L’insécurité alimentaire s’aggrave – Le nombre de personnes en détresse alimentaire aiguë a plus que doublé depuis 2019.

@liberterradaily

Quelle liberté quand la faim met en souffrance la vie ?

Quelle liberté quand la faim met en souffrance la vie ? La vie belle part en éclat, les injustices tuent. La faim mondiale vient en fléau, nous appelant en conscience à sauver l’amour pour vivre en liberté.

Un monde en liberté inventant la lumière et la nuit au cœur de laquelle brille les étincelles, l’étoile Yémen, Ethiopie, Afghanistan, les plus fragiles nous apportent le courage du témoignage, leur vie brisée par la faim.

Nous pensons à tort que leurs terres sont loin de nos frontières, que nos richesses nous protègent et tant pis pour les autres dans la galère. On consomme à en perdre haleine, courant après les profits, et dans cette absurde guerre de la production, qui chasse qui ?

Le capitalisme chasse l’être humain ayant inventé l’économie dans son ultime suicidaire. L’humanité contre elle-même en guerre finale comme aboutissement de nos savoirs, de notre histoire, de nos progrès.

Fin, le point final quand un enfant meurt de faim et que tout continue des folies politiques aux vendeurs d’armes et milliardaires, ils s’acharnent à détruire la paix.

Les poches pleines, on meurt quand même en donnant la main à l’enfer. La pauvreté subie par les plus fragiles, les coffres d’argent se remplissent du sang des innocents.

Quel drame ! Tout continue et le bouleversement s’accélère. La pandémie de Covid a révélé la guerre que mène l’être humain contre la nature, contre l’eau, la terre qu’il fait de sable, et les déserts grandissent, prennent les lacs, assèchent les rivières, tout meurt.

De la vie ou de la mort, c’est assez simple, il faut choisir. Des arbres au brin d’herbe, ma peau est faite de tous les éléments du vivant, de la Terre en harmonie, fille de l’univers. Il y a cet invisible, notre savoir qui ne passe pas les frontières de l’infini et c’est au pied du mur que tout s’écroule. Ce mur invisible contre la liberté que dressent les politiques et l’économie inventée qu’ils tiennent pour vérité.

La justice morte dans leur palais, crie à l’agonie et attend sagement que les peuples viennent la délivrer des ors, des corruptions, des mensonges. La justice en don de paix s’effeuille, chacun de ses pétales s’enfuient au néant si on ne retient pas son cœur et que l’on laisse filer les juges faisant vibrer la corde des discriminations en son de la paix en peine. Les notes qu’ils jouent au théâtre de justice, ce château de cartes qui effondre celle véritable et la liberté sombre.

Tout est lien, il n’est qu’un fil, la vie.

Des juges et des lois qui ne servent que l’État et abandonnent la bonté sur le trottoir. Prostituée, elle devient la croissance économique, elle fait les carrières des femmes et des hommes au pouvoir d’argent, de gouvernements, de financiers, de milliardaires qui soufflent sur la flamme et la paix s’éteint.

La faim se joue en bourse. Les superprofits épuisent les pauvres, et les enfants traumatisés ne voient plus les rêves, les yeux embués comme ceux de leur mère, il pleut sur leur visage, la tristesse peint leur yeux, le sel s’unit à l’eau douce tombant en goutte sur leur front et glissant si doucement en larmes.

Les plus riches vont finir par recouvrir la Terre des océans de larmes innocentes et les cœurs au silence des âmes en reflet dans les flaques de chagrin dessineront sur le parvis, les poésies des révoltes à la rue en dernier espoir, avant le chant des sirènes des polices obéissantes au pouvoir politique en violence.

On marchera main dans la main, libertaires, anarchistes coupant les barbelés délivrant la fraternité retenue prisonnière. Un monde sans État, la justice au pouvoir politique, on en fera table rase et en procureur, on élira les oiseaux revenus au ciel pour chanter la délivrance.

La liberté, on rêve de sa joie se posant sur les sourires des enfants, la faim combattue, la misère anéantie, les pauvres et leurs yeux s’ouvrant enfin sur la libération.

Des parapluies noirs s’ouvrant sur les places, il y aura le jaune du soleil éclairant la parole libérée des détresses qui ne seront plus solitaires. La solidarité au cœur battant relève des peines.

@liberterradaily

Le peuple doit élever sa voix et avancer vers la liberté

L’administration en despote, ses technocrates, hauts fonctionnaires, ministres ne tenant que leurs profits, et puissance tirant des 49.3 sur la démocratie. Elle est tombée à terre sur le sol des Assemblées. Les cartes trichées posées sur la table, les banques distribuant les dés, les plus riches tendant la corde au-dessus du vide, et notre monde vacille, jongle avec les milliards et l’on ne compte qu’en cailloux d’argent pour sauver le monde.

La folie ordinaire dirige le monde et donne aux cupides, traîtres et orgueils, le pouvoir de la défaite qu’ils appellent réussite en poussant notre monde au bord du précipice.

