Étudiants en détresse – Quand le gouvernement leur répond chèque psy et « patience »

Une distribution de 300 repas a eu lieu à Noël pour des étudiants précaires à l’université d’Orléans à l’initiative de l’association ÔCampus et « Un cœur, un maillot »

À l’université Paris-Nanterre, l’épicerie solidaire Agoraé distribue une fois par semaine un panier repas gratuit aux étudiants ayant besoin d’un soutien alimentaire durant le confinement. L’association vient en aide toute l’année aux étudiants pouvant être amenés à sauter des repas faute de moyens financiers.

L’Agoraé aussi présente à Caen , viendra en aide aux étudiants durant le confinement et apporte un soutien alimentaire durant toute l’année.

À Montpellier , il est un appel aux dons pour venir en aide aux étudiants vulnérables . Pendant le confinement, des colis alimentaires sont réalisés par un collectif d’entraide qui a pu ainsi en distribuer à 600 étudiants.

Les étudiants ont tenu le coup grâce aux associations et collectifs humanitaires

Les associations et collectifs ont œuvré auprès des étudiants précaires pour leur venir en aide durant le premier confinement et par la suite. Le collectif « Les Gratuits » Gironde solidarité confiait à LiberTerra lors d’un précédent article que lors d’une maraude à Bordeaux, au début du premier confinement , des étudiants sont venus vers les aidants car ils avaient faim et n’avaient pas pu manger depuis près de 48 heures du fait de l’annonce faite par Macron d’un confinement en urgence saisissant tout le monde et provoquant une panique, une situation de stress et surtout une impossibilité pour les personnes vulnérables , précaires , ainsi que pour les familles pauvres n’ayant pas les moyens financiers d’assurer une urgence, de s’organiser, de pouvoir trouver une solution.

Un souvenir douloureux et un confinement qui s’éternise depuis 10 mois en passant par des mesures d’assouplissement et de durcissement et surtout aggravant la pauvreté, imposant l’enfermement, la solitude, le rappel de traumatismes par la mémoire traumatique et leur amplification que ces confinements à puissance variable ont provoqué et déclenchant également des traumatismes supplémentaires.

Parfois , les étudiants précaires gardent secret des souffrances vécues à cause de violences qu’ils ont pu rencontrer durant leur enfance et adolescence. Des blessures durables qui ont été causées aussi par une absence de justice , de reconnaissance, de droit à la résilience, et qu’ils surmontent en ne comptant que sur eux-mêmes, en réalisant leurs rêves et faire des études est un moyen d’y parvenir. 

Il leur est nécessaire de s’amuser, de rire, de vivre, d’être heureux pour souffler, pour vivre car cela est un droit humain fondamental faisant partie du bien-être et du droit à la santé.

Des sorties entre amis qu’ils s’accordent car ce n’est pas parce qu’on est pauvre, qu’on subit cette violence , qu’on a pas le droit de vivre des moments heureux permettant de se construire une belle mémoire, une mémoire qui apaise les souffrances en se peuplant de bons moments, d’amitiés rencontrées et d’amour.

En réponse à la détresse des étudiants dont témoigne une étudiante , Heïdi Soupault, au cours d’une lettre ouverte au président de la République, à laquelle celui-ci répond «  Je vous le dis avec franchise : il va falloir tenir » L’étudiante à Sciences-Po Strasbourg a écrit à Emmanuel Macron « J’ai l’impression d’être morte »

Peut-être que des étudiants ou des jeunes non étudiants ont également écrit à Emmanuel Macron pour témoigner de leur souffrance. Tous ces jeunes crient une envie profonde de vivre, une magnifique envie de bonheur, de liberté.

Mais, ils sont enfermés dans la douleur, dans cette peine qu’est l’injustice. L’injustice de la pauvreté, l’injustice de vivre sa jeunesse dans un monde en plein bouleversement, de rêver à un bel avenir et ils se trouvent confrontés  à une forte instabilité, un avenir impacté par la pollution, le changement climatique, la pauvreté, un capitalisme acharné, destructeur et cette conscience que possède chaque être humain et qui dit que quelque chose de grave est là pour longtemps et qu’il est une totale incertitude concernant notre devenir . Une inquiétude qui redouble avec l’absence de moyens financiers quand on sait que dans ce système seul l’argent prime, seul le pouvoir de posséder à une valeur, seul le pouvoir des manipulations se prononcent et les solutions pour sortir de ce chaos sont en réalité devant une porte qui reste fermée.

