Surveillance globale et totalitaire – Écoute – Aux chemins de liberté !

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Il était une contrée lointaine qu’on appelait Terre. Elle, merveilleuse, habillée de bleu et de vert, d’animaux extraordinaires, d’arbres gigantesques, de fleurs et d’invisible, tout d’elle s’appelait vie.

Puis les être humains y sont nés,  façonnés de son eau pour veines, de son sable pour corps, de son soleil pour cœur, il lui est un nom, humanité. Puis, il fut oublié au premier son de sa voix, de ce mot humain, une femme chassée de la fraternité, et de cet oubli coula l’immense chagrin.

Ces mots féminins qui signifient frère, humanité et qui aujourd’hui sont remis en cause par leur masculinité, lui-même au féminin.

Le français s’enferme dans sa langue et oublie la multitude des langues qui sont pour définir l’immensité de ce qu’est un être humain dont la signification est sans limite.

Ce sens que l’on essaie de trouver et le mot féminisme, qui lui est masculin,  exclut l’homme et l’interroge sur sa capacité d’être cruel.

Le féminin et le masculin ne trouvent leur équilibre que dans l’alliance et non dans une culture les opposant, dans une civilisation concevant à travers le monde le patriarcat et le viol comme une puissance de cruauté que l’homme s’accorde, conscient et responsable de son choix de faire de son corps une arme capable de tuer, de faire de son esprit celui capable de détruire la vie.

Il est alors pour nous sauver de ce chaos humain, la réconciliation. Nous pouvons imaginer de nouveaux mots pour fonder une nouvelle langue et reprendre le sel de l’eau, le sang de notre Terre mère pour façonner un autre humain. Ce serait alors dépasser notre propre humanité, rejeter son appartenance à notre Terre, son animalité, la transformer en notre imaginaire puissant, et la retranscrire dans une IA.

Celle qui au futur élaborera une mémoire, apprendra de son expérience, de son environnement et pourra être capable de créer son propre langage indépendamment d’une programmation humaine et devenir une autre identité émanant de notre humanité, contenant notre mémoire mais se séparant de nous.

Le monde de la robotique est encore au début et il tentera de progresser et d’introduire cette force dans notre société.

Le robot n’est ni homme noi femme, il est neutre, hors tout genre et toute biologie que nous considérons comme étant un handicap à nos possibilités et notre lien permanent à la mort que l’on ne peut maîtriser.

Nous ne pouvons pas créer la vie, la retenir, mais nous pouvons la transmettre, la modifier et la détruire.

L’homme peut inventer toutes les conceptions avancées d’IA, il ne créera jamais la vie par sa source première de liberté.

Il ne peut que l’enfermer pour la dominer , ce que font les politiques actuelles dans leur folie de pouvoir, pensant tout contrôler, tout assimiler pour leur seul plaisir et puissance.

La loi « Surveillance globale » n’est que l’officialisation de ce qui est déjà et qu’une phase de la restriction des libertés , du contrôle par le nouveau langage numérique que se sont appropriées les puissances politiques en premier comme outil de guerre et de conquête.

Par le bouleversement planétaire actuel et l’effondrement inévitable, des gouvernement tiennent à conserver leur pouvoir , leur maîtrise du peuple par une surveillance inédite usant des moyens technologique tels que les drones qui sont des armes intelligentes usant du concept mémoire de Big Data, et de ce qu’on nomme IA dont l’objectif est de rendre la « machine » indépendante de l’homme comme son prolongement par une énergie multipliée que l’on a conçu en le nucléaire.

Cette énergie est développée en recherche permanente vers sa capacité à être transportée donc miniaturisée de manière à la rendre efficace sur un concept de colonisation de l’espace.

Un espace pollué par nos outils technologiques qui transportent notre imaginaire au-delà de la terre.

Cette échelle est tellement immense dans cette envie de conquérir une autre planète que nous pouvons supposer que la Terre sert d’essai, d’évaluation grandeur nature des possibilités technologique avant de pouvoir les transposer sur une autre planète.

Les civils deviennent ce laboratoire d’expérimentation et il suffit de contrôler la liberté, de ne donner que son illusion pour que les populations s’y plient.

Le virus existant, n’est qu’une opportunité pour des gouvernements d’imposer leur dictature , leur avancée technologique non plus que dans l’espace militaire mais également civil.

Une révolte du peuple luttant contre la numérisation du langage humain, le contrôle de l’être humain par des humains s’identifiant en une entité supérieure viendrait nuire au déploiement technologique qui a été industrialisé et les drones, systèmes IA et Big data sont opérationnels. Les politiques ne peuvent imposer que ce qu’ils ont déjà conçu.

