
Trois féminicides ont eu lieu le 1er janvier, selon @féminicidespar. Une femme a été poignardée par son compagnon à bellevigne-les-Châteaux (49), Une autre femme est décédée à Lanbry (54) tuée par son conjoint. Puis, une troisième femme est morte tuée par strangulation par son ex-compagnon.
Un homme se fait prédateur quand la violence habite nos sociétés, quand la France fait le deuil de la liberté véritable et belle, sans barreau au ciel, que les coeurs pour aimer, que la vie pour beauté, que la génorisité à donner, rendant possible la fin de la violence faite aux femmes. Les prédateurs se nourrissent d’un environnement hostile tuant sans relâche par la folie des carcans de pouvoirs issus des guerres, des orgueils, des cupidités en armes conquérantes de l’absurde, du néant se faisant loi absolue.

Reprendre la plume dans ce monde trouble, pas le temps d’un Nouvel An en espérance, une nouvelle année en lumière. Il faudrait donner vie aux rêves, libérer l’utopie des pouvoirs pour que l’amour soit cette vague douce se posant sur Terre. Voir au loin la mer en un lac calme et les nuages sombres, noirs entre le bleu et la lumière, tout nous dit que la vie est belle ; rejoindre cette immensité à la joie des émotions, la beauté de la nature, se ressourcer, on fait partie d’elle. Plus envie de la quitter.

Revoir encore une fois la terre ferme en ce nouvel an en fête et tristes les fleurs referment leur soleil, leur cœur éphémère. En un hiver la rose éternelle s’offre en amour et les drames effacent les « je t’aime » donnés avec ce cœur vivant, ce cœur innocent, une femme posant sur les lèvres de cet homme la joie du monde, lui qui tue celle qui fut la seule à l’aimer, à lui donner la chance de voir la vie à la douceur des beaux paysages, à la grandeur de l’âme, la chaleur des lueurs en arc-en-ciel consolant ses peines, portant son enfant et il la tue.
Ces hommes maltraitent le plus précieux par leur néant qui accable des vies humaines qu’ils chassent en animal sauvage, en arme de guerre, ils violent leur compagnes, la maltraite, la terrorise, la tue. Puis, les pouvoirs politiques et de justice aux manipulations les rendant si puissants veillent aux barbares qu’ils lâchent dans les vertes prairies où les fleurs libres naissent.
Trois, le chiffre tombe en lambeau sur nos cités en bijoux d’argent se glissant aux systèmes d’inversion détruisant la liberté. Trois féminicides dans une France gardée par les prédateurs au bout des lignes politiques de partis. De la droite à l’extrême droite à la gauche caviar, on compte les nuits flirtant avec le fumées amères des corruptions, des hommes de violences, de prédateurs assis au banquet. En arrivistes, ils guettent la porte de la chambre, les errances, l’alcool et cette femme en marionnette aux systèmes d’argent, l’amour meurt. On compte finances, destin du monde.
Entre barbouzes et politiques, le monde pâlit. Je suis morte, fantôme, je raconte les heures de violences. Entre les experts judiciaires qui posent leurs questions violentes aux femmes et enfants victimes de ces prédateurs sombres, en phare des mensonges de gouvernements inventés à l’imaginaire des guerres.
Une femme, Poupée de chiffon suspendue dans le vide de ces milieux de pouvoirs, aux prédateurs aiguisant leur couteau sur les comptoirs de bars. Aux politiques, policiers, avocats, tous se courtisent à la lune des nuits blafardes, les mondes se confondent. Chut, l’omerta veille, la violence déroule le tapis rouge, entrée des artistes, ils font leur théâtre des Assemblées aux cours de justice, on se farde aux masques des systèmes. Le peuple trime pour dorer les princes aux beaux costumes, talons hauts, verre à la main, l’ivresse fait partie du jeu des mots salaces passant de table en table, de bouche en bouche, les élites traînent leur montre d’or au métal des perversions.
Tu veux être le roi, pas mille solutions, revêt le manteau luxueux des parades des dossiers politiques glissant des étagères en rang et ces avocats politiques faisant l’addition de leurs manipulations sur les nappes en papier des derniers jours entre des verres épuisés au mauvais vin.
Ta robe noire en deuil, ce prédateur en chargé de mission roulant son mégot entre les miroirs des bars, médocs, alcools, suicides, il joue avec ton corps contre le mur. Pas de chance, les violences sexuelles font partie de leur compte en banque, de leur puissance.
Une femme meurt, ils ne verseront pas une larme. Ils les ont toutes vendues, ils n’ont plus d’eau pure, et ils ne s’offrent que leur inhumanité en cadeau sur leur lit prenant leurs cauchemars, leur conscience qui se cache dans leur solitude au vide de leur incapacité à vivre, à être heureux, à être sincère. Il ont donné leur âme aux diables qui les hantent se faisant plaisir à détruire une femme.
