Lumière sur – Déjà l’histoire: Macron – Les paroles du dimanche 14 juin – Les discours ne font pas la liberté

Ce dimanche 8 août 2021 se réveille avec un pass sanitaire en tête et le bourdennement des slogans des manifestations du samedi résonne encore . Ses rues arpentées sans fin des samedis désargentés criant pour la liberté !

Celle perdue laissant en peine notre humanité, en souffrance notre nature qui lance l’alerte, crie-t-elle aussi sur cette Terre prenant feu ou se noyant dans le feu des guerres économiques qui sont ce long suicide à coup de milliardaires dont celui se faisant plus le capitaine du navire sombrant que Macron lui-même, Bernard Arnault.

Il a trouvé le miracle de l’argent, ces nouveaux prophètes faisant de la source de notre humanité, ce profit insatiable, une civilisation sans plus de spiritualité que celle du chagrin se noyant, elle, a ses larmes dans l’appauvrissement qu’elle subit.

Nous voilà pauvres ! Consommant sans limite, l’urgence de vivre se précipite contre les murs d’indifférence des puissants qui nous disent que seules les richesses sauvent notre humanité du désastre.

Les plans Relance vont ouvrir les portes d’une nouvelle histoire – Une humanité sous haute surveillance numérique où la liberté signifiera sécurité, où l’exclu sera sans droits, où la machine faisant de l’homme l’outil sera vendue comme notre seule sauvegarde possible.

Nous sommes « employé à » et la liberté file se noyer dans ces ruisseaux jadis limpides que l’industrialisation de la vie empoisonne.

Ce dimanche fait ses promesses de liberté vendue au prix des mensonges – le droit à la santé est bafoué pour tous ces millions de pauvres que les systèmes économiques, technocratiques, politiques des pays riches ne regardent pas, ne voient pas. Ils sont ces milliards de pauvres non d’argent mais à l’or du cœur de notre humanité.

Lutter contre une pandémie, ce n’est pas instaurer un pass sanitaire mettant en ordre la sécurité par l’incontestable « bonne conscience » , c’est avant tout le respect véritable des droits humains, celui qui ne laisse pas des jeunes réfugiés perdus , errant sans eau potable sur les différents territoires de notre France pleurant les larmes que les décideurs politiques n’ont pas le courage de versées. Ils n’ont pas le courage de se remettre en question, de dire qu’ils se trompent quand il est plus de 10 millions de pauvres en France, des personnes en insécurité alimentaire qui sans le dévouement d’associations et collectifs n’ auraient rien que la faim.

Une malnutrition que l’on cache derrière les apparences trompeuses de l’argent quand un pays divise les enfants entre riches et pauvres, séparent déjà l’avenir, en font ce recommencement de la misère.

Le vaccin n’aurait jamais dû être un profit mais un bien commun pour le droit à la santé pour tous, et le pass sanitaire n’est que le résultat des profits et ceux à venir , en rien il ne signifie protéger la vie.

Si Macron m’était conté – Juin 2020

D’un dimanche à l’autre

22 juin 2020 – Retour obligatoire pour les élèves de la maternelle au collège et quelques lycées ont déjà rendu la présence d’élèves obligatoire . Soit près de 12 millions d’élèves et près de 870 000 professeurs vont rejoindre les classes pour 10 jours d’école. Dans le même temps, Macron déclare que les rassemblements « resteront très encadrés » car précise-t-il « Ils sont les principales occasions de propagation du virus »

28 juin – Les élections municipales pourront accueillir le 28 juin près de 16 millions d’électeurs dans près de 5000 communes, ce qui pourrait être un rassemblement très encadré d’une ampleur dépassant des rassemblements culturels ou des manifestations qui se déroulent selon le droit à manifester.

15 juin – Les personnes âgées en EHPAD pourront de nouveau recevoir des visites.

« Le travail va reprendre pleinement » annonce Macron

« Nous avons fait un choix humaniste » déclare Emmanuel Macron en décidant le confinement pour portéger la santé de la populationcontre le Covid-19, ce qui peut signifier également que le système économique qu’il défend ne l’est pas, sinon il n’y aurait pas eu de choix humaniste à un moment précis d’urgence sanitaire car l’humaniste aurait été constant, imprégnant notre société.

