- Des sénateurs LR et de différents groupes saisissent le Conseil constitutionnel sur la loi « cyberhaine »
- Une plainte serait déposée à l’encontre de Laetitia Avia pour « harcèlement moral » par des ex-collaborateurs annonce le 18 mai leur avocate au micro de BFMTV et dans un communiqué.
Le langage de la liberté ne s’exprime pas uniquement par les mots, il est également une énergie de communication large, étendue, révélant par son intensité le primordial d’être présente de toutes les manières par toutes sources d’inspiration, d’émotion.
Le langage de la liberté ne peut pas être figé par quelques mots ciblés par des repères algorithmiques.
Il serait alors uniquement de confisquer arbitrairement l’expression de la liberté.
La loi cyberhaine est une aberration et ne peut aboutir qu’à un échec. En premier trop de loi tue la loi, diront certains, mais avant tout elle est un non sens car si elle se définit comme se voulant défendre la différence de chacun donc sa liberté, elle ne peut pas dans ce même temps impacter gravement l’expression de la liberté.
Il est le but vertueux, incontestable que le politique met en avant ; lutter contre le racisme, la haine et son cortège de violences, et il faut condamner fermement ses actes qui ont détruit que trop de victimes, le politique mais en avant et apparaît également dans cette loi que veut ériger Laetitia Avia, le détournement de la vertu pour nuire en réalité à la liberté d’expression.
Le mécanisqme est devenu habituel , les politiques prennent un sujet moteur font un discours présentant leur loi au but de défendre les victimes, ce que personne ne peut contester, et par le langage et les particularités de la loi , le but apparaît tout autre.
Dans la loi Avia, il sera à la police de prendre la décision de faire supprimer un contenu en une heure ou 24 heures sur tout support internet sans qu’un juge intervienne, sans qu’il soit la possibilité de se défendre, d’expliquer.
La police deviendrait celle qui applique l’ordre politique qui décide de l’interprétation d’un contenu. Si un site s’oppose fermement au pouvoir dominant , il pourrait être jugé la volonté de le supprimer sous couvert de terrorisme, de propos haineux.
La liberté d’expression, qui se traduit par la parole, l’écrit, la pensée , serait par cette loi soumise à des pressions intenses provoquant l’interdiction de s’exprimer sous la menace de procédures, de suppression de site.
Il est rappeler que la liberté de pensée et de l’exprimer, est un droit fondamental, un droit humain.
Brimer la liberté est une violence grave provoquant une souffrance et donnant à un pouvoir politique le droit de faire du mal, de blesser et au final d’être dans la haine.
C’est le système de l’inversion qu’utilisent les prédateurs impactant gravement le mental car blessant profondément la liberté de l’être. C’est également le fonctionnement des sectes, dictatures, de tout ce qui provoque, ce qui met en souffrance, anéantit la liberté de construire sa personnalité, de développer ses facultés, son autonomie politique et le droit de s’impliquer dans le champ politique, d’avoir la volonté et la liberté de prendre la parole.
Il est des lois pour lutter contre le racisme, contre les violences , les agressions qu’elles soient déjà apliquées. La plainte qui serait pour « harcèlement moral » contre Laetitia Avia prouve bien que ces lois existent et qu’il est nul besoin de forger une autre loi.
Concernant le terrrorisme , il existe également des lois précises tel que l’état d’urgence contre le terrorisme prorogée pour la sièxème fois, ou la législation anti-terrorisme de 2012-2017.
Par ailleurs, il est de comprendre dans le même temps, où la justice depuis des années dit ne pas avoir de moyens, justifie par cela le fait que des victimes de violences récurrentes, telles que les violences sexuelles et sexistes, violences conjugales, ne sont pas respectées et ne reçoivent pas la reconnaissance de la justice, et de l’autre côté le gouvernement est dans une surenchère de lois.