Elle est morte, elle est partie, nous laissant si impuissants à frapper contre les murs politiques aux portes des gouvernements, des hauts fonctionnaires, et tous leurs mensonges servant l’infernal. L’atroce, un homme détruit une vie.

Le prince décharmant, Philippe Palat, en escroc charmant le sale, marchant dans les salons de politiques en compagnie de patrons de presse, est ce bourreau à ses enfers, en barbouze, pantin de ce monde politiques et médiatiques, en cadeau, lui accordent-ils le droit des violences qu’il commet sur le corps d’une femme qu’il viole, qu’il brise avant de rejoindre les cercles d’influences et de corruptions qu’il courtise en minable destructeur. Ces matins où l’alcool fait son air avant de se couvrir de ses crimes à la lame de son couteau qu’il pointe vers le corps de celle qu’il viole. Il traumatise ses enfants, et les pleurs demeurent dans les palais politiques et médiatiques, levant leurs verres aux tombes qu’ils creusent. Elle est morte.
Une plainte pour viols aggravés, violences graves, menaces de mort avec un couteau qu’il a faites devant les enfants – depuis 28 mois est coulée au fond des fossés que l’injustice forme quand la souffrance abat un être humain, une femme.
Trois féminicides le jour de l’An et quand il est une plainte relatant des violences graves commises par ce prédateur, Philippe Palat, que la justice connaît pour diverses escroqueries, violences et son lien avec des réseaux politiques et médiatiques en « ratage des ratés » comme l’écrit Jacques Chancel dans son livre, « Le journal d’un voyeur ». Il y relate la décadence de tout un milieu dans lequel évolue « un certain Philippe Palat participant à l’opération », souligne Jacques Chancel alors que la presse s’affole à la suite du faux et de l’usage de faux fait contre Hervé Bourges. Tous cherchent le responsable du faux, puis ceux actionnant Philippe Palat, « Non seulement voyou, notre homme, mais de plus imbécile » précise Jacques Chancel dans son livre.

Philippe Palat seul responsable du faux fait contre Hervé Bourges , il n’y a donc pas de pluriel au nom « faussaire ». Philippe Palat nourrit son personnage, se voulant être le grand Raspoutine d’une presse tombante, il est l’escroc faussaire et tyran domestique, prédateur sexuel. Lequel n’hésite pas à faire accuser à tort, un jeune journaliste, Aymar du chatenet, qui sera pris au piège de ce manipulateur sans scrupule et qui joue. Il connaît ce milieu, et joue avec tout l’obscur, les rivalités, les mensonges , les prédateurs à sa ressemblance qui y règne. Il pleurniche, se victimise, accuse les autres et est fier de recevoir des appels téléphoniques de journalistes lui donnant une importance. Il sera condamné à six mois de prison ferme pour avoir réalisé ce faux document , mais tout est oublié et en réalité rien ne passe et la condamantion semble s’être évaporée.
Philippe Palat ne change pas d’un pouce, devient encore plus violent, et se venge sur moi des articles paraissant contre lui. Il hurle et reprend en boucle son expression, « Je porterai jusqu’à la fin de mes jours ma robe de bure » dans son cinéma d’une violence inouïe où il prend n’importe quel objet qu’il me balance dessus, me pousse, me secoue, me tord le poignet et ses hurlements d’injures, d’immondices sur mon corps, ma vie, tout. Toute sa violence dure des heures en pleine nuit, il n’est plus qu’un vacarme assourdissant par son monologue interminable d’une rage démente. Nous revoyons tous son ombre macabre , hurlante et se jetant sur nous. Il tire les cheveux, prend à la gorge ce que les témoignages expliquent.
La mémoire traumatisée lance lors de la réalisation de cet article, les images terribles de cette nuit, où je suis enceinte. Nous habitons alors un petit village perdu, et Phillippe Palat sera d’une cruauté sans limite. Cette nuit là, il tente de me violer, me tire les cheveux de toutes ses forces, me tord le poignet, ses yeux ont une expression terrifiante, tout son visage prend les traits de l’extrême violence. je suis terrifiée, crie et il s’arrête. J’en suis étonnée, les autres fois, il ne s’arrête pas. Cet homme a pris plaisir à détruire, à me terroriser, comme il a terrorisé ses propres enfants. Ce sont des actes et des actes de violences qu’il a commis pendant plus de 20 ans.
Lui, soudainement flatté en 2021 par une journaliste qui ne peut ignorer qui est Philippe Palat. Ce nouvel artiste se posant encore une fois sur la scène médiatique en faisant déposer au Figaro le faux document qu’il a fabriqué comme il a fabriqué ses faux diplômes. Christine Goguet aux titres et apparences dans ce milieu médiatique, est-elle à prêter oreille aux lamentables mensonges de Philippe Palat qui pourrait évoquer l’affaire Botton, lui s’introduisant à la rédaction de VSD alors dirigé par le fils Siegel.
