Lutter pour mettre fin à la pauvreté, aux violences faites aux femmes : même combat !

 La violence impacte toute la vie, la pauvreté est cette arme contre la liberté

La pauvreté persiste et signe à cause d’une indifférence qui est la réalité ! Une indifférence qu’affrontent les membres et bénévoles des organismes onusiens, des ONG et associations humanitaires qui luttent pour mettre fin à la pauvreté.  Chacun selon ses moyens, être un rayon de soleil de l’un à l’autre. Puis, comment peut-on croire qu’un pays respecte la liberté quand il est plus de 10 millions de pauvres en 2021 en France, qu’il est une violence inouïe contre des femmes et des enfants. De temps en temps, la justice lave sa conscience en prenant une victime et en la reconnaissant après des années de procédures éprouvantes pour les victimes, leur famille et amis !

Des procédures pouvant durer plus de 10 ans dans certaines affaires ! Cette justice n’existe pas, elle ne respecte pas l’humain quand elle laisse des familles endeuillées qui ne reçoivent aucune reconnaissance quand une des leurs a été victime de prédateurs. Je pense aux femmes victimes qui se sont suicidées et qui sont oubliées !  Il est également les victimes de violences conjugales et sexuelles qui déclarent une maladie à cause de l’impact des violences subies. Je pense aux victimes ayant fait des tentatives de suicide et qui ne sont pas entourées d’amour par la justice française.

La pauvreté dans le monde n’est pas un hasard.  Chacun de nos actes comptent et font partie d’une immensité qui s’appelle, la vie. C’est pour cela que l’amour doit toujours être plus fort pour lutter contre un système patriarcal, prédateur qui détruit tout sur son passage. Un jour, la justice aura peut-être le courage et la dignité de s’excuser auprès des plus de 210 000 femmes victimes chaque année de violences conjugales, et qu’elle abandonne, humilie, oublie, efface. Une société qui devrait ne pas vouloir pour une femme un voile blanc pour linceul de ses rêves. Il est au 19 septembre depuis le 1er janvier dernier, 86 féminicides , en France. Depuis le 9 septembre, mois anniversaire du Grenelle des violences conjugales, au 19 septembre, il est 9 féminicides.

91 % des conjoints violents restent impunis !  Voilà, la réalité en France, en sachant que nombreuses victimes n’ont jamais pu déposer plainte, que le droit à la justice leur a été interdit !

Et, les procédures éprouvantes durant des années sont traumatisantes pour les victimes, pour les enfants et les femmes.  L’indifférence du prédateur est totale ! Il continue ainsi pense-t-il, son emprise sur les victimes qui sont ce courage de dépasser, de témoigner. Un prédateur fait subir à sa proie, ce qu’il fait d’un être humain : une proie qu’il chasse – ce que jamais il ne pourrait supporter, qu’il ne pourrait dépasser.  Un homme violent est d’une atroce lâcheté et c’est cela qui est gratifié en France ? 

Comment la justice peut- elle porter son nom quand elle accepte que des hommes commettent des violences conjugales et sexuelles de manière récurrente sur une femme et cela années après années, détruisant un être humain et ignobles, ces hommes malintentionnés accusent leur proie !  Quelle immense lâcheté que la leur dans leur puissance car impunis, dans leur démence narcissique jamais rassasiée. Une justice qui parfois fait celle qui ne comprend pas ! Quel est le mental destructeur d’un tel système qui continue sans qu’il soit profondément refondé. 

La force du témoignage est force de vie, de résistance 

C’est cet homme contre qui il est une plainte pour viols et violences depuis 2 ans et qui chaque jour dans son orgueil dangereux, ratant sa vie professionnelle et familiale, agressait fort de sa puissance prédatrice sa conjointe et ses enfants. Il n’est pas la grâce des mots quand il est la description des faits, mais ce qui blesse profondément une femme, un être humain.  Ce que cet homme a fait.  Chaque jour, en plus des violences conjugales et sexuelles, multidimensionnelles qu’il commettait, il était le lancinant de sa perversité.

