2021 commence par une aggravation de la pauvreté à travers le monde , y compris en France .
La France compte 10 millions de pauvres, selon le secours catholique qui, sur la base de 2019, avant la pandémie de Covid-19, publie son rapport annuel sur l’état de la pauvreté en France.
Le rapport explique qu’en 2019, l’association a accueilli plus d’un million de personnes. Un chiffre qui n’est pas dans le calcul de l’INSEE de 2018, évaluant qu’il est 9,3 millions de pauvres en France soit un taux de pauvreté de 14,8 % au seuil de 60 % du niveau de vie médian.
Parmi les personnes trouvant une aide auprès de l’association, 92 % vivent sous le seuil de pauvreté, 67% subissent une extrême pauvreté et 23 % d’entre elles n’ont aucune ressource. La moitié de ces personnes vivent avec moins de neuf euros par jour.
2021 – La pandémie de covid a révélé les conséquences graves d’une économie accélérant l’enrichissement des très riches qui augmentent leur fortune durant la pandémie où la détermination d’œuvrer pour un monde meilleur n’est pas au cœur des politiques. Ainsi, pendant que les milliardaires voient une hausse de leur richesse de 10 200 milliards au plus fort de la pandémie entre avril et juillet, selon une étude d’UBS, les pauvres subissent des conditions de vie inhumaines; les politiques ne leur donnant que ce droit de survivre si leur force peuvent les soutenir dans ce cruel de l’oubli du frère, dans cette infinie tristesse de l’homme de pouvoir qui n’aime pas.
Le milliardaire français Bernard Arnault voit quant à lui sa fortune gagnée 44 milliards , le plaçant cependant loin derrière Elon Musk, fondateur de Tesla, qui voit sa puissance financière établie à 76 milliards de dollars bondir à 103 milliards.
Le marché Boursier, le secret des richesses dans un temps où la surconsommation nourrit la valeur Tech, le nouveau Graal capitaliste, l’innovation, telle que le ministère de Frédérique Vidal se nomme, elle qui brandit le terme d’ « islamo gauchiste » en épouvantail pour être bien sûr que la haine reste sur son piédestal car après tout elle nourrit un système qui est inspiré par la séparation, la division de l’humanité en pauvres et riches mettant au cœur la guerre et la paix en peine au même rang que les pauvres.
La guerre qui hisse le pouvoir à son sommet et qui pourrait faire chuter notre humanité de toute cette hauteur puisque les très riches dominent par cette virtualité de l’argent, cet absurde dressé en sacré. Plus le pouvoir placera le sommet de l’argent haut, plus la chute sera vertigineuse, ce que l’on appelle l’effondrement.
Non seulement par une extrême pauvreté qui touche en première ligne les femmes et les enfants, puis les petits paysans, les métiers difficiles et souvent réalisés dans des conditions très éprouvantes sans aucun respect des droits humains comme cela est le cas pour les derniers charbonniers qui subsistent en Pologne, ou pour les travailleurs dans les mines exploitant dans différents pays également des enfants, où les industries forestières dévastant la nature . Et, tout ce monde économique est une valeur de puissance mettant notre Terre en souffrance par la pollution qu’elle génère et qui n’est que l’expression de l’inhumanité.
Le veilleur, l’homme n’est pas celui-là dans le mondialiste capitaliste. Il n’est pas celui qui sème l’arbre pour les générations futures en sachant qu’il n’en cueillera pas les fruits , mais ses enfants. Des enfants auront ce véritable héritage et non celui en fabrique des inégalités perpétuelles où il est le cynisme d’attendre la mort de ses parents pour hériter alors que la transmission est la vie ! La vie de l’un à l’autre dans une continuité d’amour et non par le lien de l’argent, des possessions matérielles et de pierres pour faire perdurer un enrichissement, une consommation, le marchand en malédiction qui unit les hommes les uns aux autres.
L’esclavage , ce fardeau de la civilisation
Les personnes pauvres sont contraintes de travailler dans les multi-domaines industriels , lobbies qui les maintiennent volontairement dans la précarité , l’incertitude permanente pour ne pas leur laisser le choix de leur chemin de vie . Ils ne sont que les outils du mondialisme qui place l’être humain dans la balance de l’injustice au poids de la misère.
D’un côté de la balance, la pauvreté aggravée pendant la pandémie et sur l’autre plateau l’enrichissement des plus riches durant la même période, représentent les manipulations du pouvoir qui apportent en résonance un tel mal-être . Puis nous avons, alors que la pauvreté ne cesse de s’amplifier à travers le monde, l’annonce de la réussite de la Nasa investissant dans la conquête de la planète Mars.
