France – Macron l’impact – Le respect des droits humains, les promesses d’un avenir en paix sont-ils gravement affaiblis ?

⚠️ La « rupture » des masques. Emmanuel Macron déclare, « Il y a eu une doctrine restrictive pour ne jamais être en rupture que le gouvernement a prise et qui je pense était la bonne. » Puis, Macron ajoute, « Il y a eu un approvisionnement renforcé, une production renforcée et nous, n’avons jamais été en rupture ».

⚠️ Le Canard Enchaîné paru ce matin publie sur les propos d’Emmanuel Macron à l’égard d’Agnès Buzyn et du plan pour l’hôpital.

⚠️ La prime aux soignants : plus les malades sont dans un hôpital plus la prime est à son niveau des 1 500 euros, selon l’Afp. Un quota de gravité imposé pour calculer le pourcentage faisant la valeur de la prime attribuée.

De 500 à 1 500 euros de prime en fonction des heures travaillées à secourir des vies prises au piège du coronavirus.

Une technocratie s’imposant dans le calcul et les exceptions qui relèvent du Directeur de l’établissement de santé qui peut élever la prime à 1 500 euros en présentant des justifications précises.

L’absurde, ce qui choque persiste

La France veut imposer la loi sur la Cyberhaine qui impactera une source d’expression libre sur une une sphère mondiale puisque les poursuites pourront s’effectuer au delà des frontières, s’ajouter aux verrous existants dans d’autres pays, imposant ainsi une charge lourde contre la liberté d’expression sur le plan international.

Ce qui était vu comme une possibilité de communiquer avec les autres où qu’ils se trouvent , de partager des événements, une actualité ou dénoncer une atteinte à la liberté, être un soutient à une communauté, est dorénavant perçu comme le plus grand fichage qui soit par les facultés Big data et un flicage permanent puisque la police pourra décider seule de supprimer un contenu dans le délai d’une heure à 24 heures.

La France bascule et devient le pays qui impacte la liberté d’expression, tout cela car Emmanuel Macron a été élu par 8 % des votants, qu’il est des présidentielles conçues par des millions misés sur un système, une image virtuelle fabriquée par des publicitaires faisant les campagnes présidentielles.

Un terrible endoctrinement et là encore la population est privée d’un droit fondamental et l’hémicycle censé protéger la liberté du peuple a voté contre.

C’est dramatique et LREM porte la responsabilité du drame. Des députés obéissants et les français peuvent voir à quel point l’idéal du suffrage universel a basculé dans l’espace de l’argent. Et, si l’argent n’existe pas, la liberté, elle, et bien vivante.

Cela montre à quel point de gravité LREM se constitue et par son nom même qui est l’appartenance à une image forte, dominatrice, une personne qui s’attribue la République. Elle deviendrait son nom alors que le seul qu’elle peut porter est celui du peuple.

Cette élection présidentielle qu’il fallait à tout prix, être dans cette mécanique impériale, alors qu’il aurait été d’annuler le premier tour, alors qu’il aurait été de ne pas voter ni pour l’un ni pour l’autre des candidats mais comme des soldats de plomb, il fallait garder l’ordre inventé et aller voter.

C’est assez terrifiant de penser qu’un tel endoctrinement porte le nom de République à moins de penser que cette république de bourgeois est cela.

La République attend-elle d’éclore ? Est-elle celle qui ne s’est pas accomplie ? Est-elle depuis son commencement cette limite ? Un pouvoir dominant pris par les bourgeois qui se contentent d’argent pour penser avoir réussi, la République a-t-elle été réduite à cela ?

Il suffit de devenir riche d’argent mais pas de liberté. Il suffit de se séparer du peuple par un titre, par une richesse superficielle pour être puissant ; et tous les coups sont permis pour gagner fortune et pouvoir en usant du marchand et de la guerre à l’exemple de tous les empires.

Simple et sans grande intelligence créatrice mais uniquement répétitive, un système politique qui devient la négation de la vérité et de la liberté du peuple par ses effets de grandes manipulations et instaurant un mental prédateur pour garder sa forteresse.

Les droits de l’homme devraient être précieux et nul ne devrait oser y porter la moindre atteinte ou possibilité de les blesser.

Les Conventions portant et rappelant les droits fondamentaux de tous et de ceux vulnérables, de ceux battus par cet imaginaire persistant depuis des siècles et qui placent la femme en dessous, qui réprime sa liberté, cette affirmation que la femme est inférieure, continuait à être célébrer. Ce fardeau de faire souffrir un être humain car il est une femme à persister à travers la République. Puis, elle a continué à porter le fardeau de la pauvreté, sans jamais vouloir l’anéantir. Il était d’acheter la paix sociale mais pas de laisser une liberté pleine et entière. L’étau de la pauvreté demeure. Elle s’accélère et plus la richesse domine plus le reflet de son âme véritable se diffuse, la misère.