Un de ces faits : il urine dans l’évier sur la vaisselle de ses enfants et de leur mère ! Refusant de partager un repas avec sa famille et ce durant des années ! Ce sadisme silencieux qu’il répétait inlassablement derrière les murs d’une maison.  Il était là le maître traumatisant, saccageant des vies, la vie ! Puis, il partait errer froid dans ses bars où il joue le grand intellectuel, le politique, l’avocat, le journaliste !  Cet homme cruel met sous son emprise, isole sa proie, la plonge dans la précarité, en état de choc par la violence insensée qu’il commet en préméditant tous ces actes malveillants.

Il est de comprendre que cet homme a traumatisé ses enfants, qu’il a abandonné, et se servant de leur nom pour manipuler horriblement en jouant les « pères » auprès de gens ne connaissant aucunement sa famille qu’il a tenu isolée. Il jouait les « pères de famille » entre sa violence contre son épouse aussi bien dans la rue, devant les écoles, au domicile, ne lui laissant aucun refuge, aucun répit. Voisins, maires, policiers, famille, certains de ses amis, ainsi que d’autres personnes de l’environnement dont des patrons de bars de ses amis, – tous savaient, le voyaient ivre et agressif et pourtant il a pu détruire une vie, comme ça gratuitement !

Pourtant, les victimes ont alerté des actes graves dont est capable ce barbare. Sûr de son impunité, il détourna l’argent de la CAF pour les enfants sur son compte bancaire de manière vicieuse en rédigeant un faux courrier au nom de son épouse et demandant le transfert des allocations sur son compte personnel ! Il commettait alors des violences graves et sexuelles sur sa compagne enceinte, une grossesse à risque du fait des violences subies. Puis, après une nuit où sa rage démente a explosé encore plus violemment, il a fui en volant sa famille, en emportant tous les papiers importants jusqu’au livret de famille, comme il avait l’habitude de prendre les clés de la maison et de voiture appartenant à sa conjointe !  Il partit tranquillement s’installer à plusieurs centaines de kilomètres chez une patronne d’un bar/ hôtel de ses mauvaises fréquentations dans une ville qui là ne fit pas de miracles.

Un homme acharné à détruire la vie, à menacer de tuer sa conjointe et à le confirmer en la menaçant de mort à plusieurs reprises avec un couteau et devant les enfants. Comment cet homme peut-il ne pas répondre de la gravité de ces actes malgré des plaintes déposées, des témoignages officiels bouleversants ? 

Un homme cruel, qui aujourd’hui reste attablé à la terrasse de bars sans travailler et se réjouissant du patriarcat qui demeure, des défaillances de la justice, de la perversité des lois, dénoncé par un rapport de la CEDH. C’est un avenir triste que prépare les décideurs politiques faisant de tout ce qui doit être rentable et non porteur de paix et d’humanité. Faire carrière et parfois fortune dans les milieux de justice, ce n’est pas défendre la veuve et l’orphelin, cependant c’est mettre la justice en péril !

« Tous savaient sa violence, son agressivité », c’est le cas dans de nombreux cas où la victime se retrouve seule en état de survie à essayer de protéger ses enfants de toutes ses forces, ainsi qu’à protéger sa propre vie. Aujourd’hui, il y a des mesures prises par le Grenelle des violences conjugales, mais qui demeurent insuffisantes face à la violence inouïe dont font preuve ces hommes destructeurs. Cependant, il est de souligner l’excellent travail effectué par la plateforme #Arrêtonsles qui est une initiative efficace, qui rassure les victimes, qui est un soutien.

C’est après dans le système judiciaire que des victimes rencontrent parfois un accueil loin de respecter les demandes de l’ONU en la matière, soit « écouter avec empathie ». Ce qui permettrait de ne pas provoquer un choc traumatique supplémentaire et d’agir dans le respect des droits humains. Une présidente d’une association féministe confie que des victimes ne sont toujours pas reçues selon les recommandations de l’ONU Femmes et celles qu’exigent la sensibilité appartenant à chaque être humain.

Dans ce même temps, des policiers et gendarmes font preuve d’une écoute attentive, rassurante et bienveillante. Mais, nous devons être sur une ambition commune de recevoir les victimes dans les meilleures conditions possibles. D’autre part, il peut être des locaux non adaptés à l’écoute des victimes. Puis, il est de rappeler puisque la parole se libère, qu’une victime n’est pas coupable et que le système d’inversion qui s’impose dans nos sociétés et qui inspire les prédateurs, peut faire vivre à la victime au moment où elle va porter plainte, une souffrance qui est préjudiciable au droit à la justice.

