8 mars – Journée internationle des droits de la femme – Des droits pour anéantir le patriarcat

Le 8 mars prochain sera la journée internationale des droits d de la femme

 Des droits, le droit humain de vivre en paix et sécurité . Le droit à la justice quand une femme subit des violences, viols, barbareis . Le droit de vouloir que les Conventions internationales pour mettre fin aux violences faites aux femmes et qui en un quart de siècles n’ont jamais été véritablement respectés comme alert l’ONU, le soit de manière immédiate. 

Le 8 mars,  il n’ y aura des actions, manifestations, la libération de la parole sur les réseaux sociaux, ce progrès de dire ce qui était enfermé dans le patriarcat, la culture du viol. Un patriarcat qui demeure au sein de la justice, de parti politique de droite sectaire,  ainsi qu’ au cœur de pierre de femmes et d’hommes qui y préfèrent la haine, la misogynie, la négation de la moitié de notre humanité, les femmes.

Refondre la justice profondément pour qu’il soit une justice véritable de paix, cela ne sera pas . Il est des mesures qui auraient dû être prises depuis des décennies qui sont enfin existantes , mais cela demeure très insuffisant pour mettre fin aux violences faites aux femmes et aux enfants qui subissent un père violent, cruel qui n’hésite pas à traumatiser ses propres enfants.

Il est aussi la froideur des institutions de ce pays, leur indifférence pour les femmes et les enfants victimes de violences , leur silence implacable et il était en 2019, 1 % des violeurs condamnés après des années de procédures éprouvantes pour les victimes. Dans la majorité des cas, les plaintes sont classées sans suite ou il est un non lieu. Puis, après des années de procédures, les viols peuvent être correctionnalisés . Les prédateurs connaissent le système d’impunité qui règne, et conscients et responsables, ils calculent en premier leur impunité.

C’est ainsi qu’un prédateur, manipulateur pervers a pris le droit d’anéantir une femme en commettant des violences conjugales , sexuelles, psychologiques , physiques et financières sans être inquiété si ce n’est une condamnation pour violences conjugales à deux ans de prison avec sursis et deux ans d’obligation de soins qu’il ne respectera jamais, et condamnation qui ne représente en rien l’ampleur et la gravité des violences qu’il a commises et dont il s’est vengé sur sa proie. Proies qu’il a oubliées, ses propres enfants et leur mère. Il se lave les mains des traumatismes qui leur a imposé, ne les considérant pas comme des êtres humains mais des choses. Il sait également qu’il peut manipuler sans limite en nuisant à autrui  sans en être visiblement inquiété.

Les colleuses à Bordeaux seront arrêtées et placées en garde à vue très rapidement après avoir écrit sur un mur le nom de la préfète de leur région, mais quand ce prédateur utilise de manière malveillante , très malhonnête le nom de personnalités publiques, et que celles-ci sont alertées, il n’est pas arrêté et continue allègrement ses manipulations. Il peut également se prélasser à l’hôtel et partir sans payer laissant des factures de près de 3 000 euros sans être de la même manière inquiété.

Puis, il aura toute la perversité, méchanceté que des personnes cultivent  pour se savoir flatté, considéré. C’est  une infirmière de la région bordelaise dont le métier serait de protéger les victimes et non de soutenir un agresseur pervers. Ainsi que le dit Adèle Haenel, ces gens crachent sur les victimes. Mais, nous sommes aux hypocrisies, apparences dominantes, narcissismes et peu importe que le flatteur soit un agresseur.

Il restera le dominant dans ce pays froid, où des personnes essayent de résister comme les humanitaires, le mouvement des gilets jaunes, des étudiants, tout un mouvement pour la préservation de notre planète, tout un mouvement solidaire , mais il est aussi le pays qui propulse la haine aux élections présidentielles, les manipulations, le pouvoir de l’argent, les fortes inégalités, discriminations et racismes.