Pour répondre à l’enjeu majeur de 2021, aux conséquences des mesures sanitaires chez les jeunes vulnérables, le gouvernement réfléchit à élaborer un chèque soutien psychologique que les étudiants pourront utiliser pour consulter. Puis, le gouvernement annonce la  pérennisation des renforts de 80 psychologues et 60 assistants sociaux pour toute l’année civile 2021, selon le communiqué du ministère de l’enseignement supérieur. Celui-ci précise aussi que les travaux dirigés reprendront la semaine du 25 janvier en demi-jauge pour les étudiants de première année. Le gouvernement indique aussi travailler à l’amélioration des dispositifs d’aides sociales et de bourses en concertation avec l’ensemble des acteurs concernés, selon la formule employée pour ce faire.

Jeunesse en souffrance, la tristesse de tous , les sourires qui se perdent – Détresse que veux-tu dire ?

Les étudiants, mais il est aussi  les jeunes sans rien , qui n’ont le droit à rien, ne correspondent pas à un critère, tous ces jeunes oubliés qui ne rentrent pas dans la norme, on le statut qui manque, le papier qui manque, l’impossibilité à et pendant que le gouvernement se penche sur la problématique grave des étudiants en détresse , il oublie toute une jeunesse des quartiers, des campagnes, ceux de nulle part et partout qui sont en galère , vivent une détresse , ont connu des violences qui les ont contraints à grandir plus vite, et les laissant sur le carreau . Puis, il y a tous ces jeunes qui dès le lycée sont en souffrance , ne correspondent pas aux statistiques, à ce qu’on attend d’eux , et qui se retrouvent à la rue, perdus, en douleur. Il frappe le bitume des rues en désespoir. Il est également les mineurs isolés, en grande vulnérabilité. La Cimade, des associations, humanitaires, des collectifs , et des anonymes sont présents pour secourir ces jeunes oubliés. Mais, que fait le gouvernement ? 

Il est de souligner la grève de la faim de ce boulanger pour donner à son apprenti ses droits humains, la possibilité de construire son avenir en sécurité et en paix. Ce sont ces hommes plein de cœur, de bonté qu’il faut regarder. C’est eux la preuve que l’espoir existe et qu’il est à chacun de nous de le porter, de se mobiliser, de résister, de refuser des expulsions forcées , de ne pas être ces « âmes habituées » qui laissent faire l’injustice, la soutiennent et qui sont pire que les « âmes perverses » qui causent tous les malheurs , comme le jugeait Charles Péguy, comme l’affirmait Albert Einstein. 

Un manque de cœur est en France, et certains jeunes tombent dans l’alcool, la drogue et d’autres réussissent leurs études et tombent d’un seul coup, épuisés , à bout de souffrances.

Il est aussi tous les jeunes ayant vécu les violences d’un parent violent, de ces hommes cruels traumatisant leurs propres enfants, les abandonnant, les reniant. Il est  cette économie violente, d’une justice violente, d’une police violente, d’une politique violente , leurs témoignages d’enfants et la justice ne répond rien, jamais rien pour porter secours , apaiser les plus vulnérables, et elle abandonne , pire que Macron qui s’est quand même fendu de quelques lignes en réponse à une jeune étudiante, lui ayant écrit une lettre. 

L’injustice détruit des vies, provoque des traumatismes supplémentaires, les mesures sanitaires répondent à la même logique , et proposent un psychologue au lieu de reconnaissance , de droit à la résilience, à un avenir serein, en paix , empli de bonté et donc de justice. Mettre fin à la pauvreté, aux violences faites aux plus vulnérables, est le premier engagement pris par l’ONU.

