
Rassemblement à 14 heures dans différentes villes contre le pass sanitaire obligatoire, contre une politique d’emprise préjudiciable à la liberté, contre un capitalisme destructeur avançant sans limite et de manière perverse jouant sur les émotions humanines, la mise devant le fait accompli, contre un totalitarisme capitalisme écartant la possibilité des choix pour la réalisation des objectifs du développement durable, pour un référendum sur le point crucial de l’écologie.
La préservation de la planète n’est pas , mais l’obligation de vaccination qui n’a jamais été la solution miracle contre la pandémie de Covid- 19 , mais uniquement un des moyens de lutte contre le Covid-19 et des variants comme le Delta, et ceux multiples et inconnus.

Macron en quête de pouvoir – Il était une fois le fait du prince
Emmanuel Macron établit en premier son pouvoir sur la capacité de consommer , plus la population consomme , plus le système économique domine et le lac faussement calme qu’imprime une droite catholique laisse gronder une violence sociale, un appauvrissement s’aggravant et mettant les plus fragiles en insécurité alimentaire. Il est également une aggravation du sentiment de haine, de discriminations, d’inégalités qui place l’extrême droite en solution politique , en position de leurre électoraliste pour habitude et maintient un obscurantisme, un archaïsme d’un embourgeoisement prenant le pas sur la liberté, les droits humains. De ce fait l’ONU ne que que renouveler ses inquiétudes quant au bond en arrière que pourraient faire les objectifs du développement durable que seul un esprit de paix, d’équité ferait avancer pour fonder un avenir serein.
La population a un besoin de trêve, de se reposer, cette pression imposée pendant les vacances est l’antithèse d’une vie paisible . Emmanuel Macron emploie cette expression pour garantir les lois sécuritaires comme promesse de « vie paisible » ! Puis, il bouscule la traditionnelle tranquillité politique durant les grandes vacances et remet la colère dans les rues en pleine saison estivale – une façon également de penser obtenir l’échec de la contestation !
La France est dans une continuité de mauvaise passe, de conflit de PIB, prometteur d’enrichissement et de consommation durable, et de mise en danger de la paix et de la liberté. La rue sera-t-elle le terrain qui exigera une véritable démocratie ?

Macron à la conquête du sommet capitaliste
Emmanuel Macron a révélé dans son allocution du 12 juillet une nouvelle stratégie visant à démontrer sa légitimité au-delà de l’obligation du pass sanitaire, il a besoin d’asseoir son pouvoir, et faire en sorte d’imposer la ligne gouvernementale comme celle dominatrice et incontestable à un moment critique, le lancement du plan de relance qui à la rentrée commencera par signifier les réformes permettant sa réalisation.
Tout commence par la propagande et l’on peut admirer Emmanuel Macron sur Twitter en gif animé délivrant le message « Faites-vous vacciner » où l’impératif est de ton, l’ordre est donné.
Emmanuel Macron par des stratégies de direction des émotions, dites manipulations, peut par ceux organisant ces campagnes de propagande anticiper sa réussite à un moment déterminé, choisi : celui des grandes vacances et du symbolique 14 juillet.
Il accentue son ordre par deux éléments déterminants et visant principalement les populations modestes à très modestes, les adolescents et les centres commerciaux. Comment penser ne plus pouvoir faire ses courses, ne plus pouvoir se déplacer en famille pour participer à des activités communes dont l’achat des produits alimentaires. Puis, est-ce que les policiers et gendarmes feront leurs courses sans pass sanitaire mais avec leur carte de police ? On nage dans l’absurde ! Puis, ce sera le contrôle de ceux vaccinés ou pas par des forces de l’ordre potentiellement non vaccinées. Macron impose un système de récompense et maintient les commerces comme les bars dans une sorte d’impasse les mettant eux aussi devant le fait accompli et leur rappelant qu’ils sont redevables de l’aide financière apportée durant les mesures sanitaires.
Le deuxième point stratégique est la division entre les soignants qui hier étaient les héros dans leur globalité et qui aujourd’hui se divisent en deux clans par l’obligation de vaccination et les sanctions s’y afférant. Les lettres de démission semblent se multiplier et mettre à mal l’équilibre déjà fragile des personnels hospitaliers que cela soit en terme de nombre de travailleurs de la santé, qu’en terme de bien-être au travail qui est un point essentiel du respect des droits humains.
Une politique sociale devant passer après une politique économique de profit s’inscrivant dans une dynamique mondialiste et en guerre sous-jacente avec le pouvoir économique et politique chinois convaincu de conquérir tôt ou tard l’Europe. Une Europe divisée, une Europe s’opposant entre pays riches et pauvres, dépendants de crédits bancaires, de décisions extérieures pour maintenir une croissance et souhaiter un enrichissement conséquent. Le mot d’ordre économique aujourd’hui est « enrichissement » moteur capable d’imposer une domination mondiale sur le plan civilisationnel donc bien au-delà de celui économique.
Il y a une cupidité, une corruption permanente dans nos systèmes faisant de l’argent une arme contre notre propre humanité, qui devance celle nucléaire et qui s’emploie sans restriction. D’ailleurs, la lutte contre la corruption est un moyen d’imposer un régime politique totalitaire censé représenter l’incarnation de l’honnêteté tout en maintenant un capitalisme acharné, ce qui bien évidemment est un simple moyen de contrôle des populations en leur livrant en pâture quelques corrompus choisis, tout en laissant la corruption être du moment qu’elle sert le pouvoir dominant.