Un milliardaire va en fonder 10 autres et des milliers de pauvres. Une pauvreté qui signifiera la tristesse de notre Terre et nous voyons notre environnement en souffrance, victime de ce qui conçoit détruite la vie d’êtres humains.

Les très riches volent des libertés. Ils vivent avec nos vies. Car pour construire leur monde en dehors de notre humanité fraternelle et notre alliance avec notre Terre, ils en puisent les ressources.

Notre République leur permet cela.

Alors si elle a été capable jusqu’à nos jours de tirer avec elle le poids de la cruauté, comment pourrait-elle être le plein symbole de la liberté ?

Elle sera toujours à ses failles, faiblesses, à son histoire dressant l’argent en maître, à être celle qui n’a pas convaincu, celle qui ne sera pas la naissance d’une nouvelle civilisation.

Et, c’est par son écroulement, la fin de l’endoctrinement que naîtra un monde d’après.

Nous voyons toujours par le sacrifice pour aboutir à une libération.

Nous ne pouvons admettre un système intermédiaire pour laisser le temps d’établir sans heurt le nouveau.

Les pouvoirs sont tenaces et ne cèdent pas. Il y a cette empreinte forte de la guerre, de l’armée, de l’arme conçue par intelligence en symbole de victoire et puissance alors comment penser que la paix est plus puissante, qu’elle est une voie de sortie, qu’elle permettrait le précieux de la naissance d’une nouvelle civilisation ?

Nous avons toujours combattu l’un contre l’autre. Humain contre un être humain car nous avons fonder une Olympe de dominants, une mythologie politique d’élus, et Macron se nomme t’il pas Jupiter ?

Il est suffisamment intelligent pour le savoir et être dans l’incohérence des discours, de ce qu’il perçoit mais ne peut vivre, de ce qu’il sait mais ne peut donner naissance car il appartient à la bourgeoisie en boucle fermée, obtue, celle qui ne cède pas réellement à la fraternité.

Aurait-elle peur de perdre en s’unissent aux autres, aurait-elle peur de ne plus être et de ne pas se concevoir autrement que par la définition de posséder ?

Emmanuel Macron est dans la conscience et l’inconscience car son expérience est à un univers fermé et son ignorance du monde est trop forte, pour qu’il est la sagesse des pensées et l’équilibre de la conscience.

Il dira vouloir défendre l’hôpital, puis tiendra un discours inversé qui susprendra, posera de vives réactions, polémiques, et si on avait cru qu’il était dans la bonne voie; la seconde d’après il l’a quittée.

Il n’y a pas de révélations sur Emmanuel Macron car il aurait dit cela ou autre, il est dans une continuité de langage décalé, dans le trouble, l’opacité des pensées.

Les médias relatent des propos en pensant révéler mais c’est faux. Ces propos, Emmanuel Macron les a déjà tenu. Ils sont l’architecture de sa pensée. Il joue avec cette dualité permanente et mène son monde, conduit l’attention et c’est se perdre dans un labyrinthe que de vouloir en tirer à chaque fois la matière.

La République est elle-même ce système de manipulations et Emmanuel Macron à eu l’audace d’y accoler son propre nom.

Il montre l’incohérence du système, il est sa faille profonde, cet art du discours, qui semble si plat, si inconcevable d’autant qu’il y a des milliers de morts du coronavirus et que cela aurait pu être évitable.

Évitable car nous aurions pu cesser la pollution qui a affaibli le corps, notre santé et qui a créé des maladies persistantes et mortelles .

Évitable car nous avons généré le déplacement du virus par les particules et que malheureusement il a attaqué nos organismes en déséquilibre par une mauvaise alimentation et par un stress continuel construit par notte société du bruit, de la brutalité.

Il n’y a plus de temps de repos, de liberté véritable mais un acharnement à produire, à devenir violent et la haine pour accepter de favoriser ce système, d’y construire son confort, sa richesse en empilant les pierres de ce qui tue.

Je monte les murs de mon palais avec la matière qui détruit mon frère.

C’est un mental ancestral qui a fabriqué la notion de chef, de roi, ce qui n’existe pas dans la nature.

Si j’ai une magnifique maison, je suis meilleur que le pauvre, mais c’est parce qu’il y a des millions de pauvres, que j’ai une magnifique maison.

Je ne peux le concevoir puisqu’il y a la notion de gagner un salaire, de gagner un crédit, de gagner par rapport à l’autre par la fonction, l’héritage, l’acquis, la corruption. Puis, cela persiste car nous pensons que cela est normal et que l’être humain est ainsi fait.

