Journée mondiale de l’enfant – Étoile Yémen

Étoile Yémen éclaire le sourire de la liberté pour le bonheur d’un enfant

L’infini sourire d’un enfant n’a pour limite que l’immensité du ciel bleu, ce bleu dont s’habille l’UNICEF.

Le sourire de la vie, celui qui finit en gouttes de peine sur nos fronts quand l’enfant blessé exprime son chagrin par la beauté de son innocence.

Notre monde a depuis le début de notre civilisation laissé le berceau recueillir la douleur de notre humanité pour l’éveiller en une étoile d’espérance. Cette lumière grandiose témoigne de nos cœurs vivants et épanouis au cœur de nos mémoires, de l’enfance intime et précieuse, cette part sacrée de notre vie, de liberté pure, constituant en une empreinte perpétuelle notre humanité traversant les siècles, les millénaires et bâtissant notre futur.

Soyons beaux, merveilleux de cette vie éclairant de son soleil nos sourires aux reflets bleutés de la vérité vivante et douce créant le regard d’un enfant.

©LiberTerra photo 2020

Il est cet enfant soldat, l’arme à la main, celle creusant l’abîme de ces hommes ayant oublié leur enfance, comme enterrer une partie d’eux-mêmes et fabriquant armes après armes dans la rage des conflits et des guerres. Emmanuel Macron reconnaissait en 2019 vendre des armes à l’Arabie Saoudite et déclare être assuré que celles-ci ne sont pas utilisées contre des civils. Mais une arme ne sert-elle pas à être contre un être humain ?

Étoile Yémen, de ton ciel bleu , tu vois ces canons pointés sur toi, effondrer la vie, et la faim cruelle ravage la vie d’enfants, de mères, de pères, d’une fleur aux pétales tombant à la chaleur de la sécheresse qui envahit la Terre. Fragile, elle se fait la preuve  de l’amour qui a soif, qui a soif de nous.

Pleure en une longue litanie, Étoile Yémen, moi qui ne vois ton ciel que dans l’âme de mon cœur. Je frôle ta terre , serre dans mes mains ton sable, marche le long du désert, nous sommes « Un, soeurs et frères » au même sang et une partie de moi est là bas.

Je vois ta souffrance, elle est là en mon regard. Mère , je vois tes enfants qui appellent chacun de nous . Étoile Yémen au sommet de notre monde éclaire nos espoirs, notre futur, le chemin que nous devons prendre. Que s’éteignent les guerres, l’argent, les richesses. Cesse le feu qui brûle la Terre  portant les fruits qui nourrissent nos corps affamés de liberté.

Si nous pouvions nous unir et avancer ensemble vers le silence des armes. La Terre calme, ne résonne pas du fracas des bombes, des industrie d’armements, des mondes qui s’échappent de notre humanité par l’envie de profit, d’être un grand pays par la récolte de l’argent qui tue la vie.

À quoi bon être riche dans un cimetière alors que le beau courrait libre dans les plaines jusqu’au plus haut sommet de nos montagnes, se réconciliant avec le ciel de nos espérances.

En une prière, je ne souffle la flamme de la lumière que tient la bougie allumée à la fenêtre de ma maison isolée dans une prairie où fleurit l’avenir. Je tente de lâcher un ballon bleu, d’ouvrir la porte aux millions de papillons aux ailes des anges qui sommeillent en nous, donnons à notre intelligence le pouvoir de semer l’amour.

©LiberTerra photo 2020

Je sais que la beauté de la vie se trouve au cœur du sourire d’un enfant, qu’on donne tout pour lui offrir le bonheur de la liberté, le bonheur de pouvoir réaliser ses rêves. Cela est l’immuable et la véritable empreinte de la vie.

Le malheur ce sont ces hommes violents qui font du mal à des enfants, à une mère. C’est à eux de porter ce visage qu’ils ont fait d’eux-mêmes, pas à la beauté de l’innocence. C’est à eux d’avoir honte, d’avoir peur de ce qu’ils sont , de ce qu’ils ont fait de leur vie. Les enfants, les victimes blessées luttent pour la paix et leur futur sera à cueillir cette chance, cette force, ce bonheur de vivre.

Une lueur, aujourd’hui. Laisse tomber l’argent dans l’escalier de la défaite. Homme de guerre fait toi ami de la paix, reviens chez toi t’asseoir auprès de nous, partager le feu qui évapore l’eau glacée des hivers de poussière au vacarme des puissants, des pouvoirs.

France lève-toi ! Viens rejoindre la poésie de ta langue, écouter le chant  de ta solidarité, viens applaudir le message heureux de liberté.

France laisse au coin des oublis les politiques infernales brassant la chute, l’injustice entre leurs mots et manipulations. Renais de tes cendres, fonde tout nouveau jour. Ôte les masques aux enfants et offre leur le sourire de ton visage.

France, viens danser autour d’un feu de joie allumé par les peuples unis. Crois en toi, au magnifique de tes paysages, de tes sources, de tes mers, reprends le bateau et pars conquérir le terreau de ta nouvelle Terre. Soit le joyau, toi qui porte dans ta langue la richesse des mots, des syllabes de nos langages universels qui flamboient à l’aube de la nouvelle civilisation, qui naît en ce jour de nos blessures, de nos peines.

Que notre humanité ne sacrifie que l’orage de la haine, abandonne l’économie et fasse acte de résistance pour bâtir la résilience. Libère l’amour qui est en toi, pour donner naissance à la liberté sur les frontons de nos murs, et s’effondrera la misère et non la vie, et demain.