Entendre une victime en posant des questions pouvant provoquer un choc, c’est aussi mettre une victime dans la situation de ne pas pouvoir poursuivre sa démarche. Il faut un courage incroyable pour témoigner de faits qui ont mis votre vie en danger, qui ont anéanti votre liberté.  La justice doit veiller à ne pas traumatiser les victimes de violences conjugales et / ou sexuelles.  Quel serait ce monde à la folie suicidaire qui refuse la lumière du verbe aimer et qui ne voit pas un regard humain en souffrance, qui appelle et crie  » Je veux vivre » ! D’autre part, l’omerta qui règne dans la justice doit être brisée et non les victimes, non des vies, non ceux qui ont tant souffert et qui chaque jour dépassent les douleurs pour pouvoir vivre ! Une justice qui ne pourra pas être un système démocratique tant qu’une victime pourra y vivre une souffrance. Tant que les larmes de femmes et d’enfants seront car l’amour a été blessé.  

Il faudrait également abolir les prescriptions en matière de violences conjugales et sexuelles, d’autant que la justice prend souvent des années pour aboutir parfois à la non-reconnaissance des victimes, et que le système des lois se retrouve face à sa perversité car la justice dépasse allègrement les délais qui étaient ceux de la prescription et ceux où elle devait prendre soin de ne pas abandonner la victime, de ne pas imposer une attente douloureuse qui peut la mettre en danger. La justice a trois mois pour donner des nouvelles à la victime à la suite d’une plainte de celle-ci contre son agresseur. Des délais qui sont souvent en réalité dépassés de plusieurs mois pouvant devenir des années ! Quand des avocates expliquent que leur cliente a eu des nouvelles de la justice plus de 5 ans après avoir déposé plainte ! 

La justice abat elle-même le sens du nom de justice, et laisse seuls des femmes et des enfants qui ne peuvent ainsi se reconstruire. Puis, plusieurs années après demander à  nouveau à une victime de raconter encore une acte criminel qu’elle a subi, c’est inhumain.  La justice prend le risque de lui faire vivre des états de choc en réveillant la mémoire traumatique. Les êtres humains ne sont pas des mécaniques et il est inconcevable que la justice ait le droit de demander quand bon lui semble, sans respect des délais premiers, à une victime de nouveau devoir raconter alors que l’on sait que cela peut provoquer une intense souffrance. Alors, si le système judiciaire veut poser des questions sans fin aux victimes, qui n’ont que leur corps humain pour preuve de ce qu’elles ont subi, que la justice regarde la trace sur le mur qu’a laissé un homme attaquant une femme, sa compagne, ses enfants.  Il est cette ombre de leur peine, de leur vie qu’il voulait morte, faisant d’eux des fantômes durant leur vivant ! Puis, il oublie ses proies et part chasser ailleurs.  

Est-ce cela notre humanité ?  Est-ce ce ciel qui est celui de la Terre ? Non. Il est l’air pur. Il est l’eau fraîche.  Que la justice ne dise plus jamais,  » Je ne savais pas, je ne croyais pas. » Et, qu’elle ne soit plus le tourment, la peur pour des victimes de violences conjugales et sexuelles.  La France souffre d’une bourgeoisie du 19ème siècle, qui est le siècle de la misogynie, de l’esclavage industriel où la femme est surexploitée sans aucune humanité, sans aucun respect de ses droits humains. Un 19ème qui persiste par une bourgeoisie de droite sectaire à la Zemmour, y compris celle de la messe en latin, fondée par l’argent et le pouvoir du mensonge. La France reste très conservatrice et cela est entretenu par ceux cupides et orgueilleux qui ne veulent que garder des privilèges qui leur permettent d’acheter leur liberté de confort. 

Espérance – Force de vivre

La force de la vie donnera un jour naissance à une véritable justice qui apaise en don de paix. Pour le moment, elle ne sait qu’enfermer tous, en réalité !  Des hommes dangereux qui dans un système prédateur n’ont que peu de chance d’être ce « changement  » auquel croit Robert Badinter. Je m’unis à cet idéal du « changement » et souligne ce qui dit « N’en perdre aucun ».

