Justice pour toutes les victimes et non la roulette russe.
Le viol est un crime et la perversité de la loi doit cesser pour que les droits fondamentaux universels soient respecter. Que les engagements de L’ONU : ZÉRO violence faite aux femmes puissent exister.
Nous sommes au 21 ème siècle et il est toujours des prédateurs jamais face à leur grave responsabilité. Quelle conscience est dans ce pays, la France ?
Combien de plaintes en souffrance, de prédateurs avec des obligations de soins qui ne fonctionnent pas.
Quand un homme viole un être humain, il commet un acte de torture, un crime et ce n’est pas une leçon de morale faite à un prédateur où d’hypothétiques palabrées sous fond de psychologie qui vont être le respect des victimes.
La justice doit être claire et limpide, elle doit respecter au plus haut point les victimes, la Convention d’Istanbul. Il devrait être anéantie l’interprétation des lois conçues par une grande bourgeoisie qui en réalité se protège et ce dès la conception de la loi.
On n’arrêtait pas le mari violent, le mari bourreau qui représentait un pouvoir, une notoriété, imposait à la population et décidait des lois !
Est-il la volonté d’une justice portant ceux et celles vulnérables ?
La justice n’a pas besoin de moyens, Dupond-Moretti, elle a besoin d’être fondée, d’être existante pour protéger et secourir les victimes.
Comment une victime est ainsi humiliée, niée après des années à avoir alerté, à avoir toujours eu la force de témoigner ?
La justice attend quoi ? Qu’une victime meurt de souffrance, qu’un prédateur tue pour appliquer ce qui est ?
Le viol est un crime. Imposer une angoisse de mort à une femme qui porte la vie, mettre sa vie en danger et celle de l’enfant, c’est monstrueux !
Un homme commettant une telle violence ne peut pas rester tranquille sans avoir à être face à ses actes cruels et criminels .
Une mémoire brisée. La victime ne peut plus se souvenir du plus sacré de sa vie, sa maternité sans se heurter à sa mémoire traumatique.
Ce prédateur tue et il parade dans sa démence psychopathique continuant sa violence par les conséquences graves des crimes qu’il a commis.
L’ONU alerte sur les violences faites aux femmes qui sont en augmentation de façon inquiétante depuis la pandémie de Covid-19.
Les victimes subissent la crise sanitaire et économique de plein fouet et des violences inouïes, cruelles, une indifférence de la justice comme si leur humanité n’existait pas, c’est insupportable, inhumain.
L’ONU rappelle que la pandémie de Covid-19 ne doit pas être une excuse prise par les gouvernements pour abondonner les victimes.
Les moyens de la justice, c’est une profonde humanité, une volonté forte de protéger les victimes. Il faut le verbe Aimer au cœur de la justice.
Ce qui rend impossible est un système où le dominant est un prédateur.
Est une loi dans le but premier de posséder un pouvoir et non de respecter l’humain et donc notre humanité. La loi est manipulée en ce sens nocif pour tous. Le sens véritable de la loi est de servir la justice partout pour qu’aucune victime ne soit oubliée, pour qu’aucune victime demeure en souffrance, pour que l’innocence ne soit jamais condamnée.
Un pauvre est envoyé en prison pour un paquet de pâtes volé par faim et un psychopathe qui viole une femme enceinte est dans une grave impunité.
L’injustice est criante et une souffrance intense que porte les victimes.
La CEDH alertait également concernant les dysfonctionnements de la justice française à l’égard des victimes de violences conjugales, sexuelles et sexistes.
C’est chacun de nous qui doit être en conscience pour que les respects des droits fondamentaux universels soient respectés.
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© Fédora Hélène






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