Si le gouvernement tient à ce que la haine perde la puissance de son impunité, il doit en premier protéger ceux vulnérables et qui sont accablés par des procédures judiciaires longues quand enfin une plainté est reçue !
Puis, surtout pour que la haine ne s’inscrive plus dans notre langage, dans notre communication les uns envers les autres, il faut sortir de politiques s’appuyant sur un concept de prédation pour arriver à sa finalité de domination.
La haine est dans les couloirs politiques depuis des décennies de notre République par les différents cercles de pouvoir, rivalités et trahisons.
Si le politique veut véritablement sortir de la haine, il doit remettre en question ce qui endoctrine et nous fait croire que ce mécanisme mental est une puissance.
La justice est fille de la liberté
Quand celle-ci est atteinte dans son intégrité et dignité, la justice dysfonctionne gravement et se sont les victimes de violences qui en subissent les coups et traumatismes pouvant anéantir le psychisme et la santé physique d’un être humain.
Il est rappeler au gouvernement que la Commission européenne des droits de l’homme a publié en 2019, un rapport recommandant au gouverneemnt de veiller à la liberté d’expression lors de manisfestations. Rappelant que des opinions opposées au gouvernement avait le droit fondamental de s’exprimer pacifiquement sans être confrontées à un usage disproportionné de la force contre les manifestants . Le rapport du Défenseur des droits ou les enquêtes d’Amnesty International, évoquant des condamnations de la France par la Cour européenne des droits de l’homme, rappellent depuis près de 10 ans aux autorités françaises le devoir de respecter les engagements pris par la France pour le respect des droits humains dont la liberté d »expression et de la manifester appartient.
La liberté d’expression est un droit fondamental- article 19 de la Déclaration universelle des droits de l’homme
L’Unesco rappelle par ailleurs que la liberté d’expression est un droit fondamental « pilier de toutes les libertés civiques » et précise que doit être la « libre circulation des idées, par le mot et par l’image ».
De la vertu à l’apparence de celle-ci – le politique peut revêtir des masques
Puis, il y a l’être et l’apparence et ce que dénoncent les ex-collaborateurs de Laetitia Avia, qui annonçaient leur attention de porter plainte pour « harcèlement moral » lundi 18 mai au micro de BFMTV, par le biais de leur avocate maître Maud Sorel, contre les propos violents dont ils affirment être victimes, démontrent ce jeu d’ombre des mots entre le bien et le mal et sa difficile définition. Cette plainte pourrait donner à réfléchir à ceux s’instaurant d’un coup en décideur de la pensée humaine et de sa libre expression.
L’arroseur arrosé , ses sms que Laetitia Avia juge manipulés , sortis de leur contexte, vient de prouver la nocivité de la loi contre la cyberhaine puisqu’elle dit elle-même que tout est à l’interprétation. Dans le cas de Laetitia Avia les sms dénoncés ont une cible qu’elle connaîtrait et dont elle maîtriserait de ce fait l’impact si toutefois il était démontré un harcèlement moral en amont. Latetitia Avia rejette ces accusations et précise qu’elle va porter plainte pour diffamation.
Dans d’autres cas, pour revenir au sujet de la haine, quand un prédateur envoie des messages violents, c’est conçu et voulu pour blesser, traumatiser et provoquer la souffrance de la mémoire traumatique puisque des violences ont existé avant l’envoi de messages. La haine est un calcul , s’en défendre est exprimer la peine qu’elle provoque sans en calculer les mots qui s’écrivent. C’est alors l’expression de l’amour, lui donner sens, être à la liberté de son expression.
Mais quand vous opposez un raisonnement à un système prédateur, il en retournera la volonté et vérité pour l’accuser d’être haineux.
En outre, la manipulation des mots peut en détourner le sens pour construire un raisonnement de haine, ce que les pervers narcissiques savent faire et pourtant rien n’y paraîtra, et concernant des messages envoyés, il voudra toujours manipulé pour reporter la faute sur la victime qui devient alors dans le discours du manipulateur, le coupable !
