Alors que le décompte est toujours en cours, que les résultats s’affirment très serrés, que Trump revendique en premier l’élection, semblant montrer qu’il n’acceptera pas une défaite et promettant de saisir la Cour suprême, l’État dominant de Floride se positionne en faveur de Trump.
Joe Biden voit l’Arizona lui être acquis, passant alors sous le nez de Trump.
Les 270 points pour être élu ne sont toujours pas atteints.
Les deux lignes, l’une bleue et l’autre rouge, marquant chacune un candidat s’affrontent en dernier ligne droite.
Une élection au cœur d’une crise majeure qui saisit les États-Unis et le monde sur les tous les plans majeurs de notre société.
Une guerre sur les réseaux persiste par la diffusion de posts et vidéos notamment par les mouvements extrémistes notamment ceux d’extrême droite complotiste très actifs sur les réseaux sociaux.
Il est le #StealTheVote actif sur les réseaux concernant la polémique lancée sur le fait que le vol de vote serait contre Trump.
Réseaux sociaux en alerte
Mark Zuckerberg a répondu à la lettre de Joe Biden, en colère, par rapport à la diffusion massive sur les réseaux sociaux de posts pouvant influencer les élections par des principes trompeurs, Facebook maintient donc une veille, un « contrôle » des publications en réduisant l’impact de celles-ci.
Des algorithmes bloquants, verouillants, brisants les diffusions politiques émanant de différentes courants pourraient être.
Une fois cela semble servir, le droit des citoyens, l’intégrité d’une élection présidentielle très importante et d’autres cela rappelle l’article de la journaliste anglaise, qui dans le Guardian comparait Facebook « hors de contrôle » comme étant une entreprise « totalitaire » selon elle, et donc la plateforme pourrait être « une menace pour la démocratie » souligne-t-elle. Puis exprimant que si Facebook était un pays, il serait alors la Corée du Nord.
Internet – Direction des émotions humaines – Publicitaires puissants – Les nouvelles donnes des élections
De lourds impacts, d’importantes manipulations sont aujourd’hui le jeu aussi des élections, des influences également extérieures, une déstabilisation qui s’inscrit dans le mouvement déséquilibré qui imprègne l’évolution, le futur de nos sociétés. Des systèmes politiques qui emploient la manipulation des émotions humaines, appuyant là où ça fait mal, pour maintenir une emprise, activant les traumatismes collectifs, qui au moment d’une crise majeure comme celle que nous vivons sont à leur sommet.
Un monde très instable, l’élection présidentielle américaine la plus attendue, et nos pays européens qui basculent dans la fragilité de la paix, dans une liberté qui se ressent affaiblie, une pauvreté marquée et des conflits complexes, douloureux comme le terrorisme qui frappe actuellement durant un moment crucial entre l’élection présidentielle américaine et une perte de puissance économique et politique qui pourrait marquer l’avenir de l’Europe.
© LiberTerra


Copyright © LiberTerra 2020 Tous droits réservés