
2020 – Il y a 300 000 SDF en France . Des personnes vivant dans la rue, dans des abris de fortune, des personnes se trouvant parfois en squat, dans des camps de fortune, cherchant un porche pour passer la nuit, se couchant sur le sol le long d’un mur, et il est les femmes en grande vulnérabilité se trouvant également à vivre dans la rue.
La rue représente souvent des années de la vie d’une personne. Des années à traverser en état de détresse des épreuves qui ne devraient pas être dans un pays riche, qui ne devraient être nulle part sur Terre.
Un être humain que notre communauté abandonne et se sont également des familles en détresse qui ont perdu un des leurs dans l’enfer de la rue, dans celui de l’alcool, de la drogue.
Des infrastructures en nombre insuffisant, de graves lacunes perpétuées par les différents gouvernements. Des plans de logement successifs et la pauvreté s’aggrave et blesse toute notre humanité.
Certains ferment les yeux face à cette douleur de savoir un des nôtres à vivre la souffrance de la rue, et la résilience qui s’échappe, et il n’est pas de dire qu’il suffit de la chance. La chance , c’est notre conscience, notre cœur, notre capacité de savoir, de savoir qu’un être humain à la rue, c’est une peine pour tous.
Une peine qui est car nos sociétés ont échoué dans la volonté de partager, de se soutenir mutuellement. Un échec car la santé a été elle aussi mise de côté et que les hôpitaux se sont retrouvés eux-mêmes abandonnés pour servir le profit, cette invention économique que nous respectons plus que la vie par crainte de son effondrement, parce que l’on croit que nous ne pouvons vivre que par elle, par la peur aussi de devenir pauvre.
Ce froid glacial qu’est la pauvreté, la peur d’être exclu et toute une population oublie ses rêves, oublie d’écouter son cœur, d’avoir envie du bonheur, d’être heureux par le fait de recevoir ce verbe partager, ce verbe aimer, sans en avoir peur. Toute une population a oublié que le bien-être est un droit humain fondamental , tout comme le droit à la santé.
Nous luttons contre une pandémie et des gens sont seuls dans la rue. Ils ont faim , froid, sont épuisés et ils vont devoir affronter l’hiver , les contraintes des mesures sanitaires, la solitude et cette insupportable de ne recevoir aucune reconnaissance, d’être ce rien que la société trouve juste de perdre.
Les associations qui subissent des impossibilités, des actions pour soutenir les plus fragiles annulées car les mesures sanitaires ne permettent plus de venir en aide de manière sereine, et pouvant répondre à la mesure de la gravité de la situation.
Des mesures sanitaires bloquantes qui impactent le bon déroulement des actions humanitaires, et tout est au ralenti alors qu’il est une urgence de répondre à un bouleversement qui lui s’accélère. Nous sommes à contre-temps, nous perdons des moyens d’agir, sommes démunis face à l’ampleur de la pauvreté qui est dans notre pays, la France. Une pauvreté en valeur exponentielle saisit cette année 2021.
Des chiffres et ils expriment qu’une chose, la tristesse d’un enfant quand il voit de ses grands yeux , ses parents souffrir de la pauvreté. Cette cruauté que la richesse a inventé pour paraître, pour être au sommet d’une pyramide qui n’a de sens que son propre écho, celui qui se reflète dans le vide, sans chance, car la puissance de posséder n’a elle aucune chance de sortir du labyrinthe qu ‘elle génère en autodestruction, car elle a fermé la porte à la solidarité.
