anciens finissent leur vie dans le blocus de tes mensonges politiques, sanitaires, économiques par ces faiseurs d’argent.
Ces fous de règne, se perdant eux-mêmes dans toutes les saloperies qu’ils acceptent, qu’ils font, sans conscience de détruire des vies, sans ressentir ces émotions humaines, sans volonté d’être libre, persuader que ça n’existe pas hors des discours politiques, où la paix s’écoule en dernier soupir devant trois chefs d’État en ce 8 mai, qui n’ont de cesse que de déséquilibrer cette belle paix, de ne pas la comprendre, de ne pas en être à la hauteur, de ne même pas en désirer le spouçon.
Ce qui est fascinant, c’est cette volonté du peuple a toujours vouloir un roi, à être convaincu de décider par la plus belle escroquerie de la République, le droit de vote.
Le magnifique idéal, celui qui ne devait pas voir le jour et on vote pour des élus qui ne sont que le gouvernement, que ces contrôles permaments de la population, que cette obéissance au pouvoir dominant, cet allié qui se loge dans les communes, les départements, les régions, les préfectures.
L’État a savamment divisé, placé ses représentants et peu importe le parti politique en place puisque la mécanique est immuable. C’est ce statisme qui confère à la République sa dimension de pouvoir.
Ces élus cencés être proche du peuple, et rien que cette formule les sépare, car le maire est un citoyen donc il n’a pas besoin d’être proche ,il l’est par essence et pourtant il se divise par une autorité qu’il acquiert par le vote.
Ces maires soumis à l’État, naviguant dans le trouble des partis, se servant de la commune pour devenir, député, sénateur, ministre et l ‘élu deviendra président.
Il se distribue des titres, des privilèges et pour les conserver aucun ne se lèvera du lot, c’est impossible tant la corruption mentale est instituée, fait partie du jeu.
La politique, quand ils sont trop écoeurés, ces politique la quittent sans rien dire, cachant tout, et se dégageant de tous les tordus, escrocs, barbouzes qui s’y agglutinent pour ne satisfaire que leurs propres intérêts d’adrénaline, de se vouloir important, et manipulant. Ce goût de l’infernal, de ce qui est pourri, et ces hommes qui souvent sont épouventables dans leur vie privée, trompant, trahissant, et étant tout le temps jusqu’au fond de leur propre intimité ses hyprocrites, menteurs tenaces.
Ces compagnes d’hommes politiques qui se plient, bénéficiant de l’argent, de leur carrière, de leurs héritages, et sachant qu’elles vivent avec un homme qui passera son temps à menitr, à jouer les « maris » tant il est cet archaïsme culturel du père de famille, de l’amour alors qu’il est souvent rien qu’une apparence.
Il n’y a pas de dignité de la liberté ni la dimension de respect dans leur propre vie, alors ce n’est certainement pas pour l’avoir pour la population. Les politiques baignent dans ce marasme du mensonge, de ce que l’on flatte, courtise, fait sans pouvoir dire la moindre vérité. Tout est contraint et la seule chose que les politiques savent promettre, c’est la guerre. Leur fonction n’est que celle là pour que demeure cet éternel pouvoir d’un homme sur un autre.
Prêts à tuer, l’État est cela, prêt à détruire des vies pour rester à son siège, à cet antique César, à cette copie de Rome. Ils se tueront entre eux s’il le faut et il n’y a jamais eu de séparation entre les différentes mafias, qu’elles portent un diplôme pour se prévaloir d’un droit où que ce droit soit acquis par l’expérience.
Le milieu mais il n’y a qu’un centre et c’est celui des gouvernants.
Leur armée, leur police, ils ne tiennent que par la peur qu’ils peuvent faire régner et tous ces soldats fiers qui s’engagent pour se leurre, cette société contrainte, fausse.
Le sanglant de la terreur de la commune et le sang des communards se perdant jusqu’aux derniers, le terrifiant de 1914, puis l’horreur de 1940, rien ne suffit et n’arrête cette volonté de se dégoter un roi et de le poser sur le trône de nos croyances.
Un pandémie et il n’est que cette goutte d’eau à leurs yeux de politiques de ces quelques vies parties pour des milliards d’êtres humains qui sont sur Terre. Nous retrouvons l’atroce. Et, pour protéger la vie , ils vont contraindre encore plus la liberté.
