
Une tribune publiée dans « Le Journal du Dimanche » annonce sous la signature de 41 médecins et directeurs de crise de l’AP-HP, que d’ici 15 jours, les soignants seront contraints de procéder à un tri des patients face au nombre de malades augmentant dans les services de réanimation. Les patients en réanimation , ce pluriel signifie que « Ce tri concernera tous les patients, Covid et non Covid, en particulier pour l’accès des patients adultes aux soins critiques » souligne avec gravité le professeur Bruno Riou à la presse.
Un sacrifice qui est déjà présent à travers le monde puisque de nombreux malades , notamment des enfants, n’ont pu recevoir les opérations, soins, médicaments nécessaires pour garantir leur santé, pour poursuivre des traitements en cours, pour que leur vie ne soit pas en danger . C’est le cas pour les enfants atteints du Sida, ainsi que pour les femmes enceintes ou allaitantes comme nous alertons au cours d’un article du 26 novembre 2020 « Sida – Les enfants victimes du VIH sont les oubliés ». Des enfants, victimes directes des mesures sanitaires , de la pandémie de Covid et LiberTerra publiait également sur les enfants devant être opérés à cœur ouvert par la Chaîne de l’Espoir qui est dans l’obligation de repousser des opérations essentielles.
Puis, il est des millions de personnes à travers le monde qui subissent une aggravation de la pauvreté. En 2021, des milliers d’ enfants vivent une famine aiguë mettant chaque jour leur vie en danger.
Une vie sur un fil suspendu dans le vide par une économie fondée par des hommes de pouvoir qui ont séparé nos sociétés de notre humanité au profit d’une valeur de richesse, d’une économie suicidaire qui sème aujourd’hui une pandémie de violences, un chaos inévitable quand les droits humains ne sont pas profondément respectés, quand des êtres humains sont laissés sur le bas côté, en détresse.
En France, des décennies de politiques aux puissances des gouvernements , de leur administration, ont conçu la ruine de l’hôpital public et nous n’étions pas des millions dans les rues à exiger une véritable démocratie, à exiger une véritable justice qui n’a servi que les pouvoirs l’ayant conçue.
Tous ces silences et les souffrances que l’injustice a imposé par la domination d’une machine économique dans cette folie consciente où notre humanité pleure aujourd’hui les larmes qui n’ont pas été versées par l’indifférence, les compétitivités , le marchand, l’industrie, le féroce des lobbies, les chaînes en chaînes emprisonnant notre Terre, elle-même. Ce silence lourd des politiques et aujourd’hui les mêmes décident de mesures sanitaires arbitraires oubliant encore une fois les vies qui s’effondrent, les suicides, une jeunesse sacrifiée et oubliant qu’un pays qui n’aime pas sa jeunesse n’a pas d’avenir.
On veut sauver la vie quand elle nous échappe, quand le contrôle de la vie échappe au système
Les accords commerciaux, les politiques flattés aux tables des dictateurs et pensant milliards , lobbies et PIB. Puis s’engageant à sauver ce qui tue : une économie en gouffre, et tombe encore la vie. On se précipite sur un quai à vide quand nous pourrions penser changer profondément et ne plus tendre les bras à l’argent, cette invention destructrice que l’on tient pour valeur de notre humanité qu’elle ne fait que saccager.
Tout à cette définition du trop tard quand tant de sourires risquent de s’éteindre. L’amour nous crie sans fin, dans cet infini, « Aime plus que tout »

Attendons-nous qu’il soit des millions de morts pour ouvrir les yeux à la vie, à son bonheur et arrêter nos conceptions destructrices de placer des êtres humains en infériorité et d’autres en supériorité.
La pauvreté : celle blessant profondément un être humain, pendant que les hauts fonctionnaires rédigent des plans de confinements, de couvre-feux, d’attestations de sorties et des enfants vivent sans toit, des mères isolées ne comptent que sur leur force pour survivre, une jeunesse pauvre qui croit que demain sera un monde meilleur qu’ils pourront bâtir quand les adultes seront partis sur d’autres chemins, eux qui leur laissent ce monde en peine. Et pourtant, la chance extraordinaire est là et n’attend que nous et notre verbe, aimer.