Christine Goguet ex du Figaro qui pourrait apparaître comme un lamentable soutien à la violence de Philippe Palat. Ça pose de sérieuses questions et démontre tout le glauque de ces milieux attirant Philippe Palat. Ce n’est pas un hasard si depuis 40 ans, il erre dans cette sphère du journalisme et de la politique en étant depuis ses 20 ans, d’extrême droite. Lui , hurlant des injures antisémites, ainsi que des injures en Allemand, dont sur des soignants alors qu’il est dans un centre de rééducation. Ceux-ci agressés par Philippe Palat appelleront la gendarmerie. Philippe Palat sera alors conduit en HP. Mais, il n’est pas fou ! Conscient et responsable, extrêmement pervers et méchant, il fait son cinéma, prend plaisir à torturer psychologiquement , agresser, manipuler .

Philippe Palat trônant dans le salon de l’affaire du moment, rencontrant quelques directeurs de journaux à qui il expose ses informations. D’où viennent-elles ? Aucunement de son travail, aucunement de ce qui pourrait être une enquête journalistique. Philippe Palat passe ses journées à s’alcooliser dans des bars où il approche des politiques, des avocats. Et, quelques RG viennent çà et là s’entretenir avec l’escroc-faussaire professionnel et multirécidiviste.

Puis, il sera éclipsé de la rédaction de VSD dans l’opacité de ce monde où rien n’est juste, ni vrai et il rebondira aussitôt dans d’autres rédactions où des journalistes s’opposent là encore à sa présence. Ce sera le cas au Quotidien de Paris finissant avant de fermer définitivement.
Philippe Palat rentre alors chez lui, ivre de toutes ses frustrations et mensonges et défoule sa haine en hurlant de toutes ses forces sur la jeune femme qu’il emprisonne. « Je porte ma robe de bure » hurle-t-il de manière récurrente, puis à la simple question « As-tu passé une bonne journée ?», il répond « Tu me fliques, qu’est-ce que ça peut te foutre, pauvre conne ! ». Il hurle, se déchaîne, me jette des objets dessus, me balance, me pousse avec son ventre, me hurle de toutes ses forces au visage des injures toujours plus obscènes entre ses viols, ces nuits où il rentre ivre, où il vomit sur le lit. Il rentre de ses écumes alcooliques du bar au mauvais vin blanc qu’il trinque dans le 8 -ème arrondissement à y rire et parler fort entre ses passes qu’il fait dans un cabinet d’avocats notamment de politiques du RPR.
Il adore par-dessus tout son personnage glauque, sulfureux à qui il donne de l’importance en traînant dans les milieux médiatiques et politiques depuis les années 80 où il se dit journaliste à Toulouse. Ville où il commettra maintes escroqueries, où il s’introduit alors âgé de moins de 25 ans dans des rédactions, partis politiques. Des journalistes discutant entre eux, évoquent les dossiers que Philippe Palat vole dans leur boîte aux lettres et dont il s’attribue le mérite. Ils le considèrent comme un « affabulateur », « un fou », « un mythomane » près à tous les sales coups pour espérer briller dans les salons mondains politiques et se faire un nom dans le journalisme.

Il brosse son portrait devant la glace où, solitaire et fils unique, il façonne son personnage criminel, celui qu’il veut puissant, celui qu’il veut en Docteur Jekyll et M. Hyde.
Il sera ce grand manipulateur, celui qui fait souffrir, mais ne souffre pas, il quitte l’enfer de ses peurs, de ses frustrations, se fabrique tout seul en « roi du bidonnage » comme des journalistes l’écrivent dans leurs articles.
Il commence sa violence chez ses parents, notables de province. Il rentre adolescent en sentant le pastis, et il finit à 16 ans devant le juge pour enfants concernant ses vols, escroqueries qu’il a commencé en manipulant ses propres parents qu’il volait.
Il se fait passer pour celui étudiant au conservatoire, celui visitant les musées, l’incompris, le mal-aimé dans le sombre de son esprit où la violence est son théâtre favori. Il utilise son enfance, la sévérité de son éducation, le trio familial sous fond de violences conjugales qui occupe sa mémoire pour se donner le droit de détruire, le droit de défouler toutes ses pulsions, sa haine, sur ma vie.
Philippe Palat ne portant aucune attention, ni secours à sa mère. Alors que je l’invitais à venir se réfugier chez moi, dépassant tous les hurlements de tous sur ma personne, eux qui m’ont terriblement menti, laissant faire ce fils de violences brisant gratuitement ma vie, et nous abandonnant les enfants et moi aux mains de leur fils tyran.
Philippe Palat abandonnant sa mère très malade, ne venant jamais la voir quand elle était en fin de vie, ni lui dire au revoir, ni à son enterrement. Ce sont mes enfants et moi-même qui avons été présents durant ces moments éprouvants. Pardonner pour être ce cœur, être cet humain, ne pas laisser la haine d’un tel prédateur gagner.