« Ce changement » espéré, c’est également reconnaître que la violence de nos sociétés peut générer ces hommes qui se légitiment en prenant exemple sur une culture patriarcale qui est toujours persistante dans notamment des cercles bourgeois emplis d’orgueil, de cupidité, d’hypocrisies et de snobisme. Ils s’accrochent à la violence pour continuer à bénéficier de privilèges qu’ils ne veulent pas perdre. Certains médias publient des chroniques patriarcales où le mensonge devient la plume qui victimise médiocrement les prédateurs qu’ils appellent sous une nomination de « mâle blanc », évoquant qu’il sert de « serpillère » ! Ce qui rappelle le mental d’un prédateur qui volontairement se rabaisse, se victimise, s’auto-injurie en disant qu’il sert de « paillasson » aux autres qui ne le comprennent pas, selon lui.  Une espèce de chantage culpabilisant l’autre de ses échecs voulus car tout chez un prédateur est une stratégie, est prémédité par son esprit de violence incessante.  

Il est également de préciser que dans un société de profits, de compétitivité féroce, imposant la loi du plus fort où l’on peut exister par les titres, l’argent, les apparences, – un homme décidant de devenir un prédateur va y puiser tout ce qui est nécessaire à alimenter ses mensonges, ses codes pour demeurer impuni. Ils peuvent aussi s’informer de la loi, uniquement pour jouer avec leur perversité et garantir leur impunité. Ils ne connaissent que cela d’eux-mêmes et ne peuvent vivre sans cela, ignorant totalement la grandeur et la générosité de la liberté, les possibilités d’établir une justice véritable respectant leur conjointe et leurs enfants, d’être sincères, aimant et partageant.

Ce sont des émotions qu’ils ignorent. Leur haine ne peut laisser en leur cœur qu’il ferme :  la joie de vivre, d’avoir envie de réussir par eux-mêmes, d’apprendre, de se construire par l’envie de vivre, d’aimer. Ils sont donc contraints d’imiter les émotions, mais ne les ressentent pas. C’est pour cela qu’ils sont manipulateurs pour donner l’apparence d’une humanité, alors qu’ils se construisent pour être l’incarnation de la violence. 

Ils remplacent donc leurs abandons, cette perte de leur humanité qu’ils choisissent de faire par la puissance de la violence, de la cruauté qu’ils incarnent. Leur autorité existe quand ils anéantissent une femme par leur violence. Ils ne sont plus l’échec, leurs frustrations, leur rancœur. Ils deviennent celui puissant car ils ne ressentent rien donc ne souffrent pas. Ils se placent au-dessus de la souffrance qu’ils font subir.  Prenant plaisir à voir, à savoir leurs proies en souffrance car cela les conforte dans leur supériorité, criminalité. Ils choisissent d’être criminels et vont orienter leurs actes en ce sens.

Puis, souvent, un prédateur est très jaloux de sa proie qui a le courage de survivre, de continuer à avancer, à aimer, alors que lui malgré toute la violence qu’il déploie, il demeure ce minable et sa puissance n’est qu’une illusion émanant de ses mensonges. Il existe, mais ne vit pas et va chercher toute personne alimentant sa prédation pour appartenir en permanence à son cercle infernal. L’alcool est souvent un moteur pour ces hommes qui y voient un moyen pour être toujours plus violents, pour sortir de leur torpeur et oublier l’horreur de leurs actes dont ils ont conscience ! Ils ont plusieurs phases d’alcoolisation en fonction de leur état mental.

Quand leur proie est à portée de main, ils boivent pour augmenter leurs capacités de violences et se sentir ces super-héros du mal. Sinon, ils entretiennent un état destructeur dans une espèce de torpeur ne pouvant oublier les actes criminels qu’ils commettent. Boire pour oublier dans ce macabre de garder cette capacité de faire du mal à tout moment ; ce que sont les féminicides. Ils décident de la vie ou de la mort de leur proie. Ils veulent toujours rester dans un esprit de domination face à leur victime. Quoique la victime fasse, ils s’en fichent. Ils cherchent uniquement à utiliser les émotions de celle-ci pour la mettre sous leur emprise. 

C’est ce prédateur buvant une bouteille de whisky d’une traite devant la police appelée par la victime alors qu’il commettait des violences conjugales. En fait, il a marqué son territoire avec un comportement animal, démontrant également sa supériorité par le système cruel du patriarcat. Aucune plainte ne sera possible contre lui. Il a été protégé par le patriarcat qui est cette arme qui tue avec l’approbation du système. Il est de préciser que c’était avant le Grenelle des violences conjugales et qu’il est des plaintes en attente depuis plusieurs années contre des agresseurs. 