Ouvrir immédiatement tous les logements vides, baisser et bloquer les prix de l’alimentaire, concevoir la gratuité pour que chaque être humain puisse manger à sa faim, pour que plus aucune personne ne soit humiliée par la misère, ne soit à survivre dans la rue, dans des logements insalubres, dans une pauvreté usant la santé, et tuant finalement la vie. Il est pour que cela soit possible que nous puissions ouvrir les portes à la paix .

La paix a besoin de justice pour vivre. Hors, elle est la terrible absente quand s’impose le terrifiant : choisir les vies qui pourront espérer être sauvées par une médecine mise en péril par ceux qui gouvernent et leurs conseillers en ex président, eux-mêmes issus de ce pouvoir dominant des États en maître de notre humanité.
Quand sonnera le glas de leur Olympe pour que la vie belle et libre puisse resplendir ? Comme s’il fallait une fin à l’histoire de notre civilisation pour que nous puissions renaître et nos enfants grandir à l’ombre de l’arbre aux racines de nos millénaires.
Nous ne pouvons vivre dans une société ayant une technologie élevée, ayant accumulée des richesses matérielles, ayant permis à des milliardaires de s’enrichir durant le premier confinement où la vie de plus de 3 milliards de personnes étaient confinées à travers le monde, soit 43 % de la population mondiale dès mars 2020 et être à appliquer la culture du sacrifice comme il était au temps de l’antiquité ou la politique de la terre brûlée au sel de nos larmes.
Les politiques qui oublient la fortune que les personnages des lobbies ont gagné par cette technologie qui permet l’élaboration de vaccins , autant qu’elle est l’outil qui détruit déjà par les armes autonomes qui sont fabriquées en masse à travers le monde, générant alors un mental de guerre donnant la possibilité d’investissement financier pour élaborer ces nouvelles armées et non pour servir la paix. Cette paix coulant dans nos veines, unies à celles de la nature en une eau vivante par une harmonie parfaite . Tout est en symbiose, tout ne vit que par un équilibre capable d’être ce mouvement perpétuel par la vie ayant pour énergie , la lumière. Celle qui , chaque matin , nous permet d’être vivant.
Nous ne sommes rien sans eau, sans air, sans lumière , mais nous sommes sans la machine, sans l’économie, sans la technologie même si nous pensons qu’elle est seule capable de nous sortir de la pollution globale que l’orgueil et la cupidité ont érigée.
Les vaccins ne seront pas la source qui nous sauvera. Seul, le cœur qui anime le vivant, la liberté peut réaliser toute l’immensité du verbe , sauver la vie. Une liberté qui n’est plus à construire notre avenir, à bâtir la civilisation qui pourrait porter l’espérance qu’un monde serein.
Dès ce lundi 28 mars, ceux cultivant la violence, ceux abandonnant leurs propres enfants, ceux semant la souffrance, ceux effondrant les larmes des cœurs vivants, seront à l’infortune de nos sociétés qui ne comptent que l’argent pour trésor et non la valeur de respecter la vie. Demain, des millions de personnes sur tous les continents seront à espérer, à sourire pour force en devant survivre par l’aide humanitaire, pendant que les banques fermeront leurs portes sur la misère qui s’étend face à leurs consciences coupables.
Demain, les cours de la Bourse ne cesseront l’allure folle des investissements et la santé s’écoulera dans ce funeste sablier des profits. Le pouvoir financier aux milliards du néant jugera du sort de chacun d’entre nous, vendant la vie à la démence des crises économiques. La circulation de l’argent continuera à être celle alimentant notre monde pendant que des vies s’éteignent dans la solitude de nos cités d’indifférence, dans le bruit de sa violence servant chaque jour davantage les fortes inégalités, discriminations.
