
Cette photo voilée d’un enfant nouveau né, n’est que parce que l’amour d’une femme a été, a été pur, sincère et un agresseur a cultivé l’art de détruire, de détruire l’amour et ne voit que, fier de lui , ceux et celles qui dans leur saloperie humaine soutiennent un tel agresseur , nie toute l’existence des victimes, en font un feu de paille mort à jamais, l’inexistence, la folie , le néant des agresseurs.
La haine de cet homme cruel surgit et efface la beauté de la vie, une jeune femme dont le rêve était d’avoir une famille, de vivre tout simplement au cœur de la paix, de la joie de vivre, et qui s’est trouvé en réalité face à un homme cruel et violent détruisant, et dévastant le merveilleux.
Aucune parole, aucune larme ne changeront cet homme de violences, qui rit au bar , qu’il soit de comptoir ou de ceux qui actuellement soutiennent cet agresseur.
Il a vidé tout le mauvais vin, l’a bu jusqu’à la dernière goutte , a tué en violant sa conjointe, en devastant sa vie par toute la souffrance qu’il lui a imposé.
Il mentira toujours, sera toujours fier de sa puissante violence et sera toujours à manipuler et glorifier des gens alimentant sa perversité, ses personnages et sûr que la justice n’existe pas , ne sera pas et que notre système protège les hommes cruels , les excuse et laisse des vies être anéanties.
Il faut garder en soi l’amour précieux, voir chaque jour le sourire de cet enfant à qui cet homme a fait tant de mal.
Un homme devenu pire que l’étranger, celui à bannir pour pouvoir dépasser une souffrance et vivre .
Cet agresseur, manipulateur pervers, ne verra jamais le sourire de la vie , sera à graver sur sa peau comme un gain tout le mal qu’il a fait, à porter sa cruauté au sommet. D’une Chantal, Françoise, Pascale, Brigitte en mauvais air fané d’un refrain alcoolisé d’une chanson au désert, au vide, aux mensonges, qu’il fredonne comme au bar de ses ivresses en violences, cet homme cruel enterre à coup de pelle de médiocrité ceux pourtant beaux de vie .
Le viol est un crime. Pas pour lui, pas pour ceux le soutenant. Pour eux, le viol est satisfaire son bien-être, ces nuits où il tue cette vie qui ne se rembobine pas, elle est perdue. Il a ruiné le plus précieux de la vie d’un être humain, sa conjointe, en donnant ces coups de pelle fier de lui et en écho de ces gens qu’il expose en trophée comme il l’a toujours fait, humiliant sa proie, ne lui laissant aucune chance et s’accoudant définitivement au comptoir du patriarcat et trinquant à son monde de l’inversion.
Le beau d’une naissance, il l’a dévasté par sa violence inouïe. Il s’est déshumanisé et n’aura jamais aucun sursaut de vérité, jamais.
©️ Fédora Hélène
Les violences conjugales et sexuelles détruisent la vie , la santé de la victime. À quel point au 21ème siècle notre société est toujours à cultiver la cruauté pour valeur de puissance.
Le paraître et le titre ne font pas l’être. Brigitte et Chantal sont des infirmières d’une soixantaine d’années, et Brigitte a durant plus de 20 ans courtisé cet agresseur, volé toute l’intimité du précieux de la vie des victimes, des enfants et leur mère, insultant la victime de « chienne » . Brigitte aînée de plus de 10 ans de cet agresseur, était sa compagne et est restée dans l’ombre de ce pervers l’encourageant dans toutes les violences qu’il faisait subir à sa famille. Cet agresseur s’alimente de la perversité, de la médiocrité de ces femmes se cachant derrière une image d’Épinal, un titre comme les pompiers ayant agressé Julie .


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