
Notre travail pour la paix lutte chaque jour contre les discriminations – Un rayon de l’un à l’autre, la solidarité
L’UNESCO travaille avec des représentants politiques, associatifs, ainsi qu’avec des témoins et des rescapés, pour que partout dans le monde, chaque communauté sache que la solidarité et la compassion veillent au respect des peuples, de leur culture et de leur territoire.
La liberté s’écoute, se ressent et se vit en soi, pour aller vers les autres, pour incarner ce partage et cette universalité qui fondent notre humanité.
Dès l’enfance, la solidarité brille en nous. C’est le sourire reflétant la paix qu’un enfant offre à celui qui lui apprend à lire, qui lui fait découvrir le simple bonheur des choses : une fleur, le chant d’un oiseau.
Ce bonheur de vivre naît de cette émotion toujours renouvelée, de chaque jour nouveau, de chaque rencontre, de la découverte de notre propre vie et de la possibilité de faire librement nos choix. Autant d’occasions de faire perdurer notre monde.
Être la pierre qui s’ajoute à l’autre pour former la maison de notre humanité : voilà ce qu’est la solidarité.

Solidarité – ce mot est bien plus puissant qu’on ne le croit. Il nous permet de dépasser toutes les frontières, à travers des paroles et des actes bienveillants que chacun de nous peut offrir à autrui.
Les neurosciences montrent aujourd’hui combien la bienveillance est essentielle : se soutenir, s’entraider, nourrir en soi la volonté de créer de belles choses, d’apaiser, d’être solidaire et d’écouter l’autre avec compassion.
Tout ce que la haine et ses violences détruisent, l’amour le reconstruit
Un homme violent et cruel peut détourner le lien social à des fins malveillantes, nourrissant ses frustrations, ses colères et ses actes de violence par la folie de se croire supérieur. Il infériorise ses semblables, faisant d’une femme ou d’un enfant une proie.
Il est terrifiant de concevoir ainsi la vie, de livrer son existence à la haine.

Quel drame peut amener un être humain à devenir l’incarnation de la cruauté ?
Le lien qui nous unit doit être construit sur la paix, la bienveillance et les valeurs de solidarité, si nous voulons créer une civilisation fondée sur la bonté et faire de nos sociétés le reflet de son émancipation.
Il s’agit de donner naissance à des communautés liées les unes aux autres par ce lien social, où chacun prend soin de l’autre.
C’est imaginer une société différente, une économie respectueuse de l’humain et de l’environnement, et établir des politiques qui ne reproduisent pas les fortes inégalités et discriminations, et qui ne fondent pas une civilisation sur l’exploitation des ressources de notre Terre au seul profit de l’enrichissement.
Le pouvoir se construit sur les humiliations infligées aux plus vulnérables, mettant en accusation les minorités et créant une violence économique qui empêche tout épanouissement. Il interdit à un être humain de vivre en paix, de réaliser ses rêves et de faire librement ses choix.
La pauvreté condamne injustement ceux qu’elle frappe, les obligeant à survivre dans la souffrance, à subir l’oubli de leur vie et le confinement d’une existence où tout projet se réduit à tenter de s’alimenter, dans la peur et la douleur de la faim.
Notre civilisation a construit son « progrès » sur la notion d’esclavage, où certains êtres humains sont subordonnés à une classe dominante qui se place en ordre supérieur et décide du destin de chacun, selon sa naissance ou la valeur de sa fortune.
Elle a commencé par enchaîner la liberté et lui a attribué une valeur que l’on peut acheter avec le pouvoir et l’enrichissement.
Puis, par la division entre riches et pauvres, l’homme a été conçu en deux figures : l’homme-outil et l’homme-soldat, instrument de conquêtes territoriales menées par l’anéantissement de populations.
Une hiérarchie artificielle s’est ainsi instaurée, classant les êtres humains en dominants et dominés, et divisant profondément notre humanité.
L’homme est devenu le guerrier, donnant son existence à la quête incessante de possessions. Les armes autonomes sont l’extension de ce guerrier sans limites, ni biologiques ni humaines.
