
Retrouver le souffle, c’est pour moi, toujours garder au cœur la lumière pour les autres, et soi-même, aimer .
Objectif urgent du développement durable, engagement de l’ONU et des États membres, de chacun d’entre nous :
– Élimination de la violence faite aux femmes
– Zéro tolérance pour les agresseurs
L’amour relève des souffrances

Un homme violent ne peut tuer l’amour, il prend votre liberté, il est ce voleur de vie, mais l’ amour sera toujours vainqueur.
Parfois, le chagrin, la douleur se font puissants, éreintants, mais l’amour veille, entend les peines, il se fait ange gardien, il vous rappelle que la vie qui vous a été donnée, ne peut être reprise.
Un peu de mal à comprendre quand les violences d’un homme cruel tuent.
Alors, cela signifie certainement que la haine n’atteindra jamais l’amour.
Une justice que l’on ne perçoit pas facilement, un système judiciaire bloquant, qui peut créer une tristesse, une perte de confiance, et nous répéter que la justice n’existe pas. Mais, l’amour est là, il veille.
Nous savons les drames, ces hommes qui traumatisent la vie, l’urgence face aux défis majeurs :
– les crises humanitaires touchant plus de 23 millions de personnes supplémentaires en 2021, une aggravation de celles-ci en 2022 par la guerre en Ukraine, ce qui établit plus de 3 milliards de personnes ne pouvant s’alimenter sainement et régulièrement (PAM)
– L’ aggravation des conflits armés comme au Sahel, en Ukraine, en Palestine, …
– Ce qui provoque une accélération de la crise climatique. Il reste à peine de 3 ans pour penser ralentir le réchauffement climatique.
Nous comprenons que la guerre en Ukraine, en Europe, et l’aggravation de la crise alimentaire mondiale, risquent d’entraver les bonnes décisions par deux éléments : la poursuite du capitalisme, des violences économiques et l’ exclusion des plus vulnérables, alors que chacun d’entre nous doit pouvoir prendre part aux choix qui vont impacter notre humanité, avenir, et la vie de chacun d’entre nous.
Les violences faites aux femmes sont en augmentation, et les violences sexuelles qu’ont subi des femmes ukrainiennes, des femmes victimes des conflits armés, au Sahel, et la privation de liberté pour les femmes en Afghanistan, démontrent le mouvement destructeur qui s’enclenche et qui pourrait emporter notre avenir à tous.
Chaque seconde compte pour la paix, n’est pas un vœu qui est vain, mais vital.
Les scientifiques ont alerté concernant le réchauffement climatique, des jeunes ingénieurs agronomes alertent, toute une jeunesse se mobilise contre l’inaction des gouvernements, contre un système de profits faisant de la vie un moyen de s’enrichir de biens matériels, d’user des ressources de la nature, et de mettre ainsi la biodiversité en grave danger.
Une force est là pour lutter, et le lien des uns aux autres, c’est l’amour. Aimer la vie, son sourire qui nous donne cette joie profonde, cette envie d’avancer, de découvrir, de créer.
Depuis des siècles, les femmes luttent pour survivre dans un système violent envers elle et leur combat pacifique, est cette annonce des possibilités : c’est possible, ensemble, unis par la paix.
C’est possible de mettre fin aux violences faites aux femmes, c’est possible par la force d’aimer, être en résilience, la force de vivre .
L’homme fait la guerre à la nature, comme il fait la guerre aux femmes ; il rompt l’alliance, une harmonie ancrée dans une conscience universelle, l’amour.
C’est la violence que nous devons arrêter et par la solidarité internationale, manifester sans relâche pour la paix, pour lui donner une chance de vivre.
C’est par notre liberté que nous pourrons vaincre et en reconnaissant celle de la nature.
Trois ans, nous savons qu’il faut agir maintenant, et que nos enfants attendent que nous le fassions pour leur donner le droit à un avenir serein dans un monde juste, équitable, durable.
Nous devons maintenant planter l’arbre de la liberté et ainsi posséder ses racines pour survivre. Ancrées dans la terre, la lumière et l’eau.
Déserter le capitalisme, créer une nouvelle civilisation de résilience. Anéantir la pauvreté, le racisme, la violence faite aux femmes et aux enfants.
Si nous luttons aujourd’hui, nous nous reposerons demain. Le contraire, ne me demandez pas de l’écrire. Vous savez ce qui sera. En premier, la crainte d’une famine mondiale.
Donner, partager, aimer.
Quand une femme est seule pour protéger sa vie et ses enfants, elle sait ce qui est précieux, la vie.
L’amour est là, et les femmes victimes, parties en roses blanches, nous demandent à tous, de ne pas laisser la violence gagner et la tristesse se répandre, mais d’être fidèle à la lumière.
Fédora Hélène
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