- + de 9 millions de personnes sont en insécurité alimentaire
- + de 3 millions d’enfants subissent la pauvreté
- Des enfants grandissent dans la rue, 150 bébés sont nés dans la rue en 2019, en France
Une pauvreté en constante augmentation qui s’étend dans le monde et les alertes sont régulièrement lancées en SOS par l’ONU et ses partenaires. Le prix Nobel de la paix 2020 a pris conscience de l’urgence à lutter pour l’élimination de la pauvreté,le devoir essentiel de lutter contre la faim qui touche tous les continents et les pays riches accumulant les rapports, élaborant des commissions, des plans et poursuivant de toutes les manières des politiques économiques qui vont à l’envers de bâtir un monde meilleur, mais un monde du plus fort et donc du plus riche, un monde où l’économie capitaliste se veut verte et investit dans l’ambition d’un enrichissement futur toujours plus au sommet et laissant en traîne de deuil, la pauvreté s’étendre en logique de profits, de l’homme outil, de la conception de production usant sans cesse des ressources de la nature donc de l’humain faisant partie intégrante de son équilibre. Nous sommes dans la logique de produire coûte que coûte en investissant dans le mensonge du capitalisme vert qui commence par abandonner des populations à la pauvreté. Dans les pays riches, on chante le social en bonne conscience pendant qu’on laisse mourir les populations exploitées pour servir les paradis dorés de l’Occident, de la vieille Europe concevant sa richesse par ses anciennes colonies. Tout a changé et rien , les blocs de l’Occident et de l’Orient s’affrontent en dominant dans l’arène de l’économie, de la guerre en dieu éternel mettant les hommes face à face, et non côte à côte.
Le prix Nobel de la paix 2020 est obtenu par le PAM car il est cette promesse, les richesses d’argent, de profits, de compétitivités mettent en péril toute notre humanité.Il est alors une nécessité nouvelle qui n’est pas d’accorder la mise en place du plan « Grand froid » en Gironde, mais d’accorder des solutions inédites, des choix pris en commun, dans l’esprit réel de la démocratie pour que soit chaque jour de l’année , l’urgence de sauver des vies, la vie.
Les préfets devraient écouter une autre musique que celle des réglementations, celle des ordres et ne voir que l’humain en souffrance au pied des bâtiments de pouvoir et de pierres.

SOS grand froid – Des associations, l’ONG La Cimade lancent une pétition en ligne pour répondre à l’urgence des sans-abri en Gironde
Une pétition en ligne demande que soit mis en place dès à présent le plan « grand froid » en gironde et s’adresse à la préfecture
À quel moment le plan « grand froid » se déclenche-t-il ?
Le site du gouvernement indique que le plan Grand froid se caractérise par sa persistance, son intensité et son étendue géographique. l’épisode dure au moins deux jours. Les températures atteignent des valeurs nettement inférieures aux normales saisonnières de la région concernée. Au 23 janvier 2019, le site du gouvernement indique que le plan « grand froid » a été déclenché dans 22 départements dont 8 en Ile-de-France où à Paris en 2019, 700 enfants et leur famille étaient sans solution d’hébergement la nuit, et souligne qu’il est de renforcer le dispositif de mise à l’abri des plus démunis avec plus de 800 places supplémentaires ouvertes de façon temporaire. Un plan éphémère et insuffisant car pour toutes les régions qui ne verront pas le plan « grand froid » être activé , il sera pour les sans-abri de ne trouver aucune solution pour la nuit lorsque les centres d’hébergement affichent complets et qu’il est le risque de se trouver pour les personnes à la rue de subir une tempête . Le réchauffement climatique provoque l’augmentation de celles-ci durant l’épisode hivernal et ce sur tout le territoire.
De plus, les foyers d’accueil sont plus que vétustes et le gouvernement ne pouvait que répondre à un moment donné au besoin crucial de rénovation, annoncé dans le cadre de France relance.
Le Collectif Les Morts de la rue (CMDR) établit que près de 500 SDF décèdent chaque année à la rue, dans des squats, à l’hôpital, ainsi que le rappelle l’objet de la pétition. Un nombre qui pourrait être minimisé, il serait alors près de 3000 personnes mourant dans la rue, en France. Le CMDR rappelle que les mois de décembre et janvier sont ceux où le froid, l’humidité mettent le plus en danger les personnes vivant à la rue. Ce qui affaiblit également, ce sont les fêtes de fin d’année à la rue dans la solitude même si des associations offrent une présence, un repas différent, des boîtes cadeaux, cela reste pour nombreuses personnes à la rue, la douleur de l’abandon, du jour suivant qui revient à la même peine, au désespoir.