Mais , ils ne sont pas aussi puissants qu’ils veulent le paraître en utilisant la peur, la violence pour tenir leur petit monde et une certaine police devient leur alliée par la répression toujours par cette attirance du pouvoir, de domination des uns sur les autres en dualité permanente de l’humain contre lui-même.

Le moyen des politiques est le pouvoir inventé que nos sociétés ont donné à l’argent. Les peuples sont tenus par l’argent, le besoin d’argent et l’argent achète la liberté. On achète du temps de liberté par l’argent. La notion de travail est à réfléchir pour se libérer du sens de l’argent.

Le 1 er décembre les commerces vont ouvrir et il sera par une solidarité louable, pour ceux ayant les moyens de consommer, d’aller acheter chez les petits commerçants, mais le pouvoir lui ne verra que sa capacité à diriger des millions de citoyens par un claquement de doigt !

Après avoir imposé un confinement avec des mesures sanitaires autoritaires et absurdes jusqu’à impacter les enfants, mesures auxquelles nous obéissons par une contraite mentale, une emprise par la peur, par l’endoctrinement, nous allons de même obéir à un faux déconfinement qui nous invite à consommer en nous donnant l’illusion de la liberté car nous nous déplaçons chez le petit commerçant qui fait partie integrante du système comme nous tous.

D’ailleurs ce ne sont pas toutes les catégories de populations que l’économie a hiérarchisées qui ont les moyens de consommer en pleine faillite économique chez les petits commerçants aux prix souvent plus élevés puisque soumis au marché. D’ailleurs beaucoup de commerces appartiennent en réalité à des chaînes qui peuvent tout à fait du jour au lendemain fermer leurs magasins et ne fonctionner que par le e-commerce qui est par le déséquilibre grave que subit la nature, qui provoquera des épidémies successives, le futur du commerce.

Qui aujourd’hui veut prendre le risque d’ouvrir un commerce dans l’aléatoire d’une dictature économique que l’on nomme faussement sanitaire ?

Les pays dits riches ne sont que des terres de consommation destructrice et s’enterrant sans fin dans cette quête de l’argent et n’envisageant pas le moins du monde un autre concept. Dans ce dévastateur, une majorité continuera à consommer des marchandises dans l’indifférence de la pauvreté extrême que ce jeu économique met en place au péril de la vie.

La famine qui menace notre humanité est la pandémie redoutable qui nous fait face et qu’ aucun confinement, aucun masque ne réglera, mais seulement une prise de conscience forte et notre volonté de bâtir la résilience.

Mais qui peut  entreprendre mentalement d’ arrêter son commerce car il prendrait conscience de vendre des marchandises polluantes et nous précipitant vers le mouvement contraire à celui d’un avenir serein nous donnant la capacité de vivre, de faire perdurer notre humanité ? En exemple, les chaînes de textile font à chaque saison une nouvelle mode en amplifiant de cette manière la pollution, et pourtant tous les magasins sont dans l’obligation de faire rentrer la nouvelle collection.

Nous voyons ce que nous portons en pensant être libre de notre choix sans conscience que nous ne portons que notre propre auto-destruction à user des ressources de la Terre pour satisfaire en permanence par l’argent, le vide que fonde nos systèmes.

Nous pourrions mettre en place divers ateliers de création utilisant des matières saines mais cela se retrouverait confronté à la puissance des lobbies , au pouvoir de l’argent se faisant toujours le nerf de la guerre et non de la paix car il est corrompu, issu d’une raisonnement pervers qui entrave la liberté. L’argent propre, c’est comme le capitalisme vert, il n’existe pas et dans ce système par logique la justice n’existe pas.

La justice a été conçue par des politiques entravant la liberté. Elle n’est que leur reflet pervers et non la justice en son sens de liberté, de respect de la vie.

C’est un monde dans lequel triomphe le pouvoir de la manipulation, de l’argent, le pouvoir politique que nombreux puisent et où l’autre est l’ennemi et la victime ,la souffrance qui maintient l’idée de cette justice nécessaire alors qu’elle est très loin de respecter les Droits humains.

Ainsi un pauvre, un manifestant y sera condamné par l’injustice y règnant, tandis qu’un homme ayant fait le choix d’être cruel et l’injuste y trouvera un écho de sa perversité, de son narcissisme et naviguera avec plaisir, et esprit de domination à l’intérieur de ce système où l’innocence, est elle en souffrance, à en subir la peur et des traumatismes supplémentaires dont les victimes de violences sexuelles et conjugales en font la dramatique expérience.