La pauvreté , cette violence y demeure forte avec 10 milllions de pauvres , des enfants à la rue, des migrants maltraités, des mineurs isolés laissés à l’abandon, des Sans-Papiers qui pourtant exercent les métiers essentiels durant la pandémie de Covid et qui sont humiliés.

Alors, un prédateur qui martyrise sa conjointe enceinte, lance sur elle des cigarettes allumées, la jette à terre en renversant le lit à trois heures du matin, la viole, renverse son repas et celui de ses enfants à terre, les poursuit avec une rage haineuse en pleine nuit sur la route en tentant d’emporter avec une violence inouïe une des enfants fuyant à pied avec sa mère en plein hiver sur une route de campagne, peut continuer à nier ses victimes, à les diffamer, à mentir, à rire d’elles en toute impunité. Il s’en lave les mains et poursuit sa prédation ailleurs sûr de son impunité.

Le 8 mars 2021 et les jours suivant la grande majorité des femmes victimes de violences resteront à l’oubli sans recevoir la moindre reconnaissance de leur humanité, le moindre droit humain au bien-être, à la santé, le droit à la résilience.

La presse étale le nom de personnalité, mais tout cela est un mécanisme de business et non de justice. Quant à la parole libérée , les pouvoirs savent bien qu’elle va s’éteindre et qu’elle restera enfermée sur les réseaux sociaux.

Chacun peut choisir ses actions, ses manifestations pour lutter contre les violences faites aux femmes et surtout ce jour du 8 mars.

Puis, il vient cette question, vivre en acceptant la souffrance incommensurable de violences cruelles vécues enceinte, et savoir que l’enfant agressé dans le ventre de sa mère ne sera jamais respecté, comme si la mère et son enfant étaient ces transparences dans la nuit.

Ce prédateur Phil P en ombre et toujours ses hurlements d’injures obscènes comme il hurlait des heures durant en pleine nuit. Sa négation de la vie de ses proies, se fichant d’anéantir une femme enceinte , se moquant de la naissance de son propre enfant et venant à la maternité aggresser sa conjointe venant de subir une césarienne en urgence. Il ne laisse aucun répit à ses proies qu’il attaquent, aucun droit de liberté, de paix même à la naissance d’un enfant.

Puis, il part , fuit et oublie les actes criminels qu’il a commis et s’amuse en open bar, flatte, manipule et continue inlassablement ses escroqueries , ses fréquentations malveillantes partout où il atterrit pour poursuivre ses intérêts , se fichant des conséquences de ses actes en bombe à retardement pour les victimes dont il dévaste la vie.

Alors il sera le 8 mars , cette goutte d’eau d’espérance, de résistance, ce droit à la reconnaissance, à la force du verbe aimer pour que le courage d’une femme enceinte protégeant de tout son amour son enfant alors qu’elle subit des violences , ne soit pas au silence des souffrances , mais à la clarté de la vie, de sa liberté, de sa paix, celle oubliée dans ce pays aux lourdes indifférences.

Action – Cesser toute alimentation pour que la paix triomphe

À partir du 8 mars, plus aucune nourriture ne sera prise. Ce prédateur sera face à ses actes criminels, mensonges destructeurs, atroces lâchetés. Il ne sera jamais face à la justice, mais il sera face à sa conscience car il a toujours prémédité, calculé ces actes. Il a toujours été conscient et responsable. Ce prédateur va cesser ses diffamations, il va cesser ses fréquentations odieuses avec des personnes encourageant sa violence, ses mensonges, son ivrognerie comme lorsqu’il était à rencontrer des RG .