Pourquoi vouloir autant contrôler la liberté d’expression sur internet ?
Il était une population majoritairement dépolitisées qui par les mouvements de libération de l’expression comme l’était Nuit debout , ont fédéré des personnes autour de la cause politique.
Des personnes pouvant être issues de différentes catégories sociales, professionnelles et familiales se retrouvaient à pouvoir discuter, échanger et lever des voix s’opposant fermement au gouvernement et lobbies. Celles enfermées sourdes, celles que les politiques humiliaient en appelant la parole du peuple, les dissertations et philisophies de bistrot.
Nuit debout, on peut être critique envers ce mouvement, mais il a été un moteur essentiel pour réveiller ce droit à la liberté d’expression.
Des causes justes et légitimes pouvaient s’y exprimer avec véhémence et ce fut les prises de paroles publiques de femmes luttant contre les violences conjugales, sexuelles et sexistes. Cela a été libérateur pour nombreuses d’entre elles qui ne pouvaient tant était la douleur et l’isolement mettre des mots sur les maltraitances vécues.
Puis, ce fut les « Riens » qui démontraient leur courage politique, leur volonté de se mobiliser, de fonder un monde meilleur.
Il nait une étincelle de rassemblement, de contre-pouvoir, d’appel à la démocratie directe, de construction de plusieurs fondements politiques nouveaux comme la 6 ème Répuplique.
Rien ne s’arrêtera et la loi travail annoncera de longs cortèges qui depuis perdurent durant les manifestations.
Il est des Collectifs, groupes, sites s’ouvrant au discours, à l’idée politique de différentes manières et embrassant toute la société.
Il est les mouvements écologiques, féministes, sociaux, scientifiques engagés, étudiants, précaires, chômeurs, soignants, les rétraités, tous se rejoingnent, la parole s’élargit et il sera la création des Gilets jaunes.
Il s’élabore depuis plusieurs années la convergence des luttes, la solidarité vitale entre tous ceux désirant dresser le drapeau de la démocratie.
Les Zadistes élaborent une société où l’intérêt d’argent n’est pas et où il est la protection de l’environnement. De s’y fondre, d’y vivre en harmonie avec la nature qui nous entoure. Il est ces combats pour protéger ce que l’on aime car il est le sol de notre humanité notre Terre.
En réponse, à cette volonté qui s’affirme, s’impose , est un déferlement de violences de grenades de désencerclement, de lacrymogènes, de l’utilisation de drones, un aéroport qui ne sera pas. Le gouvernement , ses décisions politiqes se font la nuit quand tout un peuple veut vivre un autre jour et lui donner la chance de jaillir.
Tout un mouvement désire aujourd’hui aller plus loin, aller vers une société profondément renouvelée, dépassant les volontés des politiques et les intérêts électoralistes et financiers.
Conscientes de l’urgence, les politiques alternatives ont commencé à implanter une nouvelle façon de vivre pour l’ensemble de la société, remettant en cause nos modes de vie réguliers.
Pour Notre Dame des Landes, est la bataille perdue mais pas dans les cœurs. Une peine demeure suffisamment forte pour que chacun veuille construire cette chance d’une nouvelle civilisation en osmose avec la Terre.
Puis, il fut les réfugiés nous rappelant que la guerre n’était plus chez nous mais exportée sur d’autres territoires par les extrêmes complexités géo-politiques qui laissent l’enfant abandonné et mourant aux naufrages en pleine mer.
Nos richesses ne tiennent plus leurs promesses de liberté de confort à la consciense tranquille.
Ce qui était une opposition réunissant des groupes de personnes, pouvant être comprises comme extrêmes, utopiques deviennent aujourd’hui une évidence à accomplir même si des politiques tiennent à garder des stratégies électoralistes, il n’est plus possible de fermer les consciences et de laisser la liberté gravement s’affaiblir car il serait une perte incontestable pour la vie.