Ce n’est pas tant la mission « Perseverance » arrivée récemment sur mars et qui a coûté 2,7 milliards de dollars, ce qui permettrait de garantir une sécurité alimentaire pour des millions d’enfants au Yémen, mais c’est ce que génère la conquête spatiale tout autour en projetant un tourisme spatial, ou en voulant implanter des milliers de satellites dans l’espace comme le souhaiterait Elon Musk dans le but de créer une connexion immédiate à internet partout dans le monde. On ose imaginer la liberté ne pouvant même plus se réfugier au sommet d’un arbre au cœur d’une forêt tant la surveillance par la technologie ne laissera pas un espace de sérénité loin de tout contrôle.
Ce n’est pas non plus les découvertes faites pour la conquête spatiale qui investissent notre quotidien, tels que les IRM, qui mettent notre monde en péril, c’est une violence multidimensionnelle qui est en valeur exponentielle tant on accepte la conquête d’autres planètes pour exploiter leurs ressources de la même manière que cela est fait sur Terre.
Donc pourquoi l’extrême pauvreté ne paraîtrait plus alors que les ambitions ne sont pas tournées vers cette volonté d’anéantir la pauvreté , mais de lui permettre d’exister pour fonder des programmes innovants à la conquête non seulement de l’espace , mais également d’une autre Terre sous l’empire du langage technologique, scientifique qui à cette volonté de pouvoir au même titre que les politiques qui leur permettent des budgets à hauteur de milliards pour concevoir cette puissance , ce progrès qui prend sa source d’énergie dans le nucléaire.
Un monde sous cette tempête où l’humanité serait vouée à un processus d’une nouvelle identité qui ne sera plus celle d’un pays, ni même d’une Europe , mais d’un mondialiste qui ne sera pas la solidarité créant les hommes citoyens du monde , mais citoyens du mondialisme économique avec des enjeux à la hauteur des milliards dépensés pour structurer cette nouvelle Terre où l’écologie sera elle-même un langage numérique fidèle à l’IA pour survivre. Ce monde sera cet immense aquarium comme nous avons eu l’idée d’y enfermer la vie pendant que l’eau est impactée par toutes les sources de pollution , y compris la radioactivité.
« Pas de pauvreté » engagement premier du développement durable
« Pas de pauvreté » l’engagement de l’ONU pour la décennie dans la volonté du développement durable est mis à mal par le passage en 2021 de la pauvreté à l’extrême pauvreté qui détruit des vies et dresse une effroyable injustice qui n’a de cesse de s’imposer par le mental de politiques prenant les mesures sanitaires pour un droit à l’enfermement. Une jeune étudiante de 18 ans exprime son ressenti en déclarant, « On vit comme des animaux, plus comme des hommes ». La détresse traduisant la terrible injustice qui domine en France par des conceptions politiques dictatoriales, imposant la police en pouvoir de l’État, un système d’inversion où l’injuste devient le juste, où l’escroc est l’honnête homme, le violeur excusé et la victime niée, les dorures en parure par un système de palais dans les préfectures, ministères, donneurs d’ordres à la méchanceté et violence en arme de pouvoir, le cinglant de la pauvreté hante la France dans le vacarme des hypocrisies et perversités des mensonges politiques, d’une justice en deuil depuis des années, le bruit remplace l’écoute de la liberté.
Une pauvreté alimentaire en France où il est 10 millions de pauvres, 10 millions d’êtres humains qui ne peuvent se nourrir de manière régulière et équilibrée , qui ne peuvent se chauffer , se soigner et ADSF Agir pour la santé des femmes explique après la réalisation d’une enquête que de nombreuses femmes notamment les mères isolées méprisées par la justice et laissant des pères indignes ne payant pas la pension alimentaire, abandonnant leurs enfants et souvent il est ces hommes violents, cruels ayant commis des violences conjugales graves dans un système d’impunité conçu et voulu par le système fondant l’injustice brimant des vies innocentes, qui sont à se priver de produits d’hygiène, de nourriture, diminuant leur part de repas, se privant de tout bien-être et donnant leur force pour survivre par amour de la vie, par force d’y croire en donnant tant de bonté, d’espérance à la vie. Ces femmes qui subissent une santé dégradée par trop de souffrances et qu’elles dépassent en ne comptant que sur elles-mêmes. Le pourcentage, 52% des femmes ayant une moyenne d’âge de 51,3 ans ont un problème de santé contre 30 % pour les hommes.