Le patriarcat impose un endoctrinement lourd et il n’est pas rare que des femmes soutiennent ces prédateurs comme seul pouvoir qui leur reste, comme suffisance, par ce même narcissisme que la société injecte dans les rapports humains. Des femmes ayant accepté la violence des hommes, en font une règle, une normalité dans cette décadence brutale, dans cette perversité que certains cultivent.

Mettre fin aux violences faites aux femmes – Une nécessité de changement civilisationnel

Cet idéal du « changement » uni à l’humanisme, permet d’émettre un mouvement de paix inspirant les luttes féministes internationales pour mettre fin aux violences faites aux femmes, ainsi que les engagements pour le développement durable veulent le réaliser pour 2030. L’ONU alerte de la gravité de l’augmentation des violences à l’égard des femmes, ce qui nous éloigne d’un monde plus juste, respectueux des droits des femmes qui sont des droits humains. Une violence et la pauvreté est toujours cette arme redoutable contre la vie, la vie de femmes qui sont plus de 47 millions supplémentaires à subir la pauvreté à l’extrême pauvreté en 2021.

Il est nécessaire que les gouvernements prennent des mesures plus efficaces pour lutter contre la pauvreté. Et en matière de violences conjugales, il faut mettre la barre plus haut que de tenter de rattraper un retard considérable car depuis des décennies comme en France, rien n’est véritablement fait pour respecter les droits des femmes qui sont des droits humains.  Ces droits fondamentaux sont respectés quand chacun d’entre nous bénéficie du droit à l’égalité et les droits des LGBTQIA+ sont très importants. Nous ne pouvons accepter qu’un seul reste sur le bas-côtés des droits et décisions prises pour construire notre avenir commun.

Les mesures prises par Marlène Schiappa concernant le Grenelle des violences conjugales sont évidemment louables et importantes dès qu’elles peuvent protéger une vie, mais il me semble urgent d’établir un Vendôme de la justice et de rappeler à certains qui l’ont oublié leur conscience. Les artisans de paix œuvrant dans la justice pour protéger les personnes doivent être considérés et par respect pour eux également, le système de la justice doit changer profondément. C’est ensemble que nous devons réfléchir et faire les choix qui construiront notre avenir.  

Puis, mettons fin à un système d’inversion qui fait aussi l’impunité de prédateurs – ils ne sont pas malades, mais conscients et responsables. Ils savent très bien ce qu’ils font subir à une femme et des enfants. C’est difficile, cruel de comprendre que des hommes se font du bien en se défoulant sur un être humain qu’il mette en état de vulnérabilité, détruisant sa liberté.  C’est un acte de cruauté que d’anéantir la liberté d’un être humain car il est une femme ! 

Nous savons que pour ces barbares domestiques, leur conjointe leur appartient comme une chose ! Il n’y a aucun amour en eux. C’est cela un être qui n’aime pas. C’est ce cœur de pierre qu’il fait de sa propre vie dont il ruine toute dignité. Puis, il ne faut plus que le système de culpabilité soit subi par les femmes qui sont constamment humiliées.  C’est à l’agresseur d’avoir honte, d’être honteux de sa violence à l’égard d’une femme. Une femme qui ne leur a rien demandé et qu’il leur souhaitait d’être heureux, qui leur ont donné de l’amour.  Ces hommes cruels sont le vide absolu, cette incompréhensible cruauté, et souvent irrécupérables tant ils ont dépassé toutes limites !

L’important est de rendre possible tout ce qui peut protéger une femme, un enfant victime de violences, de respecter les droits humains, de tout faire pour redonner aux victimes la joie de vivre, pour apaiser la peine, et pouvoir sourire à la vie ! Les victimes ont le droit d’être heureuses, et de savoir qu’elles ne seront plus jamais agressées. Le gouvernement doit garantir la paix et la sécurité à sa population. Il doit garantir le respect des droits des femmes au sein de la société, et au cœur de la justice.  