Pandémie de Covid : il est plus de 94 000 décès en France, plus de 500 000 décès en Europe et plus de 2 millions de morts à travers le monde, sans omettre la pollution qui tue 9 millions de personnes dans le monde chaque année et dont aucun vaccin nous protège, ni mesures sanitaires qui ne dressent que le sacrifice de millions d’êtres humains à travers le monde quand le PAM, prix Nobel de la paix en 2020 , alerte sur le fait que 6 000 enfants pourraient chaque jour mourir de faim à travers notre monde que nous abandonnons, puisque la paix n’est pas notre valeur première , puisque l’eau vivante qui constitue notre planète, notre survie n’est pas protégée, respectée.

La pollution de l’océan qui se déroule sous nos yeux ne sera pas freinée par des mesures sanitaires pensant maîtriser un bouleversement planétaire avec des réglementations de hauts fonctionnaires et politiques, scientifiques qui n’ont aucune solution pour sauver des millions de vies aujourd’hui menacées. Que cela soit la vie de notre humanité, comme celle du monde végétal, animal et des éléments vivants de notre Terre.
Une solution : la solidarité
Des gouvernements, politiques refusent de concevoir la gratuité pour que soit en urgence aimé, respecté les plus vulnérables.
Incapables dans leur immense pouvoir de réaliser la gratuité pour les besoins humains fondamentaux et de mettre à disposition des infrastructures adaptées pour accueillir tout être humain, tous, riches et pauvres, dans cette valeur de réconciliation où chacun pourrait soutenir celui fragile, car nous avons besoin de notre humanité pour survivre.
La trêve hivernale prolongée jusqu’au 1er juin n’a aucun sens puisque cette date mettra de toutes les manières des familles à la rue. Des personnes précaires qui vivent l’attente d’une expulsion, d’être à cette errance, à cette peur d’être sans toit, sans pouvoir avoir le choix. Nombreux sont à compter le nombre de jours où ils auront encore la force de tenir, être à ne pas savoir où aller, à devoir partir en urgence, à faire ce sacrifice que la pandémie de Covid révèle, entre payer des charges, payer des produits alimentaires, d’hygiène , ce qui est nécessaire et être contraint bien avant cette officialisation , de limiter leur propre vie à ce qui est essentiel et non essentiel.
La politique du sacrifice qui nomme, impose ce qui est essentiel à un être humain pour sa survie, nous sommes dans cette folie du système politique, dans ce mensonge destructeur.
Des supermarchés où les mesures sanitaires démontrent leur absurde, et les petits commerçants appliquant les mesures sanitaires strictes qui leur sont imposées et ils se retrouvent fermés car considérés comme non essentiels. Comme l’est la culture et les arts fermés , ce « séparatisme » cruel qui est de condamner l’humain à être l’outil et le client. Nous ne sommes plus un peuple , mais des clients qui consomment . Un produit , un numéro d’identité de consommation et de production dans une surveillance globale accélérant le bouleversement actuel.
À quel moment les politiques sauvent des vies ?
Si ce n’est apporter des traumatismes supplémentaires à nombres de petits commerçants, à nombre de familles, aux plus vulnérables qui vivaient déjà par la pauvreté un long confinement dans l’indifférence de ces mêmes politiques prônant leurs discours pour valeur unique, dominante sans jamais reconnaître la souffrance qu’il font subir à des êtres humains, ce qu’ils sont et oublient au sommet de leurs ordres. Ils préfèrent les amendes qu’ils glorifient avec leurs attestations de sorties en ministère des toutes puissances , ne voyant pas l’injustice éclatée puisqu’ils ne subissent pas ce qu’ils ordonnent dans ce sordide de l’imposer aux plus vulnérables.
Ces contrôleurs, policiers posant des amendes sans se poser la question du poids que cela aura pour les familles les plus fragiles dans cet absurde des donneurs d’ordre flatteurs d’une économie en faillite qui détruit la vie sur son passage, mais là il n’est pas d’amendes pour les milliardaires s’enrichissant au mépris de la vie, au mépris de la sauver.
Le sacrifice de plus petit, n’est-ce pas la loi des guerres ?
