Macron déclare «Aucun répit pour les agresseurs, aucun » – Quand la réalité est tout autre

La sénatrice Annick Billon dénonçait le fait que la grande cause du quinquennat , la lutte pour mettre fin aux violences faites aux femmes, répondant à l’engagement de la décennie pris par l’ONU pour parvenir à l’élimination des violences faites aux femmes et aux enfants, mobilisent en 2019, 0, 006 % du budget total de l’État.

On comprend aisément l’impossibilité alors de pouvoir répondre à cet engagement pour que les femmes aient le droit de vivre sans avoir leur vie dévastée par les violences d’hommes cruels, aux actes barbares, aprouvés par le patriarcat, la culture du viol, issus d’une perversité constante et grave que génèrent nos systèmes toujours capables en 2021, de détruire des vies en imposant la pauvreté.

Des millions d’êtres humains luttent pour survivre au cœur de la pauvreté, et non pour vivre libre, car il est un monde où la cruauté est un pouvoir voulu et conçu et non un hasard, pour servir la folie suicidaire d’hommes se pensant supérieurs et assurés que la vie est un néant sans valeur où le meilleur gagne le temps de son passage sur Terre.

La justice ainsi disparaît et celle volant sans nom, se fait sans âme à laisser faire des prédateurs, à savoir des milliers de victimes en souffrance, à les condamner à la douleur, au silence, puis à se retourner contre elle en leur faisant subir des traumatismes supplémentaires, en leur demandant par exemple de raconter de manière éprouvante, sans considération pour leur santé, leur droit au bien-être, le respect de leur vie, et ce sera cette psychotérapeute froide, « On vous demande de raconter » dit-elle à une victime de viols conjugaux, de violences de celles qui détruisent un être humain, au sein même de sa vie profonde, de son existence la plus intime, qu’est une grossesse, en pensant orgueilleusement « mesurer » la souffrance incommensurable d’une mère.

On ne se soucie pas de l’humain, on suit une aberrante structuration technocratique, un savoir fermé, mensonger qui assure définir l’être humain comme il définirait une machine.

Les émotions humaines calibrées, détaillées comme un plan de bataille, de manipulations plus sordides les unes que les autres, et se proclamant valeur incontestable de notre humanité qui dans nos pays riches s’effondre de jour en jour et pensant du haut de nos pouvoirs en dominant affronter un virus, qui n’est qu’un élément du bouleversement , alors que depuis des décennies le respect de l’humain n’existe pas, que le mensonge destructeur triomphe et qu’il est juste de belles âmes pour résister à la mécanique du pouvoir où on achète des titres, des diplômes , non pour être libre et donner , mais pour appartenir à un pouvoir pour lequel nous sommes prêts à donner nos vies, à les donner entière pour correspondre à la matrice dirigeante et non à l’espérance d’un monde où l’humanité pourrait s’épanouir en osmose, avec le verbe aimer entre les hommes et la nature.

Nos pays riches divisent, séparent, créent le malheur et ne peuvent dans ce mental construire l’avenir heureux car ils ne possèdent pas le bonheur d’être libre, l’envie d’être libre, de penser possible la naissance de la justice, de l’amour entre les hommes et choisit alors de continuer sur les chemins où depuis des siècles les hommes passent leur temps en guerre, en rapport de force, en mensonges et dévastent la paix, en regardant la douleur régner, la pauvreté mettre à terre des être humains.

Ainsi , comment une femme , un enfant pourraient avoir l’epérance d’être respectés, aimés par un système conçu par la sale politique comme la qualifiait sœur Emmanuelle, et qu’il est ce rayon de bonté en chaque homme qui meurt sous le poids du pouvoir qu’un homme veut excercer sur un autre.

Ce rayon de soleil qui s’éteint comme dans un brouillard sans fin quand il est un homme d’une violence inouïe, cruelle qui anéantit la vie en s’attaquant à une femme enceinte, en la violant, la maltraitant, l’injuriant alors que cette grossesse est à risque et que cet agresseur tue à petit feu par sa cruauté une femme enceinte alitée.