Ils avaient le vote pour confirmer la liberté qui en réalité n’est pas, maintenant, ils ont les scientifiques pour parole certaine pour imposer un totalitarisme, une dictature par le contrôle numérique sans que personne ne se révolte puisque c’est pour leur bien.
Le corps est devenu notre ennemi, celui qui peut nous faire perdre. Celui qui contamine et nous contamine, celui qu’il faut contraindre à tout prix car il serait des milliers de morts.
Nous allons interdire toute source de liberté pour assurer qu’une armée de citoyens vont s’attacher à l’immense tâche de lutter contre les ennemis invisibles, faire tourner un capitalisme dément, s’accrocher la corde au cou et attendre de gagner contre l’invisible qui tue, les invisibles qui tuent.
L’enfant devient le transmetteur du virus, de celui qui contamine alors que l’enfant est le précieux de la vie, le magnifique, ce qui nous tient vivant.
Cet enfant pauvre que les politiques brandissent qu’un coup en disant que le retour à l’école est nécessaaire car il est l’assurance pour ces enfants défavorisés de faire le seul repas équilibré de la journée
Des politiques disent cette vérité et trouvent extraordinaire l’école car elle va donner un repas à des enfants pauvres.
Nous sommes dans un pays qui déborde de milliardaires et de cette horreur de Bernard Arnault, de ces horreurs de très riches et macron fait partie de leur monde, et nous avons des millions d’ enfants qui ne peuvent manger à leur faim en France et pas uniquement dans les quartiers, sur tout le territoire sans que cela choque réellement.
Pendant le week end, les vacances scolaires, il est admis que tous ces enfants ne mangent pas normalement pour que soit leur bon développement, leur bonne santé.
Ces politiques, cette population n’exigent pas la levée de toutes les taxes sur la nourriture et la fin des intermédiaires, du fonctionnement de la grande distribution où tous les grands patrons ont toujours été en lien avec les politiques.
Non, ils trouvent satisfaisant qu’un enfant ne puisse manger un repas équilibré que dans l’enceinte d’une collectivité.
Ces institutions publiques commandées par les politiques, cette maltraitance continuelle qu’apliqueront des administratifs tous à leur plan de carrière, leurs promotions, et augmentations de salaires en fonction des services rendus au pouvoir politique, tous à leur case jusqu’à leur retraite.Tout est rangé, ordonné et des millions d’enfants en France ont faim, il est plus de 3 millions d’enfants pauvres en France par les calculs à minima.
Un rapport du Défenseur des droits exposait les maltraitances de nos belles institutions et pourtant tout continuera et les victimes seront niées.
Il ne faut pas défaire la puissance de l’État qui est également par les fonctionnaires en titre de citoyens modèles, vertueux, qui appliquent tous les ordres politiques en obéissance absolue et baissant la tête quand le politique passe dans les rangs.
Les soignants, les pompiers, les cheminots, des facteurs, les ouvriers de la fonction publique se sont opposés mais en vain.
Plus que jamais la vie sera contrainte aux milliers de milliards que des Christine Lagarde ont virtuellemnt sortis de leurs mensonges.
La puissance scientifique au secours des politiques et de leurs millions d’argent à tous.
Scientifiques aux allures de héros qui sortent chaque jour des études où ils savent des hypothèses, racontent la mort , un virus, tous pris au piège, tous soldats du mensonge, celui qui gagne.
Tous à leurs millions d’argent pour leur laboratoire, leurs manipulations de virus, leurs recherches, leur médiatisation.
Puis, le professeur Raoult devient d’un coup le charlatan, le « renégat » dira-t-il lors d’une interview .
Le prix Nobel de Médecine en 2008, Jean Luc Montagner, affirme que le virus vient du laboratoire de Wuhan et les scientifiques se divisent et il est lui aussi présenté comme êtant un charlatan.
Bing liu, chercheur américain qui était sur le point de faire de très importantes découvertes sur le Covid-19, a été assassiné et le tueur se serait suicidé.
Tout revient à la violence, à la haine et donc aux mensonges.
Ils s’écroulent tous et dans le même temps de ces divisions, polémiques, recherches scientifiques à vive allure, Didier raoult comme d’autres prendront le temps d’écrire un bouquin, q’uil soit édité et publié pour être dans tous les supermarchés proposé à la vente dès le 26 avril.
