Justice – Libérer la parole et ce sont des plaintes pour violences conjugales en souffrance

Plainte depuis 21 mois pour viols et violences entre autres –

Un prédateur connu de la justice depuis 40 ans pour des faits d’escroqueries , faux et usage de faux, violation du secret de l’instruction, violences conjugales, etc …

Un prédateur qui navigue à droite et à gauche sans être arrêté ! Dangereux pour les victimes, ainsi que pour la société ! Se servant aussi des réseaux sociaux pour rentrer en contact avec des personnes et les manipuler . Il tente également de pouvoir rencontrer la personne !

C’est aussi par ce biais qu’il arrive à s’introduire dans la vie de personnes qui deviennent ses potentielles victimes !

Ce sont des victimes de sa violence ! Une violence dont la justice est informée depuis des années par notament les maintes alertes faites par son ex- conjointe. Et, celles faites par ceux qu’il escroque !

Témoignage – Témoigner c’est résister, résister c’est vivre !

Petite musique tourne si lentement, mon amie. Ballet immobile danse dans la boîte de bois. Je suis colombine aux traits de lune et la nuit pose cette étrange lumière, ce reflet dans mes cheveux si clairs au sombre de l’ombre dessinée sur le mur. J’entendais un soupir, un violon jouant l’air de ma vie, entre deux tons et ses larmes des chagrins et elles s’effacent la vie naît, ce sourire. Toujours, il triomphe comme les beaux jours, ce matin si simple qui laisse les rêves voguer vers l’espérance. Un pas de danse dans le salon, je pousse les meubles, vivre une seconde cet ailleurs, en mouvement mon corps reprend l’envol de la liberté et le trait file sur la page. Une bougie pour éclair qui vacille, je tombe sous les coups lâches. Celui, qui est la négation de la vie en miroir des fous et aujourd’hui sur ceux de l’indignité.

Je ne relis pas les pages passées et ne vois que l’encre de la mémoire apparaître et dire les mots en témoignage. Ceux devant un policier qui écrivait ces mots de douleur, ceux revivant la violence et les larmes fidèles se faisaient l’image, elles peignaient les sans fins de sa tyrannie, barbarie en ombre.

Il tenait un couteau à la main, le dirigeait vers mon corps immobile, effondré par la douleur, et lui cruel avançait son couteau à la main en criant « Je vais te tuer, je vais te tuer » dans cette cuisine aux murs jaunis, toute la frayeur, le terrifiant de cet homme empli de haine. Déterminé, il avançait toujours plus près de mon corps la lame de son couteau.

À quelques centimètres de mon ventre, il me fixait de toute sa haine, prêt à me tuer. Ma fille comprit sa détermination, ce qu’il voulait, me tuer. Pas un mot, que les cris, les hurlements de cet enragé, et ses mots autoritaires, « Je vais te tuer ». Ma fille se mit en une seconde devant moi faisant face à cet homme, « ce mari, ce père », pointant toujours son couteau vers nous deux. Il réfléchit, calcula, cessa de parler, me fixait son couteau toujours maintenu droit prêt à frapper, prêt à tuer. Ma fille le fixait droit dans les yeux, il prit un temps de réflexion, calcule, prémédite et il décida de reculer, maintenant toujours son couteau dans sa main et le pointant vers moi tout en reculant d’un pas, puis il le baissa.

Je ne pouvais plus parler, immobile, la peur, si peur, il allait le faire, son regard, ses mots, son geste, sa haine le disaient. Ce n’était pas la première fois qu’il me menaçait avec un couteau. Ce n’était pas la première fois qu’il me menaçait de mort, il ne faisait que ça.

« Si tu dis quelque chose, je te brûlerai dans ton sommeil ! ». C’est mon tailleur de mariage qu’il réduit en lambeau avant de le jeter au feu dans la cheminée.

Ce long calvaire. Cette silhouette fine, fragile, transparente, tremblante de peur, était la mienne.

Je pensais qu’après le long témoignage fait devant la police, et disant certaines des violences que cet ex-conjoint commettait, je pourrais enfin porter plainte, être protégée. Mais rien, il ne fut rien. Il avait menacé alors l’école de mes enfants et les élèves de toute l’école étaient restés confinés dans leur classe pendant que la police cherchait la provenance des appels, son auteur. C’était lui, il était à plus de 500 kilomètres de l’école dans un hôtel 3 étoiles. Escroc multirécidiviste, manipulateur pervers, il vivait à l’hôtel sans travailler, sans payer la pension alimentaire et se faisant servir ses bouteilles de vin et repas du soir dans sa chambre d’hôtel.

