
Certains médias exposent Éric Zemmour comme un produit de tête de gondole. Les intérêts complexes qui sont politiques, financiers, qui ne souhaitent que maintenir des privilèges archaïques donnent l’image d’une France raciste, discriminatoire qui réduit notre société à la violence des préjugés. Zemmour a fait une compilation des préjugés et il exprime leur violence répétant sans fin son discours commercial qui fonctionne depuis près de 30 ans. Le tout pour récolter après autant de labeur 10 % des intentions de vote.
Des intentions de vote qui sont ce leurre, qui paraissent à chaque élection présidentielle depuis cette date marquant l’histoire politique française 2002.
Depuis, les élections présidentielles traversent ce pont suspendu dans le vide qui peut à tout moment céder et faire basculer la France dans l’odieux de l’extrême droite.
En cette année 2002 triomphe le mensonge politique s’armant de discours sécuritaires marquant l’instabilité politique de la France, ainsi que les haines persistantes qui empêchent une progression de notre pays vers ce qu’il peut être, un bâtisseur de la paix universelle en alliance avec les autres pays, ce qu’appelle l’ONU alors que notre monde affronte un bouleversement climatique et civilisationnel sans précédent. « Notre monde est au bord de l’abîme » déclare le Chef de l’ONU dans un entretien avec le journal de l’ONU en septembre 2021.
La France peut être à ce rendez-vous civilisationnel, elle possède cette force en elle, elle peut braver ce qui l’enferme et laisser l’éclat de sa lumière tracer le chemin de l’universalité de la paix.
Angoisse terroriste et politique sécuritaire
La France vit depuis plus de 40 ans, cette angoisse, ce traumatisme du terrorisme. Cette horreur que des hommes ont commise sur notre sol, comme sur d’autres territoires, comme le terrorisme persiste à vouloir détruire la paix à travers le monde. Des groupes terroristes qui sont toujours dangereux et nous savons que les lois sécuritaires multiples impactent la liberté de tous, peuvent mettre la population sous une surveillance constante et menaçant gravement la liberté. Dans un précédent article de LiberTerra, il est évoqué les dangers pour la paix et la liberté des systèmes de sécurité par les moyens de l’IA se développant de différentes manières et étant intrusifs, décideurs de notre quotidien et imposant des ordres à la population dans une totale opacité !
Nombreuses choses peuvent être justifiées comme nécessaire à la lutte anti- terroriste, à la sécurité toujours plus introduite dans notre société, et permettre alors des dérives autoritaires, des discours extrêmes, une forte répression.
Ce qui s’est passé en Afghanistan, peut émettre des inquiétudes et nous dire que des groupes terroristes pourraient prendre plus de pouvoir en prenant l’exemple de conquête du pouvoir par les Talibans. Il est alors de prendre conscience que les droits humains sont cette solution pour lutter contre la violence.
La pauvreté est une violence, un enfant mourant de faim est une violence et cette violence ne peut que faire naître des trafics humains, des conflits, des groupes armés attaquant en premier les plus vulnérables.
Notre monde est plongé dans ce désastre de la violence, de celle se mettant au pluriel. La politique, l’économie impactent gravement l’équilibre de la vie, affaiblissent son sens, tentent de faire disparaître son nom. La Vie, le primordial et l’incompréhensible de l’humain qui s’autodétruit alors qu’il possède cette splendeur, la vie !

Terrorisme – notre mémoire commune marquée
Cette violence inouïe qui marque les actes terroristes, attise la haine, provoque la peur, l’incompréhension, ce cruel de savoir que ce sont des hommes, des êtres humains qui ont fait cela, qui ont attaqué des innocents, qui ont brisé la vie, et il est ces dates que nous n’oublierons jamais.
13 novembre 2015, le Bataclan – notre cœur pleure. Ces images de peine, de deuil se font ce présent, emplissent nos yeux de tristesse. « C’est un acte de guerre commis par une armée terroriste, Daech », déclare François Hollande cette nuit terrifiante où la haine, ces pulsions de violence, ont détruit des vies, la vie.