Toutes celles et ceux flattant Philippe Palat, l’excusant et le soutenant, effacent odieusement toutes les victimes, jusqu’à sa propre mère qui était une femme brisée par son fils. Ce jour, où elle lui offre une boîte avec de pièces anciennes, qu’il jette à travers la pièce avec son regard terrifiant de haine, froid.
Il se venge de toutes ses histoires et secrets de famille, de toutes ses frustrations, en adolescent très colérique, capricieux, manipulant ses parents et sa mère a témoigné d’un coup de poing que son fils lui aurait donné en plein visage. « Il prend plaisir à faire du mal, il a un mauvais fond. Tu as su protéger tes enfants de lui. ». Puis, me disant, « J’ai honte d’avoir mis cet homme au monde ».
Philippe Palat ment, est l’incarnation du mensonge et il était en réalité cet adolescent déjà voué à son mental criminel, se passionnant pour la manipulation, se faisant ce glacial ne ressentant aucune émotion et copiant celle-ci quand adolescent, il façonnait ses masques. Volant dans la caisse du parti politique qu’il courtise alors, comme il volera des tampons, papiers à en tête pour fabriquer des faux, duper, abuser, voler.
Ses farces l’amusent et il comprend très vite le milieu politique, le milieu judiciaire, et tombe avec plaisir dans le puits sombre des pouvoirs.
Il se sent également séduit par l’extrême droite, et raconte avoir rencontré dès les années 80, Jean-Marie Le Pen. Puis, il cite une autre personnalité en donnant comme détail le nom de son chien de garde, ainsi que sa venue dans sa maison et évoque avoir eu un accident de voiture en se rendant chez cette personnalité ayant fait la Une de la presse. Il se plaît à raconter haut et fort cette rencontre, il pense alors mettre en valeur son personnage du journaliste, sauf à croire que ce milieu se peuple aussi de barbouzes à son image.
Mais, ce qu’il préfère avant tout, est s’amuser avec le feu, tout en restant cacher en trouillard cherchant à alimenter sa perversion auprès de très mauvaises fréquentations qu’il puisent au hasard de ses bars, de ses turpitudes, lui qui sera pris pour le pantin idéal par quelques réseaux l’animant. Un pantin souvent à la ramasse qui cherche de l’argent par tous moyens, surtout sans avoir à travailler, sans avoir à respecter quoique ce soit, ni personne. Il vole, manipule et fait ses petites escroqueries se formant lui-même dès son adolescence.
Le faux contre Hervé Bourges ne sera pas son premier coup, comme sa défense où il invente être victime d’un complot. Philippe Palat est seul en pyjama traînant toute la matinée en finissant de cuver ses pastis, bouteilles de vins blancs, bières qu’ils consomment luxueusement jusqu’à la fermeture des bars se situant non loin de cabinets d’avocats, de rendez-vous avec des journalistes, politiques, renseignements généraux et milieux de mafias comme il se plaît fier à réciter ses jeux de tiercé qu’il affectionne particulièrement. Puis, il serait qu’il explique toutes ses manipulations, lui se disant en mentant « grand reporter » enquêtant sur l’assassinat de la députée Yann Piat. Philippe Palat est toujours dans sa cuisine en pyjama jusqu’à midi et souvent pendu des heures au téléphone, en simulant parfois des appels. En réalité, quelquefois, il manipule et il n’y a personne au bout du fil ! Puis, il part sans dire ce qu’il fait et hurlait des injures à la moindre question, comme il crache, fait des doigts d’honneur, m’injurie publiquement devant des passants et devant mes enfants. Leurs témoignages bouleversants et ce monstre de Philippe Palat manipulant leur nom en jouant auprès de personnes le « bon catholique » récitant l’épître de Paul, lui qui a agressé ses enfants, les a traumatisés, m’a maltraité et menacé de mort sous leurs yeux, dont un tout petit, mon fils opéré à cœur ouvert.
Philippe Palat me diffamant, me disant « folle », étalant publiquement par ces mensonges cruels ma vie de femmes et les violences sexuelles que j’ai subi adolescente.
Lui, qui n’a jamais participé à un seul repas avec nous, qui mangeait sa nourriture qu’il se réservait, lui qui rentrait ivre un samedi midi, et nous agressant directement après avoir franchi la porte. Nous étions en train de manger dans la cuisine, très agressif avec son regard d’une haine épouvantable, ses gestes très brusques, il prit nos assiettes, ainsi que le plat et les renversa dans l’évier. Puis, il prit la litière souillée du chat et la renversa sur la nourriture gisant dans l’évier. Après cela, il se tourna vers la plaque de gaz de la cuisinière et la tordit. Il hurlait dans ce même temps ses injures obscènes, nous disant que l’on méritait ce traitement. Ensuite, il sortit et repartit rire dans ses bars, dont le numéro 1, en me salissant, m’injuriant de tous les noms.