Le prédateur est cet humain dépassant toutes limites et devenant la cruauté par choix, conscient et responsable, s’épanouissant dans un environnement favorable à sa volonté de prédation. Le système pourri de l’argent et le pouvoir politique ne pouvaient que séduire le pire et lui donner une légitimité.

La pauvreté est issue de l’acceptation de la curauté, de ce qui entrave la liberté, met l’être humain en situation d’esclavage par les fers de l’argent.

Plus l’argent sera à son sommet, plus l’effondrement sera violent, plus la pauvreté sera extrême et par logique la violence envers les plus vulnérables dans un système qui ne conçoit que la domination.

Une domination qui s’amplifie par la technologie et les lois de surveillance qui se mettent en place étape par étape, permettant bien évidemment de limiter au maximum toute révolte populaire.

Surveillance globale nous indique ce que signifie réellement pour Emmanuel Macron le mot « Tout ».

Nous sommes loin de la solidarité et proche de l’esprit de séparatisme, ceux qui séparent et jugent une autre séparation qui les défie.

Ce sont des rapports de force qui s’expriment par la violence. Et par définition tout ce qui tend à se séparer du pouvoir absolu, est l’ennemi de celui-ci.

À l’extrême , le terrorrisme , l’horreur de sa violence, permet d’imposer des lois se mettant en valeur de « bonne conscience » pour imposer des lois sécuritaires qui s’amplifient , élargissent leur champs d’action sans passer par la loi qui deviendre secondaire par le langage numérique, les algorithmes s’imposant et dominant une population qui finalement ne sera même plus informée des verrous mis en place et imposant une dictature.

Les entraves fermant la place symbolique des droits de l’homme à paris et nassant près de 70 journalistes, n’est en rien une nouveauté, et cette entrave s’exerce depuis plusieurs années sauf qu’elle s’amplifie et devient une réalité quotidienne impactant toutes les couches sociales alors qu’auparavant elles s’imposait uniquement aux populations vulnérables.

Mettre en pauvreté un être humain , lui faire subir le froid et la faim en le rendant coupable de cet état, est la cruauté dont notre système est capable. Dans cet environnement, il y a en France plus de 3 millions d’enfants pauvres, plus de 300 000 sans-abri , sans compter les personnes vivant dans un logement insalubre, précaire et ceux vivant dans la crainte permanente de perdre leur logement faute de moyens financiers. Comme il est de nombreux êtres humains en France et non plus que dans les pays considérés en voie de développement, des êtres humains qui se privent chaque jour de manger de façon équilibrée, qui sautent des repas faute de moyens financiers et qui sont en souffrance à chaque fois qu’ils font des courses alimentaires car ils sont alors confrontés à la restriction grave de leur liberté dans le silence de l’opulence, de la cupidité, des lobbies bancaires, alimentaires faisant de la nourriture vitale un produit marchand qui a valeur d’enrichissement.

C’est d’autant plus grave, que tous ceux se faisant dominants prennent les ressources de la Terre qui appartiennent à tous, pour les transformer en produit d’argent. Pour cela a été conçue l’agriculture intensive tout comme l’élevage intensif imposant la maltraitance animale. Cela a imposé une souffrance à la Terre et par son lien indéfectible avec notre humanité,  des êtres humains appauvris vivent sa souffrance.

On ne peut vouloir une société respectueuse de la vie en la bâtissant sur la Terre des larmes. C’est ce que fait le mondialiste capitaliste qui ne peut être que destructeur car il bâtit son empire sur la peine, par des armes cruelles forgeant la pauvreté, la cruauté, les maltraitances envers des femmes, des enfants, des populations pauvres et à la Terre elle-même. Nous ne pouvons nous défaire de notre alliance avec notre Terre et là est la terrible limite du numérique, de la robotisation intelligente car elle sépare de ce qui lui est également essentiel , la terre.

Mais, les concepteurs d’une telle destruction l’ont compris et ils cherchent à tout prix un asile sur une autre planète où il pourront établir en premier une robotique intelligente , avant que l’homme puisse penser y survivre. La Terre des robots est en marche par ces startups que des politiques veulent ériger en leur République par un pouvoir absolu.