Qu’il faut que l’autre est faim pour avoir l’abondance sur une table et non la multitude.

Emmanuel Macron n’est qu’un grain de sable dans tout cela même s’il a l’ambition de dominer.

Il tend alors la main aux milliardaires qu’il invite à Versailles et qui ont intérêt à ce que la liberté soit aux chaînes pour persister dans leur monde virtuel .

Emmanuel Macron n’a d’autres choix que l’obéissance pour être le chef parmi les pauvres.

Puis les politiques susprennent encore en annonçant faire des plans entre eux pour dire aux peuples qu’ils vont tout sauver.

Puis on reprendra leurs mots, leurs phrases, les médias appeleront cela des révélations, le buzz, mais la seule chose que nous devons percevoir est que c’est notre instinct de survie, notre amour que nous passons notre temps à contenir, à bloquer, qui frappe nos consciences quelque soit nos tendances politiques et qui nous dit « réveillez toi ! »

Mais nous devons empiler des pierres et justifier qu’il y a un mur pour ensuite le briser.

Les médias reprennent depuis des années les phrases de Macron et cela est normal. Ils construisent l’édifice qui va être ébranlé celui d’un pouvoir impactant la liberté, se nourrissant d’incohérence car nous sommes au portes du bouleversement planétaire et que ce système va changer mais non par la voie de l’argent et des puissants.

Tout s’entrechoque et devient le déséquilibre de la folie. La crise démocratique est installée.

La confiance est rompue car nous voyons la liberté pleurer avant que nos larmes coulent.

Le peuple aurait dû s’arrêter à un acte qui brise toutes limites, la violence politique qui a provoqué le fait que des personnes ont été grièvement blessées lors de manifestations et dont des jeunes qui ne manifestaient même pas.

Cela nous prouve à quel point l’innocence est blessée, à quel point la justice véritable est en souffrance.

Il y a eu le grand débat d’Emmanuel Macron et à aucun moment , il sera une réconnaissance profonde des blessés. Au contraire, il est dit que les violences policières n’existent pas.

La rupture est bien avant les masques lors de la pandémie. La rupture est fondamentale, grave et profonde.

Il est au sens du verbe et de son emploi en manipulation pour dire aux gens ce qu’ils veulent entendre, pour prendre leur langage et leur donner l’impression qu’alors le politique réalise leurs choix, la volonté du peuple.

Il n’est plus le mot réformer mais fonder et cela était déjà dans le discours d’ Agnès Buzin présenté à son ministère le 9 septembre 2019.

Il était le pacte de la refondation des urgences, puis les mois d’après le discours change ses verbes pour s’approprier ceux des luttes.

Il était les verbes d’Agnès Buzyn en corrélation avec ceux d’Emmanuel Macron.

Il était de dire qu’il s’agissait d’un problème d’organisation et non uniquement d’argent et ce discours était également celui de Marlène Schiappa au sujet du Grenelle des violences conjugales. Des organisations féministes exigeaient un milliard pour la cause des violences faites aux femmes en France .

Puis Emmanuel Macron répondait récemment aux soignants qu’il n’avait jamais fait de promesses et que lorsqu’il faisait des promesses, il les tenaient. C’est pour cela que demeurent de nombreux sans-abris et des enfants à la rue et que seront des expulsions locatives de plus en plus alarmantes tout en laissant une politique du logement à sa catastrophe et cela depuis des décennies.

Qu’il est des femmes enceintes sans toit et qui se retrouvent à la rue avec un nouveau né.

Nous devrions nous arrêter au lieu de reprendre les phrases d’Emmanuel Macron, ses déclarations et révélations qui n’en sont pas.

Pendant ce temps, file le vent capitaliste. Pendant que la scène du théâtre est occupée et que les critiques font les discours, la misère avance inéluctablement.

L’enfant à la rue n’ entendra pas les mots de polémiques et il ne verra que le déni de tous, que la souffrance être et ses rêves avoir faim de liberté.

Les mères ayant peur de perdre le peu qu’elles ont et s’armant de force, de sourires à la vie, de paix et de joies pour parcourir sans tomber les chemins rudes d’une société qui masquent tout espoir, ne seront qu’à dépasser chaque jour ce qui brise pendant que les polémiques liées aux mots, d’Emmanuel Macron occuperont les débats .

Ça fait longtemps que le système que représente Emmanuel Macron ruine des vies.

Il impose de se contenter du peu quand la liberté permet l’immensité. Il impose la crainte quand la liberté promet la sécurité de l’être.

Regardons la nature en dehors du bruit de nos systèmes inventés. Regardons la vérité que la nature nous prouve. Elle est à la tranquillité, à ce qui ressource, apaise; elle est abondance de vie.