Ce progrès technologique reflète avant tout une conception de la séparation, désolidarisant l’humain de son humanité. Il n’existe plus pleinement par son humanité : il se constitue comme être séparé, reliant son existence à la machine dont il dépend pour sa sécurité et son évolution.
La haine est pensée par l’homme, et les actes monstrueux qu’elle engendre sont commis par ses mains : c’est lui qui détruit la vie.
Aujourd’hui et demain, notre société est en passe d’introduire des armes autonomes, indépendantes du commandement humain, capables d’évoluer dans l’espace pour protéger de nouvelles frontières érigées par les États.
Alors, ce ne sera plus l’homme, mais la machine, qui tue. Et demain, la reconnaissance d’un génocide pourrait devoir identifier une IA comme coupable de crimes contre l’humanité.
Les armes nucléaires incarnent cette énergie qui dépasse notre humanité, offrant des possibilités détachées des besoins essentiels et servant autre chose que les droits humains fondamentaux et universels.
Nous possédons des satellites, nous possédons des territoires dans l’espace, marqués par l’empreinte de la machine.
Notre humanité se trouve confrontée à cette « première fois », qui nous place face à des défis majeurs et inédits.
Pour la première fois dans notre histoire, nous devenons envahisseurs de l’espace, poussés par notre curiosité et notre désir de découverte, mais aussi par une civilisation qui s’est toujours construite sur la conquête par la guerre, l’humiliation des peuples, la colonisation et l’asservissement des populations.
Aujourd’hui, notre monde tente de construire son avenir selon ces mêmes logiques, mais en avançant sur des territoires incontrôlables avec des armes capables de destructions massives.
Puis, il y a ce qui nous confronte de manière irrémédiable : la pollution et les conséquences qu’elle impose à l’avenir de notre humanité.
Nous modifions notre environnement et nos sociétés pour survivre au cœur d’un bouleversement majeur, croyant que la conquête de territoires au‑delà de la Terre nous offrira une possibilité de survie pérenne, et non limitée comme le laisse présager notre avenir sur notre planète.
Nous voyons, vivons et ressentons l’aggravation de la violence et de la haine, et nous constatons que la pauvreté impacte la vie de millions d’êtres humains à travers le monde.
Les solutions restent contraintes à la seule volonté de débloquer des moyens financiers, alors que des millions d’enfants et de femmes survivent sans ressources.
Ils subissent une souffrance incommensurable, conscients que leur vie est mise en danger par le manque de compassion, de solidarité et d’humanité.
Cette non-reconnaissance de la vie, cette négation de l’être, conduit à une fatalité : celle de laisser des populations entières sur le côté, réduites à dépendre de l’aide humanitaire pour simplement survivre.
La lutte contre la pauvreté est l’objectif premier des Objectifs de développement durable des Nations Unies. Pas de pauvreté : ODD 1 – Cela implique une volonté politique forte pour défendre la vie, sauver la vie d’enfants brisée par l’extrême pauvreté.
La France, deuxième puissance européenne, impose elle aussi des lois et réformes économiques néolibérales, sans aucun respect pour les valeurs communes de solidarité ni pour la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE).
L’article 27 de la Convention internationale des droits de l’enfant (CIDE) rappelle que chaque enfant a droit à un niveau de vie suffisant pour son développement physique, mental, moral et social. Pourtant, dans de nombreux pays, y compris en France, ce droit fondamental reste largement bafoué. Les réformes économiques néolibérales, la précarité croissante et l’insuffisance des mesures sociales laissent des millions d’enfants et de familles sans moyens de subsistance dignes. L’État a l’obligation, selon la CIDE, de soutenir les parents et de mettre en place des dispositifs matériels et sociaux pour garantir à chaque enfant nourriture, logement et vêtements. Ne pas respecter ce droit revient à condamner une génération à souffrir, à limiter ses chances de développement et à trahir les principes mêmes de solidarité et d’humanité qui devraient fonder nos sociétés.