Combattre le froid , la faim, il suffit d’ouvrir les portes. La loi est celle qui respecte l’enfant. Prendre la clé de tous les logements vides, des immeubles riches, investir les halls, les couloirs des palais, et qu’il ne soit qu’un cri , Liberté ! Les portes fermées se brisent !

Laisser couler les larmes et ne pas les effacer par le mensonge des médicaments en drogue et somnifères qui n’éteignent que l’éveil de la liberté.

Les enfants jouent dans les rues , suivent le vol d’un oiseau, et les plaques des psychiatres, des psychologues tombent une à une. Ils n’enregistrent plus dans leurs fichiers informatiques en ordre Big Data, le secret qu’ils emprisonnent de la douleur quand l’homme perd sa liberté, et ne lutte pas pour elle.

La résistance est dehors à battre le pavé, pas à être piégée par des politiques enregistrant, fichant chaque être humain, lui attribuant une norme, une identité numérique, lui infligeant l’ordre en emprisonnant toute la richesse incommensurable d’une vie en  un schéma mental inventé. Les émotions humaines en cage, les chagrins, les peines jugés et condamnés dans des algorithmes. Vendre tout de notre vie privée, de notre intimité, justifier de notre humanité, de la vérité des douleurs, dans des cabinets fermés d’armées de psychologues, psychanalystes et psychiatres qui depuis des années enregistrent en mécanique la souffrance humaine que créent le totalitarisme, un fascisme néo-libéral, un mondialisme capitaliste destructeur et suicidaire.

Jamais , ils ne donneront la liberté mais que son illusion. 

Quand les traumatismes hantent les rêves, sache que chacun de nous est précieux, que chaque vie est importante. Laisser couler les larmes, c’est l’amour qui pleure. Écoute le, et donne au monde la richesse de son vœu, le bonheur de la liberté.

Se donner la main, partager en confiance, marcher vers les cultures dorées au soleil de notre aventure, soyons curieux de notre futur façonné non par la peur, mais réconcilié par l’union des peuples, des femmes et des hommes.

Soyons cette Assemblée dans les rues, sur les places en dehors des murs, des sièges d’une République qui n’est pas au respect des droits humains.

©LiberTerra photo 2020

Sans peur construisons demain. Fermons les discours politiques qui entravent la sérénité pour n’écouter que le sourire d’un enfant, une chance, l’extraordinaire qui nous appelle, nous tous ensemble.

Nous pouvons, nous le devons, semer le nouveau jour.

Étoile Yémen brille plus haut, plus belle de jour en jour, il est temps d’aller vers elle . Le bleu du ciel, ne voir que l’immensité de nos possibilités .

Fermer les banques, anéantir les Bourses, n’éclairer que la perle réfugiée au fond des océans. Des exilés se noient , l’indifférence tue.

Un enfant sur une plage ne respire plus. Anime le vent pour donner à nos respirations le souffle , l’énergie de la vie , consolant les cris désespérés qui alertent de la famine qui menace toute notre humanité.

Fermer les industries chimiques, les lobbies pharmaceutiques, redonner une chance , notre chance de vivre.

Donnons-nous la force de dessiner les chaînes humanitaires et les nuages s’écarteront pour que le bleu du ciel reflète notre solidarité.

La police qui se fait ennemi, perd la confiance de toute une solidarité ne répondant qu’à l’écho de la désobéissance . Un pouvoir violent sera isolé , enfermé face aux mille non qui jailliront d’un peuple retrouvé.

Rassembler, unir loin des discours et manipulations politiques, de leur pouvoir qui ne faut pas une chandelle et se perd, s’éteint.

Ouvrir l’avenir au sourire d’un enfant pour accueillir nos demains.

Résister, ne plus reconnaître les institutions se parant d’injustice, nous tous ensemble, ne plus répondre à leurs ordres, à leurs administrations, jetons le fardeau de la corruption, des mensonges qui détruisent pour rien, ne nourrissant  que leur vide, assassinant ce qui est le sens véritable des promesses, la vie.

La révolution se fait par la force de l’amour. Secourons nos anciens, portons ceux malades, délivrons l’avenir de nos enfants des prisons matérialistes qui abandonnent, qui saccagent tout de nous, de ce que nous sommes réellement, la résilience au sein de notre Univers. L’ être humain est cette résistance du verbe aimer, son triomphe et nous mourrons quand nous le tuons.

Demain, je poserai mon corps endormi sur l’herbe fraîche. En paix, à la rosée du matin se couvrant de la nouvelle eau à l’onde cristalline prenant la lumière blanche des rayons de ma bougie. Elle n’a pas perdu la flamme et toujours à cette éternité de mon regard d’enfant, je ne t’ai pas oublié, Liberté .

Je ne voulais que l’amour en souhait, que le berceau de mon enfant.  Doucement, il grandit en un fleuve généreux lui offrant le miracle, une mère traversant les tempêtes, les naufrages et la violence s’efface .

Les hommes violents n’ont plus de nuit, plus de colère, ni de rage , ils ont épuisé au couteau des tourments leur âme. L’enfant sur qui ils ne voulaient verser que la suie de leur haine , brille tel cette Étoile Yémen.

La générosité forge l’empreinte. Nous sommes ce sceau de renaissance. Demain, ils diront en regardant dans le verre l’image de notre mémoire , quand nous serons partis et qu’il ne restera que cet arbre, cette fleur de nous, que nous avons aimé, combattu jusqu’à la dernière heure pour le sourire d’un enfant .

©Fédora hélène

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