Témoignage fait depuis des années devant la police sans que Philippe Palat soit mis face à ses actes barbares, comme les graves maltraitances qu’il a commises quand j’étais enceinte. Voilà une des violences commises par celui que Christine Goguet qualifie d’âme pure.
Philippe Palat qui a toujours calculé sa grave impunité, informé qu’il ne risquait rien, il pouvait continuer à martyriser des êtres humains, ses enfants et leur mère. Un système d’impunité se suffit à lui-même, mais ce sont des escroqueries, vols, viols aggravés , violences conjugales graves, menaces de mort avec un couteau, harcèlement, entre autres.
Qui protège Philippe Palat ? Ce qui lui a permis d’être cet homme cruel, s’attaquant à des enfants et une femme enceinte, en demeurant gravement impuni. Il est à se balader, a oublié ses proies dont ses propres enfants et à prendre tout son temps à flatter des journalistes en ressortant de son néant comme un mauvais diable de sa boîte. Celui qui aurait détruit la carrière d’un commissaire de police sur Toulouse.
Il a toujours recommencer son mode opératoire , effaçant ses victimes, ses enfants et leur mère et ne payant jamais la pension alimentaire. Il disparait, se cache et c’est ainsi qu’en 2010, il atterrisait notamment à Bordeaux en open bar en faisait ses escroqueries et violences diverses. Il prétend avoir ouvert une société à Bordeaux qui n’est qu’un tissu de mensonges, de bidonnages et bidouilles . Il était récemment hébergé dans un bar où il était très alcoolisé.

En 2010, Philippe Palat a fui, disparu en ne laissant aucune adresse après avoir commis des violences conjugales graves, et ce viol barbare alors que j’étais enceinte de 7 mois, une grossesse à risque et devant être plusieurs mois alitée. Philippe Palat se créant un alibi dès 2010, alors qu’il n’était pas encore une plainte contre lui pour ce viol aggravé. La gendarmerie alertée de sa disparition – Philippe Palat partant en dévalisant mon compte épargne, en emportant tous les papiers importants, jusqu’au livret de famille, et abandonnant ainsi nos enfants dont ma fille, nouveau née. La gendarmerie me répondit : » On ne va pas faire de recherches dans l’intérêt des familles , puisqu’on sait qu’il se cache« . Philippe Palat ne manquant pas, mais laissant une souffrance , une détresse absolue.
Ces gens que l’on ne connaît pas et qui n’ont jamais secouru les victimes, des enfants et leur mère, et qui au contraire les effacent, les coulent au fond de l’oubli, comme si nous n’avions jamais existé.
Philippe Palat, jouant les grands journalistes, récitant depuis 30 ans son rôle d’homme cultivé en politique devant son public alcoolisé en faisant son discours en boucle dans des bistrots, où certains l’ont appelé, « l’alcoolo philosophe ». Il travaille à ses barbouzeries en pyjama, répète son personnage en sachant qu’il lui suffit de flatter et de manipuler pour avoir une puissance. Il découpe des articles de journaux pendant des heures et remplit les étagères du salon, puis d’une pièce dont il fait son antre. Peuplant sa carrière de minable de perquisitions qui seront chez ses parents, comme à son domicile, ainsi que son arrestation alors qu’il loue sans rien payer et ayant pour caution un avocat connu dans les milieux du RPR, un appartement près de Paris. Cette fois, il se dit journaliste au Quotidien dirigé par Nicolas Miguet qui porte plainte contre Philippe Palat, qui prenait alors un faux nom.
Philippe Palat ne s’arrêtant jamais, il continua en manipulant une personne souffrant d’un cancer, et se trouve bien mystérieusement avec un dossier d’instruction, qu’il a comme à son habitude certainement volé, et est alors condamné en 1999 pour recel du secret de l’instruction. Il joue encore et toujours les journalistes, ce qui lui vaudra un article dans Le Monde qui semble bien être à ignorer la réalité de ce monstrueux personnage qu’il est.

Philippe Palat rentre ivre et très tardivement, il hurle, renverse les meubles comme à son habitude, fracasse le téléphone, ne supportant pas les échecs du monstre dont il s’habille, les échecs de ces minables barbouzeries où il n’en gagne pas la fortune qu’il escomptait. Il est toujours à réclamer de l’argent et plonge sa famille dans la précarité, l’isolement total, pendant qu’il se goinfre dans ses bars, dans des brasseries parisiennes, flatte et manipule des journalistes comme il semble toujours faire auprès de celle qui errait en phare dans ces milieux où tout est si faux, au apparences, titres, réseaux, influences et intérêts entre orgueil et cupidité.
Entre ces scènes de violence, il viole, détruit, hurle, de ces hurlements déments où il me menace de mort constamment, m’injurie en permanence de propos très obscènes en rage, déchaîné, sans limite face à une femme.