En 2021, près de 2,76 millions d’enfants en France vivent sous le seuil de pauvreté, soit plus de 20 % des moins de 18 ans. Cette situation touche particulièrement les familles nombreuses : 43 % des enfants vivant dans un foyer avec quatre enfants ou plus sont pauvres, contre 24 % dans les familles de trois enfants et 16 % dans celles d’un ou deux enfants. Les enfants vivant dans des familles monoparentales sont également plus exposés, avec un taux de 41 %.
Cette situation révèle l’insuffisance des politiques sociales pour garantir à chaque enfant un niveau de vie digne, comme le prévoit l’article 27 de la Convention internationale des droits de l’enfant. Les enfants pauvres subissent un impact direct sur leur santé, leur éducation et leur épanouissement, alors que la solidarité et le soutien de l’État devraient leur offrir les moyens de vivre, de grandir et de se projeter dans l’avenir.

Emmanuel Macron n’agit pas dans le respect de l’humain. Il renforce des politiques traumatisantes et injustes, en totale contradiction avec les principes fondamentaux de paix et de solidarité. Par sa politique brutale et cynique, il légitime les extrémistes et les populistes, dont il devient, malgré lui, le porte-parole.
Macron agit avant tout en financier, en loup des systèmes bancaires et des places boursières.
On ne peut pas gouverner ainsi, en s’associant aux Républicains et à l’extrême droite, sous la tutelle de Nicolas Sarkozy, dirigeant l’État comme leur propriété exclusive.
Les socialistes ont également une responsabilité : François Hollande a trahi les ambitions d’un « cap commun » vers un monde plus juste, un monde où l’humanité pourrait enfin se réconcilier.
Un Président, un responsable
Celui qui aujourd’hui affaiblit la paix et la liberté en France est Emmanuel Macron. Il aurait pu agir pour la paix, guidé par une volonté d’aimer son prochain et de gouverner avec solidarité envers les plus fragiles.
Macron provoque une grave instabilité. Son incompétence est manifeste : il gouverne sans aimer, sans volonté de réconciliation, utilisant des méthodes narcissiques et toxiques. C’est aussi pour cette raison qu’il ne conserve aucun Premier ministre et qu’il s’appuie sur les réseaux de Nicolas Sarkozy qui gouvernent à sa place.
Par son instabilité personnelle, il impose un mouvement contraire à la paix et génère de la violence, glissant vers des politiques discriminatoires et autoritaires.
Macron incarne le visage d’un narcissique toxique : ses décisions reflètent un raisonnement psychotique, centré sur son image et ses intérêts, au détriment de l’humain et de la solidarité.

Les discours de haine érigent le fascisme
Nommer une minorité coupable d’un désordre de la société est particulièrement dangereux. Plus que jamais, nous devons veiller à ce que la transmission de la culture ne devienne pas celle des haines, des discriminations et des inégalités.
Nous risquons aujourd’hui de voir une limite franchie par les politiques de répression qui pourrait mettre en péril la paix.
Les politiques nationales et internationales ne doivent pas être dépendantes des ambitions de profit, de pouvoir ou d’un langage manipulateur.
Car une culture guerrière, instaurant des dominants et s’appuyant sur une surveillance globale des peuples et de notre environnement, ne peut qu’entraîner de lourdes conséquences. Elle véhicule un discours de haine, brise le lien social, désigne les pauvres, les migrants et les exilés comme boucs émissaires, tout en laissant des hommes violents défouler leur rage sur des femmes et des enfants en situation de grande vulnérabilité.
Nous élaborons des stratégies sociétales de guerre et non de paix et nous combattons par ces armes les enjeux qui nous font face. Nous ne pouvons qu’aller vers l’échec en mettant en place des politiques de répression, de discriminations envers les pauvres, envers les minorités.
Nous devons plus que jamais observer une vigilance, et lutter contre les discriminations, contre le racisme, contre un système montrant d’un doigt accusateur les minorités, les pauvres et garantissant une supériorité à une classe de la population concentrant ses activités pour que soit un enrichissement continuel.
La paix n’est pas seulement menacée par des adversaires extérieurs au pays. Elle l’est aussi à l’intérieur, par une division profonde de la population orchestrée par des politiques totalitaires.