Alors , il sera de témoigner, d’être cet être libre qu’un homme cruel a voulu tuer, veut tuer. C’est cela la violence d’un homme cruel, anéantir la vie belle , précieuse d’un enfant dans le ventre sa mère en maltraitant celle-ci sans aucune humanité.

La force de témoigner sans laquelle la justice ne peut-être – Paroles de vie, la mémoire des victimes ne peut être morte car jamais respectée. le témoignage est simplement pour que  l’engagement  – Mettre fin aux violences faites aux femmes et aux enfants, soit non un espoir mais vivant.

Témoigner – Un espoir vivant 

Un homme brisant une femme enceinte est le langage de la cruauté 

C’est cet homme cruel connu de la justice en tant que escroc et faussaire multirécidiviste, agresseur récurrent, et les témoignages peuvent par la douleur de leur expression révéler l’atroce de sa violence, de son inhumanité qui persiste et qui ne cessera jamais, qui prend sa puissance sur le système qui inonde l’espérance et lui interdit de respirer, qui conçoit son impunité comme une valeur alors qu’elle ne symbolise qu’un système prédateur qui s’impose à notre civilisation qui n’a jamais hésité à concevoir l’esclavage, le racisme, les discriminations, les violences à l’égard des plus fragiles, la pauvreté et qu’il n’est pas notre humanité désireuse de mettre fin à cette civilisation et de donner naissance à une nouvelle humanité, renaissante par le verbe aimer.

Nous plongeons donc inlassablement la vie, l’abandonnant aux mains destructrices de pervers son nom, haïssant plus que tout la vie, n’y trouvant aucun bonheur, aucun sens, et n’y ressentant que l’effroyable néant qui les habite. Un néant qu’ils peuplent creusant le fossé des larmes des victimes qu’ils font , des violences qu’ils commettent à chacune de leur respiration.

Allons-nous être ce sans courage de mettre fin à toute cette cruauté, à ne pas refonder notre civilisation, à être dans une injustice grave, à ne jamais vouloir vivre, à toujours cultiver ce malheur comme acceptable , alors que la conquête que doit acquérir l’humain est celle de son humanité. Être un être humain libre, libre de vivre, de créer, d’imaginer sans être la proie de prédateurs déments qui parcourent nos sociétés , comme la pollution empoisonne l’eau.

Le prédateur cité, se balade tranquillement, parade, continue à être cet homme ayant vendu son humanité à sa cruauté. Une plainte en septembre 2019 portée contre lui pour viols , dont sur son épouse enceinte, pour violences , mais elle n’est pas le reflet de l’ampleur de sa criminalité.

Il a traumatisé des enfants qui ont écrit de longs témoignages officiels et qui pourtant ne seront écoutés, respectés, puisque le 31 janvier 2021, ce prédateur fier de ses actes épouvantables, parade publiquement sur les réseaux sociaux continuant ses manipulations.

Alors quelle est la douleur des victimes sachant toujours que leurs droits humains au bien-être, à la santé ne sont et ne seront jamais respectés par ce système où les agresseurs dominent et non la justice véritable et belle qui ne peut exister dans les méandres de notre panache à conquérir la vie par des richesses de pouvoir, d’argent , d’illusions, de mensonges et coulant inlassablement l’avenir dans ce labyrinthe du pire et les guerres, conflits et famines, crises humanitaires défilent chaque jour sans fin.

Un agresseur qui s’est toujours servi de pervers ou perverses outil pour l’encourager, le conforter dans sa prédation et fort de leur soutien, il rentrait agresser ses enfants et leur mère du haut de toute son autoritaire violence sortant de son néant qu’il cultivait en barbouze de presse, en ivrognerie, discours politiques des heures durant au fond de bistrots devant son public alcoolisé et en coq devant des avocats parisiens, journalistes et RG le connaissant.

Tout n’était qu’à l’ombre du sombre, à l’ombre de ces gens de titre qui savent et qui laissent faire, qui n’ont jamais eu la bonté de penser à ce que subissait une femme et des enfants pris au piège de la barbarie de ce manipulateur pervers qu’ils savaient violent, manipulateur, escroc, menteur et qui diffamait ses victimes, s’amusait de leur nom, citant jusqu’à leur date de naissance, jusqu’à montrer publiquement les photos extrêmement précieuses, intimes d’un accouchement, comme il affichera publiquement sur son profil Facebook qui est celui actuel , des photos de la même manière très intimes que la victime avait prises de sa grossesse pour garder en sa mémoire le beau de la vie, et non n’avoir que sa mémoire cassée, brisée par la violence de cet homme qui viole, maltraite, balance des cigarettes allumées sur sa femme enceinte.