C’est également cette nuit, où il rentre ivre, sale de ses jeux pourris qu’il fait auprès de journalistes et politiques, et où il s’enflamme la main avec son briquet Zippo. Lui qui vole montres, stylos, manteaux, vestes de qualité et de marque se trouvant aux cabinets de divers avocats et autres. Philippe Palat soigne son apparence, aime posséder en volant sa parure de tricheur en voleur de sac à main comme il a volé mon compte épargne, faisant jusqu’à mes poches pour piquer le moindre billet, la moindre pièce, comme il a toujours vidé la tirelire de ses enfants. Puis, partant faire le beau, parlant beau auprès de gens de cette France aux belles apparences trompeuses, étouffant sous le poids des parades politiques et l’opaque de la presse qui flâne dans les milieux autorisés où ils s’autorisent à penser comme le décrivait Coluche et où Philippe Palat en Raspoutine se glisse avec délectation.
Philippe Palat, ivre rentrant de sa journée de barbouze, sort tout fier son Zippo qu’il a volé et qu’il remplit jusqu’à la gorge et déclenche la flamme. Sa main s’est transformée en torche, il courait dans tous les sens, paniquant celui si fort pour me maltraiter, me violer.
J’ai éteint le feu qui brûlait sa main. Je l’ai calmé, rassuré, j’ai appelé les services d’urgence, et j’ai soigné quotidiennement ses blessures. Philippe Palat fier de celles-ci, allait exhibitioner sa mésaventure à son public de bars, de politiques et rédactions revenant un soir avec sa plaie à vif en expliquant qu’une journaliste se prétendant capable d’enlever le feu en soufflant sur la main avait réalisé sa brillante expérience, sur lui y croyant.
Sitôt guéri, ce monstrueux Philippe Palat a repris ses terrifiantes violences à mon égard. Toutes les alertes faites ont été vaines, même si ce bourreau a reconnu les violences que je dénonçais alors devant le médiateur de la République.
La Convention d’Istanbul interdit ces médiations qui ne font que maintenir l’emprise d’un prédateur, qui manipule en sachant qu’il ne risque rien à reconnaître des violences commises dans un système patriarcal de médiation qui ne protège absolument pas les victimes et laisse au contraire tous droits à un bourreau. Le tyran domestique formule des engagements qu’il ne tiendra jamais, dit ce que le médiateur veut entendre et devient de plus en plus violent en système de représailles. Il ne fera que resserrer l’étau sur sa proie.
La violence de Philippe Palat était telle que je pesais après trois grossesses un poids qui amusait ce tyran confisquant toute liberté à sa proie, achetant mes vêtements à ma place, en se servant au rayon enfants. Il prenait un pantalon en 8 ans pour ma fille, et le même en une couleur différente et en 12 ans, pour moi. Ça l’amusait et il disait faire rire les vendeuses en disant que le 12 ans était pour son épouse. Il jouait à me raconter sa farce en arrivant fier avec son paquet, crânant dans des boutiques parisiennes avec l’argent de ses saloperies, lui qui confisquait le compte bancaire, tous les courriers et documents. Il s’est avéré qu’il ne payait rien, et que nous étions expulsés du logement.
Une de ses violences d’alors – J’ai témoigné enceinte de 8 mois, une grossesse à risque du fait des graves maltraitances que je subissais, arrivant en pleine nuit aux urgences transportée par les pompiers à la suite des violences de Philippe Palat. J’ai gardé toute ma paix en moi pour protéger la vie de mon enfant, j’ai alerté le personnel soignant, l’assistante sociale, le cabinet d’avocats en lien avec des politiques de premier plan, cabinet où Philippe Palat était « l’incontournable », témoigne une professionnelle de la justice, et personne n’a agi. Ils ont tous laissé une femme enceinte de 8 mois seule face à un prédateur expérimenté. J’ai été hospitalisée durant quelques jours en restant dans une totale solitude.
Philippe Palat, cet homme cruel, n’a pas passé un seul appel, n’est jamais venu me voir à l’hôpital pour prendre au moins des nouvelles de l’enfant que j’attendais.
Tous savaient.
Philippe Palat se moquant totalement de la souffrance qu’il inflige, rebondissait comme toujours après avoir pratiqué la politique de la terre brûlée dans une stratégie de déménagements continuels. Il manipulait cette fois, Gilbert Baumet, ancien ministre, sénateur, député, maire entre autres fonctions publiques.
Philippe Palat, très violent à Pont saint Esprit (Gard) où dans sa rage, il conduisait comme un fou en étant ivre, hurlait publiquement dans la rue à plus de minuit des injures toujours salaces, diffamantes, ordurières comme il aime à le faire. Il ne cessait pas sa violence à mon égard comme ce soir, où il rentra ivre avec un avocat connu des milieux politiques.
Ensemble pour s’alcooliser, ensemble ivres, violents, et cet avocat tenant des propos salaces à mon domicile, arrivant tardivement avec Philippe Palat après avoir rencontré un ex-ministre.
