
Le 6 juin dernier vivait des commémorations du D-day sous les contraintes des mesures sanitaires.


Les discours politiques rappelaient la résistance, les combattants et leur courage pour défendre la liberté.
La liberté, donner sa vie pour elle, puisqu’elle est la vie et que sans elle est une mort de tout.
En Normandie, il est présent ce D-day qui le 6 juin 44 effondre des milliers de vie et où jaillit l’espérance dans l’infernal chaos et de tout ce qui reste incompréhensible. Ce 6 juin 44, une naissance, un enfant pousse son premier cri et ces jeunes de moins de 20 ans succombent laissant leur mère orpheline du trésor de leur vie, leur enfant.

Notre civilisation a cet étrange combat de la souffrance et l’amour qui du désert, des chemins adruptes d’Afghanistan, des plaines de Palestine, du rouge de leur sable à la terre mêlée et nos dunes d’or du miel de la paix à la légère bise ou s’envole ces grains de paix. Tout nous unit.
Fragile à l’air que nous respirons tous, ce même air qui envahit nos respirations et s’évade l’imagination d’un nouveau monde que nous pourrions créer.
Dans le ciel plus une trace des bombes et des éclairs rouges en ligne de feu des combattants à terre.
Une immense paix veut résister à toute haine et règne depuis ces 76 ans les drapeaux flottants côte à côte avant que la mer se déchaîne à nouveau.
Guerre économique, famines, pauvreté, enfants en centre de retention, «j’étais venu chercher la liberté, on m’a emprisonné » , alors les larmes coulent de nouveau en France .

Mon enfant ne pleure pas derrière les barreaux et les larmes se versent en nouvelle pluie de nos drames humains.
Emmanuel Macron veut un avenir décarboné, il faudrait qu’avant il connaisse les vertes prairies où s’enfuit toutes les pauvretés pensant y récolter le droit de vivre.

L’argent, cette angoisse qui brise les sommeils et la faim se revêt du froid dans nos rues de France où des enfants rêvent sur les trottoirs qu’ils voudraient croire en jardin.
Économie, Emmanuel Macron vient de trahir sa promesse d’un monde nouveau et il fabrique le capitalisme vert qui détruira plus qu’aujourd’hui car il lui faudra des millions pour se réaliser et fonder ses villes prisons ou l’humain sera un objet connecté, ou la technologie invente l’herbe aux synthétiques de ce qui résiste à l’air pollué.

Le capitalisme vert créera une pollution accélérée et détruira avec une puissance énergétique qui ne pourra pas ce concevoir sans une augmentation du nucléaire.
Silence on arme la campagne d’Amnesty International alertait et silence.
Les armes nucléaires et intelligentes sont aux privilèges de l’économie pendant que les fausses promesses d’écologie se prononcent.
Il y a des écologies et la seule réelle, je crois, est celle qui donnera à l’homme la chance de vivre en osmose avec sa Terre mère.
Le capitalisme vert est le superficiel et les forêts seront toujours à être exploitées puisque les marchands resteront les dominants.
Résister et lire dans la lueur paisible des couleurs du ciel nos demains abondants de générosité, de paix et de vie.
Le confinement a été contraint et non un arrêt de l’économie voulu, consenti pour refonder. Les gens n’ont pas cessé de consommer et ont fini en déconfinement à déposer leur poubelle sur les pelouses des villes. Le confinement a vu une augmentation des déchetteries sauvages et nos plastiques émigrent toujours dans les pays pauvres, dans nos océans, sans compter la somme de nos masques et produits désinfectants filant dans les cours d’eau.
L’homme serait l’incertitude du monde, le duel face à la vie, celui qui a la capacité de tuer plus que de survivre.
Bruno le Maire disait que la compétitivité industrielle était « Féroce » et la France entre dans la danse. Emmanuel Macron est dans sa dualité en favorisant une économie destructrice, en maintenant la puissance de l’argent et l’élévant et parlant de l’écologie.

Macron est dans cette frénésie qui tourne, tourne dans le labyrinthe des pouvoirs, des raisons d’État et du fait du prince par l’ancestral des systèmes politiques.
La liberté d’expression se restreint et le monde politique en lobbies ne supporte pas d’être contrarié.
Le FMI lance l’idée, le débat de taxer l’épargne privée de chacun d’entre nous pour rembourser la dette et relancer l’économie qui n’a jamais péri par la pandémie et qui était déjà aux conséquences du bouleversement. Les épidémies évitables se vivant dans les pays en voie de développement sont toujours à tuer des vies. Le choléra, la rougeole, les fièvres et les milliards ne fondent pas des politiques de Santé fortes pour guérir et poser la pierre de la paix faisant cesser les conflits, famines, épidémies.
Plus de 3, 5 milliards de personnes n’ont pas accès à l’eau potable dans le monde.
Près de 65 millions de réfugiés à travers le monde fuient la misère.
L’argent inventé tue, la première des écologies sera l’effondrement des économies meurtrières.
Il faudrait construire des partages locaux et échanges internationaux dans le respect de l’humain et favorisant les communautés vulnérables.
L’alimentation pourrait connaître un grave déclin et nous pouvons déjà observer une perte de qualité et une augmentation dramatique des prix, ce qui affaiblit les plus vulnérables.
Emmanuel Macron n’a pas la force de s’attaquer à ce qui détruit et il ne l’aura jamais. La population devrait arrêter de sur-consommer, de prendre des crédits et de faire circuler dangereusement l’argent en le menant à un sommet toujours plus culminant, car sa chute pourrait être de cette hauteur .
La faim sera certainement une problématique qui touchera nos sociétés riches.
Le blé malade risque de ne plus produire et l’utilisation des pesticides, et hormones pour maintenir sa production pèsent sur notre santé et l’énergie de la Terre. S’il vient à saturation, il ne produira plus.

Importation et CETA
Sans oublier les décennies de pesticides utilisés en Europe dont des particules sont toujours présentes
Les fermes aux élevages intensifs sont cette folie suicidaire. Ce qui maltraite récolte la sécheresse.
Plus nous irons vers l’argent, plus nous retarderons une naissance.
La Normandie a retrouvé sa sérénité, le soleil, et la mer en lac. Il nous suffit de regarder ce qui donne vie. C’est sous nos yeux et dans nos cœurs. Écoutons le et voyons le monde avec la teinte du ciel se reflétant dans l’eau ; à l’universalité, le ciel et la terre ne font qu’un aux veines d’eau.
© Fédora Hélène


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