Une publication que verra la police et la demande de porter plainte contre cet agresseur publiant l’intimité précieuse d’une grossesse, a été refusée. Nous étions alors en 2013, et il restera fier impuni pour ces faits, comme il restera fier de demeurer impuni pour sa barbarie sur une femme enceinte.

Les plaintes sont cette eau qui coule , perdue, loin de toute source de vie, une justice qui détruit et il faut la force de vivre pour qu’un cœur battent en disant « Je suis un être humain, pas une chose »

Pourquoi ce prédateur n’est-il pas arrêté ? Pourquoi depuis des années il poursuit sa cruauté, ses manipulations alors que la justice le connaît depuis 40 ans car il était présenté à un juge pour enfant à l’âge de 16 ans pour ses escroqueries, vols et divers.

Cachant en Jean-Claude Roman bis, la réalité de qui il est véritablement. Il sait sa criminalité, sa volonté de détruire des vies, il parcourt ainsi ne ressentant aucune émotion, sans aucun sentiment pour ceux qu’ils s’acharnent à briser.

Conscient et responsable de ses actes, cultivant son bien-être en faisant du mal, en donnant satisfaction à ses pulsions, et cultivant sa relation très malsaine avec des femmes puisqu’il est plusieurs femmes qu’il a manipulé et volé et d’autres qui soutiennent sa prédation, en démentes reines du bal d’un pervers qu’elles pensent dominer par le pouvoir qui leur donne en flattant leur perversion narcissique par rapport à celle victime dont il dévaste la vie par sa violence et qui devient alors la chose en pâture.

Aujourd’hui, il est une femme d’une soixantaine d’années se présentant comme infirmière, qui s’affiche publiquement en toute connaissance de cause, sachant qui il est, sur le profil d’un violeur pervers. Quelle femme aujourd’hui s’exposerait sur le profil d’un violeur, sa vantant de trouver sa conversation politique d’extrême droite extraordinaire, le trouvant « charmant », et expliquant l’avoir sans problème au téléphone, savoir qu’il navigue à droite et à gauche, alors que la justice ne semble pas savoir où il se trouve, mais de simples citoyens n’ont visiblement aucun souci pour discuter tranquillement avec ce criminel , et faire causette. Il a été demandé à cette femme de bien vouloir informer la justice concernant ce contact , car il est des violences graves qu’il a fait subir à des êtres humains, des enfants et leur maman, outre le fait qu’il est un escroc , faussaire , voleur multirécidiviste .

Les hôteliers et restraurateurs dont ceux Bordelais qu’il a escroqué, pourront être ravis de savoir qu’il discute tranquillement politique avec cette femme qui ne respecte  pas la douleur des victimes, ni les professionnels qu’il a volés et trouve formidable un escroc pervers et violeur qui perdure dans sa criminalité sans se soucier une seule seconde des conséquences de ses actes extrêmement traumatisants, de la situation de pauvreté dans laquelle il a plongé les enfants et leur mère, des graves conséquences pour la santé de la maman violée enceinte. Il n’assume pas ses actes de violences inouïes et choisit ses mensonges et personnages destructeurs flattant des pervers-es à sa ressemblance pour perdurer. 

Il a toujours courtisé, flatté ses gens qui lui donnent une validité, le légitiment, le victimisent et lui permettent mentalement de renforcer sa criminalité, ses personnages et de faire perdurer sa cruauté qu’il voit alors soutenue, appréciée comme un pouvoir, satisfaisant sa perversion narcissique extrême.

Les soignants sont dans le soin, protègent ceux vulnérables, les victimes de violences conjugales, sexuelles, psychologiques, physiques, financières qui sont les violences que ce prédateur a commises, et non à soutenir ce genre de barbare.