Objectif du développement durable – Élimination des violences faites aux femmes pour 2030 – Zéro tolérance pour les agresseurs – ONU 

En 2021, la violence envers les femmes est alarmante. Les gouvernements doivent faire des investissements à la hauteur des enjeux actuels pour protéger des vies des violences, dont celle de la pauvreté. Antonio Guterres, appelle lors d’un entretien avec le journal de l’ONU que,  » Nous devons démanteler les structures de pouvoir qui permettent à la discrimination, à la violence et aux difficultés économiques d’abaisser la moitié de l’humanité. Et, nous devons nous assurer que les filles et les femmes se voient accorder une place« .

La France possède des systèmes bloquant des populations fragiles en les laissant dans un état de pauvreté. Des décideurs politiques peuvent imposer des ordres administratifs par la perversité des lois. Des ordres qui sont immédiatement exécutés même s’ils sont absurdes car nocifs pour la liberté, la prospérité de chacun d’entre nous. C’est le cas des réformes chômage qui sont technocratiques et issues d’un système économique suicidaire.

Les discriminations envers les femmes, c’est aussi l’inégalité des salaires qui persiste. Des difficultés pour progresser dans leur métier que les hommes ne rencontrent pas telles que des pressions si elles sont enceintes, mères isolées avec les questions sur la situation familiale qui demeurent comme « la fille mère » remplacé par des termes différents. Une femme est souvent très jugée sur sa situation familiale. Des questions qui ne devraient plus être et demeurer dans le domaine de la vie privée. L’administration fait de même.  Une société non discriminante donne à chacun les moyens de faire ses choix, de se construire pour être autonome, de réaliser ses rêves.

Un être humain ne vit pas pour être figé dans une société verrouillée par quelques décideurs politiques favorisant les riches à très riches et soumettant la population à des charges lourdes, la précipitant dans un labyrinthe technocratique fait pour que les personnes ne puissent pas s’en sortir et qu’elles culpabilisent ! Les cartes du jeu des puissants qu’ils imposent à la population sont trichées ! Difficile dans ce cas de réellement respecter les droits des femmes et de lancer une refonte de la justice qui fait partie de ce pouvoir politique et économique ! La séparation des pouvoirs est un leurre sans aucune logique ! La justice ne peut s’autofinancer, elle a besoin de l’Hydre capitaliste, et donc du système patriarcal pour exister au moins en tant que pouvoir ! 

Réaliser les objectifs du développement durable demande aux décideurs politiques d’œuvrer pour la transparence, la fin des systèmes discriminants et appauvrissants les populations fragiles, de respecter les droits humains, de respecter les victimes de violences comme la justice doit tenir ses promesses d’être véritable, d’être un don de paix. Personne ne doit être laissé de côté et les gouvernements doivent écouter la population et non faire des abus de pouvoir, comme l’administration ne doit pas être une dictature s’imposant à tout projet, en étouffant les initiatives nouvelles. Chacun de nous peut tenir cette promesse pour bâtir une paix universelle, des droits sociaux universels, comme l’espérance d’une justice véritable pour la vie et non le pouvoir. 

Tenir ses promesses pour bâtir un monde en paix et libre !

« Tenir ses promesses », l’ONU met en place une campagne numérique appelant les gens du monde entier à s’engager pour construire un monde meilleur par une condition, qu’il soit une humanité réconciliée. Protéger la vie, c’est avant tout protéger les enfants et les femmes, la nature, les hommes se faisant nos frères. Tenir ses promesses pour que perdure notre monde, la vie ! 

Antonio Guterres, Chef de l’ONU a déclaré en septembre 2021,  » Notre monde est au bord de l’abîme« . C’est notre humanité qui est menacée et effacer les femmes, renier les femmes victimes de violences, c’est n’offrir aucune chance à notre monde de perdurer. La lutte féministe est internationale dans cet objectif de l’universalité de la paix.   

« Cela semble toujours impossible jusqu’à ce qu’on le fasse » Nelson Mandela 

© Fédora Hélène

Copyright © LiberTerra 2021 – Tous droits réservés – Tous droits à la production et à la diffusion réservés

Votre commentaire

Choisissez une méthode de connexion pour poster votre commentaire:

Logo WordPress.com

Vous commentez à l’aide de votre compte WordPress.com. Déconnexion /  Changer )

Photo Facebook

Vous commentez à l’aide de votre compte Facebook. Déconnexion /  Changer )

Connexion à %s