La victime demande que ce prédateur cesse sa cruauté, ses horribles mensonges, reconnaisse les actes criminels qu’il a commis.  Chaque jour de plus où il niera la vie de la femme qu’il a martyrisée enceinte, sera un jour sans aucune alimentation. Il ne sera pas oublier les personnes soutenant un homme si cruel. Ni oubli ni pardon

Extrait d’une lettre adressée à une autorité concernant les violences que les victimes ont vécues

« À ce jour, en mars 2021, P* se balade alors que la justice ne peut ignorer ces agissements d’escroc, faussaire et voleur multirécidiviste puisqu’elle connaît sa criminalité depuis 40 ans et mieux que les proies de P*. Comme elle ne peut ignorer les violences cruelles qu’il a commises durant des années et brisant une grande partie de ma vie, la plus précieuse , mes grossesses, tant il voue son existence à  attaquer un être humain en le traitant pire qu’un animal, en lui faisant subir des conditions de vie inhumaines, commettant des violences conjugales aux conséquences multidimensionnelles, traumatisantes . P* a traumatisé ses propres enfants en étant toujours conscient et responsable, usant d’une extrême perversité, calculant son impunité en usant d’un système judiciaire qu’il maîtrise dans le but de nuire. 

Ce seront ces longues nuits à survivre , à résister, à se définir être un être humain par la force de vivre, d’aimer, de donner chaque jour à mes enfants en étant debout, souriante et leur permettant de réussir leurs études, d’avoir une mémoire autre que celle traumatisée par la violence d’un homme cruel navigant dans les cercles politiques, de justice, d’avocats, de RG , de journalistes, dans ces manipulations morbides , mensonges destructeurs , systèmes d’inversion qui blessent, tuent la vie. » 

« Pendant ce temps , P* était à squatter des hôtels partant sans payer et laissant des additions de plus de 3 000 euros, d’autres de 800 euros et les personnes manipulées, escroquées disent n’avoir jamais eu de nouvelles de la justice ». 

« Je sais que seul l’amour sauve, qu’il n’est que bonté, vérité et qu’il doit triompher. Je sais que je dois au verbe aimer d’être vivante et que la justice ne pourra jamais m’offrir plus que cette chance de vivre. J’ai porté plainte pour mes enfants, par la souffrance de ce que j’ai subi enceinte ,  la souffrance que mon enfant a vécu dans  mon ventre par les actes cruels qu’ a commis  P*. 

Ma fille est née en urgence, les battements de son cœur n’étaient plus perceptibles. Une césarienne en urgence . P* est venu chaque jour à la maternité en étant ivre, violent, méchant, des mots sales et sans un regard pour mon bébé. J’ai fait taire la souffrance qui me dévastait pour n’offrir à mon enfant, nouveau né, que le sourire. Le sourire pour sa magnifique naissance ». 

« Je suis une maman que la justice n’oublie pas au moins cela. Il faut un immense courage pour dire un viol car c’est le revivre, ressentir la douleur. La mémoire du corps qui se rappelle. La douleur est qui est toujours ce présent et qui parfois est cet entre la mort , tant un viol tue ».

« Je parle de ma vie, du plus précieux de ma vie, mes enfants, leur grossesse martyrisée par P*, et l’innocence est aux victimes et non au  bourreau, et elle ne sera jamais à cet homme cruel qui aujourd’hui est impuni face à ses crimes, face à l’ampleur, la gravité des  actes qu’il  a pris plaisir à commettre. Plus il voyait la souffrance, la peur dans mon regard, plus il devenait violent, plus il hurlait de plus en plus fort des injures très obscènes à mon égard, n’hésitant pas à le faire devant les enfants à qui il hurlait « Vous êtes des chiards ! » comme il me l’écrivait par message pour le 24 décembre, ainsi qu’il l’écrivait par message à son père.   Puis le lendemain matin, partant glacé, froid, inhumain dans ses barbouzeries, mensonges, manipulations plus perverses les unes que les autres,  fréquentations politiques, de bars ou de bourgeois-es en col blanc pour nourrir son ivrognerie  qu’il cultive conscient et responsable et autres. 

