
Après le 8 mars, journée internationale des femmes , il est un combat pour la liberté. Celui -ci a un nom, jour. Ce jour qui se lève chaque matin. Une émotion à l’aube de la vie.
Ce 9 mars, les victimes d’un prédateur crie « Nous sommes ce jour, cette résistance , cette force qui se lève comme elle s’est levée chaque jour alors que tu violais, maltraitais, méprisais, haïssais un être humain, car elle est une femme. Car, il est ce fragile de son coeur pour son enfant que tu as traumatisé. Nous sommes ce jour, celui qui ne pâlit pas, qui se bat pour être demain un avenir en paix, un avenir car toutes les victimes de violences, de viols , de viols conjugaux portent ce jour de vie, vivre ! Vivre libre ! »
Un homme violent, cruel ne peut anéantir une vie, être conscient et responsable de ses actes criminels, s’en laver les mains , oublier les victimes dont il a volé une partie de la vie et partir escroquer, manipuler ailleurs comme bon lui semble en sachant qu’il est un système d’impunité et qu’il ne sera jamais face à toutes les violences, maltraitances qu’il a commises car il est aussi les prescriptions alors qu’il a été maintes alertes, qu’il a été aussi l’humanité de l’espérance que révèle la souffrance.
Cet espoir qu’il devienne un homme ayant la dignité de reconnaître et de cesser de blesser un être humain, une femme, la mère de ses enfants. On ne peut pas anéantir une femme enceinte en la martyrisant, en lançant sur elle des cigarettes allumées sans se soucier qu’elle est un être humain, en se cachant fier loin de ses responsabilités, sans une once de culpabilité, se pensant supérieur et infériorisant la victime, les victimes qui ont subi sa violence.

Une plainte portée en septembre 2019 et en mars 2021 ce prédateur se balade, jamais inquiété pour toutes les violences conjugales qu’il a commises.
Le 8 mars, Journée internationale des droits de la femme, de la lutte contre toutes les violences faites aux femmes , il était des actions, des manifestations, et cette goutte d’eau. Cette goutte d’eau à la transparence, à l’invisibilité telles que le sont des millions de femmes à travers le monde, y compris en France.
Cette journée est celle disant que les femmes , les enfants, les personnes vulnérables ne sont pas respectés, aimés par cet essentiel amour qui doit être le moteur de notre société. Cette journée du 8 mars n’est pas une kermesse, elle n’est pas la fête de la femme, elle est pour que les droits des femmes , qui sont des droits humains, soient respectés. Ce fondamental de notre humanité qui est une et non celle séparée de la moitié d’elle-même car elle est femme.
Cette journée-là, le prédateur cité n’est pas à reconnaître ses crimes, les viols conjugaux qu’il a commis, ni toutes les maltraitances qu’il a fait subir à ses propres enfants, à leur mère. Il est cet homme cruel sans aucune humanité commettant des violences sur son épouse enceinte.
Cet agresseur a également menti , manipulé sa propre famille, inventant avoir des diplômes se révélant être des faux qu’il a fabriqués. Mentant, manipulant ,trichant sur toute sa vie, et préférant plus que tout jouer ses personnages, se venger de toutes ses frustrations, haine, sur des innocents , ses enfants et leur mère.
Libération publiait pour le 8 mars , le fait qu’un homme reconnaissait avoir commis un viol conjugal pour que ses aveux puissent apaiser la victime et lui donner le droit à la reconnaissance, reconnaître son humanité.
Au contraire de cet homme avouant , assumant ses actes, le prédateur qui fera l’objet d’un livre pour que les victimes de sa violence inouïe ne soient plus jamais niées, a répondu à sa famille découvrant toutes ses odieuses manipulations, par des injures, obscénités, crachats et doigts d’honneur en pleine rue et en se sauvant ! Puis, en hurlant la date de naissance de ses enfants et de leur mère en disant « Je suis capable de tuer« . Sans limite dans sa haine, sans vergogne, prédateur autoritaire.
Libération qui explique sa publication du 8 mars avec cette justesse , ne pas avoir voulu « Renforcer l’invisibilité de ce crime« . « Les terribles conséquences » que subissent les victimes de viols conjugaux et ceux étant l’incarnation de l’horreur quand il est ces viols conjugaux sur une femme enceinte. Ces viols qu’a commis le prédateur contre qui , il est une plainte depuis septembre 2019 pour des faits dénoncés il y a plusieurs années.
Mais le plainte avait été refusée sans que la victime ne soit entendue, ce qui est illégal. Un prédateur commettant également des violences terrifiantes sur son épouse enceinte. Cela ne peut être comme il le souhaite, la mort de sa victime. Alors la lutte est et on ne lâchera rien.