Une violence de guerre très traumatisante qui brise la mémoire, cette identité de notre humanité, celle qui construit nos rêves, qui nous offre notre futur. Un avenir fortement impacté par la violence subie et la souffrance sera aussi celle de notre mémoire en trou noir, devant plonger dans la douleur pour reconstituer les faits, pour se souvenir.
La violence est cette agression destructrice et notre société porte une violence multidimensionnelle contre les plus vulnérables, contre des enfants, des femmes, des pauvres, nous vivons ces traumatismes qu’infligent de fortes inégalités, l’injustice. Les Terroristes, les prédateurs, ceux qui mettent un être humain en souffrance, ceux qui détruisent la vie, c’est eux cet extrême de la violence qui met notre monde en péril. « Ils n’ont pas le droit. Il n’avait pas le droit » ces paroles de victimes, aucun homme n’a le droit de détruire une vie.
Un système mondialiste prédateur, des conflits et le terrorisme demeure, il est celui de tous les trafics contre des êtres humains, il est ce qui tue. Il est cet ennemi sur de nombreux territoires, et peut s’imposer en pouvoir politique dans des pays subissant de graves crises humanitaires.
Nous combattons le terrorisme depuis toutes ces décennies, et il continue à être cette menace pour la paix dans le monde. La solution pour donner à notre monde la paix ne sera jamais la violence d’une politique prônant les mensonges pour réponse.
Si je regarde ce qui a sauvé des vies lors d’attentats terroristes, c’est l’amour, son élan formidable. Les soignants, ceux venant immédiatement prêter mains fortes aux services des urgences. Ce sont les policiers qui sont intervenus, qui ont démontré tout l’important de notre humanité, protéger la vie. L’humain, profondément sensible, compatissant, aimant, c’est l’humain qui a été là pour secourir les victimes, et verser les larmes de douleur pour toutes les victimes mortes.
C’est ainsi que l’humain vaincra la violence, par l’amour. Nous ne pourrons pas accéder à un monde plus sûr sans donner aux droits humains toutes leurs possibilités, sans mettre en œuvre par des actions concrètes leur application, leur vérité au cœur de notre société. Nous n’avons pas encore été cette société de paix et de liberté et nous le deviendrons par cette envie forte de vivre.

Une humanité qui survit
L’instinct de survie peut faire naître parfois le pire, la violence devient son arme et l’extrême pauvreté donne ce champ libre aux extrêmes qui prennent différents noms. Des politiques qui se jouent du malheur, qui attisent les préjugés, qui ne comprennent pas l’évolution de notre monde et qui se contentent de clichés discriminants pour réponse au désastre que provoquent les systèmes prédateurs.
Zemmour et sa cour ayant pour ambition de favoriser les programmes arbitraires que peut défendre Marine Le Pen et les autres candidats qui prêchent le profit avant toute chose – c’est ce trop tard, cette traîne finale des mots se jetant dans le vide, creusant le gouffre des divisions, et favorisant cette perte de temps alors que les enjeux actuels sont majeurs pour lutter pour la réalisation des engagements du développement durable.
Puis, il serait à dire que pendant que la France glisse sur la pente de l’extrême droite, les États-Unis en référence, ont choisi Joe Biden. La France, elle, commettrait la grossière erreur de choisir un Trump à la française ? Je ne veux pas y croire, je ne peux pas penser que le peuple français choisira l’ombre sur la lumière.
La lumière – Qui sera ce candidat de l’espérance ? Le peuple, c’est lui ! Mais il ne le sait pas encore.
Actuellement, Emmanuel Macron reste celui qui peut être réélu et cela ne fera pas sa victoire si le candidat-e s’opposant à lui au deuxième tour est une personnalité d’extrême droite. Cela signerait son échec car il n’aura pas dans ce cas accordé à l’humanisme cette progression primordiale pour nos sociétés, durant son mandat. Cette montée du fascisme, et nous pouvons nous rappeler de la violence inouïe ayant été durant son quinquennat. Ne pas l’oublier.