La liberté doit toujours lutter pour nous prouver sa réalité essentielle
Les luttes actuelles rendent hommage aux combats des ouvriers , à leur résistance. Ils étaient le contre-pouvoir que la cupidité et l’orgueil voulaient affaiblir et leurs combats se sont transmits par cette notion de justice qui en était la trame. Rendre juste une société pour que la naissance ne soit pas une tragédie du fait que nos conceptions ont établi l’injuste en fondement. Il est que ce que la République a voulu porter avant que la bourgeoisie s’empresse à dominer, se réalise.
Dans le cas de la loi contre la cyberhaine, le juste signifie opposition a un discours politique qui alors s’impose en loi et se fait totalitaire. La lutte contre une politique, se dresser contre l’injustice d’un parti, peut être interprétée comme une haine alors qu’il est à défendre la liberté et sa paix. L’inversion du langage et identifier les mots porteurs de solidarité comme haineux, alors qu’ils sont en défense de ceux vulnérables, s’opposent à un système brutal , agressif, faisant actes de violences .
Il est une bataille, une lutte pour recouvrer la liberté, la protéger
Tout ce qui s’attache à faire transparaitre son énergie de façon concrète, en réalité quotidienne pour ceux discriminés, victimes d’un autoritarisme politique tombera alors sous le coup de la loi du pouvoir en place, par l’interprétation fausse et négative du sens des mots, des idées et sera la condamnation de la voix qui les porte.
Il est le mot lutte, bataille pour la liberté et le pouvoir politique lui oppose un combat, une bataille avec une force dominante puisqu’il s’attache aux forces de l’ordre. Lesquelles ont pour vocation de protéger la population ce que les manifestants réaffirment. Seulement le pouvoir politique entend population par division et élobore le fait que le pouvoir politique protège la partie divisée à l’autre et non dans son union. Ainsi les opposants jugés « radicalisés » pourront avoir leur publication supprimées, groupes et sites gravement impactés par ce principe de protéger par la division et non l’égalité entre tous les citoyens.
Parfois soutenir ce qui est un pouvoir nocif est beauoup plus dangereux par le laisser faire que l’expression ferme d’une opposition même si le langage ne plaît pas.
La caricature était censurée , elle est devenue de nouveau très critiquée et il est parfois demandé de la supprimer et une interdiction de la partager. Ce qui prouve également la surveillance constante des contenus et des pages, sites donnant une implusion autre que celles comprises comme autorisées.
Mais la liberté n’a pas à être autorisée, elle appartient à ce qui donne vie et fait partie intégrante de nous
Nelson Mandela arme la liberté de son courage, de sa force, de sa vérité mais pour ceux l’accusant il est l’expression de la haine.
Il est condamné et la liberté est emprisonnée.
Il représente un danger car il est cette source de liberté qui ne cesse d’abreuver notre humanité de juste abondance pour qu’elle soit un triomphe, un sens de vie. Cette eau qui coule et qu’aucun barreau ne retient et qui part l’insaisisable, l’extraordinaire des luttes a dépassé l’impossible, a continué à croire et ne s’est jamais séparé de l’espoir qui la constitue pour lui donner existence.
L’humanité est issue de la liberté
Cette liberté , c’est notre sol, c’est la définition de notre humanité. Nous ne pouvons emprisonner la Terre pour la modifier à notre convenance car la liberté est toujours ces veines à l’eau régénératrice au delà de nos connaissances. Cette liberté qui frappe en permannece à la porte de notre humanité
Il devient une évidence de devoir nous attacher à prendre conscience que vivre sans la liberté, c’est être à une souffrance récurrente et qui est dans son éternel recommencement.
Internet s’est transformé en une immense capacité de s’exprimer, de libérer la parole, de s’opposer, de devenir le porte -parole du nouveau contre-pouvoir.
La caricature du politique , l’image, les mots, chacun peut devenir acteur de la prise de parole. La communication s’établit et elle est directement avec les politiques , avec les évènements, déclarations.
