
Nous attendions que la nature nous conduise à faire un choix pour sauver la vie, nous ne pouvions décider seul de mettre fin à une économie injuste et destructrice. Notre Terre mère a dû être en souffrance pour que nous commencions à faire quelque chose.
L’immensité de la Terre, de sa richesse et nous ne connaissons qu’à peine 2 % de ce qui la constitue, de ses capacités extraordinaires et créatrices. Elle porte la vie, et nous n’avons pas su mesurer cette force, à quel point elle est puissante et fragile. Elle est le symbole de la naissance et par ce rayonnement de donner naissance à la vie, elle dépasse toute chose, et tout le savoir que nous possédons. Elle possède la liberté, un amour pour toute chose et vit en osmose avec l’univers qui l’entoure.
Notre Terre est vivante dans un univers vivant et la première harmonie fondatrice est celle de l’univers et de son mystère. Les scientifiques nous éclairent, nous alertent, ils se font les traducteurs des messages qu’ils décryptent par leurs recherches et nous guident dans les actions à mener concrètement et en urgence pour préserver notre monde.
La Terre mère nous donne cette chance, toute sa bonté pour que nous puissions organiser notre survie, prendre conscience et nous faire les gardiens de la Terre. Les différents gouvernements calculent l’investissement qui est nécessaire pour protéger la Terre et défendre des modes de production, et d’énergie vertueux. Et, notre humanité nous donne l’amour pour investir dans la survie de notre humanité.

Le capitalisme grandissant et permettant aux États de posséder un armement intelligent et nucléaire pour garantir la sécurité de leurs territoires, ne pourrons jamais par ces armes garantir la survie de notre humanité. L’arme pour agir efficacement se trouve en nous, en notre fraternité, en notre paix, en notre cœur. Faire la guerre aggrave considérablement les crises humanitaires et donc la crise climatique.
La Terre incendiée par les bombardements, se trouve en grande souffrance, paralysée et ne pouvant plus nous fournir les ressources essentielles dont nous avons besoin pour nous alimenter, boire de l’eau potable. La guerre en Ukraine aggrave les crises humanitaires qui saisissent notre monde et la faim domine.
Les sols, leur fertilité est menacée par la pollution, la sécheresse, par les guerres qui détruisent la vie. La vie de civils et la vie de la nature. Si nous concevons vivre en osmose avec notre Terre mère, nous devons concevoir que lorsque nous souffrons, elle souffre – quand des femmes et des enfants sont blessés, tués par la guerre, elle porte leurs blessures, leurs peines, et quand une vie innocente tombe, une de ses fleurs meurt.
Lorsque le président général de l’Assemblée Générale lors du Dialogue interactif sur l’Harmonie, déclare ce jour, « En l’espace de deux siècles, nous avons détruit des écosystèmes entiers et causé des changements rapides et sans précédent au climat de notre planète », il peut revenir à notre mémoire collective la révolution industrielle, mais également les deux guerres mondiales qui ont profondément marqué le 20ème siècle.
Ce sont des millions de morts, ce sont des actes cruels, ce sont aussi les innocents tombés sous Staline. C’est également le colonialisme, l’esclavage, le génocide de peuples autochtones. Et la mise en danger de la survie des peuples autochtones est actuelle.
En 1994, les Nations Unies ont consacré le 9 août comme Journée à la cause des peuples autochtones. Il y a presque 20 ans, ces populations vulnérables lançaient à la communauté internationale, une alerte. La forêt amazonienne était déjà en danger et le cri de détresse des peuples autochtones n’a pas été entendu par les gouvernements.
Le changement climatique menace la vie des populations et des tribus indigènes sont venues à la Cop 26 pour faire entendre leur voix. Une Cop 26 à son dramatique échec, à ce « blablabla », aux milliards de dollars pour promesses écologiques. Et aujourd’hui, lors de la campagne des élections présidentielles en France, le climat s’invite dans les discours politiques de ceux l’ayant tant oublié depuis des années, n’ayant pas cru au précieux de notre Terre mère, et n’ayant pas agi à l’écoute des rapports scientifiques, de la jeunesse, des peuples autochtones.