Pourtant le capitalisme nous précipite dans le vide et tout cet endoctrinement par une longue culture de la guerre perdure comme si rien ne pouvait l’arrêter. Nous pensions que la pandémie de coronavirus serait une prise de conscience , mais l’endormissement profond éteint cet espoir. Les personnes sont prises au piège de crédits, de maintes difficultés, et pensent pour certains  qu’une liberté de confort est la liberté , alors qu’elle tue celle réelle, celle portant la vie.

Nous pensons arrêter un bouleversement climatique en construisant des véhicules électriques, nous en sommes à cette terrible illusion. Nous allons créer une pollution supplémentaire comme les mesures sanitaires provoquent des souffrances supplémentaires à des millions d’enfants victimes de pauvreté.

Une pauvreté qui n’existe que par l’économie que nous avons inventée, et que nous tenons en un système immuable. Nous pensons que la peine est soignée par des psychologues, des médicaments, alors que cette peine , nous devons la regarder, la prendre en grande considération, car la détresse de toute une jeunesse est un appel à prendre le verbe aimer, partager pour construire en urgence une nouvelle civilisation.

Une nouvelle civilisation comprenant les dramatiques erreurs de celle qui imprègne notre monde depuis des siècles. Nous avons appris que l’homme pouvait être cruel, violent, détruisant et ne s’arrêtant jamais. Et, nous savons aussi par des hommes et femmes merveilleux , comme Nelson Mandela, Louise Michel, l’Abbé Pierre, et tant d’autres que la bonté, l’intelligence du cœur, la générosité, comme le déclarait Nelson Mandela lors de son procès, être prêt à donner sa vie pour la cause de la liberté, sont présents en notre mémoire collective pour exprimer qu’elle est l’unique source de vie, et que sans le bonheur de la liberté, notre existence est cet absurde lancinant, qui montre à nos yeux la souffrance humaine.

Nous n’avons pas d’autre choix que d’aimer profondément tout le vivant, l’humain, l’eau, l’air que nous respirons et écrire par cette encre que si l’humain refuse d’être dans cette envie de vivre, il va détruire , provoquer l’aggravation d’un chaos, et ne pas offrir aux enfants leur droit de vivre heureux, en paix et libres.

Nos pays riches sont assis sur la souffrance de millions d’êtres humains mis en pauvreté, subissant les conflits, l’exil, les portes fermées, le refus d’accueillir, alors que nous sommes tous exilés sur Terre, errant , orphelin et ne connaissant pas l’origine de notre vie. Nous savons seulement que nous sommes capables de réaliser de belles choses, comme de terribles.

Faire de l’humain un outil, le mettre en esclavage pour construire des empires éphémères, qui n’ont aucun sens dans la valeur de l’immensité de la vie, du temps que nous ne maîtrisons pas, de l’énergie de vie qui est incommensurable car elle permet à notre univers d’être et c’est parce qu’il est que nous sommes vivant. Nous ne sommes séparés de rien et tout ce qui nous entoure nous permet de vivre.

L’Espace qui nous entoure demeure une grande inconnue et cet inconnu est essentiel à notre existence. Mesurons notre immense ignorance et en elle notre capacité fabuleuse de comprendre par le fait que la vie nous habite, que notre cœur bat, que le sourire des enfants est vivant et c’est ce que les hommes doivent avoir la force de voir et d’accepter. Accepter qu’ils sont faillibles, manipulables, qu’ils ont peur, qu’ils découvrent lentement toute la vie qui les entoure.

Le virus , les variants du Covid nous ont déjà dépassés. Nous naviguons à vue et les épidémies ne vont pas s’éteindre, notre monde vit un bouleversement majeur, et notre humanité est au cœur de celui-ci.

Si nous pouvions arrêter la machine infernale de l’homme surveillant l’homme, l’homme possédant la nature, la modifiant en permanence, industrialisant tout ce qu’il conçoit, sa quête de richesse, cette cupidité démente car elle achète la liberté. Plus tu es riche , plus tu es protégé, plus tu penses maîtriser le temps, pouvoir concevoir le futur , en former les stratégies pour obtenir celui-ci avant son existence. Les visionnaires sont des investisseurs qui forcent le monde, l’humanité à réaliser ce qu’ils conçoivent par notamment la science, la technologie. Celle qui annule l’humain et peut déjà être autonome par la conception des robots IA qui en premier sont destinés à être des armes.