Ces politiques favorisent la cupidité, les privilèges et les mensonges, et instaurent un système pervers d’inversion qui fait porter la culpabilité aux plus fragiles, les condamnant à la pauvreté.
Ce déséquilibre grave engendre des manifestations légitimes pour la liberté, qui se heurtent alors aux violences politiques et policières, aux ordres de ceux qui attisent la haine en réprimant avec brutalité des revendications justes et légitimes.
Les discours de haine et la frénésie des profits instaurent une indifférence qui relègue les plus vulnérables au silence.
Obligés de consacrer tout leur temps aux compétitions féroces, les peuples en viennent inévitablement à oublier l’amour, pourtant seul capable de sceller notre humanité à la paix et de lui offrir la possibilité d’un avenir serein.
Actuellement, le nombre d’enfants en souffrance psychique constitue une alerte fondamentale. Il révèle que notre société génère une violence alarmante, qu’elle dépasse toutes les limites pour conquérir des profits et qu’elle emprunte le chemin inverse de celui qui garantirait la pérennité de notre monde.
Les larmes pures des enfants, comme celles de millions de mères isolées subissant la précarité, sont les larmes de l’amour. Elles témoignent de notre humanité et rappellent l’essentiel besoin de solidarité pour fonder notre avenir, pour permettre à la vie de s’épanouir.
Mais une autre alerte se dresse : l’augmentation des suicides. Ce désespoir ruisselle de nos sociétés de pouvoir, façonnées par une économie qui fait la guerre à la vie pour dominer et prétendre la contrôler, tout en prônant la notion absurde de sacrifice pour « sauver » des vies.
Ce non-sens – sacrifier une vie en pensant en sauver d’autres – n’est rien d’autre qu’une annulation de la vie. On ne sauve pas par ce qui détruit les rayons de notre soleil, ce qui détruit notre humanité.
Cette notion de sacrifice traverse notre histoire. Elle naît d’un pouvoir qui a voulu surpasser le divin, d’un pouvoir qui se perpétue par la guerre, sacrifiant soldats et populations civiles au nom d’une dualité fondatrice de notre civilisation : sauver la liberté par le sacrifice de vies.
La pandémie de Covid a révélé cette terrifiante logique du sacrifice : tri des patients, abandon des plus fragiles, scandale du vaccin AstraZeneca. Nous sommes au cœur de cette dualité de la vie et de la mort, du bien et du mal, de sauver ou d’abandonner, de protéger ou de condamner.
L’injuste est au cœur de notre civilisation. Et le choc civilisationnel qui s’annonce place face à face, inexorablement, l’injuste et le juste.
Cet injuste nous contraint à ériger une économie destructrice, croyant ainsi dominer notre peur de l’inconnu, de ce que nous ne maîtrisons pas : la nature.
Nous avons peur de notre propre Terre, de sa capacité à nous éliminer. Et au lieu de penser par le bien qu’elle nous offre, nous pensons par le mal qui pourrait nous arriver.
Car la Terre nous donne la générosité de ses ressources, la bonté de sa liberté, fondée sur le partage, ce qui nous permet de vivre.
Si la Terre agissait comme nous le faisons, nous aurions disparu depuis longtemps de la surface de la planète.
La Terre ne cherche pas à conquérir l’espace pour le dominer : elle crée une harmonie avec son immensité, et puise dans ses éléments, comme la lumière, la force de porter la vie.
La nature ne combat pas contre elle-même, à la grande différence de notre humanité. Elle est une naissance perpétuelle, toujours renouvelée, qui lui permet de se rééquilibrer et de faire perdurer la vie.
En polluant les océans, nous bouleversons l’ensemble du système planétaire qui nous permet de vivre, ainsi que les animaux et les végétaux.
Et pourtant, lorsque l’homme cesse ses activités destructrices, l’océan reprend son rôle : il rééquilibre de lui-même l’équation parfaite qui lui permet de maintenir l’harmonie de la vie.
Plus nous perpétuons une économie centrée sur le profit, qui absorbe notre temps et notre énergie au service de cette invention du pouvoir, plus les bouleversements s’amplifieront de manière exponentielle.