L’économie reste le phare pour Emmanuel Macron, tout est calcul virtuel pour l’argent, même s’il dit que derrière les chiffres, il y a des vies – ce sont les millions comptés qui sont mis en avant et la vie reste derrière, passe après. Ce qui signifie que le mondialiste risque de créer une autre pollution s’ajoutant à la première, le tout en mouvement accéléré par la guerre en Europe, mais aussi sur d’autres territoires.
Notre Terre unie à notre vie, à nos actes, et nous filons vers notre autodestruction. La société continue à répondre à des normes, des déclarations économiques, capitalistes, à faire d’un être humain, un matricule, un moyen, un outil.
Les différents gouvernements sont enchaînés à la question financière, à l’invention de l’argent et ils croient en la survie de notre humanité par cette virtualité, cette interprétation de notre humanité. Cette illusion pourrait nous être fatale. Nous avons dans nos mains, une chance. Celle de créer un monde nouveau, juste et en harmonie avec notre Terre – et nous refuserions cette main tendue pour un système économique suicidaire ?
Nous avons inventé le capitalisme, nous pouvons imaginer un autre fondement, une autre interprétation de notre monde. Nous devons établir une économie de partage, celle à qui nos sociétés n’ont pas eu le courage de donner naissance.
L’ONU appelle à la réalisation des engagements du développement durable, dont le premier des objectifs est « Pas de pauvreté » d’ici 2030. Lors du grand débat, les candidats se sont affrontés sur des raisons économiques, des statistiques, pourcentages, sur la problématique du chômage, sur les retraites, mais quel temps perdu, quel dialogue inutile ! Aucun d’eux ne créent, ils recopient le passé en y mettant une formule économique, une dette et deviennent ce sable mouvant entraînant notre monde « au bord du précipice » comme Antonio Guterres a pu alerter.
Le giscardisme de Macron dans une instabilité oligarchique, et aggravant la pauvreté, les souffrances – hissant au sommet des startups, des lobbies, des fortunes, une compétitivité féroce qui reste et persiste sur le plan mondial – ne pourra porter la paix nécessaire pour établir un monde équitable et juste.
Emmanuel Macron ne peut créer un autre système, car il ne peut le faire seul. Ce qui prouve que les gouvernements, la conception des États sous influence monarchique ne sont pas performants pour assurer une écologie pérenne, qui n’est pas pour un parti, des élections, mais pour tous.
Le politique au cœur du peuple, l’invitant à faire ses choix et non à être dans un semblant de démocratie par des créations de forums citoyens comme pour le climat, la justice, et où le fait du prince domine. Le RIC est une solution, demander au peuple, l’inviter à décider, à faire des choix, car cela concerne sa vie, son avenir et celui de ses enfants.

Gouverner seul est impossible, et pourrait mener à une dictature numérique qui signifierait la nouvelle garde rapprochée du roi, l’homme surveille l’homme. Nous n’avons pas besoin du tout sécuritaire, de militariser l’espace civil, d’instaurer une robotique IA, comme certains pays le font déjà, nous ne devons pas concevoir des villes-prisons, mais des cités en paix, la paix universelle.
L’harmonie avec notre Terre ne pourra vivre que si nous acceptons de devenir ses enfants, de lui faire confiance, de ne pas faire la guerre à la nature pour tout industrialiser, domestiquer pour prendre toujours plus les ressources naturelles dont en réalité nous n’avons pas besoin.
Nous avons besoin du climat et aucune place Boursière ne nous le donnera. Nombreux adultes ont vu les jeunes militants écologiques comme des dangers, et nous nous souvenons d’une population tirant vers l’extrême droite, qui insultait Greta Thunberg, qui se moquait des publications scientifiques nous alertant, et trouvant dans quelques discours politiques un soutien à leur immoralité.