Toute la souffrance de la jeunesse, leur tristesse, cette sensation d’impuissance , ce sentiment que nous sommes arrivés à un point de non retour, cette conscience est, la jeunesse pressent notre monde en danger. 

Pendant que les populations subissent un virus, des mesures de confinement, la pauvreté pour les plus vulnérables, les gouvernements mettent en œuvre une armée puissante et robotique qui sera opérationnelle vers 2025 et qui est déjà élaborée.

La robotique IA ne sera que plus perfectionnée en 2025 et d’autant plus dangereuse. L’ONU et d’autres ONG réclament l’interdiction des armes autonomes, sans commandement humain et capables d’élaborer des stratégies par une mémoire exponentielle apprenant des expériences rencontrées, mémorisant rapidement les informations, étant aptes à procéder à des modifications multidimensionnelles. La rapidité de la prise de décisions par l’IA ne laisse pas le temps à un homme de réagir lors d’une opération importante. De plus, les capacités d’adaptation de l’IA face à  un environnement hostile est sans commune mesure avec celles de l’être humain.

Puis, par exemple, la fragilité de la santé est un handicap majeur pour l’être humain, alors que l’IA est totalement indépendante de toutes contraintes biologiques et de tout besoin de liberté, de paix , d’honnêteté, d’amour. Rien ne freine un robot IA.

Pendant que Macron envoie Castex proposé son chèque pour que des étudiants fragiles et précaires puissent consulter un psychologue, il conçoit la loi Surveillance globale qui comprend le déploiement de drones qui n’ont d’ailleurs pas attendu cette loi pour prendre leur envol. Rien n’est un hasard en politique, tout est calcul. C’est l’art de la manipulation et c’est pour cela que certains manipulateurs s’inventent être un personnage politique, se vante de connaître ce milieu, et en tire intérêts. C’est le cas de ceux qu’on appelle , les barbouzes et ils ne sont pas tous à la même échelle. Certains donnent dans le raté des ratés, version minable escroc. c’est ce que l’on nomme la corruption. L’argent est corrompu, fausse la vérité. Qui est l’humain ?  Le  pouvoir donné à cette invention de l’argent, de l’économie capitaliste est ce dramatique qui est ce que nous devons refuser car c’est l’acceptation de la cruauté.

 Il faut tant de milliards de dollars  pour sauver des enfants de la famine. Tout dépend de cette matrice infernale en Hydre qui envahit toute notre existence. L’Onu appelle à des dons pour sauver des enfants de la famine. Cet appel fait à hauteur de 35 milliards pour sauver de la famine aiguë  230 millions d’êtres humains . (voir article LiberTerra ) Des enfants souffrent de famine aiguë.

 Il y a toujours ce pire dans l’âme perverse de nos systèmes, ceux où les pervers s’abreuvent et perpétuent leurs crimes. Tout est lié, rien n’est désuni et un homme qui fracasse la vie d’un enfant est ce risque permanent capable de faire basculer notre monde dans ce « perdu », et il est cette  alerte lancée par le Secrétaire général de l’ONU.

 Toutes violences faites à un enfant, à une femme, soyons-en certain fait courir un risque majeur à notre humanité car nous acceptons qu’un homme puisse tuer une vie, nous acceptons la cruauté, la violence qui met des êtres humains en détresse, nous portons cette destruction , celle qui s’attaque à la source de la liberté, met en grave souffrance des millions d’enfants, abîme leur avenir. 

Le respect de la liberté ? Le capitalisme, cette machine à détruire, qui n’est que parce qu’elle ruine le vivant aussi indifférente que peut l’être un robot IA, un prédateur. 

Les villes vidées à partir de 18 heures, quel formidable terrain de jeu pour la surveillance, pour le contrôle sans précédent des populations isolées dans un lieu précis, leur domicile.