Il n’y a rien à croire de leurs mensonges à tous, de leur médiatisation, de leur argent et de tous leurs liens avec des politiques.
La science, leur rivalité, leur communauté où ils se détestent entre eux, leurs haines et l’attrait de l’argent à la clé de leur renommée.
L’ONU parle de la solidarité scientifique pour lutter contre le virus, quand un vaccin trouvé rapportera des milliards d’argent !
Tous vaccinés sans savoir, sans comprendre. Tous fichés, numérisés et en dehors de nous la nature reprend ses droits.
Enfermons-nous dans nos villes-prisons sous haute suveillance, produisons, consommons , guettons les virus au coin des rues, de l’air que nous repirons, masqués à vie et nous dirons que nous offrons la liberté à nos enfants . Des cages dorées, sécurisées, intelligentes pour avenir car toutes ces lois demeureront et s’amplifieront.
Il n’y aura pas de retour aux jours heureux car ceux-ci étaient déjà en grande souffrance avant leur ennemi invisible, et celui visible leur démence suicidaire qui coule notre humanité.
Puis, notre connaissance scientifique est faussée par les barrières que nous avons imposées à la nature .
Quelle est la réalité du monde animal, végétal sur une Terre libre de nos cités et industries tueuses ?
Si nous acceptions les animaux libres et non dans des réserves « naturelles » ? Nous avons construit d’immenses zoos à ciel ouvert. Le cerf est interdit de sortir de son enclos, quelques bois et quelques champs.
Les dauphins sont emprisonnés dans un espace restreints que nous leur laissons et en le polluant.
Cette pandémie de coronavirus n’est que celle de nos mensonges, de ce déchaînement de haine voulant dominer la Terre, volant ses ressources pour en faire de l’argent. Les puissants, les milliardaires et leur stupide à ne pouvoir exister que par leur richesse.
Nos communications réduites quand elles sortent de ce qui est autorisé et tout ce médiatique télévisé qui n’est qu’un immense spectacle.
La presse et leurs grands patrons, et des journalistes qui ont toujours courtisés les cercles politiques, judiciaires et les renseignements.
L’ombre, le trouble, le pouvoir, les manipulations, les fausses révélations alors que les documents ont été volontairement donnés pour être publiés. Les ennemis, les réseaux s’opposant, et la population en quille sur leurs échiquiers.
« Nous avons réussi à nous procurer une circulaire en avant première », des titres de journaux et la circulaire leur a été donnée. Tous leurs arrangements, leurs mensonges, leurs bidonnages, leurs barbouzeries qui depuis des décennies hante la presse. Leur terrain de jeu, nos vies.
Sage, domptée, comme la nature, nous sommes contraints et si on redevennait animal pour comprendre, voir la réalité.
Si nous revenions à une part de ce que nous sommes, cet animal qui fuit sa réalité, ce divin qui nous imprègne et notre imaginaire invente l’outil.
Il calcule, modifie son environnement, le contraint et ainsi depuis des siècles. L’homme façonne sa pierre, son arme, sa puissance, il devient un prédateur.
Nous ne connaissons de la Terre, des animaux, du végétal, de l’eau, de l’espace, de notre propre humanité qu’un savoir contraint apprenant d’une nature contrainte.
Relève moi ma liberté et j’apprendrais qui est ma Terre, qui je suis
Nous avons voulu dominer notre environnement, le créer et la science est notre instrument permettant d’accéder à cette dimension. Mais la science ne connait que ce qu’elle a contraint et non une réalité libre.
Tout peut être différent demain si nous découvrons une autre loi et ce qui est acquis aujourd’hui ne sera que ce qui doit être annulé.
Nous sommes l’éphèmére du savoir et sa dimension est limitée à ce que des millénaires nous ont transmit.
La Terre est relativement ronde. Nous sommes à un début de la connaissance et n’avons qu’élaboré des outils pour la rendre performante.
Mais notre univers de compréhension se limite à ce que nous pouvons croire en le constatant et pour ce faire , nous avons contraint notre planète à ce que nous voulions.
Pour rendre accessible la Terre à notre capacité d’apprendre , nous l’avons limitée, et ainsi posséder .
Ses ressources nous permettent de fabriquer ce qui paraît être notre puissance car elle ne nous convient mais qui n’est pas cette puissance que nous croyons si dominante car sortie de notre carcan, du système qu’elle a élaboré, elle n’existe pas.