Perdre du profit, gagner moins d’argent, ne plus consommer à outrance, ignorer les crises humanitaires et la crise climatique, s’enfoncer dans la haine et la division avec plaisir, rire des propos d’une jeunesse leadership – nous avons perdu tout ce temps pour agir. Et, de l’autre côté des politiques se disant grands économistes, n’ont pas su comprendre que le sens d’un investissement doit être celui de la vie.
Emmanuel Macron s’est divisé lui-même et son programme économique, sa volonté de croissance virtuelle, et dire la baser sur une action climatique, nous amènera qu’au point de départ de cette stratégie, la virtualité.
Nous avons à peine trois ans pour agir, pour espérer ralentir le réchauffement climatique, et par l’optimisme, savoir la générosité de la Terre, sa liberté. Donc, si nous lui donnons la liberté, la laissons tranquille et acceptons de sortir de la virtualité économique de l’argent, elle nous donnera les fruits de sa liberté. C’est ce que nous devons récolter. C’est la manne que nous offre la nature, la biodiversité.
Nous voyons dans les villes françaises des constructions en béton, des structures dites « écologiques », une augmentation des prix de l’immobilier et la nature toujours plus en souffrance. Il est normal qu’un être humain puisse avoir un logement, c’est une question d’humanité et non d’argent. Pourtant, tous ne voudront que l’augmentation de la valeur économique de leur bien, comme l’État va s’enrichir de taxes, d’impôts supplémentaires et ainsi exclure les plus fragiles, les mettre dans un engrenage de production, et qu’importe que l’énergie soit nucléaire, si le fonctionnement suicidaire de l’économique est identique et qui continuera à abîmer notre humanité et donc notre Terre.
La vision du travail par Emmanuel Macron ou par Marine Le Pen, ne pourra transformer notre civilisation marchande et guerrière, en celle de la paix et de l’harmonie avec la nature.
Et, le pire est que le programme d’Emmanuel Macron concevant la retraite à 65 ans, va engager la vie d’enfants et lui ne sera plus en politique, qu’ils subiront les conséquences de sa décision autoritaire. C’est profondément injuste et l’économie néolibéralisme est destructrice. Elle ne sera pas en harmonie avec la nature, car il faut être au cœur de la nature, près d’elle, comme un politique doit être au cœur du peuple, près de lui et l’écouter quand il manifeste, quand il dit être en souffrance.
Un être humain en souffrance, c’est la Terre qui pleure, c’est son eau qui coule de ses larmes. Mettre ceux fragiles en souffrance et la violence de nos sociétés, la violence faite aux femmes, aux enfants, fragilisent considérablement notre monde. Notre Terre mère est mère et la justice en France ne respecte pas une mère violentée, ni ses enfants ?

Comment nos sociétés pourraient-elles être un rayon de soleil pour la paix, en osmose avec la lumière qui habitent la Terre ? Protéger la vie, secourir les plus vulnérables, écouter avec empathie leurs témoignages et tout mettre en œuvre pour les entourer, pour garantir leur santé, leur protection, c’est cela être une société juste, solidaire, fraternelle.
Une autre chose, Emmanuel Macron ne bloque pas les prix des produits alimentaires, d’hygiène. Il n’établit pas une gratuité pour tous, pour ne pas diviser les enfants en riches et pauvres, et agir concrètement pour une réconciliation, pour dire aux enfants qu’ils sont tous aimés et respectés, qu’ils sont tous humains et égaux. Établir la gratuité est plus audacieux, innovant, vertueux que d’imaginer des plans économiques dépendants des banques, des lobbies, des Bourses, et divisant profondément les uns et les autres.
Emmanuel Macron disait que les riches comme lui, n’ont pas besoin d’une baisse des prix, et de ce fait, ils auraient encore moins besoin de la gratuité pour les droits humains fondamentaux. Nous comptons sur Emmanuel Macron pour savoir de lui-même ne pas prendre aux plus fragiles.
Puis, il est par le climat, les réfugiés climatiques, les personnes déplacées de force du fait d’inondation catastrophiques, d’incendies de forêts et également par la déforestation réalisée par la folie humaine. La cause de l’immigration, doit nous faire comprendre comme nous sommes tous exilés sur Terre, que nous ne choisissons pas de devoir partir dans l’urgence en abandonnant tout, que c’est une souffrance de tout quitter ainsi, et que nous devons accueillir comme la Terre nous accueille.