Puis, pas sûr que les hommes et femmes outils travaillant en machine soient d’accord de continuer à financer par leur travail, leur savoir professionnel, ce qui va former une armée robotique autonome, d’armes nucléaires maintenant une forte violence constante , établissant l’humain contre lui-même.

Voici la guerre qui se joue actuellement avec un élément du bouleversement, la Covid, mais qui n’est pas le bouleversement. Le monde a profondément changé et les populations s’apprêtent à vivre une numérisation de leur vie. Elle sera un temps appartenant à un pouvoir conçu sans eux, pour eux.

Tous ceux mettant des enfants en souffrance, une mère ont une très grave responsabilité. Lorsqu’on est capable de détruire le précieux, un enfant, on n’est plus un être humain, mais inhumain. Les hommes violents et cruels ont fait le choix de quitter toute humanité. Ils sont dans le vide qu’ils génèrent par leur volonté de détruire. Nos sociétes dites démocratiques donnent une puissance folle à ces prédateurs en leur garantissant l’impunité.

Les politiques et les « acteurs » de justice tenant des « rôles » selon le langage actuellement employé ont une grave responsabilité. Refondre la justice, se libérer des politiques capitalistes, cela est une nécessité urgente.

Les populations dépolitisées laissent faire, n’ont plus le sens critique, se laissent absorbées et se profile alors un avenir que nous pourrions fortement regretter si nous ne saisissons pas la chance extraordinaire de fonder un monde meilleur, si nous croyons cela impossible, alors notre vie sera cet éternel absurde, cloîtré sans réponse possible.

Les français vivent en ce moment par les mesures sanitaires de confinement ce que des millions de pauvres subissent à vie, et sans avoir de domicile et le loisir de boire à volonté. Les étudiants pauvres savent ce que signifie la violence de la pauvreté, mais de nombreux riches l’ignorent et imposent une grave indifférence que souligne d’ailleurs le Secrétaire général de l’ONU. La solidarité, seule solution , exprime l’ONU et celle manipulée par les gouvernements pris par les politiques ne sauvant personne de l’injustice, mais la faisant régner.

Il y a près de 70 000 morts du Covid, en France et 2 millions à travers le monde, pourtant la majorité est appliquée à servir une économie qui détruit.

Les doigts d’une même main. Nos systèmes acceptent la cruauté, il ne peut être l’espoir , ni la liberté.

Le gouvernement dit avoir conscience de la détresse des jeunes étudiants précaires , si tel est le cas , alors il ne peut pas ignorer la souffrance de cette jeune femme de 19 ans qui à Marseille a été victime d’une grave agression. Et, l’injustice frappe encore. Les violences policières mettent en détresse des jeunes !

Les paroles de cette jeune femme sont vraies, puissantes ,émouvantes. Elle comprend , et exprime le fait que les femmes victimes de violences sexuelles et de violences conjugales vivent cette souffrance et les mots de cette jeune femme courage, magnifique de vérité, sont ceux des femmes victimes de barbares et comme elle , elles pardonneraient pour leur propre paix à celui qui aurait au moins la dignité d’assumer ses actes violents, d’assumer le fait d’avoir volé une partie de la vie d’un être humain, une femme.

Il y a en France , une violence contre les victimes, contre ceux vulnérables . Il persiste un système d’inversion, de violences psychologiques graves où la victime est effacée, où on lui dit d’oublier, à qui en offre que des consultations chez le psychologue pour tenir. Mais pas pour vivre ! La liberté est la seule source de vie et elle a besoin de justice, ce qui manque terriblement en France. 

Pour finir, en mai 2018, Emmanuel Macron conseillait aux jeunes de lire Karl Marx. Appelait-il le peuple à se révolter ?  Prévenait-il  ce peuple de ce qu’il allait subir, de la machine capitaliste qu’il ferait avancer coûte que coûte jusqu’à son résultat final, l’autodestruction ? 

Soutien à cette jeune femme courage victime de violences policières . En France, la violence contre les femmes est dominante , des prédateurs toujours protégés, refondre profondément notre société.

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