
Il serait difficile de ne pas voir les affiches de Marine, du triste cirque Le Pen dans nos rues depuis 40 ans par ce jeu des jongleurs avec notre humanité. Ce monde politique et journalistique qui vole la démocratie quand dans un envol, elle passe colombe entre leurs balles et filets lancés par la violence des manipulations, haines, pouvoirs, folie de l’argent en puissance.
Tous ces mots qui marquent la solitude de notre monde séparé de la liberté.
Tous dressent les murs et laissent la démocratie ne jamais apparaître. Malheureuse ,elle se tient dans l’ombre, assise et recluse, il n’est jamais un bulletin de vote pour elle .
Ils vont pour le pouvoir, l’argent , les pierres des palais politiques, oubliant l’humain et la nature aussi. On achète des bois, des rivières, des plages, et les forêts en peine s’abattent sous nos yeux. Brûle le feu de la paix . Tous nous avons besoin d’une nécessaire réconciliation, de ce vital consentement pour la liberté. Ce oui profond et soutenu en notre âme pas en un programme politique.
La liberté exige de nous que nous soyons au regard de la vie , de son avenir et non des élections qui nous disent que la crise n’est qu’aux pauvres quand les millions vont se déchaîner dans les champs politiques pour élire le candidat choisi par la finance, le bruit qui couvre la liberté. Elle étouffe. Emmanuel Macron et la défaillance, notre démocratie tombe aux mains des violences. Ce sourd cruel qui s’unit aux murs d’indifférence et en écho brise l’être.
La violence qui tue nos enfants. À toi, belle étoile Alisha, que de souffrance sur ton visage d’enfant et tes rêves à jamais endormis. Quel immense chagrin, cette peine nous étreint . Nos mémoires porteront ta survivance, sœur à nos cœurs. Que de douleur, ces jeunes abattus, ces vies détruites, ce monde se perd dans la folie de nos systèmes inventés qui brisent le mât de la paix .
Tous ces jeunes adolescents qui tombent sur le sol glacé de nos cités riches ! Cette fortune est notre perte , et nous ne serons plus qu’à survivre sur un radeau quand les hommes de violences auront perdu les yeux clairs de l’enfant qui rêve et espère dessinant sur sa Terre l’avenir radieux de sa vie. Il tient au bout de ses doigts ce trait qu’il trace dans le sable mouvant de nos tempêtes et guerres quand l’homme se divise, surveille son frère et qu’il se fait l’ennemi.
Frère, as-tu oublié cette sœur de cœur qui nous tient par la main pour avancer et construire nos vallées où le printemps est toujours accueilli pour que l’hiver éternel ne menace pas notre humanité. Ce consentement de recevoir la liberté, être libre et le regard pouvant admirer la vérité et notre volonté, ayant la force d’anéantir ce qui la blesse profondément, la pauvreté et les violences . Une femme devient une tombe , plus de 800 millions. Ce chiffre, c’est le nombre de femmes victimes de violences conjugales dans ce monde qui ne voit plus la vie belle et resplendissante.
Nous sommes aux mensonges politiques ceux qui sèment la violence et détruisent chaque jour une vie . La famine, la sécheresse de Somalie et notre Terre mère pleure .
Nous croyons que nos bulletins de vote ne font que notre pays aux élections présidentielles, mais nous oublions notre unité. Nous séparons notre humanité de notre être et faisons d’un candidat , celui qui ne pourra pas répondre aux exigences de survie qui s’imposent à nous en ce bouleversement planétaire actif . Nos yeux ne le voient toujours pas le tremblement de terre, la misère.
La pandémie de souffrances qui s’abat sur notre terre par la main de l’homme ayant façonné sa pierre en tombeau pour des millions d’enfants menacés par la famine. Et, l’indifférence court d’élection à une autre dans des débats aux manipulations des pouvoirs.
Le Pen, il était de prononcer un non consentement dès les années 80 où le capitalisme acharné montrait ce que serait notre avenir construit sous son aile d’orgueil, son ignorance, son absence de solidarité, sa cupidité, ce terrifiant de l’ injustice. Une jeunesse déjà en mal être, et ceux prédateurs attablés aux corruptions, haines, démence narcissique de vouloir posséder l’humain, le contraindre , en faire une chose en fracassant sa liberté, en faisant de lui cet outil de la machine dans une compétition féroce entre les pays riches pour être le dominant. Les pays pauvres subissant et voyant toujours leur liberté prisonnière , dépendent toujours des puissances pour survivre . Les dettes et qui doit à qui , d’un être humain à un autre, on a inventé cette folie suicidaire de la dette en piège qui tient notre fraternité entre ses mains , qui devient tel un château de cartes qu’elle effondre.
La pauvreté qui recouvre le Liban et Emmanuel Macron en messager du FMI , pourrait-on penser , vient tendre la main au milieu des pleurs, des terribles douleurs . Des enfants vivent les terreurs que les hommes de pouvoir sont capables d’ ériger depuis ces décennies de guerres qui font les champs de bataille qui inspirent les réconciliations après avoir posé la pierre des soldats inconnus. Comment ne plus fonder ces États qui inlassablement renouvellent les désespoirs, les fausses promesses en cousant toujours la traîne de la pauvreté , longue, extrême qui s’abat aujourd’hui sous nos yeux et nombreux s’en détournent, l’ignorent .