Nous sommes face à d’immenses défis, il nous faut prendre des décisions inédites, trouver des solutions réalisant nos rêves de bonheur, de bien-être. Nous sommes l’utopie devenue la nécessité.
Nous allons perdre les trois prochaines années dans des structures politiques capitalistes, mondialistes, mettant le profit en avant et l’humain en retrait. Nous devrons répondre à des normes, des objectifs économiques. Nous serons le moyen de satisfaire la croissance que veut Emmanuel Macron et il ne restera que du sable.
Le ou la présidente qui sera sincère, proposera une grande réforme de l’administratif, et mettra fin aux verrous bloquants et absurdes que l’administration représente pour ne protéger que le pouvoir politique, le rendre inaccessible et opaque. L’administration est une dictature, la loi chômage, travail – Emmanuel Macron forme ce labyrinthe préjudiciable à la liberté, et donc à la liberté de la nature.
Les personnels administratifs devraient cesser d’obéir à des algorithmes, aux ordres politiques n’œuvrant pas pour une Terre habitable pour nous et nos enfants. Chacun aujourd’hui a le droit d’agir, a le droit de s’indigner, a le droit de refuser un système établissant les dominés et les dominants, l’arbitraire, un conservatisme de droite basé sur l’embourgeoisement, la possession, la richesse économique, faire fortune, et laisser de côté 10 millions de pauvres, et donc la nature.
La guerre en Ukraine, la menace nucléaire que fait planer Poutine, est profondément scandaleuse, et l’essai réussi du missile thermonucléaire intercontinental russe « Satan 2 », capable de raser la France. Nous ne devons pas être heureux de ces progrès technologiques, mais profondément malheureux, triste que l’homme se serve de la science de cette manière.

Le capitalisme a enrichi la Russie, nous prononçons des sanctions économiques contre la Russie, que des population à travers le monde subissent, mais nous ne sanctionnons pas le capitalisme qui envahit la Terre et conduit à un cataclysme ! Emmanuel Macron est fier d’annoncer, d’imposer un programme capitaliste ! Mais, nous devrions tous manifester pour l’harmonie avec notre Terre mère, avec notre humanité, et établir la paix universelle. Nous devrions lutter pour une économie de partage, et l’ONU pose un nouveau contrat social.
Fonder un monde nouveau en harmonie avec la nature, où tout le vivant serait protégé, où le bien-être serait élu, « Nous continuons à être très en retard par rapport à la réalisation de cet objectif » souligne le président général de l’Assemblée, Abdullah Shahid, qui ajoute que « Nous devons revoir nos modes de penser, nos développements, actions – nos lois, nos politiques doivent refléter les concepts actuels, la compréhension des droits, notamment le droit d’exister sans un environnement sain ».
« Nous semons le chaos dans notre seule maison. La seule que nous ayons et que nous partageons tous et toutes ». « Nous devons remédier aux dommages causés », précise-t-il. Il n’est pas seulement d’ouvrir une voie nouvelle, il est également de réparer le mal fait à la nature et la tâche est immense. Nous devons prendre conscience que la fonte des glaciers est irrémédiable, que les sols attaqués par les activités industrielles ne pourront renaître en un jour, que l’eau et l’air pollués ne pourrons redevenir purs en un claquement de doigt.
La Terre a entrepris comme une réinitialisation de ses équations parfaites et nous devons être conscients que nous ne pouvons pas maîtriser un tel bouleversement planétaire actif. C’est pour cela que nous devons changer profondément nos systèmes, nos lois, nos politiques et les populations doivent l’exiger auprès des dirigeants. Ce ne sont pas des urnes que sortiront les solutions, mais d’actions menées ensemble, de fraternité essentielle.
