Masque de poussière en leurre
La cruauté du confinement doit cesser au-delà d’un refus de soutien du Sénat à Macron et son équipe au Castex en tête, par un vote symbolique.
Ce confinement casse l’humain pour être au service d’un mondialisme destructeur
Confinement et traumatismes
La pauvreté est ce confinement de la liberté qui est et sera nos demains par ce mondialisme façonné par le dieu argent aux ordres de gouvernements en lobbies et guerres.
Un régime dictorial dans notre société qui enferme l’humain dans des structures mentales établies en certitude par des êtres humains s’auto-déclarant maître de ceux-ci par un diplôme universitaire de psychologie et psychiatrie qui en rien ne peut affirmer évaluer l’immensité de la vie, des émotions humaines que les politiques en sachant que chaque être humain est différent.
La justice défaillante jusqu’à devenir inexistante tente de cacher son abandon de la justice en donnant toute puissance à des schémas dits « psychologiques » emprisonnant l’humain dans un labyrinthe médicamenteux quand le traumatisme profond est entre les mains de la psychiatrie dans des hôpitaux-prisons où l’inocccent en souffrance est condamné sans jugement équitable.
Des audiences non préparées, des avocats qui pour la grande majorité verront le patient cinq minutes avant, des familles souvent absentes ou pas entendues et commence l’infernal destructeur de nos sociétés.
Des médicaments impactant le cerveau, en drogue autorisée, un pays sous anti-depresseur, une population dévalorisée, cloîtrée dans la peur et ses frustrations, mis en système de non-confiance en soi à qui la pouvoir dit qu’elle doit être mise dans le droit chemin en se servant de la culpabilité permanente.
« Jupiter rend fou ceux qu’il veut perdre », selon une maxime latine et les pleurs de souffrances se font entendre, résonnent entre les murs, se fracassent et reviennent en écho faisant l’onde du chaos.
Une course dans le vide, au milieu du précipice, tous en ordre rangé, masque au pas de leurs incessants embouteillages à la même heure toute leur vie, ils travaillent à alimenter un système suicidaire sorti de l’esprit de quelques puissants qui placent leurs pions sur l’immense échiquier de la société.
Il n’est plus les senteurs de la liberté, d’une fleur libre sur le bord du chemin, des forêts à l’ombre naturelle sans le défaut pervers de nos cités qui plongent l’ombre contre la lumière et crie la violence sans fin cruelle et tuant nos vies volées.
Sortir du système, il vaudrait du courage mais ils se droguent aux somnifères par peur de regarder leurs larmes, par oubli de ce qui est humain, il est normal d’avoir du chagrin comme des hommes brisent l’amour et les médicaments ne sont que les chaînes donnant la puissance à ceux qui continuent à détruire profitant du silence des victimes qui s’endorment dans cette éternité de soumission.
Les masques de poussière
Une pandémie et des masques en leurre tant il est une pollution exponentielle qui envahit notre espace.
Si nous parlons de protection, nous oublions ne serait-ce que les chaussures qui transportent joyeusement sur nos sols d’or et de marbre tout ce que la pollution véhicule dans nos villes.
Faire enlever les chaussures aux enfants en classe comme cela se fait dans les zones de montagne où l’hiver la neige compte en goutte à goutte sur les sols des classes en poésie du bonhomme de neige.
Imposer le masque aux enfants qui passent pour certains près de 12 heures en milieu scolaire de la garderie du matin à celle du soir ne peut être un respect de la santé psychologique et physique des enfants, de leur développement et des conséquences qui pourraient être par la mémoire de ce fait subi.
La culpabilisation et la punition pour vouloir l’ôter qui pourraient être imposées aux enfants ne seront qu’un acte de maltraitance.
Une école appelée à devenir une garderie où le règlement strict et invasif primera sur une instruction qui est déjà en faillite.
On forme à un endoctrinement, la liberté se perd dans la numérisation à outrance, brisant l’art, la littérature, l’histoire, les connaissances porteuses de liberté, de poésie en langage de notre humanité.
Un renforcement des mesures sanitaires qui ne respecte pas le bien-être qui est un droit humain fondamental qui doit être d’autant plus respecté quand il s’adresse aux enfants.
Une population éteinte
Puis, on dit lutter contre la pollution et on doit respirer en permanence les produits chimiques qui sont sur certains masques dont il était affirmer au départ qu’ils ne protégeaient en rien.
En sachant que les médecins expliquent que le virus peut se transmettre principalement par les yeux.
En résultat final, on ne peut que déplorer une population en bons petits soldats n’ayant jamais défendus l’hôpital car au plus fort des manifestations des soignants, il était la présence de moins de 2 % de la population.
Aujourd’hui, on masque les enfants pour continuer à cette marche qui creuse le fossé en pensant dominer un bouleversement climatique que l’on ne fait que accroître.
La, liberté en peine supplie et supplier à sans cesse pour que chacun de nous sauvé son souffle.
Je respire et j’étouffe, le poids des mensonges destructeurs tuent les rêves et en survie ils persistent et chuchotent en notre cœur en voix douce du langage de la vérité : ceux qui détruisent les rêves seront toujours ces faux prophètes qui parlent d’amour, de solidarité, de fraternité et abandonnent ce serment aux conflits du sombre de leur esprit, trompent et volent ceux aux rêves de clarté ne tissant que le drapeau de la liberté.
Seul le respect profond des droits humains fondamentaux et universels nous protègerons d’une pandémie de souffrances qui envahit notre humanité.
© Fédora Hélène


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