Cet agresseur a menacé de mort avec un couteau devant les enfants son épouse aujourd’hui divorcée. Puis, cette femme se disant infirmière s’étalant sur le profil de cet agresseur en est informée ! Ces personnes sont dangereuses car elles alimentent la perversion d’un criminel en alimentant la leur et disant clairement aux victimes que leur vie n’a strictement aucune valeur et qu’elles peuvent être de nouveau agressées, diffamées, salies, injuriées sans que la moindre justice , reconnaissance lors soient accordées.

Il n’est même pas le respect des enfants qu’il a traumatisé, nous sommes dans le culte du vide, de celui qui menace de mort une femme enceinte, qui l’attaque gratuitement et la rend coupable des violences qu’elle subit en l’injuriant de manière très obscène et en lui hurant dessus durant des heures en pleine nuit.

Ces injures qu’il hurlait sur sa proie et ce durant des heures en pleine nuit, où devant les enfants, dans la rue … Sans compter les injures très obscènes , menaces de mort qu’il hurlait toujours de plus en plus fort quand il constatait sa victime en état de choc, traumatisée, terrorisée par ce terrifiant agresseur qui cassait, renversait les meubles, tirait les cheveux, poussait violememnt et tout à l’avenant et souvent en pleine nuit.

Un acte de cet agresseur  –  Il est près de 3 heures du matin, il excerce des violences quotidiennes à l’égard de sa femme enceinte. Cette nuit-là , comme à son habitude sans aucun respect , il rentre ivre en pleine nuit .

Dans la chambre, dort une femme enceinte, et près d’elle, il est un petit lit d’enfant où dort sa petite fille. L’agresseur entre dans la chambre, se met à hurler ses injures, soulève le lit où dort son épousse enceinte, le bascule et ainsi fait tomber au sol sa femme enceinte dont la grossesse est à risque et on comprend pourquoi.

Il la laisse à terre avec son indifférence cruelle, sort sans dire aucun mot, fier et autoritaire, et va s’asseoir comme si de rien n’était dans le fauteuil du salon, poursuivre sa nuit. Entre ces violences quotidiennes, les injures et humiliations qu’il fait subir à cette femme enceinte, il la viole.

Une femme qui gardera toutes les journées son sourire, sa force pour ses enfants et leur garantir une bonne scolarité, des moments de bonheur, ce droit de vivre, quand au bar et ailleurs il manipule, joue ses personnages et que personne , alors que tous voient sa violence, n’interviendra pour secourir les victimes. Puis, sa violence se fera de plus en plus cruelle et il partira en se sauvant et en détournant l’argent du compte bancaire de la victime.

Les gendarmes , le maire, les voisins, la famille, l’assistante sociale seront alertés à plusieurs reprises des graves agissements de ce prédateur et le droit de déposer une plainte contre cet agresseur sera refusé à la victime , car on lui répond qu’elle est dans un vide juridique, et que ses violences ne marquent pas  tels que des hématomes, que le prédateur est « malin » lui dit-on.

Les viols , plaies invisibles, ce crime monstrueux qui laisse entre la vie et la mort, qui dévastent toute une vie, ce sont les actes de ce pervers.

Jusqu’en 2019, ne sera qu’une plainte possible car il agresse sa proie en tout lieu , dans la rue, à l’école, au domicile, il n’est aucun répit qu’il accorde à sa proie, et cette fois, il attaque dans la rue et il sera des témoins appelant la police et demandant immédiatement à témoigner car choqués par l’épouvantable méchanceté de cet agresseur, de sa manière d’humilier publiquement sa victime. Il sera alors condamné à deux ans de prison avec sursis et deux ans d’obligation de soins, qu’il ne respectera pas et s’empressant de se venger de sa condamnation sur sa proie.

Les victimes sont laissées à survivre dans la pauvreté, la solitude, l’isolement et gardent toutes leurs forces pour toujours leurs enfants, pour avancer, se reconstruire sans droit à la résiliences, à réparations, et à une véritable reconnaissance. Il est alors très simple pour un tel criminel de revenir harceler sans cesse, de continuer à agresser, anéantir chaque jour des vies comme ça pour se faire plaisir, se sentir puissant et se vanter auprès de femmes perverses, à l’image de cette infirmière, de ses exploits, et toujours en diffamant très gravement la victime qu’il est en train de tuer.