La rue et parfois, l’alcool, la drogue prennent l’être, une grande souffrance psychique s’impose, la violence terrasse, tout s’enchaîne si vite et derrière le miroir, des proches devenus lointains, qui sont également oubliés et qui gardent le silence, la blessure au fond d’eux de l’être cher perdu à la rue dans l’ivresse, le trouble, ceux psychologiques, psychiques. Puis, ce sont les familles lointaines qui sont d’un autre pays et qui espèrent tant, qui survivent car un des leurs est parti trouver un moyen d’apporter un minimum pour survivre à ceux restés au pays. La rue, ce sont les travailleurs pauvres , les salaires faibles à qui un logement est refusé
La rue devient le livre de la mémoire, celle des vies complexes et riches , toutes différentes des personnes sans-abri.
Les sociologues, politiques, technocrates classent , mettent en pourcentage, les êtres humains sont séparés même pauvres, les chiffres les divisent. Il y a les personnes hébergées temporairement à l’hôtel, celles en squat, celles dans des centres d’accueil, celles dans des bidonvilles, celles invisibles s’éloignant des listes , des catégories, cherchant une solution par elles-mêmes où n’en cherchant plus, se noyant dans la souffrance de l’abandon, disparaissant sans laisser un nom, devenant juste une étoile, une lumière après, celle que ces exilés-es de nos cités auraient voulu être, avant.
Janvier 2021 – Un SOS lancé par une quarantaine d’associations humanitaires
Les associations signataires de l’appel pour la mise en place du plan « grand froid » dès à présent notamment en Gironde, où il fut la tempête Bella dans la nuit du 28 décembre, déchirant les tentes de sans-abri , mais heureusement ne faisant aucune victime, rappellent que vivre à la rue , c’est être exposé aux intempéries, être mis brutalement en danger, c’est avoir une espérance de vie de 49 ans en moyenne , soit 30 ans de moins que la moyenne de la population bénéficiant de la sécurité d’un logement.
Un hiver à la rue, ce sont des conditions de vies inhumaines que notre société ne peut accepter si nous voulons qu’elle progresse vers un avenir meilleur pour tous, un avenir qui ne sera pas mis en péril par une pauvreté exponentielle à travers le monde, en résultat de notre système économique et politique suicidaire.
Nous savons, nous possédons une connaissance , des possibilités d’informations, des infrastructures pouvant répondre aux besoins des personnes à la rue, aux besoins humains fondamentaux des plus pauvres. Nous devons agir, secourir la vie, sans laisser personne de côté, car sinon la lutte contre la Covid n’a aucun sens, aucun sens , si les gouvernements ne conçoivent de secourir les plus fragiles, les familles en détresse, ne conçoivent pas également d’éviter , de faire en sorte par l’application en urgence de solutions efficaces, concrètes que des familles ne se retrouvent pas dans une situation critique, dans la détresse, et perdant leur logement.
Des alertes sont faites régulièrement par les associations humanitaires, ONG , par l’ONU sur l’aggravation de la pauvreté partout dans le monde, y compris en France
En 2020, 13 associations ont saisi l’ONU concernant les conditions inhumaines que vivent des migrants et réfugiés à Calais, conditions qui se sont aggravées, selon elles, depuis l’arrivée de Darmanin au gouvernement.
Utopia56, association venant en aide aux migrants et réfugiés , alertait le 17 novembre 2020, concernant l’expulsion de demandeurs d’asile situé à Saint-Denis. Puis, ce sera la violence contre les migrants place de la République à Paris le lundi 23 novembre.
La marche des solidarités , le 18 décembre dernier, rappelle lors de son Acte IV, les conditions de vie éprouvantes que subissent 300 000 à 400 000 Sans-Papiers, en France. Certains d’entre-eux sont à la rue, ou occupent des logements insalubres et précaires, ou se trouvent dans des centres d’hébergement, ou pour quelques jours à l’hôtel, ou encore hébergés chez des personnes, mais jusqu’à quand, jusqu’à quand le cycle de la pauvreté continuera-t-il ? Il y a également la problématique des mineurs isolés qui sont exposés dans la rue à des situations pouvant les mettre en danger, pouvant mettre leur vie en danger.