Le droit de porter plainte et la justice se doit de protéger les victimes qui comptent le plus souvent que sur elles-mêmes. c’est pourqoi, la fondation des femmes publient une vidéo disant aux prédateurs, agreseurs , « Regarde moi bien« , « Regarde moi bien quand je porte plainte » , « Regarde comme je suis forte« . Forte , cette force est pour survivre à un meutre , cet entre la mort, un viol.
Et, ce 8 mars, il est toujours ce manipulateur fier, jouant ses personnages et flattant ce milieu journalistique et politique mondain que nombreux françaises et français ne supportent plus. Ces nantis se proclamant l’élite et offusqués par les actions féministes qui sont loin de leur humanisme paresseux entre le champagne et leur solitude dans leur entre soi. Ils ignorent la beauté du courage de dépasser les peurs, de sourire à la vie, de croire en un avenir serein fort des luttes et résistances. Sauver leurs enfants de la violence d’un prédateur, porter à bout de bras leur famille , affronter la précarité, devoir assumer chaque jour debout en vainquant la douleur de l’injustice, une santé fragile par toutes les violences subies, les bourgeois pédants aux vins de leur lâcheté ne savent pas, ne ressentent pas l’émotion humaine qui est parole des victimes de violences conjugales et sexuelles.

Les nantis narcissiques récitent dès le 9 mars après leur hypocrisie du 8 , tout leur dégoût pour les combats féministes. L’ ignorance , leur médiocrité , ignorant la souffrance d’une mère dont la fille a subi des violences seuelles, ignorant les luttes féministes à travers le monde pour donner aux enfants la possibilité de vivre libre en ne subissant pas l’horreur d’ un patriarcat qui blesse, tue, mutile des femmes, des fillettes.
Un prédateur est ce dément qui commet un crime. Le viol est un crime. Cet entre la mort, ce présent qui frappe par la mémoire traumatique
Un prédateur évolue dans un environnement et celui qui a porté toutes les manipulations, la barbarie de ce prédateur, est un milieu bourgeois des médias, des politiques et de la justice . L’être humain n’est pas parfait et nous sommes tous faillibles, manipulables, et ce prédateur manipule, vole le coeur , son intelligence, ses émotions, son humanité, ce qu’il a fait à l’égard de ses enfants et leur mère volant, trahissant leur coeur, leur vie, leur humanité et faisant d’eux ses choses, ses poupées de chiffons dont il saccageait la vie , puis les rayant en quelques secondes, les oubliant et partant jouer ses personnages dans les mondanités parisiennes ou de province. Il fut à Toulouse cet escroc de toutes les réceptions. Cet étrange de préférer le faux à la sincérité de vivre, d’aimer.
C’est par cet art de la manipulation que le 8 mars, il sera à jouer sa comédie morbide oubliant la femme qu’il a martyrisé et s’affichant auprès de ce journalisme de mondanité, ce révêlant être cet humanisme de salon, celui qui abandonne les pauvres à la réalité sans secours, et il est 10 millions de pauvres en France et des enfants à la rue. Les élites mondaines dans leurs brasseries parisiennes aux noms célèbres et cet agresseur dans le superbe de sa perversion narcissique, mythomanie y joue sa comédie cynique loin de son vrai visage. Les victimes sont très choquées de constater qu’il demeure à la lâcheté de ses actes, comprenant son impunité comme une puissance et se faisant ce collectionneur de ses propres masques. Puis, il est de rappeler à ceux qui l’ont oublié, leur conscience.

Comment l’ONU ne pourrait pas alerter qu’il vaudra encore 100 ans pour que les droits humains des femmes soient respectés à l’allure des gouvernements et des mentalités niant le courage des victimes de violence à témoigner, et comme le dit Adèle Haenel, ils sont ceux qui crachent sur les victimes.