De plus, il était une décission internationale et non uniquement prise par le fait du « Prince » !

Donc lorsque la pauvreté a laissé des personnes avoir faim durant la pandémie où la santé devait d’autant plus être préservée ,il est très difficile pour des politiques de prononcer le nom d’humanisme.

Lorsque les soignants alertent depuis des années sur les grandes difficultés que vit l’hôpital devenu un produit financier, le mot humanisme dans la bouche d’un politique devient encore plus compliqué à être prononcé.

Puis, pourquoi n’est-il pas un mot pour les personnes décédées à leur domicile donc sans recevoir des soins hospitaliers et pourquoi est une question entière du respect de la vie.

« Nous devons faire partir pleinement notre économie » affirme Macron, ce qui signifie que le nouveau monde ne sera pas par ce pouvoir politique, économique et que continuera un bouleversement qui aurait du être entendu, pris en conscience par les décideurs.

« De travailler et de produire davantage pour ne pas dépendre des autres » selon Macron, cela était avant que les princes du capitalisme choississent le profit, l’argent avant toute chose et propagent à travers le monde la souffrance de la pauvreté, du travail des enfants, de population contrainte à être à la chaîne d’usines productrices des richesses superficielles.

N’oublions pas comment vivent ces populations et sous quel contrôle dominant, quelle surveillance, quel totalitarisme pour que soit le « produire plus ».

Tant que cette peine était à l’extérieure des frontières de l’occident, les pays riches se moquaient de savoir toutes ces femmes, ces hommes, ces enfants contraints à produire une technologie avancée de surproduction en importation pour l’enrichissement de quelques milliardaires, par ce qui commande les politiques, les grandes firmes, et celles-ci ne lâcheront pas la France et investiront dans une production qui se fera sur le capital humain.

Tant que la faim ne frappe pas à notre porte, nous ne la ressentons pas, et il était d’ignorer les famines sévissant dans les pays en voie de développement. Quand la faim entre sur les territoires riches et que ses habitants comprennent qu’ils peuvent être également touchés par les crises lourdes qu’elles soient sanitaires ou économiques, ils commencent à réfléchir autrement et en premier ceux qui sont les plus touchés, mis en état de précarité donc de pauvreté.

Tant que la nature est blessée mais que l’on s’est coupée d’elle, on pense la maîtriser, la posséder à l’infini, nous ne voyons pas les conséquences du réchauffement climatique. Nous sommes enfermés dans des infrastructures que nous pensons invincibles par l’argent en architecture de nos vies.

« 500 milliards d’euros pour notre économie » Emmanuel Macron déclare cela en un phrasé de communication, de flatteries, d’auto-flatteries comme LiberTerra l’annonçait quelques heures avant sa prise de parole calculée d’annonces qu’un ministre aurait pu faire. Ce n’est pas raisonnable et hallucinant de glisser ainsi de la démence de 500 millards d’euros, à la vie, la production en la voulant continuelle, semant des graines écologiques par ci par là dans un capitalisme vert qui se perd dans son propre labyrinthe sans plus jamais en trouver le sens, la sortie salvatrice.

« je m’engagerai dans cette reconstruction économique » déclare Emmanuel Macron alors qu’il énumère les faillites, le chômage qui va saisir notre pays et qui est le résultat d’une décadence de l’humanisme au profit d’un moteur, d’un dieu, l’argent et sa puissance de pouvoir, d’énergie par les investissements notamment dans le nucléaire et la dimension qui en résulte dont l’armement est le témoin falgrant.

Ce nest pas « je m’engagerai » qu’il aurait dû dire, mais « je m’engage » car le mur est face à nous aujourd’hui et non demain.

Emmanuel Macron se veut être l’unité bienfaitrice et qu’il est un devoir de se ranger derrière lui et que l’opposition qui manifeste est contraire au bon « chemin » qu’il a choisi pour nous tous ensemble. « Ce nous tous ensemble » qu’il reprend en élement de langage mais à qui il n’a jamais donné vie car ce nous tous ensemble écrit tant de fois dans LiberTerra se vit naturellemnt par l’humanisme fort , fondateur, socle sur lequel nous pouvons reposer notre confiance, notre assurance que la liberté est là , présente et veillant sur nos communautés, sur notre pays, sur chacun de nous.

