
L’arme de la politique : la pauvreté
Des enfants, des femmes, des personnes vulnérables ont froid dans des logements mal isolés, dans des logements sociaux, où des matériaux de mauvaise qualité ont bâti ces logements.
Des gens à la rue, dont des femmes victimes de violences, ont de plus en plus de mal à tenir le coup à cause de la grave et inacceptable augmentation des prix des produits alimentaires. Des familles, des mères isolées, des étudiants pauvres, des jeunes, des petits retraités ne mangent pas à leur faim.
Bruno Le Maire qui ne reconnaît pas les superprofits, les profiteurs de guerre, de détresse, porte une grave responsabilité. Comment peut-il aux côtés d’Emmanuel Macron prétendre œuvrer pour le climat quand la politique du gouvernement affaiblie les plus fragiles, donc la nature.
Valoriser une croissance économique par des investissements aux milliards de profits attendus et la qualifier de transition énergétique non polluante, c’est absurde. Ce sont de fausses promesses écologiques.
Puis, venir dire que l’abondance est finie quand les milliardaires s’enrichissent toujours plus, que des nantis aux privilèges de milieux politiques, médiatiques et culturels se gavent à leurs dîners mondains, et ont la médiocrité de se poser en valeur morale, en valeur d’élite dans leurs droites extrêmes de gauche comme de droite corrompues depuis des décennies où ils ont acquis de l’argent, des titres, emplois, et s’imposant dans toutes les arcanes du système.
Leurs héritiers sont à croquer la pomme et faisant comme s’ils ne savaient d’où venait la fortune de leurs héritages. Indifférents aux jeunes qui eux ne comptent que sur eux-mêmes pour survivre dans la société de violences qu’alimentent les cols blancs en beaux parleurs et fréquentant les strates de l’État, pendant que les citoyens sont laissés dehors.
La religion en panache comme dans la bouche de Zemmour distillant des discours de haine, ils sont les mêmes et ont fait de l’art une marchandise pour y mettre leur argent, s’inventant mécènes et artistes depuis plus de 30 ans que ces oppresseurs fabriquent le système par leurs mensonges.
Pendant que leur orgueil, narcissisme, fausses vertus, manipulations s’étalent sur les réseaux sociaux, tout en flattant des prédateurs, des enfants ont froid en 2022.
Emmanuel Macron, vous êtes responsable de l’augmentation de la pauvreté. Pensez aujourd’hui à celles et ceux qui ont froid, à ceux qui n’ont plus les moyens de s’alimenter durant tout un mois. C’est en France, un pays riche fait pour les riches.
Les très riches responsables de la pauvreté

S’il était aussi simple que cela : enlever les richesses pour établir l’égalité, le partage en valeur d’humanité à travers le monde entier. Ne plus être aux guerres sans armes à vendre, sans plus rien d’une économie vendant la vie à prix d’or et ne faisant d’elle que cette paille brulant au feu des chagrins.
Ne pas compter les statistiques, mais que l’humain, que ces enfants mourant de faim, que le visage de leur mère en rivière des larmes à la douleur. Que verraient-ils ceux voulant diriger le monde s’ils regardaient leur visage dans la glace ? Les larmes couvrant sa surface en pluie incessante. Cette eau sans fin dessinant leurs traits pour reflet d’eux-mêmes et les sourires des plus pauvres s’évadant libres parmi leurs rêves.
Les vies éteintes, la pauvreté gagnant et demain l’espérance promet qu’il ne sera plus ce funeste destin pour plus de la moitié de l’humanité. Mais, aujourd’hui, le froid et la faim gagnent le pari d’un capitalisme vainqueur alors qu’il ne vaudrait que l’amour pour l’effondrer avant qu’il n’âbime toujours plus la vie de centaines de millions d’êtres humains.

L’indifférence en spirale tournoie et vient un épais brouillard au-dessus des terres. Ce voile noir que la révolte ôte. La révolte des peuples unis réveillant la joie de vivre et voulant bâtir par ce soleil les futurs possibles.
Donner un crayon à tous les enfants pauvres pour qu’ils puissent écrire sur les murs le mot vie en mille langues, mille mots, mille rêves. Cet opéra populaire que l’on pourrait chanter. Ces phrases d’enfants nous rappelant ce que nous sommes, le plus précieux, ce que les sociétés ont oublié. Et meurt ce matin, un de nous au coin d’une rue, tombé au champ de bataille de la pauvreté.
Ouvrir les portes de la bonté, sans attendre les ordres politiques, entrer et ouvrir les portes des immeubles clos, des surfaces abandonnées à la cupidité. Ouvrir les marchés de partage, offrir et l’État demain sera déjà à sa chute.
Que feront les politiques quand la pauvreté sera anéantie ? Les empires à leur chute et plus la pauvreté augmente plus ils ralentissent ce futur : la chute des États pour donner naissance à la plénitude de la liberté.
Le pouvoir sera à celui dominant l’espace et la colonisation de la lune est un pas de plus vers une nouvelle civilisation interplanétaire qui marquera fortement les inégalités, injustices et qui risque de créer une hiérarchie entre les pauvres et les riches toujours plus catastrophique
Le but est aujourd’hui cela, l’extension des empires non par l’universalité de la fraternité, en solidarité, mais en rapports de force extrêmes, de fortes rivalités entre l’Occident, la Chine et la Russie.
Fédora Hélène


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