Le drame des violences faites aux femmes
Dès vendredi , des manisfetants-es sortent dans les rues de Varsovie et autres villes de Pologne pour protester contre la volonté du parti au pouvoir, le PiS – Parti Droit et justice – de rénoncer aux engagements pour la lutte contre les violences faites aux femmes et définis par la Convention d’Istanbul , selon une info Le Monde.
Sortir du traité européen , c’est ce que déclare samedi 25 juillet, le ministre polonais de la justice, Zbigniew Ziobro.
Ce traité européen est pour que soit une humanité réunie vivant en paix et harmonie, car sur l’égalité Femmes-Hommes et non sur une conception de dominants faisant que la moitié de l’humanité subit une violence extrême car elle est une femme.
Selon Le Monde , lors d’une conférence de presse, le ministre a déclaré à propos de la Convention d’Istanbul, que ce traité « Contient des éléments de nature idéologique, que nous considérons comme nuisibles »
Il est fait part également de ne pas enseigner l’égalité Femmes-Hommes à l’école et par cela de maintenir une culture catholique conservatrice.
Dans son article de ce jour, Justice et politque – Ce viol qui tue, toute une culture – LiberTerra évoquait le viol des droits de la femme et de notre responsabilité à tous de soutenir les femmes et les enfants subissant à travers le monde une oppression, une haine , une violence continuelle que subissent tous ceux que la haine atteint sous prétexte d’un conservatisme, d’un extrémiste voulant s’imposer à tous.
Les homosexuels vivent cette autorité arbitraire qui leur interdit d’être libres, le 21 ème siècle ne peut s’ouvrir sur un perpétuel de négation de l’autre, de pensées fausses s’imposant en dogme et condamnant sans rupture avec les siècles passés des femmes et des hommes qui ne correspondent pas à une norme arbitraire établie en règle de pouvoir et de justice par une volonté politque.
Le féminisme doit être cet humanisme qui lutte pour la liberté et celle-ci ne peut exclure une et un seul d’entre nous.
La Convention d’Istanbul n’est toujours pas respectée et cela à un prix, la violence et la haine en tapis rouge d’un pouvoir politique, du pouvoir d’une justice qui pense se perdre si elle venait à rompre avec le partriarcat qui est ce système de domination, d’impératif de la peur pour conserver un statut de règne sur une population.
Le non-respect de la Convention d’Istanbul , c’est donner une souffrance intense à un enfant en lui disant que la violence est légitime, normale quand elle s’attaque à ceux qu’elle met en situation de vulnérabilité, des enfants, des femmes et des mères violentées sous les yeux de leurs enfants par un « père » qui n’en est plus un, qui n’en sera jamais un quand il commet des actes cruels. Le mariage doit-être une valeur d’amour , pas une valeur d’esclavage, une valeur despotique.
Il est des politiques qui se revendiquent d’une notion du mariage en valeur d’appartenir, d’être mis en infériorité , d’abandonner sa liberté, en valeur légale des maltraitances, en loi prônant l’obscurantisme , les mariages forcés et ceux emprisonnant la vie d’une femme , la mettant en situation de précarité, sans aucun droit comme le vivent les femmes « mères au foyer » en France, notamment. Pour fuir un prédateur, elles ne disposent d’ aucun moyen pour se défendre, pour trouver un logement et se retrouvent souvent dans la rue, en foyer, en squat ou hébergées dans des conditions difficiles. Le patriarcat doit prendre fin et toutes les femmes quelque soit leur situation doivent être respectées, doivent recevoir des droits concrets leur permettant de vivre en paix et sécurité.
Les violences domestiques dénoncées dans la Convention d’istanbul, ne peuvent être conçues comme légales, la seule chose qui le serait alors, c’est la cruauté.
Renoncer à la libeté, est-ce le vœu des peuples pour s’engager dans ce 21 ème siècle qui s’ouvre sur un bouleversement planétaire ?
Il faudra dépasser tous les pouvoirs pour que naisse l’espérance de la liberté.
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©Fédora Hélène

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