Puis, Emmanuel Macron n’a toujours pas tenu sa promesse pour que soit un toit pour tous alors qu’il ne peut nier qu’un domicile est un refuge essentiel auquel chaque être humain a le droit.

« Nous allons retrouver notre goût de la liberté » Emmanuel Macron

Combattre la pauvreté est la cause la plus difficile car elle se heurte à la richesse qui tenace et sordide se tient dans l’indifférence de la souffrance qu’impose à la vie la pauvreté.

Le capitalisme a mis des chaînes à des millions d’êtres humains au monde pour qu’ils produisent en une accélaration continue le marché de notre économie, de nos places boursières avançant sourdes à toutes les peines que subissent des enfants contrains à répondre à l’ordre de travailler pour la domination d’une industrie sur la vie.

Briser ces chaînes en affirmant une volonté de sauver la vie, est une des plus grandes tâches à accomplir et l’enjeu est là . Il est de bâtir dans un pays où on ne meurt pas à la rue, où il n’est pas la peur de tomber, peur de ne pouvoir plus survivre, peur des faillites annoncées, de la folie politique qui ne s’arrête jamais, et poursuit un chemin celui qui a déjà semé la misère.

Pour le moment Emmanuel Macron n’a toujours pas concrétisé sa promesse de loger toute la population, il ne tiendra aucun autre engagement par nous ne pouvons pas bâtir l’humanisme sur l’indifférence sur des théories ancestrales de l’acceptation de ce que l’on ne devrait tolérer , la pauvreté. Nous ne pourrons fonder notre humanité pérenne par un système de prédateur qui a marqué par le sceau de la souffrance tant d’êtres humains et la nature qui ne cesse de nous alerter.

Cette pauvreté qui gagne du terrain et les faillites qui pourraient être proches révèleront que ce qu’on a toléré, détruire au delà des frontières politiques et financières que les riches ont odieusement fixées.

Il était entendu qu’une partie de la population pouvait rester pauvre à vie en statistique de consédération pour notre humanité, et cela a pour conséquence catastrophique de fonder la pauvreté comme évidence de toutes les crises car il ne s’agit pas d’humanisme mais d’argent et c’est ce qui soucie les États, l’orgueil que procure la fortune.

Macron nous a récité une éloge à lui-même, un devoir d’obéissance que nous lui devons, et de rester dans l’immobile de notre liberté à nous opposer, à vouloir que l’hiérarchie, que les États fondés par des hommes et non des dieux de l’Olympe, soit ce perpétuel commandement, que nous sommes interdits de remettre en cause. Emmanuel Macron qui garde son objectif d’être le chef de l’Europe et qui tient à ce que le Nous que tous prononceraient, serait surtout le « Je » en accomplissement du Macronisme victorieux.

Le peuple doit marcher sur le chemin de clous qu’Emmanuel Macron décide car l’espérance est au bout pour fin.

Car nous sommes tous redevables à vie des 500 milliards d’euros rugissant pour maintenir un pouvoir civilisationnel de marchands et guerriers sans autre issue possible et ordonnant toute vie.

L’État ne donne rien, et les opposants seront juger comme des « séparatistes » nuisant à la conquête du mondialisme. Les peuples responsables et coupables pendant que les milliardaires n’ont pas vu fléchir leurs milliards, ni les politiques leur pouvoir qu’ils n’ont pas cessé de renforcer, d’abuser.

Une crise majeure est et ceux qui ont affaibli notre industrie par cupidité sont ceux qui nous promettent les jours heureux, cela n’a pas de sens et Emmanuel Macron ne vit pas les décisions qu’il impose, ne vit pas la tristesse de ceux conscients qui l’écoutent.

Ces 500 milliards d’euros qu’Emmanuel Macron évoque sont l’épine dans le pied du peuple et maintenant va être le temps de rembourser la dette et les dettes privées de chaque foyer, de chaque entreprise, qui seront d’autant plus dûes que sera une priorité, remplir les caisses, assurer la surdimension des banques.

Rendez-vous au 14 juillet puis à la rentrée pour comprendre les nouvelles mesures annoncées pour «  la liberté », la « solidarité », « l’écologie », la « souveraineté », la grande « industrie », un socialisme capitaliste perdu chante en coq !