Emmanuel Macron avance coûte que coûte et la prochaine étape de de sa « Surveillance globale » sera et est le changement de conception de la carte d’identité , du fichage numérique de chacun d’entre nous. Quand la loi apparaîtra dans une Assemblée, cela voudra dire que ce projet est en réalité déjà appliqué. Dans la valeur numérique utilisant une mémoire et une énergie artificielles, l’être humain, le peuple se trouve désarmé et ne peut pas lutter. Les manifestations tournent en boucle et mènent nulle part. Le peuple est dos au mur, luttant contre un mur tel que François Mitterrand l’avait compris.

Le peuple doit avoir la volonté de se détacher du pouvoir de l’argent et faire l’effort de consommer uniquement en répondant à ses besoins essentiels, en respectant le temps de la nature sans consommer des fruits et légumes hors saison, sans consommer quotidiennement de la viande gorgée de médicaments pour que les animaux maltraités dans des élevages intensifs survivent, sans acheter en permanence pour combler un vide, et qu’il décide d’arrêter d’utiliser son temps libre que l ‘économie lui accorde pour en réalité consommer. Et plus il est riche, plus il consomme et plus il a l’impression d’être libre !

Lutter pour la liberté, c’est reconnaître notre alliance avec la Terre, les éléments du vivant et non uniquement l’humain comme centre du monde, c’est vouloir être dans le partage et non l’achat, de bâtir par le verbe aimer et non posséder, et par cela anéantir la pauvreté et permettre à des enfants de ne plus être traumatisés, violentés par des hommes faisant eux alliance avec la cruauté du système imposé, qui fait leur environnement dominant et structurant leur perversité en droit fondamental.

Le seul droit fondamental est la vie et non un mouvement de mort, voulant tout entraîner dans sa propre terreur , dans ses mensonges narcissiques, qui pensent que la vie n’est que le témoin de la mort inévitable et que donc tout est néant, que l’amour n’existe pas. Nombreux de ceux concevant ce système civilisationnel ne peuvent vivre, ressentir, porter le verbe aimer et ils considèrent leur conception comme une certitude immuable ayant compris la finalité du monde, qui à leurs yeux est le non sens et que toute vie n’est que ce vide appelée à une mort fatale.

La guerre est l’expression de cette cruauté, et ruine tout sur son passage, ne forme que la désolation, la famine et le déséquilibre de notre terre. Un homme qui n’aime pas, ne pourra jamais faire perdurer la vie. Il la renie et ne cherche qu’à l’anéantir dans son absolue perte de sa propre humanité.

Il est aujourd’hui deux chemins face à nous et il est une chance extraordinaire de faire un choix et de prendre celui qui bâtira une nouvelle civilisation et non celui qui donnera à un mouvement destructeur en valeur exponentielle toute son ampleur. Le bouleversement demande une résilience conçue par ceux voulant porter la liberté et non par les faux prophètes l’entravant.

Nous vivons pour la première fois de notre humanité un bouleversement planétaire impliquant toute notre humanité avec la conscience de nos savoirs inégalés, l’ampleur de notre histoire que nous pouvons comprendre, découvrir de manière inégalée, d’une démographie jamais affrontée qui changera inévitablement les gouvernements tels que nous les connaissons. Toutes nos conceptions vont changer et dans l’organisation mondiale actuelle , la France deviendra une province de l’Europe.

En attendant, les événements émanant du bouleversement auquel nos sociétés ne sont absolument pas préparées , nous poursuivons un monde ancien par l’intensité de notre économie, de nos systèmes inventés qui sont devenus nos maîtres. Les milliardaires augmentent leur richesse et la pauvreté devient extrême. L’ONU s’inquiète de l’augmentation des violences que subissent les femmes et du fait qu’elles seront en première ligne à subir cette pauvreté avec leurs enfants.

Le gouvernement français ne semble pas saisir l’opportunité de fonder un monde meilleur et de donner le droit à la reconnaissance, à la résilience aux nombreuses femmes victimes de violences , ainsi qu’aux enfants les subissant, puisque au contraire les mères isolées souvent appauvries par les violences multiples dont sont capables les hommes ayant fait le choix de la cruauté, subissent une aggravation de la pauvreté et peinent pour pouvoir manger de manière normale et équilibrée. La majeure partie du temps, ces femmes se privent et font preuve de courage, d’abnégation pour garantir un bien être à leurs enfants. Ce système cruel dans lequel nous vivons fait subir à un être humain plusieurs violences et la pauvreté est une violence redoutable que génèrent les politiques. Ainsi, des hommes de pouvoir donnent droit à un prédateur de traumatiser , de martyriser des êtres humains puisqu’ils conçoivent eux-mêmes la violence qu’ils imposent à des millions d’êtres humains comme s’ils se considéraient hors humanité, dans un état de puissance inatteignable. 