Une maman qu’un prédateur a violée enceinte, qu’il a injuriée de manière très obscène, qu’il a horriblement diffamée, harcelée . Puis, il sera l’horreur des agressions qu’il commet à la maternité sans aucun respect pour la naissance en urgence de l’enfant dont les battements de cœur n’étaient plus perceptibles. Ce prédateur continuant inlassablement ses violences, harcèlements, manipulations, escroqueries année après année, sans oublier toutes les menaces de mort qu’il a proféré dont avec un couteau à la main. Puis, il ne sera jamais oublié qu’il a traumatisé ses propres enfants par toute sa rage, sa violence, sa négation de la vie d’autrui, faisant des membres de sa famille des choses. Il ne sera d’accès à une justice véritable pour les victimes, il ne sera jamais la possibilité de se reconstruire véritablement, en paix , dans un pays ancré dans le patriarcat, la culture du viol, l’indifférence, le bruit et laissant des victimes sur le carreau sans aucun respect pour leur humanité.

Alors, il sera cette goutte d’eau d’espérance, de résistance pour la liberté, la paix, le droit humain au bien-être, pour que ce prédateur soit face à ses actes criminels, pour qu’il ne se permette plus jamais de mentir, salir, nier une femme enceinte qu’il a maltraitée, brisée par sa violence inouïe. Il est cette goutte d’eau en transparance, ce jeûne qui ne sera pas que de 24 heures pour la paix, pour que l’amour soit le triomphe. La vie, ce n’est pas le néant d’un prédateur se faisant ennemi de ceux lui ayant donné tant de leur cœur, de leur humanité par cet espérance qu’il deviendrait un homme bienveillant, qu’il cesserait de saccager leur vie.
Ce jeûne est ce silence, cette invisibilité, celle des victimes. Cette survivance s’accomplissant dans la paix, à l’écoute de la liberté comme il sera ce temps d’écriture, ce livre qui révèlera la force d’aimer des victimes. Pour que les victimes aillent mieux, pour que leur vie ne soit plus celle violentée par ce prédateur pervers leur crachant dessus au sens propre comme figuré pendant qu’il fait de son impunité une puissance comme il fait de ses manipulations, sa colonne vertébrale.
Puis, il est le verbe vivre, et Mitterrand disait , » Penser aux morts, c’est assurer la survie des gens qu’on a aimés« . La survie n’est pas pour ceux vivants, pour eux , il est de vivre, d’être la vie resplendissante et cela ne peut être sans la liberté , sans le verbe aimer sans lequel notre humanité est à son désastre. Offrir un jeûne en action pour toutes les femmes survivant , pour toutes celles magnifiques qui oeuvrent à travers l’Afrique sans moyens financiers ni d’infrastructures adaptées pour libérer des fillettes de mariages forcés , pour interdire et criminaliser les mutilations génitales comme l’a réalisé en Gambie en tant que Ministre de la justice, Mama Fatima Singhateh, experte à l’ONU dans la lutte contre l’exploitation sexuelle et la vente des enfants.
Nous sommes loin des salons mondains parisiens , loin de ceux qui invisibilisent et ridiculisent la lutte internationale pour les droits des femmes qui s’expriment de différentes manières : par l’art, la parole libérée, par l’accès à la santé pour les femmes, par l’instruction , par la volonté de combattantes à travers le monde. D’ailleurs en France , il n’est toujours pas durant la scolarité l’enseignement des droits des femmes, des Conventions internationales luttant contre les violences faites aux femmes et qu’en un quart de siècle les gouvernements successifs ont oublié.
La lutte est un soleil et en France nombreux sont ceux qui oublient les pays pauvres alors que le principe du soleil est la multitude de sa lumière qui éclaire le monde et pas uniquement les pays riches. Puis, quand la pauvreté, l’injustice, le non respect des droits des femmes est quelque part sur terre, alors cela est dans le monde entier ainsi que le définissait Martin Luther King car les causes provoquant des conditions de vie inhumaines pour des millions de personnes, se puisent au cœur de nos systèmes qui fondent un bouleversement universel.
Un jeûne pour un enfant , pour le sourire d’un enfant , cette paix universelle dont nous avons tous besoin.
© Fédora Hélène
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