Ce sont aussi 37 associations du Collectif des associations unies (CAU) qui, le 20 mai 2020, après la période de confinement, recommandent au gouvernement « 15 mesures à adopter d’urgence » pour s’engager dans la lutte contre la pauvreté et pour mettre fin au sans-abrisme. La mesure de prolongation de la trêve hivernale jusqu’au 10 juillet 2020 en raison de la pandémie de Covid ne donne pas une solution , mais repousse la problématique des expulsions. Des expulsions qui doivent être interdites durant tout le temps de la pandémie, souligne le rapporteur spécial de l’ONU, M. rajagopal. Il avertissait en août 2020, « Les interdictions temporaires dans de nombreux pays ont pris fin ou sont sur le point de prendre fin, ce qui suscite de sérieuses inquiétudes quant au risque d’un tsunami d’expulsions » et rappelant que « Les expulsions forcées sont une violations scandaleuse des droits de l’homme« . Mais le système économique ne l’entend pas de la même manière.
Des loyers trop élevés, des papiers à fournir, des revenus aisés souvent exigés alors qu’il est une forte inégalité des salaires , mettent à la rue des centaines de personnes , en France. À la rue, hébergées en urgence de manière temporaire et la peur chaque jour de la rue. La promesse des gouvernements est souvent celle-là, celle non dite, mais qui s’applique en réalité pour des milliers de personnes.
La gravité de la situation du logement en France fait qu’il ne s’agit pas d’une situation isolée , mais qui existe sur tout le territoire. Il est une précarité récurrente, et les associations alertent sur le fait que de plus en plus de personnes ont besoin de l’aide alimentaire pour survivre. Les prix de l’alimentaire, des charges fixes des ménages sont en constante augmentation , assommant toujours plus ceux en souffrance, ceux également qui perdent leur emploi, leur entreprise au cours de la pandémie de Covid. Nombreuses personnes ne peuvent plus s’en sortir, et les crédits à la consommation sont autant d’épées de Damoclès au-dessus d’eux.
Une urgence à agir , avant que la rue ne libère que la misère , celle qui sera sur les trottoirs, les places, celle attendant un repas chaud, celle ne pouvant avoir accès à l’eau potable de manière permanente et facilité; la misère, la désolation risquent de prendre nos villes , de les enfermer dans une longue peine.
Gironde – La Métropole bordelaise accueille les classes aisées, ceux investissant dans la pierre, ceux prenant les logements dans les anciens quartiers populaires rénovés par les plans de gentrification, voulant séduire une clientèle parisienne et de Nouvelle-Aquitaine désireuse de rester près de Paris, du moins en temps, et la LGV, Bordeaux-Paris en 2h04, répond aux exigences économiques basées sur la compétitivité, les profits et qui envisageaient en 2016 , qu’il serait près de 18 millions de voyageurs chaque année transitant par bordeaux par la LGV à l’horizon 2020.
De quoi faire sursauter les prix de l’immobilier, rendant impossible pour les travailleurs pauvres, les étudiants pauvres, les mères isolées, les familles pauvres et pour les plus pauvres de pouvoir vivre sereinement à bordeaux et de pouvoir s’y loger de manière pérenne.
La LGV Paris-Bordeaux, un pari gagnant depuis sa mise en service le 2 juillet 2017, puisque selon la SNCF, la fréquentation de la ligne par les clients professionnels a fait un bond de 76 % entre 2017 et 2019 et une « croissance de 71 % du trafic », selon Gwendoline Cazenave, directrice du TGV Atlantique qui s’exprimait en 2019 sur Le Média Économique des métropoles. Puis, c’était 10 millions de voyageurs en 2019.
