France - 69 ème féminicides - Karine 51 ans Samedi 26 septembre - Tuée par son ex-compagnon (Féminicides par compagnon ou ex. Nous Toutes) Au petit chagrin Sois bien sage Éteins la lumière Il viole une femme Accoudé au bar Ses mensonges Au fond du gosier Ils trinquent Avocats, politiques, RG Paris sans aller Retour pour l'enfer Il nique la vie Attablé à parler À ses héritières en faillite La bière pour le rincer Sordide Il oublie ceux Qu'il a martyrisé Charmant des taulières Le rire sale qui se moque D'enfants victimes Les lâches au bistrot Écoutent le bouffon Réciter ses verres De la prose Il viole une femme J'vais réciter vos noms Bande de rats tout chavire Conversant l'histoire Avec un violeur Circonstantes On crache sur une mère Justice Vieille dame macabre Laisse-moi te dire Va jouer dans ta cour Tu abandonnes les innocents Lapider mon corps J'tire les cartes Rien à foutre De v'tre bouffe On prie pas Le même soir J'mange pas En lettre finale Aux mensonges D'un prédateur Un jour de plus Il ruine la vie Lâche, Père cruel Mari violeur Tu vas compter Les secondes J'mange pas V'tre Terre N'est pas la mienne Chanter l'amour C'est y mourir Garde tes prédateurs Culture du viol Justice Elle n'existe pas Expresion libre Les victimes Lancent la rime Ferme tes yeux Lis pas Si le ton te dérange Refrain de ces putains De cités d'argent Économie Les pauvres pleurent Toi , tu sors ta CB Pour bander au bar Prédateurs En frères jumeaux L'heure a sonné Ils ont brisé Une mère Sur le plancher Des violences On va pas faire De poésie Parler des larmes De cristal Qui éclatent au sol Filer les perles Autour du cou Elle étouffe Liberté Montre-toi Dans ce pays verbalisé Police partout Justice nulle part Victor Hugo sort D' ta tombe Le monde perdu Ils s'en branlent font du fric Quitter Les pieds sur La Terre ferme S'envoler vers Ô ma mère Fallait pas Me mettre au monde Sur cette Terre Les hommes en poison Ce prédateur en initiale P.H.P Psychopathe à l'horizon T'aime faire du mal Le film va commencer Pervers sans limite Il balance l'humain Comme une balle Sur les murs des porcs Fini ton verre Laquelle tire au sort De tes saloperies Que tu mets sur le tapis Tu jouais aux p'tits chevaux Des mafieux, ripoux Bidon en gourde d'alcool Saute sur les g'noux Du diable 123 soleil Efface la marelle La pierre au cœur Joue le hasard Aux mains d'un violeur Prédateur à ses soirs Broie la peur L'angoisse Jeune en souffrance C'père jamais las De faire du mal La p'tite pleure Entre les murs J'rêvais à ce soir Où il rentrerait pas Chiards, pute, araignée Salope Voilà ses mots sacrés Une femme qu'il viole Que dis-tu aux reines De toulouse en Normandie Les mêmes vermines À courtiser l'horreur De leur monstre Terrorisant des enfants Celle t'appelant le chat Fait ses dents Sur une victime Prédateur Son regard de haine Rouge d'appétit de violences À table ! Ta proie Est prête Manipulateur aux politiques Cet étrange des systèmes Qui brillent à l'ombre De ce qui détruit Rien à foutre J'mange pas D' vos nourritures Faudra payer l'addition Ouvrir la tombe D'une victime J'mange plus Prédateur à l'horizon Violeur à ses occupations Lâche, merde de père Tu vas compter Les secondes J'mange pas V'tre Terre N'est pas la mienne Chanter l'amour C'est y mourir Mesurer la souffrance Préparez vos doigts Pour compter la misère Depuis longtemps Ils sont plus frères Décideurs, politiques À vos chaises Regardez le spectacle L'arc-en-ciel cassé Pandémie Capitalisme Agenouillés Vous ne savez que consommer À coup de milliards Tu dors la nuit Avec ton pouvoir Somnifère Endormir ta conscience T'as quitté tes frères Jamais triste Tu passes à la télé Parler solidarité Dans ton palais doré Toi l'isolé Ton monde En circuit coupé La lumière N'a plus d'éclairs Sème la violence De leurs abandons T'as oublié ton frère Les lauriers Ne te rendront pas L'union Ta main dans la sienne Chante en bla bla Dans les médias Fraternité Tu joues et perdu Avant le lever du jour Les océans te crient C'est fini Prédateurs, c'est leur monde Un violeur accoudé au bar Manipule, se marre Le dernier coup Il rentre violer Une femme Tombent, les volets fermés La peine court éternelle Sur les veines Prédateur Tu portes jusqu'à La fin des temps Une goutte de sang T'as violé une femme Sur tes mains, le sillage Le sablier tombe toujours Recommence Elle est enceinte Fais pas de bruit Elle se meurt Comprends la rime Ce soir, le rêve De libération Justice 123 La marelle s'efface La craie aux lèvres Se teinte le courage Des témoignages Tu reliras En loi T'as oublié l'humain On ne mesure pas la souffrance On se bat pour survivre T'as oublié l'humain Système destructeur T'as coupé les fleurs En colombe Les ailes à Terre Qu'offres-tu aux enfants Capitalisme Autre chose que Le tic tac du dernier espoir Prédateurs en loi Voilà nos cités Se couche la note Sur le papier Du béton de vos saints Dollars, d'euros d'or Virtualité des émotions L'IA trace le destin On est des numéros Quelle date de naissance Sur ton auréole Big Data Allez, on va s'en aller Vendre notre dignité Prédateur, violeur T'as trouvé ton époque Coulée au bronze De tes mensonges Tu te fais l'obstacle S'en va la vie File toi un code Vérouille ton impunité Cruel à ton habitude Le chagrin étire Le drap blanc Qui à l'été Séchait ses larmes Au jardin où vit Toujours l'enfance Avant toi Prédateur La vie chantait ses rêves Te voilà le criminel De ce que tu as tué La vie, le beau Les pardons aussi Dans les ruelles Il reste un peu De celle Au bout de tes ivresses Que t'a violée Rappelle-toi Noël Les anges ont fini Leur appel Ton nom est oublié À l'autel Elle était là Voilà La cathédrâle a brûlé Tu vois Les vitraux ont fondu La prière au mileu des couleurs Se sauvent les cœurs L'amour blessé Voilà Ce que tu as fait Violer une femme Il n'y a plus de rois Tu jouais les sauveurs Manipulateur faible Ta haine un couteau à la main Tu menaçais ta proie Tes délires dans le noir À balancer la belle Par Terre N'oublie pas Qui tu es Tes actes criminels À chaque seconde Te hante ton indifférence Psychopathe sans cœur Ta mère ne s'inquiète plus Des enfants qu'elle n'a jamais sauvé Pour soutenir sa progéniture Du néant , t'as le plan du chemin Bon vent en enfer Dans les ruelles Il reste un peu De celle Au bout de tes ivresses Que t'a violée Rappelle-toi Noël Les anges ont fini L' appel Ton nom est oublié ©Fédora hélène

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