Il était ce jeune soldat partant à la guerre et l’ordre politique sonnant le glas de sa vie qui finit à terre. Il était le sacrifice pour sauver la paix, et cette douleur d’enterrer chaque jour ceux qui chantaient la liberté. Cette résistance tentant de voir un jour nouveau accueillant une humanité nouvelle au-delà de la fin du conflit. Et, la paix se signe à l’encre des combattants que les politiques ont abandonné au chaos d’un monde qui se brise, quand l’homme fait le sacrifice de vies pour sauver celles qu’il a conduit dans le tourment infernal de son pouvoir.
La justice blessée est à son silence qui ne dit mot quand la vie crie , quand s’effondre des familles perdant un des leurs par ce système en Hydre ayant foudroyé l’hôpital public. Elle, justice qui a toujours laissé en pleurs l’enfant , et les femmes victimes de ce système prédateur. Une justice qui devrait ne plus prononcer ce nom, poursuit ses lois discriminantes, patriarcales et demain la violence frappera , les pères violents seront toujours à assassiner l’innocence. La vérité en peine suppliant une justice qui marche fière au sein de ses tribunaux qui ne reflètent eux aussi que les larmes en flaques de tant d’injustices.
Les hommes violents demeurent à leur inhumanité, refusant de donner aux plus fragiles qu’ils mettent en souffrance, le moindre apaisement. Rien, ni même la pandémie actuelle n’éveille leur cœur , leur donne la volonté de donner les mots sincères reconnaissant leurs actes criminels tant ils craignent de faire le sacrifice de leur existence de prédateurs. Alors, c’est le plus fragile qui est sacrifié dans ce système d’inversion qui domine, où l’homme est celui gagnant par sa violence, alors qu’il perd notre humanité toute entière , mais nos systèmes ont fait de l’injuste, une gloire.

Où sont les avocats se dressant contre l’injuste ?
Ils ne sont pas à marcher en résistance dans les rues ? On ne donne rien pour elle, la liberté ! On condamne la population à subir la roulette russe , serai-je celui sauver ou à périr ? Notre Occident , notre Europe, elle, qui croyait rassembler , et la pauvreté s’étend sans que les empires de pouvoir ne se remettent en cause. Ils parleront entre puissances de leurs plans économiques comme si ceux-ci ne brisent pas assez de vie sous leurs yeux.
Macron ira de ses discours jusqu’aux élections qui n’ont déjà plus aucun sens ! Puis, s’il était conscient , il n’aurait pas l’idée de revenir à ce qui cause autant de malheur, leur politique et marche forcée vers le désastre. Des millions d’êtres humains contraints d’avancer sur ce chemin allant vers ce qui perd, met en péril.
Est-ce si difficile de penser la paix par les pouvoirs politiques qui disent vouloir sauver des vies ?
Emmanuel Macron attablé à sa loi surveillance globale quand la vie a besoin plus que tout de liberté, ce qu’il ne semble pas comprendre. Il parle de vaccination pour sauver des vies, ce qui est louable, mais en laissant à cette même seconde des vies périr par la souffrance de la pauvreté, des discriminations, des impossibilités. La machine économique triomphante, et dont il participe à accélérer le mouvement, réalise une pollution sans précédent abîmant la biodiversité, ce qui mettra fin à notre civilisation. Mais, s’il est alors au bout de cette dramatique fin : un commencement , prenons aujourd’hui le nouveau pas réalisant la venue d’une nouvelle civilisation, un monde meilleur.
Une nature qui alerte ainsi que le publie l’UICN. En 2021, 134 425 espèces se trouvent sur la liste rouge élaborée par l’UICN dont 37 480 sont menacées d’extinction. Le majestueux éléphant des forêts d’Afrique est menacé de s’éteindre alors que dès le début des années 80, il était la lutte contre le commerce de l’ivoire. Mais le trafic est source d’enrichissement donc en 2021, la vie des éléphants d’Afrique risque de tirer sa révérence.