Ce pouvoir politique et celui qui ose sans honte prendre le nom de justice, fait le choix de la non résilience qui doit pourtant être ce possible donner aux victimes de maltraitances , de pauvreté, d’une violence multidimensionnelle qui atteint le profond de l’être .
Notre humanité ne sera jamais sans la moitié d’elle-même, les femmes. La richesse d’un pays se mesure à la liberté qui y est vivante et à la paix qui n’y est pas en danger, et non à la fortune de ses milliardaires et à un pouvoir d’un État policier. C’est la bienveillance, la solidarité véritable qui fondent la démocratie et aujourd’hui, la France est une démocratie défaillante par la méchanceté que le système régnant sur son sol impose en provoquant traumatismes sur traumatismes aux plus vulnérables.
Une enquête réalisée entre septembre et octobre 2020 sur un échantillon représentatif de 179 bénéficiaires par Action contre la faim, ADSF Agir pour la santé des femmes et la Fondation de l’armée du salut, sur un site de distribution alimentaire à Paris, établit que 50 % des bénéficiaires actuels n’avaient pas recours à l’aide alimentaire avant le Covid et donc des mesures sanitaires prises . Un nombre qui a fortement augmenté depuis sans que le gouvernement ait l’idée de penser à la gratuité de produits alimentaires et d’hygiène essentiels pour tous et non dans une division riches/ pauvres, mais dans une responsabilité de solidarité pour un monde lumineux et non au sombre des inégalités fortes et discriminations.
Une pauvreté sans que le gouvernement qui ne manquent pas de savoir ordonner amendes, attestations de sortie , confinements et couvre-feux mettant le droit humain fondamental au bien-être, à la santé psychique et physique d’une population se trouvant en détresse, ait eu l’idée de concevoir un toit pour tous en pleine pandémie, mais ne manque pas d’ingéniosité concernant la technique de l’éboulement jetant pierre sur pierre par la surveillance globale, le séparatisme qui illustre à merveille cette droite sectaire, excluante clouée à la table de l’argent, du pouvoir, du mensonge comme le seront certains socialistes se donnant les atours du pouvoir.
L’enquête révèle également que 44% des personnes interrogées n’avaient mangé qu’un seul repas le jour précédant l’enquête. Cette enquête souligne qu’il y a 23 % des enfants qui ont été contraints de réduire leur consommation alimentaire en raison de la crise. En sachant, qu’il est les personnes invisibles des enquêtes , celles qui ne se manifestent pas, ne disent pas ne pas manger à leur faim, les personnes ayant de temps à autre l’aide d’un proche pour aider à des courses alimentaires, ceux dans des infrastructures médico-sociales, les personnes en détention vivant la pauvreté, car la misère est souvent une souffrance silencieuse et aucun chiffre ne peut vraiment mesurer son ampleur dramatique.

Une drame, l’extrême pauvreté pourrait toucher en 2021 des populations pauvres entières et cela sur tous les continents
La France , une solidarité forte repose sur les épaules des associations et collectifs, citoyens-es qui œuvrent chaque jour pour aider chacun selon ses moyens, pour distribuer des paniers repas aux personnes qui en longue file d’attente reçoivent un peu de cette chaleur humaine si vitale pour vivre.
Les politiques, eux, sont occupés à jeter les dés de 2022 entre Le Pen et Macron, le même recommencement de la pauvreté , de la violence. Macron qui certainement ne laissera pas son nom dans l’histoire , mais la violence qui est , cette paix en détresse qui est cet oiseau en cage qui n’écoute que l’espoir.
L’injustice ne peut définir une démocratie
L’injustice ne peut définir une démocratie, mais elle définit la violence , celle de la pauvreté qui est le premier mensonge des puissants qui pour posséder le pouvoir sont à la folie de détruire la liberté et de faire croire pour rester à leur impunité que la misère est une loi faisant partie de notre humanité.
L’économie est une chose inventée et les hommes politiques ont fait le choix d’y sceller l’esclavage pour concevoir la richesse. Un tel système n’est pas celui portant la paix, mais la guerre et cette guerre est le langage de la haine car l’amour ne condamne pas un être humain à la souffrance, ne domine pas une naissance, il ne prive pas un enfant de sa liberté en décidant qu’il est pauvre. Tout cela est l’œuvre de la folie, du refus d’être simplement un être humain qui sait aimer.
© Fédora Hélène

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