« Que l’on s’inspire de la planète qui nous nourrit » exhorte le président de l’Assemblée générale, car nous ne pouvons pas être en harmonie avec notre Terre mère si nous nous séparons d’elle, si nous ne lui donnons pas sa juste place. La nature doit être au cœur de notre humanité, et non soumise à l’extérieur. « Nous devons reconnaître la place centrale de la nature », souligne-t-il.
Le président de la Bolivie, Luis Alberto Arce, souligne qu’en Amérique latine, les populations pauvres n’ont accès qu’à moins de 2 % des terres cultivées . Il est bien de fonder une économie de partage respectueuse des droits humains, et anéantissant la pauvreté. Nous connecter avec la Terre, qui nous offre sa générosité. Être en harmonie, c’est preuve de générosité et non d’imposer de fortes inégalités. « Nous sommes face à de multiples crises urgentes qui menacent nos sociétés et la Terre. Aujourd’hui, plus que jamais, nous devons tendre vers les solutions concrètes ». Puis, ajoute-t-il, « Nous devons concevoir l’économie de manière différente ».
« La situation dramatique qui est celle de la planète n’est pas fortuite, ce n’est pas ni un accident, ni un hasard, elle est la conséquence directe d’un système qui s’efforce de produire du capital, plutôt que de produire de la vie », ajoutant « Je veux parler ici du capitalisme, de l’accumulation illimitée de capitaux et les inégalités qui en découlent ». Nous ne pouvons pas fonder l’Harmonie, si les droits humains sont bafoués, si le système capitaliste perdure. Nous pourrons parler d’harmonie, mais nous ne pourrons pas la vivre.
Luis Alberto Arce, rappelle que 78 % des forêts sont administrées par les États, ou appartiennent à des communautés autochtones, « Mais, l’essentiel de cette biodiversité reste essentiellement privée », souligne-t-il, précisant « qu’au niveau mondial, les 1 % des plus privilégiés contrôlent 70 % des terres agricoles ». Puis, il précise que ces inégalités « ont tendance à s’aggraver ».
Il souligne également que la moitié de la population mondiale la plus pauvre n’accède qu’à 8,5 % des recettes, des revenus et accumule à peine 2 % des richesses. Tant que cette injustice sera, nous ne pouvons pas penser respecter la nature, et créer une harmonie avec notre Terre nourricière.
D’autre part, le président Luis Alberto Arce a annoncé que la Bolivie avait l’intention de constituer un Groupe d’amis de l’Harmonie avec la nature. « Un Groupe qui sera chargé de proposer des propositions de changement transformateur, inclusif, tourné vers l’action. Ce n’est qu’ainsi que nous pourrons relever les défis d’aujourd’hui et de demain dans l’équité et la justice sociale et écologique ». « Ce qui doit dominer, c’est la quête du vivre bien » exprime Luis Arce.
Aujourd’hui, nous sommes responsables de l’avenir de la Terre, de notre humanité et si nous souhaitons plus que tout la paix pour donner à la vie tous ses droits, nous ne pouvons pas obéir à des choix politiques capitalistes. Les peuples doivent reprendre leurs droits et ne plus accepter qu’une minorité, que des Chefs d’État, qu’un seul décide pour des millions de personnes, pour toute notre humanité.
Notre responsabilité est engagée et la justice doit être pour que l’amour triomphe, ne soit pas encore effacé, oublié. Nous pouvons donner notre vie pour la liberté, pour la force d’aimer, parce qu’ainsi elle vivra. Mais, nous ne vivons pas uniquement enfermés en nous-mêmes, mais avec notre environnement, avec les autres. Y semer le bien-être, la conscience, l’entraide, la réconciliation, c’est y semer le respect de la vie.
Nous avons besoin de bâtir de nouvelles maisons pour accueillir une société profondément refondée qui permettra à notre maison commune, la Terre, de continuer à nous accueillir.
Nous avons besoin d’une Terre habitable, pas de richesses capitalistes car elles sont destructrices. Libérons le monde de cette invention, et faisons le pour une chose, le sourire d’un enfant, pour le bonheur, la vie.
© Fédora Hélène

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