La Gauche doit être présente au deuxième tour, pour que l’extrême droite ne puisse pas construire le pire, un avenir de violence. Sa présence au deuxième tour de manière semblable à 2017, laissera encore les fortes inégalités, les discriminations, la pauvreté, la terrible injustice ternir la France et l’éloigner d’un avenir véritablement prospère.
La prospérité se gagne par la générosité jamais par l’injustice. Prendre aux pauvres pour crier à la réussite d’un enrichissement, c’est se faire l’écho de la violence contre la liberté. La France ne doit pas manquer l’histoire, elle doit faire partie de cet élan pour protéger la nature, les plus vulnérables, les droits des femmes, les droits à l’égalité, les droits humains. La France ne pourrait être absente des rangs humanistes à l’Europe, à l’ONU, auprès des populations subissant de graves crises humanitaires, comme celle sévissant en Afghanistan.
Combattre le terrorisme, c’est soutenir les plus pauvres. En aidant, les gouvernements protègent les populations de la violence. Ce n’est pas l’IA en surveillance avancée qui va protéger notre monde, mais nous-mêmes avec notre cœur. Le verbe aimer est celui qui a toujours relevé notre humanité et a permis une prospérité par la générosité. Les différents régimes politiques en France n’ont jamais atteint le sommet de la réussite car les droits humains n’ont jamais été véritablement respectés.
Les violences faites aux femmes et aux enfants sont le chaos de nos systèmes capables de détruire la vie. Comment des hommes en temps de paix défoulent leurs pulsions de violences sur ceux qui partagent leur vie, qui leur offre de l’amour, qui sont cette chance pour lui, cette chance d’avancer et ils choisissent conscients de leurs actes de détruire l’autre car ils pensent que la vie de l’autre qui aime, empêche leur existence qui n’aime pas, d’exister !
C’est l’humain qui a de l’eau pour boire et qui la pollue pensant gagner de l’argent et que sans cela l’eau qui reste propre l’empêche de devenir riche. En réalité, l’eau est plus riche que n’importe quel homme et de manière naturelle. Elle permet la vie sur Terre. Comme quelqu’un qui aime est naturellement plus riche car il permet aussi la vie sur terre en ne détruisant pas. Et, comme l’humain sait aimer, tout est possible – fonder une unité, l’équilibre et permettre à l’humanité de se réconcilier et d’avoir un avenir libre.
De ce fait, les thèses de Zemmour et de ses partenaires, soutiens, comme les thèses d’un capitalisme acharné n’ont aucune richesse, ne servent à rien, brasse du vent et manipulent les esprits. L’important, c’est juste de partager et prendre les ressources de la terre non pour s’enrichir, mais pour vivre. La richesse, c’est la vie.
C’est pour cela aussi que le peuple est très important car il y a la notion de communauté et de s’offrir, de se soutenir les uns et les autres, de prendre soin. Dans le système de l’argent conçu pour être un pouvoir dominant, ça annule ce que nous sommes, ce que sont nos communautés et c’est la discorde pour s’enrichir. Tout est séparé, divisé et les gens s’opposent pour gagner le vide.
Les élections vont dépenser des millions d’euros qui auraient pu être pour les pauvres et les politiques vont parler de solidarité alors qu’ils dépensent tout cet argent uniquement pour leur orgueil et celui de ceux qui les entourent et qui veulent leur place. Ils le soutiennent pour s’acheter leur titre. Ils peuvent tout à fait se haïr et être ensemble en politique.