Les réseaux sociaux rassemblent , fidélisent des mouvements d’opposition . Tous peuvent émettre l’information. Elle est par les mots, les images, les vidéos. Tout peut-être en dehors des cercles de pouvoir. On fait passer l’idée par internet, on lui donne de la force, un élan qui va mobiliser, qui va à la rencontre.
Internet n’est pas que le négatif qui doit faire peur. Il porte en reflet la violence de la société, ses mensonges, mais il est également la possibilité immense de communiquer de réapprendre à échanger, partager dans une continuité et le confinement a démontré cette réalité.
Les soignants ont démontré que les supports des réseaux sociaux avaient leur importance pour transmettre l’information en dehors des cercles « officiels », des médias considérés comme admis.
La lutte contre les violences faites aux femmes a pris un nouvel élan par la communication internet : #balancetonporc #MeToo #Jetecrois #Violencesconjugales
La lutte écologiqque et Greta Thunberg appelle à la manifestation sur les réseaux sociaux pendant le confinement avec le hashtag #ClimateStrikeOnline. Le militantisme n’est pas uniquement dans la rue et l’on peut également penser aux personnes ne pouvant manifester mais qui peuvent construire un appel militant par internet.
Sur Internet, nous pouvons user du langage, écrire, lire, visualiser, prendre contact. Il faut que ces accueils de la libre expression ne soient pas aux contrôles permanents d’une force politique, d’un ordre qui serait car la population se réapproprie son droit fondamental à pouvoir s’exprimer.
Nul besoin d’appartenir à un parti, à une association, d’avoir les moyens financiers pour s’exprimer, d’être un politique ou de passer dans les médias. Puis, les barrières sociales, les classes d’âge n’ont plus d’importance , tous peuvent se rassembler et évoquer par des langages différents une expression commune, celle de la liberté.
Un gouvernement qui semble être dérangé par ce champ des possibilités de s’exprimer. Une population se politisant et réagissant immédiatement aux disicions, réflexions politiques et pouvant s’opposer avec force, c’est une volonté de démocratie en dehors des hémicycles qui votent la loi sur la « cyberhaine ».
Une population qui sait également se retrouver dans des manifestations.
Puis, dans un futur proche , les clivages s’effaçant de plus en plus devant l’urgence à évoluer, à fonder une civilisation nouvelle, ces citoyens sur internet pourraient unir leur voix pour exiger de prendre part aux décisions qui impactent directement leur vie et le futur des nouvelles générations.
Le coronavirus ne fait pas de distinction entre les riches et les pauvres, l’urgence climatique, la remise en cause de nos cultures et fondations politiques pourrait émerger avec force.
Les enfants ne pourront pas grandir, construire leur bonheur sur une Terre polluée au milieu de la misère et cela qu’ils soient riches aux pauvres.
Nous savons que les plus vulnérables sont les premiers touchés alors peut-on concevoir bâtir un nouvel empire sur l’indifférence et concevoir le bonheur dans une civilisation créant la cruauté et l’acceptant durablement ?
Les pouvoirs se trouvent face à leur échec et s’ils perdurent dans une volonté de fonder une oligarchie, ils s’enfonceront dans la violence.
Pour imaginer nos sociétés, il a fallu la liberté de penser. Et ceux en concevant l’expression pour réaliser notre civilisation se sont empressés d’en construire les murs. Certainement par peur que la liberté s’en échappe pour fonder d’autres univers civilisationnels en inspirant la liberté d’autrui d’inventer un nouveau jour. L’État serait alors dès sa conception, une chaîne à la liberté.
« La liberté, c’est toujours la liberté de celui qui pense autrement » Rosa Luxembourg
Puis, « La liberté ne peut être que toute la liberté; un morceau de liberté n’est pas la liberté » Max Stirner
© Fédora hélène

copyright © LiberTerra 2020 , Tous droits réservés