Nous devons cesser de freiner la liberté si nous voulons donner à toute notre humanité une chance de survivre.
Ce ne sera jamais un système de répression qui maintiendra la paix. bien au contraire.
La France doit veiller à ne pas emprunter le chemin de la haine, de la division et des discriminations, ni à laisser la pauvreté et l’injustice continuer à dominer et faire souffrir.
Durant la pandémie de Covid par les mesures sanitaires de nombreuses personnes subissent une aggravation de leurs conditions de vie. Les plus précaires se trouvent en grande difficulté et le système répressif qui ne peut être juste et objectif n’a absolument pas permis de résoudre la pandémie de Covid , mais au contraire a attisé la haine, brisant la confiance entre la justice, la police et de nombreux citoyens. La répression impose un climat de tension et de fortes inégalités.
Nous ne pouvons espérer un véritable épanouissement de la liberté ni un respect durable de la paix dans un système qui impose la répression comme langage et ne cesse de la durcir, comme le fait la loi sur la surveillance globale.
Dans ces conditions, notre démocratie devient défaillante, et l’injustice s’aggrave. Des personnes souffrent, ce qui contredit entièrement les discours de paix, où la liberté serait protégée et où la démocratie pourrait véritablement se développer.
La paix passe par l’écoute compassionnelle des témoignages de ceux qui souffrent. C’est une priorité pour que la solidarité devienne une valeur fondamentale et pour construire une société fondée sur les principes humanistes : tolérance, respect des droits humains et droit à la santé.
Il est nécessaire de condamner les politiques qui traumatisent les populations, génèrent le chaos par la violence et la haine, et accentuent les divisions.

Le bouillonnement de nos sociétés est perceptible et la pandémie de Covid éprouve d’autant plus les plus fragiles
Plus que jamais la lutte contre les discriminations est primordiale
Les discours de haine tirent leur puissance en imposant des conditions de vie inhumaines à ceux qu’ils désignent comme proies, les traitant comme des animaux.
Des politiques maintiennent cette emprise en infligeant violences et humiliations, en refusant tout refuge aux survivants. Ils chassent et attaquent sans relâche. Ils laissent les êtres humains dans un état de choc permanent. Ils manipulent et bâtissent par le mensonge, Ils accréditent des actes cruels, barbares et criminels à l’encontre de civils, y compris contre des enfants, des femmes, des personnes malades et des personnes âgées.
La vérité est celle qui lutte contre ceux qui imposent la haine à partir de leurs frustrations. Leur méchanceté et leurs mensonges détruisent et leur permettent de conserver leur supériorité grâce à l’impunité et à la folie des manipulations, répétées sans jamais reconnaître leurs crimes ni leurs victimes.
Ces hommes haineux ne semblent exister qu’en dépassant toutes les limites par la violence infligée à leurs semblables, abandonnant ainsi leur propre humanité.
La vérité, érigée en arme de paix, est celle que les bourreaux ne peuvent combattre. Elle émane d’une sincérité extraordinaire, née de la souffrance, tant elle est le reflet des larmes coulant des yeux ayant vu la haine s’abattre sur eux, sur leur famille, sur leur communauté. Et ces larmes sont celles de l’amour vivant, résistant.
La vérité, érigée en arme de paix, est celle que les bourreaux ne peuvent atteindre. Elle naît d’une sincérité extraordinaire, née de la souffrance, et reflète les larmes des yeux ayant vu la haine s’abattre sur eux, sur leur famille, sur leur communauté.
Ces larmes sont celles de l’amour vivant, résistant, indomptable.
On combat l’ombre par la lumière, le mensonge par la vérité.
Et ce lien commun, qui permet à notre humanité de devenir une unité réconciliée, c’est l’amour. Un amour qui s’exprime à travers le langage de la solidarité.
Mettre fin aux discours de haine, c’est accorder au verbe aimer le droit de vivre. Par lui, l’humanité sera réconciliée. Nous sommes face à un devoir : réaliser la réconciliation.
Fédora Hélène


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