De quoi avons-nous peur pour quitter le fonctionnement arbitraire de nos cités intelligentes ?

Nous n’avons peur que de ce que le mental de prédateurs nous as imposé et c’est pour cela que l’union, la fraternité, ce Nous Tous Ensemble est libérateur, car formant la masse, formant ce qui avance sans peur, car se soutenir mutuellement est cet impératif pour ouvrir les portes de nos pensées vers la liberté.

N’écoutons plus les phrases de ceux qui blessent car l’emprise demeure, construisons simplement un havre de paix leur faisant face.

L’argent est le piège infernal, l’argent ce poison inventé, ce qui écroule, celui qui occupe toutes les pensées et pour qui chaque jour le peuple se lève dans cette théorie de gagner son pain.

Mais fabriqué le pain n’est pas à la sueur du mensonge, d’un esclavage moderne, d’une destruction lente ; il est à la fertilité.

Il est de rechercher ce qui fertilise, ce qui soutient, ce qui partage pour gagner chaque jour son pain car cela signifie transmettre au nouveau jour qui vient et non l’épuiser.

Pour que le pain soit, il faut protéger et non dominer dans le but de s’enrichir par ce qui prive la nature, par ce qui prive le plus fragile.

Il sera un travail de planter pour nourrir et partager plus que d’aller dans un bureau pour permette à l’argent de circuler.

Générer des embouteillages pour produire de l’argent est une folie suicidaire et les populations sont contraintes à cet enfermement.

C’est pour cela qu’il faudra un consentement pour devenir libre et refuser tous ensemble de faire perdurer ce qui détruit.

Concevoir ensemble en paix, une fraternité solide pour donner à notre humanité la chance de la liberté.

Ce qui est utopique devient une évidence quand les chaînes sont à maintenir notre avenir et donc nos enfants.

C’est pour eux que nous devont construire le possible et anéantir l’argent.

Le plus grand défi de notre humanité et une chance extraordinaire de bâtir une humanité réconciliée vivant en osmose avec la nature.

Un bouleversement planétaire qui exige une réconciliation au delà de tout ce que nous avons pu concevoir.

Nous fabriquons des armes en masse tant l’autre est symbole d’être l’ennemi. Nous fabriquons ce que nous concevons, la guerre.

Ne prenons pas l’évidence pour avenir car il serait d’utiliser ses armes. Elles ne sont pas construites en vain et la volonté de constituer une armée européenne non plus.

Ne préparons pas l’évidence mais l’utopie de vivre libre.

La naissance est cette spontanéité qui offre le bonheur, la Terre ne crée que cette promesse d’avenir.

La pollution la met en souffrance et celle-ci est la notre. Le possible est notre simple alliance avec notre Terre mère et les peuples autochtones nous traduisent sa parole.

Les protecteurs de la nature qui luttent pour ne pas disparaître car le système capitaliste les rend de plus en plus fragiles et que la reconnaissance pleine et entière de leur liberté et territoires n’est pas, car quand un peuple est menacé par un pouvoir politique en hydre par la puissance de l’argent, ce sont tous les peuples qui sont menacés. Et, nous constatons nos propres impossibilités à nous libérer.

Le chef Raoni, protecteur de l’Amazonie, a ce geste symbolique du sable qui file entre ses mains et qui représente ce que deviendront nos sociétés donc notre mémoire.

L’écriture sur le support virtuel appartient à l’éphémère, à l’outil et il peut disparaître en une seconde pour ne devenir que du sable.

La loi Cyberhaine, c’est cela; transformer un contenu en sable et le condamner à être l’infini sable.

C’est l’encre qui disparaît du papier, c’est ce qui ne marque plus, ce qui n’imprègne plus. Ce qui condamne par l’argent en dominateur.

Nous sommes aux milliers de milliards, à cette production tenace de ce qui n’existe pas et qui peut tout rendre à l’infini sable.

Notre mémoire effacée, ce sera le drame de notre société éphémère du progrès.

Nous croyons atteindre la plus importante connaissance de toute notre histoire en très peu de temps et elle peut être anéantie en quelques secondes pour ne devenir que du sable.

Elle ne reflète pas la liberté, ce qui permet de fertiliser et d’être véritablement.

Les promesses de la science ne seront que pour celles qui sont engagées dans la préservation de notre environnement, dans la prudence du progrès, et de ne pas porter son orgueil à tout vouloir dominer et à modifier la vie.

Nous avons une chance extraordinaire présente de faire de notre humanité une joie, une paix. Il suffit de sacrifier ce qui fera de notre mémoire du sable.

À chaque jour sa joie de vivre, ce merveilleux d’aimer . Tout est en nous pour réaliser la liberté

© Fédora Hélène

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