Un gouvernement va satisfaire la population en favorisant une lutte anti-corruption, et l’indépendance de la justice montre encore une fois qu’elle n’existe pas, qu’elle est directement liée au pouvoir politique dans sa globalité dont elle est issue. Si, nous voulons revenir aux dysfonctionnements de la justice, on voit cette conception perverse et politique de son système. Une justice qui oublie qu’elle n’est que par le courage des victimes, leurs témoignages, lesquelles y sont pourtant maltraitées, mises sous pression, domination par notamment une peur de la justice qui pourtant est censée les protéger, les défendre. La justice reste le dominant et elle n’a pas pour but de se lever contre l’injustice, les prédateurs, sinon elle serait le garant des droits humains, donc de la lutte contre la pauvreté, ce qu’elle n’est pas. Au contraire, on peut y faire fortune et carrière, y être arriviste et manipulateur à souhait.
Il y a une hydre qui se divise en système et les institutions sont toutes dépendantes de la pièce maîtresse. On a conçu un système politique absolu par la domination du contrôle des armées. Nos empires sont basés sur des stratégies de défense, de renforcement de celle-ci, de sa puissance et toute l’économie doit préserver celle-ci qui ne peut pas faiblir, mais au contraire augmenter ses capacités.
Nous sommes entrés dans une période politique particulièrement complexe et dangereuse où commence à s’écrire notre avenir vers cette date fatidique de 2050.
Le monde est en plein bouleversement civilisationnel et l’Orient pourrait prendre le pouvoir, renverser les pôles dominants et dominer l’Europe et les États-Unis. On s’éloigne du pass sanitaire, qui n’est qu’un vecteur, un test grandeur nature, un moyen politique pour Emmanuel Macron de concrétiser son succès. Ce sont plus de 900 000 prises de rendez-vous en un temps record, les gens ayant cédé à la panique, sans prendre le temps de la réflexion, et se sentant piégés par l’ordre politique donné. Puis, Emmanuel Macron oriente la critique en créant une opposition entre l’obligation pour les personnels soignants de se faire vacciner , et non pour les policiers et gendarmes. Des professions pourtant liées au secours et qui ont l’habitude de se rencontrer sur des terrains professionnels communs comme lors d’accidents.
Emmanuel Macron adopte une stratégie de propagande qui met au défi ses opposants en une date symbolique du 14 juillet où se rassembler autour d’une fête nationale est rompu et émerge des appels aux rassemblements dans la rue pour ce 14 juillet en opposition à la politique du gouvernement dans sa globalité.
Emmanuel Macron et son gouvernement ne pouvaient que s’attendre à cette réaction et pour lui, si les rassemblements à l’appel des opposants au pass sanitaires, aux réformes annoncées ne dépassent pas le nombre de connexions inédites sur Doctolib, il démontrera que l’opposition est une minorité, ce qui n’est pas forcément vrai, et que l’ensemble de la population française a approuvé les décisions gouvernementales, la politique sanitaires et de réformes.
Il fait le pari du plan de relance sur une continuité affirmée après 2022. Emmanuel Macron impose en quelque sorte sa réélection dans un contexte très sensible où la violence est en grave augmentation et multidimensionnelle et cela ne peut être autrement puisqu’un déséquilibre majeur se confirme, s’accélère et que les fortes inégalités entre riches et une population modeste à pauvre s’accentuent.
L’effet panique provoqué par son discours du 12 juillet continue son œuvre et cette façon d’opposer les forces de l’ordre à la population par cette différence qu’il fait ressortir par l’obligation de vaccination, est choquante, attise la colère, provoque la haine, ce qui est inconcevable lorsque la paix doit être le chemin choisi plus que jamais. Une partie de la population qui entre en guerre contre, sera bien évidemment montrée du doigt et mise en culpabilité, c’est particulièrement grave.
Mettre la population devant le fait accompli par la décision du pass sanitaire en sésame renforcé pour accéder à des libertés est un moyen de politique totalitaire et Emmanuel Macron semble convaincu que la relance économique se passe par un capitalisme totalitaire tout en jouant la carte sociale du donnant donnant. Il met là encore en culpabilité les plus fragiles , alors que tout un enrichissement des plus riches est ce qui est le plus dangereux pour la paix, et que cela n’est absolument pas remis en question, au contraire les investissements , la cupidité et l’orgueil de dominer , de posséder sont à leur paroxysme. Ce qui ne peut que plaire au pouvoir chinois qui pense avoir déjà gagné une bataille en rentrant dans l’esprit politique des puissances européennes, qui calculeront des stratégies diverses et opposées par rapport à une domination du monde par une Asie voulant se rassembler contre ce qui aussi été l’humiliation par les colonisations les ayant appauvrir. L’Inde, la Chine, le Pakistan, la Russie et une partie des pays du continent de l’Afrique pourraient s’allier au programme global de conquête de la Chine qui promet soumettre l’Europe et les États-Unis.
Nous ne sommes pas dans une économie de paix mais de guerre. Et, Emmanuel Macron en se proclamant chef des armées dès le départ et appelant à une armée européenne, comme à une politique voulant préserver l’économie européenne, s’inscrit dans cette perspective d’offensive, qu’il rend incohérente en recevant le dirigeant chinois et allant en Chine dans une sorte d’allégeance, d’acceptation d’une économie globale en réalité incontrôlable, qu’il ne peut maîtriser. Il peut être la voix du FMI, et celle qui demeure dangereuse pour la paix et la liberté.
Le monde ne sera plus jamais comme avant, la pandémie de Covid-19 n’est que le signal d’envoi !
© Fédora Hélène
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