Qui est le plus riche ? Emmanuel Macron. Voilà le gagnant. Il a fait des investissements, créé une dette, établi un plan de relance, c’est pour être dans la continuité car on n’a pas les moyens financiers de construire autre chose dans une société dépendante de l’argent. Alors, on fera du produit financier avec des gens de droite comme LR et les Centristes qui ont soutenu Macron durant la crise des Gilets jaunes et qui veulent avoir maintenant la monnaie de leur pièce.
Emmanuel Macron, il prend juste ces investisseurs pas que sur le plan financier, mais sur les intérêts de pouvoir et ceux qu’il maîtrise pour ne pas être dépassé par les trahisons. C’est de la politique, pas la foire aux bons samaritains. Tout est calculé et le peuple n’a pas la priorité et ne fait aucun choix. Puis, Macron, il est malin. Il donne 300 euros aux jeunes de 18 ans pour la culture. C’est très bien pour eux, mais celui qui est pauvre, dont la famille subit la précarité, ils restent tous pauvres. Donc, il vaut mieux un gouvernement qui combat les fortes inégalités, les injustices et qui permet à tous d’avoir le droit d’accéder un droit humain, celui au bien-être. C’est-à-dire que tous ont le droit à la culture et non une seule personne et dans un cadre financier limité.
Aujourd’hui, il y a plus de 10 millions de pauvres en France. Ce qui est primordial, c’est de lutter pour un monde plus juste, plus équitable, plus durable. Et, pour non un système qui aggrave la pauvreté. La générosité d’ Emmanuel Macron est un calcul politique. On voit une offre, mais pas une baisse significative de la pauvreté, mais son aggravation. Donc tout est superficiel et non exploité de manière à lutter efficacement, de manière inédite contre la pauvreté.
Avec la politique d’Emmanuel Macron, la pauvreté s’aggrave, les prix de l’alimentaire subissent une augmentation importante pour les plus vulnérables. Affaiblir les plus fragiles, le système fait subir traumatisme sur traumatisme en pratiquant le faux avec des termes comme « insertion », des termes sociaux comme « défavorisé », « zone prioritaire ». Tout est à un mental qui cloisonne, appauvrit, humilie par des termes manipulant l’identité d’un être humain.
Nous ne sommes pas un défavorisé vivant en zone prioritaire et d’autres des favorisés habitant dans des quartiers bourgeois, nous sommes des êtres humains qui devons tous vivre la réalité, l’application du respect des droits humains. Pas de pauvreté et non l’organisation administrative, technocratique, politique de la pauvreté. Pas de pauvreté, objectif premier du développement durable.
La vie, c’est elle qui doit être au cœur de notre société. Tous les enfants ont le droit de pouvoir manger sainement, d’avoir un environnement respectueux, d’hériter d’une nature libre et non emprisonnée, domestiquée par cette folie suicidaire du profit !
L’économie est cette puissance qui domine et qui avance en créant toujours plus d’injustice. Nous avons inventé un monstre et nous pensons que notre humanité ne peut rien faire sans lui ? Alors, nous produisons toujours plus et là, il va falloir rattraper la cadence, enrichir toujours plus les lobbies, les systèmes politiques.
Emmanuel Macron va proposer ses réformes d’un autre temps. Il aurait été très heureux au 19ème siècle en construisant un capitalisme plus dur, et en lâchant quelques libertés comme ces ballons qui s’évanouissent en s’envolant. L’oiseau, lui, traverse les océans et ensuite il se pose et transmet la vie. Un ballon, c’est artificiel et en général ça éclate en plein vol !
Un jardin est plus favorable pour que notre monde perdure, que la robotique IA et pourtant l’homme considère l’IA inventée comme étant un système très intelligent, à son image, mais avec un profil sans limite biologique. La concurrence va être dure ! Un être humain vit, mange, pleure, sourit, aime et l’IA est efficace sans limite, sans émotion humaine et elle ne demande aucun salaire, aucun droit. Elle peut être autonome, prendre des décisions plus rapidement qu’un être humain, et elle pourra dans le futur créer son propre langage que l’homme ne comprendra pas. C’est un système intelligent, indépendant en valeur exponentielle et qui calcule tout.