Un instant de vie et la violence de P* sera toujours plus à anéantir la liberté et sa paix , la liberté de ma vie, la liberté d’être heureuse , en paix et sécurité avec mes enfants. . La résilience , je l’ai construite par mon amour de la vie, de mes enfants . Il faut également dépasser une justice qui n’existe pas , qui oublie les victimes, les nie, laisse dans une attente insupportable, alors que des personnes disent avoir sans problème P* au téléphone, certains le voient passer. Puis, il est tous ces gens à écouter ce terrifiant prédateur en toute connaissane de cause  dans leur culte du patriarcat, culture du viol  et flattés par tous les noms de personnalités qu’il cite et dont il dit être proche, comme il le fait avec votre nom , votre image, et vos titres. Des gens également à se servir de ce manipulateur  pervers pour arranger leurs histoires de faillites et intervenir auprès d’institutions publiques sans aucune honte ! »

« Où sont les faits d’abus de faiblesse, abus de confiance, menaces de mort récurrentes avec un couteau, viols conjugaux, violences multidimensionnelles,  barbarie quand il me lançait des cigarettes allumées sur moi alors que j’étais enceinte. Je n’oublie pas l’alcool ménager qu’il m’a lancé dans les yeux devant mes enfants et ma fille qui se trouvait derrière moi en a reçu des projections. P * anéantit un être humain, détruit sa vie, vole sa liberté, manipule monstrueusement, faits des membres de sa famille, ses choses.  Puis, il est une mise en situation de précarité, d’isolement , sans compter ses  vols et escroqueries,  harcèlement, chantage en me disant entre autres que l’on me retirerait mes enfants car je pleurais suite aux violences qu’il me faisait subir ! Que personne ne me croirait si je disais les violences que je subissais et que je serais alors mise en hôpital psychiatrique ! »

« J’ai vécu des violences graves et quel respect cette justice à de mon humanité, de mon corps humain, du droit au bien-être, du droit à la santé, et ce en pleine pandémie où des milliers de mères isolées précaires assument seules, portent seules leur famille en se privant, en sautant des repas faute de moyens financiers et assumant toutes les charges pour que leurs enfants soient en sécurité. »

« Croire en la justice est un espoir  quand la justice véritable n’est  pas une réalité. Je lui ai confié avec confiance la plus précieuse partie de ma vie, j’ai eu la force de raconter un viol vécu en étant enceinte et témoignant en état de choc sans que qui que ce soit se préoccupe de ma santé. La porte du bureau était ouverte, j’étais entre le bureau et le couloir ! Ce pays semble  ignorer la valeur de respect et oublie celle d’humanité. »

« Je sais ce que signifie la violence et je connais la réelle valeur de la paix , de la liberté. Il restera la phrase de Martin Luther King « Une injustice commise quelque part, est une menace pour la justice dans le monde entier« . Nous voyons aujourd’hui par l’extrême pauvreté que vivent des enfants dans le monde, des violences augmentées par le bouleversement actuel en valeur exponentielle ,  par des mesures sanitaires  qui mettent les plus vulnérables en détresse, ce que signifie l’injustice et que les larmes d’une mère ne sont jamais vaines.. Elles sont une blessure pour toute notre humanité.

 Puis, il est possible ainsi que le définissait   Nelson Mandela , un idéal de liberté, un être libre,  un idéal pour lequel on donne sa vie car la liberté est la source qui a rendu possible à notre humanité d’être et de perdurer. Un idéal , une vie de famille libre et sereine, respectée et aimée . L’idéal d’une société qui n’accepte pas qu’un homme cruel puisse traumatiser, violer une femme enceinte car l’ idéal de nos sociétés doit être le droit humain en réponse, la solidarité en solution. Alors, ce sera l’anéantissement de la pauvreté, et la fin des violences ».  

 Les grandes souffrances se font silence disait l’Abbé Pierre, le silence en moi. Prendre toutes mes forces et offrir chaque matin mon sourire à mes enfants. 

« Si c’est nécessaire, c’est un idéal pour lequel je suis prêt à mourir » Nelson Mandela.

La pauvreté, les femmes et les enfants sont en première ligne à le vivre à travers le monde, y compris en France. Et, il est tous ces hommes qui ont commis des violences conjugales et qui ne paient aucune pension alimentaire, disparaîssent et il est toujours ce sytème d’impunité.

© Fédora Hélène 

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