Nos caméras à reconnaissance faciale qui vont être mises ouvertement en place sans aucun débat sur la liberté , notamment au métro Chatelet pour contrôler ceux qui porteront un masque et ceux qui ne répondra pas à cette obligation.
Ces caméras , capables de prendre la température de 30 personnes passant dans son champ d’action, ce que nous comprenons comme étant une puissance, un fleuron de technologie, n’est rien d’autre que notre mensonge envahissant, contraignant toujours plus la liberté.
La pandémie de coronavirus va instaurer une société contrôlée par le numérique symbole d’intelligence, de grandeur et en fait révéler nos limites, celles que nous n’acceptons pas, notre humanité que l’on fui au lieu de l’aimer.
La société Sister Optronics indique sur son site «L’algorithme de reconnaissance faciale est utilisé pour localiser avec précision la température de la cible ».
Nous sommes des cibles dans le mental de pseudos génies de l’IA.
Ces caméras conçues bien avant la pandémie t prêtes à être installées par milliers dans un futur proche, n’ont certainement pas été réalisées à partir de millions d’investissements se dégageant des startups pour demeurer à leur inutilisation.
Les politiques savaient ces pandémies prévisibles autant que les scientifiques. Ils savaient l’inévitable point de rupture qui ne ferait que leur ascension, leur réussite et leur contrôle grandissant.
Édouard Philippe disait que la prolongation du confinement serait toxique. Il est leur système toxique et tout ce qui émane de sa conception est toxique. Le déconfinement l’est de la même manière.
Un État qui nous parle de protéger et qui est dans l’incapacité de donner cette protection à la population.
Il n’a distribué gratuitement aucun masque en quantité suffusante pour avoir l’assurance que la population soit protégée et il impose par ces élus dociles que soit une distrubion limitée, tardive et excluante.
Jusqu’où ira le sordide ?
Nous avons fortement et gravement contraint la nature et la pollution est née de cette mère de nos élaborations, création mensongère de vie.
L’homme ne peut pas créer la vie, il ne peut que la transmettre.
Par la science , l’homme s’est persuadé de pouvoir créer la vie, l’interpréter, la modifier selon ses capacités de compréhensions. L’homme ne supportant plus d’ignorer son origine, son identité, il a souhaité la fonder virtuellemnt et entreprendre la vie qu’il crée.
Ce domaine qui peut le faire espérer de devenir un jour le dieu d’une planète à qui il donnera vit. Il y implantera l’air, l’eau, le végétal puis l’animal et enfin l’homme. Il recrée un cycle qu’il n’a pas maîtrisé sur terre, ne sachant que détruire par ce qu’il croyait supérieur, dominateur.
L’homme a fait la terrible erreur de toucher à la vie, de vouloir la modifier.
Le clonage, la possibilité de fonder un être humain avec 3 ADN, les manipulations génétiques comme son nom l’indique ne sont que la science du mensonge, celle dangereuse et les virus émergents en sont leur œuvre.
Nous imposons un bouleversement à la biodiversité, manipulons des virus dans des laboratoires, tous les pays le font et tous ces pays mentent autant que des rapports scientifiques soudainement sortis et qui agissent pour nombre d’entre eux en acteur politique car soumis aux politiques pour pouvoir bénéficier de leurs millions d’investissements dans la recherche qu’elle soit médicale, physique , biologique ou chimique. Tous les domaines de la science appartiennent à une pyramide, l’État.
La raison scientifique doit être à la raison d’État et de l’autre côté le peuple subit les terrifiants mensonges.
Acteurs politiques qui eux-mêms dépendent des financiers dont ils seront l’écho. Rien n’est séparé et les États sont capables du pire. L’intérêt du pouvoir, d’être en dehors du système pour ne pas subir ce q’ils génèrent de nocifs, de dangereux. Par l’argent , ils puissants s’achètent leur société.
Trois présidents en vainceurs pour ce 8 mai, la paix ainsi manipulée pendant que le deuil, la maladie, la pauvreté saisissent une grande partie de la popualtion. Cette mascarade du paraître des vieux de la politique du temps de Chirac, Pasqua, Mitterrand et à leur côté le nouveau marchant dans la lignée des chefs par le mensonge. Puis, il est ce qu’il est interdit de dire car il est les Conseils défense qui marquent de leur sceau la puissance de l’État comme cela l’est actuellement. Les politiques parlent de transparence , leur nouveau masque et il n’y aura que les secrets d’État et l’argent en valeur.