Les puissants peuvent penser dominer plus de 7 milliards d’êtres humains grâce à l’extension de leur pouvoir par l’IA. La Chine réussit à appliquer ce dispositif. La liberté est l’ennemi. On a compris le futur du capitalisme qui devra s’affronter entre systèmes de puissance. La Chine veut dominer l’Europe et elle possède un système politique stable s’imposant contre les droits humains. Si nous voulons devenir puissant, il faudra s’aligner sur cette forme de pouvoir. Le combat ne sera pas pour la liberté, mais pour obtenir un pouvoir absolu. La conquête de l’espace est l’investissement majeur, il faudra bien déterminer un vainqueur et la Chine ne tient peut-être pas à être un pion, mais plutôt un dominant.
L’élection présidentielle sera avant tout dans l’ambition d’une politique internationale. La France essayant d’exercer une influence, des intérêts et Macron semble demeurer dans la volonté de construire une armée européenne pour affronter le monde de demain. On va commencer par concevoir la puissance de l’armée en disant que la paix est menacée. Et, dans ce même temps sera mis en avant un système économique détruisant la paix.
Le 1er janvier 2022, Macron prend la présidence de l’Europe pour six mois et nous serons en pleine campagne électorale. Il a un atout majeur qui le place en première place. LREM possède une forte politique de communication et concernant les échecs, il pourra invoquer qu’il essaie de faire ce qui n’a pas été fait en plus de 40 ans, comme pour les droits des femmes qui demeurent en souffrance en France.
En souffrance car veut dominer dans la société la violence de préjugés, un esprit sectaire, des manipulations malintentionnées revêtant des allures de monarchie, d’adoration de Napoléon, d’un catholicisme extrémiste et hypocrite, une volonté de privilèges voulant gagner à force de haines, de mépris, de discriminations, de racisme à peine caché. L’orgueil et la cupidité avançant derrière une pseudo culture d’être un Français de souche, une idée de supériorité, – un tas de mensonges destructeurs dans le but uniquement de rester à s’enrichir par la médiocrité.
Ce courant sert Emmanuel Macron qui apparaît progressiste, tout en courtisant une bourgeoisie fermée, conservatrice, faisant toujours reculer les droits à l’égalité, le progrès. C’est un jeu politique. Les compromissions, calculs et trouver un point commun, le pouvoir de l’argent.
Un sondage Ipsos en septembre 2021, place Marine Le Pen au deuxième tour de l’élection présidentielle. Donc un bis repetita de 2017. Une France qui s’enfonce dans la tristesse quand l’humanisme se perd. Emmanuel Macron réélu qui sera dans la continuité de sa présidence à l’Europe. Une Gauche divisée et le pouvoir politique devra compter avec un renouvellement de confiance pour l’extrême droite accordée par une partie des Français et une bourgeoisie qui assoit son pouvoir ancestral et patriarcal. Maintenant, la question que certains se posent est : est-ce que Marine Le Pen peut gagner et veut-elle gagner ? La Gauche a compris depuis longtemps que Marine Le Pen est une adversaire qui s’impose au deuxième tour de la présidentielle, ce qui n’est pas anodin. Elle représente un courant de pensée fort, qui tient à faire entendre sa voix. Les États-Unis rêvaient d’une vague bleue Gauche, pour nous est-elle déjà perdue ?
Christiane Taubira ne se présente pas et on comprend qu’elle ne souhaite pas revivre ce qu’elle a subi lorsqu’elle était ministre sous Hollande. Une femme brillante portant l’espoir de beaucoup et arrivant première à la Primaire Populaire. Dommage, la France manque quelqu’un de remarquable, Christiane Taubira.
L’avenir se dessine avec moins d’espérance, pourtant il faut maintenir un engagement pour un progrès humaniste, pour le respect des droits humains, pour la liberté, pour la vie !
© Fédora Hélène

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