Aucune chance , sa victime ne doit pas vivre, est la détermination de ce prédateur. Un système corrompu, une justice aux graves dysfonctionnements qu’elle fait subir uniquement sur les victimes, ne font que permettre à toute la violence d’exister coûte que coûte et de rendre la victime coupable, et le prédateur, puissant par sa violence, sa criminalité, son atroce lâcheté et très grave malhonnêteté.

Macron – « Aucun répit pour les agresseurs, aucun » . L’ agresseur cité dans le témoignage se promène, navigue en toute impunité.

La justice disait le chercher, allez savoir et de toute façon sera-t-il devant ses crimes, sera-t-il juste à faire ce qu’il maîtrise manipuler, se jouer d’une justice qu’il connaît parfaitement, d’un psychologue qu’il manipulera sachant depuis tant d’années comment amener là où il veut ce genre d’experts. Ce qu’il a fait alors jugé pour avoir menacé l’école de ses enfants à Bordeaux et pour ce fait, il a eu une simple amende. Le long témoignage fait par la victime et relatant les menaces de mort avec un couteau a été entièrement oublié par la justice qui finalement a excusé ce prédateur. Une amende, il s’en fiche royalement , ça le fait rire, vu comment il a manipulé tout son petit monde.

Il sait comment faire, se réjouit d’avance de son discours tout fait, de son scénario qu’il jouera devant la justice si d’aventure il était un jour poser une question à cet homme cruel brisant une femme enceinte pour s ‘amuser, se sentir puissant et parader dans des bars et auprès de femmes malsaines le courtisant.

La france perd son âme, il lui restera son sol de souffrances où il est des milliers de victimes de ce genre de prédateurs qui n’auront jamais le droit à la justice, où il est des jeunes pauvres désespérés qui se suicident, où il n’est pas respecté la force de témoigner d’enfants victimes de prédateurs, où il est des discours politiques remplaçant notre humanité, la faisant un artifice d’une économie destructrice, dans un système qui chaque jour laisse des êtres humains de côté sans aucune conscience , sans aucun réveil, jamais. Jamais, ce pays à ce nom de baptême, ce trop tard, le mal est fait et ce prédateur comme tant d’autres se proclament phare d’une justice qui n’existe pas.

Concernant cette « infirmière » qui ne mérite pas ce nom quand son vrai visage se dévoile, alimente sa perversité ailleurs, mais qu’elle cesse de mettre en danger les victimes avec sa relation avec ce manipulateur pervers, des victimes qui ont bien suffisamment souffert. Les victimes sont des êtres humains et non des choses.

Il est une souffrance surmontée, devant être dépassée chaque jour pour vivre, le point de non retour peut être à force de subir traumatismes sur traumatismes et les personnes soutenant un tel criminel sont responsables, et devraient être poursuivies pour non assistance à personne en danger. Mais dans notre système cet agresseur peut poursuivre sa criminalité, pendant que les victimes ne comptant que sur elles-mêmes , profondément honnêtes n’ont aucune valeur. L’indifférence signifie inhumanité, elle tue.

Refondre notre civilisation – Libérer la justice !

Refondre profondément la justice, c’est par la naissance d’une civilisation nouvelle fondée par le verbe aimer , par le partage et faisant de l’homme un frère pour ses semblables et non un ennemi .

🛑 La force du témoignage , sans elle la justice ne peut-être et en France est-elle respectée, écoutée ?

🛑 Un homme cruel maltraite sa femme enceinte, lance des cigarettes allumées sur elle, il commet des violences conjugales graves , sexuelles, psychologiques, physiques, financières

🛑 En septembre 2019 est enfin la possibilité de porter plainte pour viols, dont sur une femme enceinte, violences, harcèlement, escroqueries contre cet agresseur et au 1er février 2021 , ce dangereux prédateur, escroc et faussaire multiricidiviste, se balade !

📣 Est-ce normal ?

Article lié : https://liberterrajournal.com/2021/02/01/violences-faites-aux-femmes-escroc-faussaire-dangereux-predateur-il-commet-des-violences-conjugales-graves-temoignage/

© Fédora Hélène

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