Ce 8 mai parlait d’amnesty
Des politiques face à des citoyens portant plaintes contre des membres du gouvernement et Emmanuel Macron lui-même pour leur catastrophique gestion de la crise sanitaire. Ce déconfinement et le scandale des masques continuent à deux jours du déconfinement.
Nous aurions pu penser être rassurés, apaisés par une prise de conscience importante de ceux qui gouvernent suite au drame de toutes ces vies perdues. On pouvait espérer que tout changerait considérablement, que notre société deviendrait meilleure , plus respectueuse de l’humain, mais il était d’oublier que la pandémie est née de ce système et qu’il est les pandémies de pollution, de pauvreté, de haines que les gouvernements n’ont jamais souhaité anéantir.
Ces hommes qui se sont inventés un domaine mental qu’ils copient sur leur héritage Romain, celui avalant les cultures et inventant le mondialiste avant nos copies actuelles ne changeant que les rouages qui protègent leur dominance.
Les chefs d’États et face à eux toute une jeunesse révoltée qui veut fonder sa société loin de leur modèle. Des classes moyennes à pauvres qui se révoltent, il fallait que les États restent à leur domination inventée, qui n’est que ce que nous interprétons, ce que nous pensons être, ce qui correspond à notre humanité.
Nous concordons car nous sommes humains et par essence à notre fraternité, celle contrainte par ces pouvoirs politiques qui nous vantent les mos de fraternité, de solidarité en manipulation, en propagande pour fédérer. Le déni prendra une partie de la population qui obéira bien volontiers tandis qu’une autre partie sera révoltée, écoeurée par la capacité à mentir sans limite des politiques. Ils sont en dehors du peuple ceux qui en ont plein la bouche de la République alors qu’elle n’est que la contrainte fondée par les bourgeois, arrivistes gagnant par l’argent leurs titres et instaurant un ordre fermé, sectaire qui n’hésite pas à tuer pour garder ce qui les établit.
Si c’était cette République qui est le mensonge, celle à qui ont se doit obligatoirement d’être redevable, que l’on doit obligatoirement adorer alors qu’elle a généré la corruption de la bourgeoisie à son sommet.
La démocratie se voudrait être autre, forte et faire jaillir la liberté
On devient bourgeois par l’argent, les réseaux et peu importe les sales coups pour y arriver. Et, une personne née dans le milieu de la bourgeoisie peut détester cet environnement, y comprendre les mensonges et vouloir le quitter. Mais quel milieu n’est pas corrompu ? La limlite où est-elle ? Et, s’il n’y en avait pas ?
Nous pensions qu’être humain suffisait
Nous nous sommes trompés. Être humain ne suffit pas il faut s’inventer un titre, une raison, oublier notre propre vie et la façonner à ce qui est attendu, à ce qui semble protéger des autres, à ce qui semble porter, à ce qui semble nous transporter hors humanité. Ne plus souffrir, effaccer toute souffrance, ne pas vivre l’horreur, ne pas subir la cruauté mais la décider, l’imposer. Prédateurs politiques et la vitre se dresse, sépare, isole, tout est ordonné. Le nouveau monde qui se lève sous contrôle de l’IA et de Big Data ne fondera pas la liberté, il la brisera.
Des milliers de personnes passeront chaque jour sous ces caméras à reconnaissance faciale en se soumettant et en étant certains que cet empire sécuritaire va les protéger des « ennemis ». Alors qu’ils deviennent leur propre ennemi.
Pandémie, 19 millions de contrôles de police en France, un million de verbalisations.
Des larmes et ces personnes âgées verbalisées par des soldats du pouvoir, ceux sans cœur qui obéissent à l’ordre et entre les mailles du filet qui les enserrent certains auront un sentiment d’empathie avant de rejoindre l’ordre, celui qu’on leur montre comme étant le bien sans leur dire qu’il détruit .
L’ordre et Castarner devient le maître du jeu, celui détestable, celui arrogant, sans limite, celui qui va imposer à la france son mental totalitaire, complexé, hypocrithe. La violence a déjà pointée ses armes. Les suicides de soignants oubliés, ces jeunes enfermés en psychiatrie car la souffrance explose. L’épuisement et vient ses chaînes des hospitalisations en psychiatries de jeunes qui ne veulent que vivre libres.