J’ai appelé la gendarmerie pour être protégée, ils ne sont jamais venus !
Nos sociétés à la culture de la violence
Les systèmes politiques, des pouvoirs génèrent de la violence, sont violents, usent des mensonges, corruptions et utilisent des prédateurs tel que Philippe Palat.
Ce sont des milliers de femmes et d’enfants qui vivent ce que je vis, qui ont leur vie brisée dans l’indifférence générale et reçoivent un numéro CAF pour respect de leur dignité humaine.
Mères de famille nombreuse et isolées, femmes migrantes, femmes à la rue, survivantes de violences conjugales et/ ou sexuelles, la France n’est pas un pays de paix quand les plus vulnérables y sont en détresse, et subissent des violences inhumaines sans droit à la justice.

Un pays libre permet aux plus fragiles, à ceux traumatisés par la violence dont des hommes sont capables, de réaliser leurs rêves, leurs projets – leur permet de vivre pleinement et non de survivre. L’autonomisation des femmes, l’élimination des violences faites aux femmes font partie des objectifs du développement durable et la France en tant qu’État Membre de l’ONU se doit de tout mettre en œuvre de manière efficace, inédite et urgente pour que soit la réalisation des objectifs dont le premier est : Pas de pauvreté. Il est plus de 10 millions de pauvres en France en 2021.
Il est également une douleur de savoir son pays laisser les plus vulnérables de côté, alors qu’il est des associations, collectifs faisant tout leur possible, et sur lesquels l’État se repose, mais qui ne peuvent apporter aux victimes la reconnaissance de la justice.
La justice qui sera la vie, celle qui secoure et l’amour qui relève des pires violences. Le viol est un crime. Ce sont des viols conjugaux, dont ceux terrifiant vécu enceinte, celui vécu quelques semaines après mon accouchement.
En France, en 2019, il est 1 % de violeurs condamnés après des années de procédures éprouvantes pour les victimes. En 2021, ce sont 94 000 viols, tentatives de viol en augmentation de 15 %. Il est plus de 213 000 femmes victimes de violences conjugales chaque année, chiffre en grave augmentation en 2021, ce qui fait plus d’un million de femmes victimes de violences conjugales en cinq ans et qui n’ont pas eu le droit à la justice. 65 % des femmes tuées par leur conjoint ou ex-conjoint ont alerté en vain, rapport de l’Inspection générale de la justice. Dans le monde, ce sont 641 millions de femmes victimes de violences sexuelles commises par leur partenaire, rapport de l’ONU et de l’OMS, 2020.
En France, depuis peu personne ne parlait des féminicides, ni des violences faites aux femmes. Les femmes victimes de prédateurs se trouvaient isolées, complètement seules. Aujourd’hui par la force des luttes féministes, et par celles et ceux artisans de paix, par les avocats suivant l’idée de justice inspirée par Mandela, par Martin Luther King, par Robert Badinter qui croit en cette capacité de changement que peut acquérir un prédateur.
En réalité, la justice en cultivant l’impunité ne permet pas à la liberté de vivre, ni à un prédateur d’être à sortir de sa haine, de ses pulsions de violences. Elle ne répond pas au sens de démocratie, au respect des droits humains comme les gouvernements conservent une puissance de rois, de ceux se hissant à la cour des Dieux.
La violence faite aux femmes est une culture de la cruauté qui règne depuis des siècles, mais ce qui est affligeant, c’est que la France est un pays riche, où tant de belles choses peuvent être, et il y a ce culte de la violence faite aux femmes, ce système concevant un prédateur puisqu’il est à ce mental de posséder, de dominer.
Le pouvoir repose beaucoup sur la violence et en même temps, de nombreuses personnes sont en attente du politique sauveur dans cette mythologie ancestrale où l’homme est Dieu, à l’image de César commandant sur terre.
Puis, il y a le pouvoir donné à l’argent, où être riche, c’est acheter la liberté. La puissance est synonyme de liberté, celle émanant d’un mental prédateur. Il est d’inférioriser l’autre et ainsi de se placer au-dessus en position d’intouchable. Ce que les hommes commettant des violences conjugales et sexuelles exercent en jouant, la victime, le sauveur et l’agresseur. Un rôle que les politiques aiment jouer. Ils se mettent en scène et dans les milieux où circulent beaucoup d’argent, où ils se tiennent tous par leurs mensonges, ils ont intérêts à revêtir ce système d’inversion constant. Puis, la perversité est poussée à l’extrême en demandant à une victime de prouver alors que son regard humain exprime une souffrance, sa vie brisée. La force du témoignage et les témoignages des proches, des enfants sont la preuve vivante.
Puis, ils connaissent très bien ce genre de prédateurs, comme un prédateur sait très bien ce qu’il fait.
La France se trouve enfermée dans les corruptions et un système prédateur maintient la population sous emprise. Plus elle est angoissée, triste, inquiète, plus des prédateurs y sont lâchés, plus il y a un sentiment de détresse, de fatigue, d’épuisement, d’injustice qui assomme, et plus les pouvoirs deviennent puissants. Un homme violent sur-traumatise sa proie, les pouvoirs font de même.