Nous devrons faire tout ça avec la crise économique et le maintient de la pression d’une épidémie nouvelle, de mesures de distance à continuer à observer, ce qui est impossible dans le mouvement d’une économie qui reprend un train d’enfer pour marteller une économie forte de PIB riche.

Le 1 ère victoire contre la pandémie clame Macron qui sous-entend qu’une autre pourrait être à venir et donc des successions de confinement resteraient possibles et de cette urgence le totalitarisme prendrait une ampleur toujours plus puissant jusqu’à son écroulement.

La violence est intrasèque à un système prédateur propulsé toujours plus haut.

La cause noble de lutter contre le racisme et l’antisémitisme, contre les discrimninations injustes, ne peut être que par la reconnaissance des victimes.

Reconnaître le tavail de la police, de la gendarmerie car des policiers font un travail difficile en respectant les droits fondamentaux est juste mais ne pas reconnaître les victimes de violences politiques, économiques, policières, les victimes de la violence de la justice, est être dans l’injuste.

Et, l’injustice ne porte jamais la justice. L’écologie véritable est de porter la justice car c’est permettre le droit de vivre à tout élément, à toute vie sans entrave imposée par un possédant, par un dominateur car cela est un système prédateur qui détruit l’espace sacré de la liberté.

Vivre dans le noir, où tout est sombre quand l’homme se sépare de la nature puis de l’humain pour être à ce qu’il croit grandiose et qui en réalité écroule notre humanité.

Il est des combats et l’écologie demande d’être dépourvue de richesse pour se réaliser. John Muir pionner non de la conquète de l’or mais de l’écologie va mettre en lumière ce que nous sommes lorsque nous voyons en liberté et combien nous sommes dans le noir quand nous nous interdisons de voir autrement qu’avec les contraintes que nous inventons.

La nature est réelle et la nourriture qu’elle donne nous permet de transmettre celle-ci jusqu’à l’infini de notre humanité car elle se renouvelle naturellement. Comme l’homme la contraint, elle s’épuise, ne se renouvelle pas et génère ce que l’homme lui a transmit, la pollution.

Pour que cette pollution soit, il faut que nos sociétés aient eu des actes destructeurs aussi bien envers la nature que l’humain. Le déni, la cupidité, la lâcheté, vouloir à tout prix protéger des puissants, ne fera que perpétuer l’injuste.

Emmaneul Macron se veut pionner en tout sans avoir pris le temps de voir avec les yeux de la liberté car il est enfermé dans sa stratégie constituée par sa logique, la seule qu’il connait, une vieille bourgeoisie qui accordait quelques privilèges au peuple en lui disant « Tu vois, tu es libre ! » Tout en lui imposant de croire que cela lui était accordé par un puissant l’avait décidé et non venant naturellement à lui. À partir de ce fait , en réalité, le peuple n’était et n’est pas libre.

Et, la liberté ce n’est pas de dominer, mais de vivre naturellement avec une orchestration d’émotions, d’intelligences, de créativité, de langages, de sensibilité, de travailler pour transmettre, donner , partager, respecter la vie.

Un chiffre glaçant, 165 000 ernfants victimes de violences sexuelles en France chaque année et 0,3 % des prédateurs sont face à leurs actes. Des violences sur des femmes, des enfants et une multitude de prédateurs impunis et un système judiciaire qui traumatisme les victimes en coup fatal.

165 000 enfants, 94 000 femmes victimes de violences sexuelles en france chaque année et il est précisé que la réalité des violences est bien au-delà de ces chiffres.

Un autre chiffre glaçant, 48 000 morts, victimes de la pollition en france chaque année.

Nous devrions rajouter les morts par les causes également évitables, la drogue, l’alcool, les suicides, les maladies dûes à la pauvreté, au chomâge, à la peur qu’impose ce système.

À partir de ce point du mental prédateur de notre système qui refuse la paix et la liberté à des millions d’êtres humains, Emmanuel Macron n’est pas un homme libre, et s’il doit parler de liberté, qu’il commence par la chercher pour lui-même en dehors de ces phénomènes d’orgueil, de jalousie, d’autorité, de profits, de fausses promessses qui défilent en discours flattant et s’auto-flattant, interdisant et recommençant au gré du vent comme la vague s’échoue toujours.

© Fédora Hélène

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