Des psychiatres au cœur de leurs mensonges qui ne comprennent pas, ceux absents qui passent dix minutes dans une chambre et vole la liberté, assome de médicaments qui impactent le cerveau. Leur ignorance et leur savoir mensonger se prononcent.
Des jeunes brillants, en pleine santé et qui vont s’effondrer car la violence de ce système qui prone les prédateurs en force , en décisions est l’ordre, la règle.
Ces prédateurs évoluant dans les cercles politiques, médiatiques, judicaires, ce trio infernal pendu aux financiers et aux mafieux. Au delà des œuvres de la méchanceté politique, de ce qui a toujours été, il y a la vie, et près d’eux, elle s’éteint inéluctablement. La tombe de milliers de morts de la pollution, de la pandémie de coronavirus, de la violence, du mensonge.
Paix où es-tu ? Je te cherche, je ne veux que toi pour guérir les blessures, sécher les larmes et pourtant tu t’en vas. Je croyais qu’il suffisait dêtre humain pour vivre.
Le déconfinement le 11 mai et nombreux n’ont pas encore de masques pour se protéger.
Dans certains supermarchés, il faut présenter la carte de fidélité du magasin et sa carte d’indentité pour payer une boîte de 10 masques. Une personne ayant dix cartes de fidélité pourra faire chaque magasin et obtenir ses rares masques.
Une boîte de 10 masques chirurgicaux à près de 7 euros, le prix d’un paquet de cigarette alors qu’il est de devoir en changer toutes les quatre heures et cela chaque jour pour pouvoir accéder à des mouvements restreints de déplacement, d’activités professionnelles et nécessaires au quotidien. Il y a le masque en tissu et ceux de fabrication maison qu’il faudra changer toutes les 4 heures de la même manière.
La ville de Caen annonce faire la distribution d’un masque gratuit à parti du 24 mai et qu’il faudra présenter une pièce d’identité, une attestation de domicile et une attestation CAF, par exemple, prouvant le nombre de personnes au domicile pour obtenir un masque par personne. Et, il faut réserver à l’avance son masque.
Je croyais qu’il suffisait d’être un être humain pour que l’État donne au moins un masque gratuit quand il en faut de nombreux pour assurer une protection.
Puisque nous devons en trouver avant le 24 mai, il serait que les habitants ayant été dans l’obliaation d’en trouver et de les payer, ne prennent aucun masque des mairies agissant comme celle de Caen. Un minimum de respect de nous-mêmes !
Il suffit d’être un être humain pour avoir le droit de se protéger d’une pandémie .
De plus, ces politiques ont été incapables de protéger la population durant tout ce temps du confinement ou il n’y a eu ni tests, ni masques, où des personnes sont mortes en souffrance à leur domincile, dans des Ehpads, dans la rue sans recevoir de soins .
Politiques du mensonge, de la honte, organisant leurs élections, leur image, alors que certains d’entre eux ont été touchés par le coronavirus, ils osent malgré tout exiger l’inutile administratif pour avoir le droit d’ avoir un masque.
Un masque parce que je suis un être humain
Politiques responsables, des yeux emplis de larmes vous regardent, la colère vous fait face, administratifs obéissants à une République qui a trahi le peuple, et les préfets organisant l’ordre établit comme lorqu’il organisaient les ordres contre les manisfestations de soignants et des pompiers.
Tous politiques, préfets, polices, à leurs redoutables mensonges
Un gouvernement alerté depuis des années sur les violences policières, la répression, la liberté menacée , par les rapports du Défenseur des droits, de la Commission des droits de l’homme du Conseil de l’Europe, par des OMG , par les victimes et cette violence qui perdure et le pouvoir reste en place attablé à ces mensonges redoutables qu’il place comme des pions.
Une condamnation de policiers à Marseille pour marquer la justice, la même qui n’a jamais été séparée du pouvoir politique . Le mensonge encore et les jeux de réseaux, d’intérêts, de fous qui ont besoin de s’inventer une autre humanité que celle qu’il porte pour penser exister .