De nombreuses victimes de prédateurs se heurtent à un mur, un mur d’indifférence qui persiste, se dresse toujours plus puissant. L’enrichissement des pouvoirs est en valeur exponentielle, la violence le sera, les prédateurs sont à le démontrer.

Ce qui détruit, ne sauve pas – Le silence des pouvoirs regardant des enfants et des femmes brisés par des prédateurs
Cette Hydre des pouvoirs capitalistes effondrant la nature, comme elle brise l’humain, fait de prédateurs son sirop qu’elle coule au fond de ses eaux troubles. Ils tuent l’amour, ces hommes de violences, en tirant toute leur méchanceté vers le haut, juste pour le plaisir de dominer, se détruisant eux-mêmes en cultivant l’orgie de leur haine.
L’amour si doux et beau, eux qui ont été aimés et qui ne jouent que leurs actes, que leur comédie, leur rôle d’acteurs sans aucun sentiment, mais volant le précieux de l’humain, Aimer.
Dans ce trouble des milieux de pouvoirs, Philippe Palat introduit son poison, les mensonges destructeurs qui sont toute l’incarnation de sa vie. Il préfère renier tout le mal, sa violence terrifiante qu’il a fait subir à son épouse et à ses enfants pour avoir son nom félicité, le récompensant par ce commentaire absurde sur une publication Facebook, lui qui a vendu son âme au diable.
Il est parfois certaines femmes acceptant la violence de prédateurs qu’elles courtisent, faisant elles-mêmes du corps des femmes des objets sexuels dans ce milieu censé respecter la liberté par la presse et qui la tue à petit feu se gavant de suffisance et privilèges aux apparences mondaines de cette ère de la médiocrité que pourrait toujours évoquer Jacques Chancel.
Certains journalistes dans leur mémoire aux grandes années fin 80 et 90, balancent sur un fil entre les réseaux d’informateurs, d’indiques, de voyous, de politiques, avocats, renseignements généraux et les dossiers, une photo volée, tout se révèle, tout est intérêt, tout persiste, tout détruit. Ils s’entrechoquent tous dans leur entre-soi, en funambules, ils jouent leur rôle, se font acteur de leur propre vie qui file aux cartes trichées sur une table de poker. Les titres et le fric, aux cigares et whisky, ils se sentent si puissants au business de la politique. Juste du business sans compassion, que du business. Comme certains ont pu parier sur Sarkozy pour faire du bif en actions virtuelles , se fichant que ça soit lui ou un autre, il était juste là à vouloir gagner. Des jeunes loups, femmes et hommes, en bourgeois sans idéal, papa a le pognon qu’on mise en bourse, au rallye pour se marier en couronne de fric, les belles années : quarante ans de ficelles dorées animant les acteurs sur leur scène politique.
J’aurais pu me mettre nue dans leurs lits, je pourrais être aux ors des luxes, passant de l’un à l’autre sans retenue, compter mon portefeuille côté cœur, épousant sans amour leur fortune, des robes en soie, au rouge de mes yeux aux ombres de douleurs posées sur mes paupières.
Je connais leurs regards, leurs visages, leurs noms en ruine accoudés avec le prince décharmant, criminel errant dans leurs salons mondains, immeubles au nom célèbre de certains partis politiques, leur parade en prononçant le mot République qu’ils trahissent. Ces femmes et ces hommes acceptant la violence faite aux plus fragiles n’aiment pas leur pays. Il leur sert, mais ils ne l’aiment pas. Ils ne veulent le voir resplendissant de paix et de liberté véritables – eux le laissant aux mains des drames, des violences atroces faites à des enfants et à des femmes.
Les corruptions à leurs extrêmes, la vie ne compte pas. Elle est en misère, frappée, violée, insultée, la pauvre en détresse chante le deuil.
Trois féminicides au nouvel an, et revient le nombre : 113 féminicides pour définir 2021 et les ministères ferment les fenêtres pour ne pas entendre la fin en pleurs.

Voter ou couler un A rouge dans un rond noir aux libertaires de la Commune, de leur sang coulant en rivière dans Paris aux pavés gris et bourgeois.
Comptant sur les artisans de paix voulant libérer la justice de ses tourments, voulant donner la reconnaissance aux milliers de femmes et d’enfants victimes de prédateurs.
Rejoindre la mer calme. Partir comme l’oiseau prenant le large, quitter les rivages à la culture patriarcale qui tue une femme, traumatise des enfants et leurs yeux pleurent toujours ces « pères » de violences qui tuent sous leurs yeux leur mère. Ces prédateurs qui restent masqués derrière le rideau de velours rouge qui les protège en un système d’impunité en arme de guerre contre un enfant, une femme, une mère.
© Fédora Hélène
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