Dans ce temps où le gouvernement prétend garantir la sécurité de la santé pour tous, nous constatons encore une fois un contresens, puisque la santé physique et psychologique des plus vulnérables ayant déjà subi de graves traumatismes sont abandonnés et ne doivent compter que sur eux-mêmes pour maintenir leur force, leur volonté d’avancer, de sourire au monde et de bâtir la résilience pour l’avenir de leurs enfants.

C’est ainsi qu’il est inhumain d’avoir procédé à des expulsions forcées, laissant sans refuge des personnes dont de nombreux enfants dans le désarrois, la peine,  l’épuisement et sans refuge en pleine pandémie de covid alors que ce même pouvoir revendique la présence d’un virus mortel pour imposer des mesures restreignant la liberté et imposant un confinement de celle-ci. 

L’avenir n’est que le précieux de la vie des enfants

Aujourd’hui, ils sont en souffrance enfermés dans des mesures autoritaires imposant en permanence un masque aux enfants dans le milieu scolaire et au sein de toutes autres infrastructures.

Aucun temps scolaire n’a été adapté et des enfants peuvent subir cette pression durant plus de dix heures par jour, des transports à la garderie du matin jusqu’à celle du soir.  Des scientifiques tentent même de valoriser le port du masque au sein du domicile. 

Le gouvernement est responsable et a pris la décision d’imposer une fatigue psychologique et physique à de nombreux enfants comme il le fait par la mise en appauvrissement de nombreuses familles car il n’est pas des mesures inédites et efficaces luttant le droit de manger de manière égale pour tous les êtres humains. Ce qui engage aussi le fait que toutes personnes exilées, sans-abri puissent avoir accès à la nourriture et à l’eau potable en toute circonstance ainsi qu’à des produits d’hygiène et des moyens sanitaires à leur libre disposition d’autant plus quand notre humanité subit un déséquilibre environnemental très important fragilisant la santé de tous. 

Nous devons prendre conscience que nos systèmes acceptent de mettre des enfants chaque jour en souffrance en se valorisant derrière des mesures sanitaires qui ne font qu’aggraver la souffrance humaine et atteindre les plus vulnérables.

Aujourd’hui, les enfants doivent jouer, courir dans les cours de récréation avec l’impact nocif d’un masque leur couvrant le nez et la bouche. Il leur a été interdit dans certains établissements scolaires de prendre des collations pour ne pas enlever le masque comme certaines cantines ont modifié les repas servis pour correspondre aux mesures sanitaires.

« Tout » Emmanuel Macron est à la signification des faux prophètes qui se calquent à la démesure du bouleversement qui implique la liberté dans toute son ampleur.

Nos enfants grandissent dans des infrastructures sans voir le sourire de l’adulte s’occupant d’eux puisqu’il porte un masque. Des bébés et jeunes enfants sont enfermés dans des crèches où ils se développent sans voir le visage de l’autre, priver de ce langage humain essentiel, l’expression des émotions , ne pouvant identifier l’adulte qui les accompagne dans leur apprentissage ni voir un sourire qui leur est donné. 

Il pourra être des traumatismes chez l’enfant ainsi que chez chacun d’entre nous,  suite à ces décisions . Puis, si nous suivons la logique du raisonnement des donneurs d’ordre , il faudra ordonner à vie le port du masque tant la population est exposée à un air pollué qui autant que le virus peut tuer.

Les politiques ne sont pas dans une valeur de respect de la vie car ils effondrent la liberté . Puis par logique ce qui détruit ne sauve pas.

Ne luttons pas contre le vent mais pour la liberté en influant un souffle, une lumière du verbe Aimer, véritable puissance de notre humanité, qui sème la vie et qui est ce témoin ressuscitant des épreuves et guerres. Le verbe aimer combat toujours la cruauté qui seul est l’anéantissement et qui s’anéantit par son propre verbe.

Confiance et résistance non dans une espérance mais en une foi profonde et vivante en la vie.Tous debout pour la liberté car elle est la source de vie. Tous debout contre l’empire de la surveillance numérique derrière laquelle Emmanuel Macron cache ses peurs et angoisses qui le terrifient et façonnent son désir de pouvoir surdimensionné.

L’être humain est faillible, imparfait, manipulable, mais nous pouvons porter le verbe aimer car il est en nous et nous demande de puiser sa force vive .

Yalla ! Résister ! 

© Fédora Hélène 

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