Un hôtelier escroqué, manipulé, à qui cet ex-conjoint prédateur doit plus de 3 000 euros. Mais le long témoignage fait à la police est oublié, personne ne voit le manipulateur vivant luxueusement sans travailler, et il est condamné à une amende pour avoir menacé une école. Un article dans la presse locale informe de sa condamnation.

Il ne fut aucun respect des victimes ni aucune protection. Cet homme violent a continué à vivre tranquillement à l’hôtel, avant d’escroquer d’autres hôtels dont l’hôtel Mercure, à qui il doit plus de 800 euros. Ce sont des hôteliers, retaurateurs et autres abusés, ce sont des tentatives d’excroqueries qu’il commet et il n’est jamais inquiété. Ce sont des fraudes pour voyager sans payer et il fait envoyer ses amendes SNCF à l’adresse de ses victimes ! L’injustice, cet incompréhensible d’un système d’impunité !

Ce manipulateur trompant sa propre famille avec notamment des faux diplômes dont celui d’une école célèbre, Sciences Po Toulouse dont il se disait diplômé en ayant obtenu la mention très bien. Tout était faux, tricheur, menteur sans vergogne jusqu’au bout ! Pour réponse, ce seront ses agressions en pleine rue. Il injurie, crache, fait des doigts d’honneur, n’hésite pas à m’agresser à plusieurs reprises devant les écoles de mes enfants. Le directrice d’une école maternelle appelle la police, témoigne, explique qu’il rode quotidiennement autour de l’école et là encore aucune plainte ne sera possible contre lui. Pourquoi ? Pourtant, la police connaît sa violence, les vols qu’il commet, ses ivresses, passant ses journées à boire au bar, et à courtiser des politiques. Une société où un prédateur a le droit de briser la vie d’une femme. Il peut passer ses journées à s’alcooliser, à voler, à manipuler, à terroriser sa famille, c’est cela le message que la société envoie, celui qui vous dit que vous n’existez pas, que la justice vous devez en faire le deuil.

Sa violence, il m’attaque enceinte. Il a mis la vie de mon enfant en danger. Jamais, je ne céderai. Jamais la cruauté, la haine, les mensonges destructeurs, les violences issues de la criminalité masculine seront ce qui doit perdurer et être le symbole de notre humanité.

Un chemin de paix, ce que doit-être la justice devant protéger les victimes, leur donner une reconnaissance et la possibilité d’apaiser les traumatismes, de pouvoir se libérer profondément pour ne pas laisser l’intense souffrance de la mémoire traumatique perdurer et avoir des conséquences sur la santé des victimes.

Puis, le plus précieux de ma vie, que ce mari-bourreau a fait basculer dans le chagrin, dans la peur, l’angoisse, se sentir mourir, alors qu’il est plus que tout en moi, l’amour de la vie. Il détruit, comme ça, cette puissance de faire d’un être humain sa poupée de chiffon qu’il balance contre un mur et vient reprendre pour de nouveau briser son corps humain. Humain, ce mot qu’il ne peut plus prononcer et seul lui reste ce qu’il est : inhumain.

Pervers narcissique extrème, il commet des violences psychologiques graves, conscient et responsable, faisant sa mise en scène en mode opératoire, calculant, préméditant tous ses actes de violences. Le viol est un crime, ce prédateur pervers est un criminel . Il choque, mettre en état de choc sa proie est ce qu’il recherche, veut, décide. Il est anormal que cet homme cruel ne soit pas arrêté, qu’il puisse continuer à nuire ! Comment un homme cruel peut martyriser sa conjointe au 21 ème siècle, puisse traumatiser ses enfants , qu’il soit des alertes, que tous savaient et que tout le système ait pu le laisser agir , le laisser détruire ?

« Il était le tyran domestique qui incarnait une toute puissance, ayant droit de vie et de mort sur son entourage » selon Denis Prieur, psychiatre durant le procès au sujet de celui maltraitant Valérie Bacot.

Combien sont-ils de tyrans domestiques ayant droit de vie et de mort sur leur entourage ? Combien de femmes et d’enfants subissent la « faille de la société » , comme énoncé dans le procès de la victime Valérie Bacot, et qui permet à des barbares de détruire la vie de leurs victimes ? Pourquoi alors que la société en a conscience, perdure un système d’impunité conçu et s’appuyant aussi sur les prescriptions alors que lorsqu’une plainte dure pendant des années, éprouvantes pour la victime, là le temps écoulé qui établit une prescription, ne compte pas et que celle-ci n’existe donc plus !

Refondre profondément la justice car pour le moment elle n’est pas véritable. Ce sont des victimes qui font le deuil de toute justice !

©Fédora Hélène

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