Nous devenons ces terribles ignorants au milieu de nos machines intelligentes qui ne peuvent sauver un enfant de la famine . Nous ne possédons que notre humanité pour gagner cette guerre. Aucune autre arme que le verbe aimer ne pourra vaincre la misère . Elle est là au profond de notre être et quand un père blesse son propre enfant et sa mère, il est cet inhumain, qui détruit sans relâche, ce néfaste qui résonne sur toute notre terre et clos les yeux d’un enfant quand la violence l’a abattu nous laissant choqués au milieu des ruines.
Les jours heureux ne sont qu’à la force de la résistance, celui qui ne tombe que l’arme de la paix à la main, ce consentement de mourir pour elle, la liberté, puisque l’on ne peut vivre sans et savoir qu’elle sera ce possible dans cet après quand la flamme s’éteint. Mais est-ce nous dire que notre Terre sera libre que lorsque nous serons tous ces flammes éteintes parties être l’âme de notre humanité dans la lumière de nos mémoires et qu’il n’est possible de secourir le vie de millions d’enfants qui en 2021 sont menacés par la famille . Le laissons pas ce fatal être notre décennie et gagnons qu’une guerre , celle pour la liberté dans toute son immensité. Soyons ces cinq doigts de la même main , nos paumes tournées vers la solidarité, recevoir et partager, aimer et ce chemin coulant de source fera notre avenir fécond.
Loin de la médiocrité qui élève encore le fascisme, ce risque permanent qui devient l’ inévitable quand la gauche véritable, l’humanisme s’effondrent et que la propriété prend toute place . L’extrême droite, ce chef d’œuvre des pouvoirs politiques et journalistes envahissent toujours l’espace et nos attentions se portent sur l’échéance présidentielle et le candidat que les médias élisent du haut des fortunes qui les font vivre en millions d’argent pour penser, écrire, dire . Ce mur dressé tuant la liberté, la famine alors pauvreté de notre humanité n’aura pas son cri porté, mais ce silence aux timides d’articles et publications qui de lignes en colonnes laissent la faim atteindre le corps, tuer la liberté et l’enfant meurt.
Ce terrible deuil, étoile Yémen éclaire la Somalie est notre cœur. Écrire pour les humanitaires, toutes ces âmes belles et fortes qui luttent chaque jour sur notre Terre vivante d’amour pour sauver un enfant de la faim.
La France sera-t-elle celle présente pour fonder la solidarité internationale ou restera-t-elle celle prise par la peur , les manipulations politiques, celle qui pourrait sombrer dans l’extrême droite, cette droite tout entière ? On imagine les alliances, celles qui paraissent impossibles pour lutter contre le fascisme qui s’établit, dresse la table tant La Gauche s’éloigne de la victoire quand trop de racisme, de discriminations, de fortes inégalités hantent notre pays. Les discours contre le migrant, lui qui est ce nécessaire souffle de notre humanité qui est ce voyageur de terre en terre sans frontière, ce qui a permis nos cultures, nos langues, notre civilisation . Nous ne sommes qu’une rencontre. Une rencontre et il était ces jours heureux quand le Chant des partisans s’élevait de la voix d’un peuple solidaire qui dans les rues manifestait son non consentement à l’extrême droite .
Nous étions le 1er mai 2002 . Plus d’un million de personnes défilent dans les rues pour proclamer ce Non à Jean Marie Le Pen qui place pour la première fois l’extrême droite au deuxième tour de la présidentielle ce 5 mai 2002.
Il est ce 1er mai 1891 en résonance dans nos mémoires, ce 1er mai à Fourmies où il fut le massacre des ouvriers voulant marcher pacifiquement pour l’égalité sens de notre solidarité qui coule dans nos veines. C’est son sang qui sera à inonder le drapeau de la liberté quand ce 1er mai des manifestants seront tués, blessés, arrêtés.
condamnés.
C’est ce peuple solidaire qui doit aujourd’hui reprendre la flamme de la démocratie et sortir des partis politiques pour marcher libre et fonder loin des manipulations ne bâtissant qu’une terrifiante injustice, la démocratie aux chants des résistances, au cri universel de la liberté et de ne plus jamais accepter qu’un enfant meurt de faim car il est l’horreur de croire certain les pouvoirs économiques que nous avons inventés et qui font que seuls les millions accordés peuvent sauver la vie d’un enfant. Nous ne serons porteur d’aucune alliance si le front n’est qu’aux programmes politiques maintenant la capitalisme dans l’arène.
À l’heure où le fascisme veut hisser son drapeau au-dessus de nos têtes, le front de la résistance ne doit avancer que par la liberté, un peuple solidaire marchant dans les rues et ne donnant son consentement, ce Oui, qu’à la liberté.
© Fédora Hélène
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