La nature se sépare de nous
Puis, la nature paisible, en silence. Cet arbre fidèle, ces animaux qui sortent de l’espace contraint dans lequel notre société les a emprisonné. Tout est calme loin de nous. La nature ne montre rien de ce qui est dans le monde des hommes, le chaos. Je regarde ces étendues désertées par les hommes et tout semble si fortement détaché de notre réalité, du bruit de nos cités. Tout semble dire que les informations sont issus du mensonge, de ce que l’on fabrique nous-mêmes et non de ce qui est réel, visible, palpable.
Cette Nature qui cache sa souffrance et nous sourit chaque jour telle cette mère d’amour qui dissimule ses larmes sous un sourire radieux. Radieux d’avoir la chance de vivre, d’aimer parmi la violence qui aurait pu tout tuer. Tout parraît sans nous si loin de notre réalité.
Nous nous sommes séparés de notre Terre, nous sommes séparés de la nature et nous allons nous contraindre dans nos villes IA avec nos caméras de surveillance, nos polices, nos ordres, nos mensonges. Tout deviendra plus infernal et l’industrie va reprendre sa masse, l’argent va battre notre raison.
Il est à craindre que le bouleversement planétaire ne continue son accélération si nous reprenons ce chemin de l’ultime zéro, du contrôle de l’homme par l’homme qui persistera et se renforcera après cette pandémie, car elle est l’annonce ce qui sera. Des succesions de pandémies, de crises, d’incompréhensible, car la contrainte que nous imposons ne permet à la vie de se renouveller, de transmettre et de créer. Et, c’est ce dernier verbe qui nous arrête.
Nous ne pouvons maîtriser la création. Celle qui a donné naissance à la vie. Il n’est pas d’être à une religion, à ce que nous inventons mais à la source de ce qui donne vie et notre Terre la porte. Elle est un mystère et aucun de nous pouvoir définir ce qui crée la vie. C’est cela qui nous affronte.
Nous devons cesser toute production polluant les océans, la Terre, cesser toutes manipulations de la vie. Nos caméras de surveillance et nos masques, les mensonges politiques, les milliers de milliards d’argent et toutes les polices ne pourront rien quand les océans se révolteront contre ce qui les contraint.
Les animaux ne peuvent se défendre contre notre société qui impacte leur environnement et les met en danger mais ce qui permet la vie, l’eau et l’air, qui ne sont qu’un en un même espace qui est la Terre , nous renvoie ce que nous lui imposons.
Ce coronavirus est la pollution, les manipulations, le mensonge , les contraintes que nous avons imposé à la Terre
Si nous pouvions ce 11 mai qui vient décider de plus laisser le mensonge détruire, ne plus contraindre et nous séparer de notre Terre.
Si lundi 11 mai, l’argent ne circulait pas, la vie, elle, aurait une voie d’espérance libérée
Si le 11 mai était une autre date que celle du déconfinement de l’argent et de son obligation pour persister, un régime sécuritaire puis en résultat, une dictature et la guerre.
Malheureusement, très malheureusement , nous pouvons craindre que si nous poursuivons cette pollution massive, cette accélération de l’argent, s’il est une deuxième phase du bouleversment , le chaos se révèlera alors bien plus puissant et il n’y aura pas de milliers millards de dollors pensant l’endormir.
Le point de neutralité par les milliards annoncés ne sont que pour imposer un capitalisme sans limite. Le déconfinement le 11 mai n’est que part les contraintes imposées par les lobbies tenus par les milliardaires, comme le confinement a été car la pandémie s’est accélérée par ces politiques qui ne sont pas à aimer et respecter la vie.
Tous les millions de masques que nous recevons, notamment de Chine ne sont que par cette industrie qui nous a comdamné et ces millions d’ouvriers en esclavage attachés sur des chaînes de production.
Une fête du déconfinement qui marquera le mensonge terrifiant qui domine et la malveillance d’un État sécuritaire, d’ingénieurs concevant leurs robotiques militaires, leurs armes contre les populations, leur surveillance accrue et au final notre destruction.
Des étendues de liberté , des plages traditionnellement désertes loin des cirques touristiques, qui resteront sous interdiction, limitation, contrôles, drones.
Tout a basculé si rapidement, nous pouvons peut-être espérer que la révolte des peuples pourra anéantir ce qui impacte gravement la liberté et que chacun refusera de mourir lentement d’enfermement dans nos cités IA.
© Fédora Hélène

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