Loin de ces chiffres, le taux de pauvreté en Gironde , département le plus peuplé de la Nouvelle-Aquitaine, affiche près de 200 000 personnes en situation de pauvreté, dont 42 950 sur Bordeaux en 2019, selon l’Insee. Il y a aussi les inégalités marquées au niveau des salaires, une population étudiante dont des étudiants pauvres vivant avec 13 euros par jour, une moyenne qui baisse considérablement à la fin du mois. Des mères isolées vulnérables, des petits retraités aux faibles revenus, Bordeaux et sa Métropole cachent à l’ombre des vitrines luxueuses du triangle d’or bordelais, bien des souffrances, des personnes pauvres , des familles nombreuses dans de petits logements avec un loyer élevé digne des marchands de sommeil.
L’ensemble des logements vacants sur l’intercommunnalité – Métropole de bordeaux en 2017, selon l’Iness, est de 22 667. Il est alors la possibilité de répondre à la demande des personnes sans-abri et à la demande de familles vivant dans des logements inadaptés, On compte près de 4,3 % de logements suroccupés sur Bordeaux et sa Métropole, selon l’Iness. En France, cinq millions de perssonnes vivent dans un logement suroccupé, selon une étude de l’Iness.
Mais , il est des logements sociaux en chimère et il est parfois aucun logement proposé à une famille précaire, même après des années de démarches, même avec des certificats médicaux démontrant les graves conséquences de la pauvreté, du stress, de la peur de perdre un logement, de l’indifférence d’une population aisée, bourgeoise, de la froideur des statistiques, et une pauvreté qui s’aggrave au fil des années , pendant qu’à Bordeaux, luxueuse ville touristique sur les bords de garonne où accostent les paquebots de croisière, la bourgeoise s’enrichit.
La misère est elle à la rue sans accès à l’eau potable, à des sanitaires de manière permanente, une misère qui a besoin de l’aide alimentaire pour survivre et d’amour pour vivre. D’un coup les lampions colorés des quais bordelais deviennent gris.
La misère est là, derrière les murs et les cols blancs, comme celui qui agresse une mère isolée vulnérable en faisant sans que rien ne lui soit demandé, des promesses de logement, ces promesses en fumée qui détruisent la santé de combien de personnes pauvres en Gironde ?
Les enfants subissent en première ligne la pauvreté, et l’Iness évalue qu’un enfant sur cinq subit la pauvreté en Nouvelle-Aquitaine. Mais ce chiffre, encore et toujours , ne montrera jamais le visage au reflet de tristesse d’un enfant qui joue, rit avec ce pincement au cœur, cet argent dominant qui envahit tout, ces vacances enfermées dans les villes et Bordeaux , ce n’est pas les colonies de vacances, les activités de courts séjours, celles sortant et donnant ce besoin essentiel de liberté, les vacances pour tous n’existent pas.
Il y a tant à faire en Gironde pour que le bien-être soit pour tous, pour les enfants en premier qui se fichent bien de la longueur de la rue Sainte catherine et ses boutiques de chaînes en chaînes. Les enfants rêvent de liberté et les larmes de leur mère en perle une à une dessinent le bijou précieux de la paix anéantissant la pauvreté.
La paix sera quand l’injustice aura disparu, quand un homme n’agressera pas une femme en détresse, pauvre et isolée dans le silence des nuits. L’homme violent en col blanc reprenant le lendemain sa richesse de titres, d’héritages et de mensonges, oubliant celle qu’il a laissée sur le carreau à Bordeaux, n’en finissant plus de cacher ses yeux rougis pour n’offrir à ses enfants que le sourire de la vie.
Les femmes pauvres dépassent chaque jour la souffrance de la pauvreté et les violences qu’elles subissent en ribambelle. C’est cela la misère de notre pays riche, l’ombre toujours et jamais un rayon persistant en promesse véritable pour le respect des droits humains, pour que la justice ne se fasse pas le vaste désespoir pour les plus pauvres, pendant qu’elle s’offre aux riches.
© Fédora Hélène
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