Il ne faut qu’un silence , on ne tue pas le silence

Laisser nos mots au silence et laisser tendre la paix silencieuse à nos cœurs heureux ,bercés par trop d’espérance et de patience, quand il faut que la lutte soit éveillée, et à sourire à l’avenir. On tue la parole . Elle récite nos peurs, notre courage d’affronter. Elle signe notre humanité, et tremble – serons-nous dire les bons mots, ceux pouvant changer nos demains et les tapisser de bonheur.
Ces années 80 marquent le tournant de nos sociétés qui se perdaient dans la conquête d’un enrichissement et c’est d’ailleurs durant ces années que les Ouïghours vivent une première atteinte à leur culture. Vient alors ce mot « séparatisme » qui frappe le patrimoine de notre humanité qui est une valeur de vie. Une langue, une culture éteinte, c’est un peuple qui meurt et ce peuple est notre humanité entière filant vers le courant d’un bouleversement majeur dont la pandémie n’est qu’un élément et celui-ci ne sera ralenti que par le respect des droits humains et de la Terre, ainsi qu’en donnant le jour à la démocratie à travers le monde.
Notre chance est notre réconciliation, d’être un peuple et non un produit de profits. Notre chance est d’anéantir la pauvreté, les fortes inégalités, les discriminations, le racisme, le patriarcat, pour penser la paix, pour être cette paix, ne plus concevoir alors ce qui détruit.
Séparer, le verbe dominant qui ne porte que les conflits , guerres, et qui ne construit que les camps, cet internement de notre propre sang, de notre humanité que l’on enferme, étouffe. Les migrants devant des murs, les Ouïghours prisonniers, les enfants pauvres sans eau propre ni alimentation, des femmes maltraitées, violées, assassinées, nous allons à l’extrême du néant , alors que nous savons aimer . Nous connaissons tous ce verbe, nous connaissons tous le nom de liberté, mais nous ne le vivons pas dans toute son immensité nous donnant la possibilité de vivre, de perdurer. Il est possible d’être la paix, et peut être que demain les peuples seront aux places, à l’agora des peuples pour partager, parler, se soutenir mutuellement, et fonder une civilisation nouvelle où l’amour sera l’essentiel.
Les gouvernements discutent de la relance économique, de l’infernal qui n’a jamais cessé, des tours de bétons qu’ils construisent , des armes autonomes, de la surveillance numérique qui en répétition générale conduisent notre monde à être « perdu ». Ce mot que le Sécrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres prononçait , et alertant le 24 février 2020 à Genève, du « niveau alarmant de féminicides », et le fait que « Les droits de l’homme sont attaqués » dans ce monde qui se perd parmi la violence, la cruauté d’hommes capables de mépriser la moité de notre humanité, car elle est une femme.
Le Secrétaire général de l’ONU alertait également sur « les trafics d’êtres humains, qui affectent toutes les régions du monde ». Et, nous sommes à élire des politiques qui ont aggravé les peurs, les séparations, cette division criminelle de notre humanité.
Nous sommes cette civilisation qui conçoit que des êtres humains vendent des enfants, des femmes, et les mesures sanitaires prises pour lutter contre la pandémie , ont aggravé les conditions de vie des plus vulnérables, ce que notre Occident considère comme lointain, n’étant que dans les pays pauvres, alors que nos pays riches portent également sur leurs territoires toutes ces violences.
Puis, il est dans le fleuron de l’indifférence, ceux critiquant les migrants et ceux fuyant les confinements pour vivre leur tranquillité avec le confort de leur argent issu de nos cultures cupides. Et, tout cet absurde revient à la charge avec des politiques pensant leurs interdictions et élections alors que la vie est à sauver. La vie entière du vivant de l’eau, à l’air que nous respirons, à notre alimentation, à notre économie qui n’est qu’un effondrement, aux enfants à qui nous ne donnons pas la chance de vivre une enfance en paix
La justice appartient à la vie, nous pouvons rêver celle véritable, dessiner son mouvement, et penser qu’un jour, elle sera ce qui nous constitue en notre civilisation.
© Fédora Hélène

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