
Violence faite aux femmes – Tout s’aggrave – une justice absente, des politiques ne calculant que profits et non Vie, paix et liberté
Quand l’engagement de l’ ONU de mettre fin aux violences faites aux femmes et qu’il soit zéro tolérance pour les agresseurs, ne sera jamais tenu par nombreux gouvernements.
La justice française laissant à terre des vies innocentes. Pour elles qui n’attendent plus rien d’ une justice brisant l’espérance, la reconnaissance, effaçant des vies , leur mémoire. Oubliées, les victimes oubliées . La justice n’a été que l’autre violence. La justice traumatisant des femmes victimes de prédateurs, d’agresseurs tous puissants dans cette France de violences où les plus vulnérables sont en souffrance dans l’indifférence des pouvoirs, de leurs profits tournant le dos à la paix, à la liberté.
La cour des puissants aux pouvoirs surdimensionnés et dirigeant le monde, un peuple en pion sur leur échiquier fou et la nature est cette femme blessée. Des pouvoirs qui détruisent tout.
La paix espère-t-elle encore de voir le nouveau jour ? Cet été en tristesse des flammes brûlant les champs de paille à la sécheresse d’une terre assoiffée. Et, pourtant tout continue d’une économie suicidaire aux discours des politiques en vantant la chimère et mettant les pauvres en détresse, des enfants sages ayant peur des tempêtes, des orages.
Tout recommencera en septembre. L’interfale machine et tous iront entretenir les rouages, huilant les verrous bloquant un avenir radieux de liberté. On a perdu le rêve d’un monde meilleur, de notre humanité réconciliée.
Les politiques sécuritaires, l’homme surveille l’homme, enferment nos villes, ne laissant que les hommes de violences se balader comme des loups chassant une proie. Une femme blessée et la Terre aussi.

Clip – Petit oiseau de Fédora Hélène

Po aime en liberté
Petit oiseau
Toutes les prières
Tous les pardons donnés
Pas de chance petit oiseau
Ne chantera plus sur la branche
Petit oiseau est mort
Ce matin d’ hiver
Pas de chance
Fin des lumières
Il fait noir si noir
Qu’une ombre
Sur le mur
Le corps d’une femme
Un sifflement
Petit oiseau n’est plus
Elle est tombée
La rose endormie
Les pétales déchirés
Au secours
Son ventre rond
Cet havre de paix
En un éclair
Tout est à terre
Sans vie
Balancé son corps fragile
Chut, plus un bruit
Un sifflement
Petit oiseau n’est plus
Elle est en peine
Pas de fortune
Qu’un cri dans la nuit
Seule sur les chemins
Où es-tu joli chant
Ma paix
Les étoiles comptent
Pour moi cet avenir
Qui n’existe plus
Le loup à pas de velours
Ce soir murmure
Ta vie est finie
À la rose évanouie
Toutes les prières
Tous les pardons donnés
Pas de chance petit oiseau
Ne chantera plus sur la branche
Petit oiseau est mort
Ce matin d’ hiver
Pas de chance
La Terre n’était pas faite
Pour moi, il faut croire
Retiens tes larmes
Elles ne coulent plus
Tu es partie
Dans cet ailleurs
En survivance ma rose
Comment, comment vivre
Souris, souris à la vie
Il y aura un autre pays
Sans pierre, les cœurs blessés
Tout en haut sur la branche
Petit oiseau est parti
Cet envol fin de la vie
Petit oiseau revient sur tes pas
À cette enfance, aux rêves perdus
Au loup, au loup , on jouait au loup
Sans savoir qu’à la fin
Il tue la rose et l’oiseau aussi
Tu ne peux pas , non, non
Être une rose sauf à une tombe
L’oiseau en pierre récitant les vers
Oublie, oublie ta vie , oublie , oublie
Petit oiseau tant pis
Tu chanteras demain
Une autre fois, une autre vie
C’est comme ça le verre cassé
Petite rose sur le carreau
Tu pleures à la nuit
Ton ventre rond , l’enfant endormi
Sèche tes larmes , souris à la vie
Un sifflement
Chut, plus un bruit
Fédora Hélène

photo @liberterradaily
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