Le racisme, le fascisme reviennent au galop entre les corruptions et l’Union européenne, à ce rythme, pourrait sonner le glas de son union.

Les migrants et réfugiés, mal-aimés laissés à la porte, la générosité en voix des artisans de paix n’est pas entendue. Le racisme tue. L’attentat a abattu des vies le 23 décembre 2022 et la justice a oublié le terrible chagrin des familles, de nos communautés fraternelles. Trois personnes ont été assassinées et cet acte terroriste ne sera pas reconnu par la justice. Les politiques dans l’ombre tiennent la justice à leur pouvoir. La raison d’État, le système plus puissant que des vies innocentes.

La faim peut inonder les champs se transformant en poussière, les semences sans vie, les migrants et réfugiés, démunis de tout, leur vie abandonnée par nos pays riches qui garderont leurs frontières fermées à la paix pensant préserver l’abondance des croissances économiques, gardant au silence la pauvreté qui porte sur ses épaules le fardeau de la folie politique, des hommes de guerre, de la puissance sans limite des États, de leurs services de renseignement et pourtant ils ne peuvent ralentir l’accélération du bouleversement climatique.

La faim provoquée par la démence économique, l’humanité s’est trompée de chemin en suivant les violences politiques, les empires qui depuis l’antiquité forgent notre civilisation. Les richesses actuelles sont issues de l’esclavagisme, ce qui a fait la richesse de Bordeaux, et c’est ce qui persiste en riches héritiers possédant injustement des territoires. Les politiques courtisent ces riches propriétaires et deviennent les serviteurs de ceux possédant que cela soit sur leurs territoires, que sur la scène internationale.

On vend un produit comme les armes et la géopolitique est sur le terrain des investissements financiers, de commerce, des rapports de force tenant les conflits armés en alerte permanente, bloquant des denrées alimentaires, des médicaments, et laissant des populations déshéritées, privées de leurs droits humains.

Les pays en rivalité dans ce temps où l’Est veut renverser la puissance économique de l’Occident et les peuples en subissent les graves conséquences. Une telle volonté de renverser l’Occident agit comme un puissant tremblement de terre, et sur cette carte du monde, quelques milliardaires veulent tirer les ficelles, profiter de ce climat de rapport de force extrême, de pauvreté des peuples pour manipuler et imposer des stratégies économiques de guerre, appauvrissant de manière majeure des populations, et dirigeant le monde par des pressions économiques extrêmes.

La pandémie de Covid a révélé les jeux de milliardaires s’enrichissant à une hauteur vertigineuse, pendant que des populations vulnérables ont subi des conditions de vie extrêmement difficiles, comme en Chine.

La fortune de Bernard Arnault est cette illusion boursière, et le résultat des contraintes imposées aux populations. La détresse, l’épuisement physique et mental d’ouvriers, de populations exploitées, les traumatismes subis, la surveillance de l’homme par l’homme – devenir milliardaire, c’est faire la guerre.

Ce que l’on comprend comme étant une réussite est le pire des échecs. Les plus riches peuvent créer des fondations pour se dédouaner, acheter leur conscience, comme ils achètent leur liberté, mais dans cet absurde, le final est le néant.

Les fortes inégalités sont maintenues par certains gouvernement jouant avec la pauvreté, menaçant des populations et les tenant par la précarité, le chômage, les retraites, les droits à la santé, tout de leur vie est organisée par l’État sans leur consentement, sans que leurs choix soient respectés.

Ils doivent répondre à des normes, devenir des outils de la machine pour bénéficier des atouts du système et acheter à leur tour, leur liberté. Ils partent en vacances quand le système leur en donne le droit, doivent justifier de tous leurs faits et gestes, demander la permission de s’absenter, s’excuser et justifier chaque absence, vivre avec le salaire que le système leur donne et chaque jour recommencer avec la peur de tout perdre.

Chacun est un soldat du système et les politiques n’ont aucun intérêt à ce que la liberté soit première, comme les faux humanistes, qui au même titre que l’État perdraient tout pouvoir s’il était l’anéantissement de la pauvreté.

Maintenir les plus vulnérables sous emprise, augmenter la pauvreté, maltraiter des populations pour assurer sa puissance sur le plan international, ce sont des oppresseurs à la démence de posséder des milliards de dollars, ou de jouer avec des milliardaires, la dette, les conflits armés, la crise climatique, et l’humanité se perd sans plus de réaction de la part des populations riches qui considèrent la loi du plus fort comme l’unique pouvant organiser le monde.

Un tsunami de la faim risque de frapper notre monde en 2023

@liberterradaily

Le Programme Alimentaire Mondial (PAM) alerte sur le fait que le nombre de personnes souffrant de la faim, en insécurité alimentaire aiguë a plus que doublé depuis 2019, passant de 135 millions à 345 millions de personnes en détresse alimentaire. Une aide alimentaire d’urgence est nécessaire pour protéger des millions de personnes et le PAM lance une alerte rouge.

Un exemple des fortunes des plus riches

@liberterradaily

Les milliardaires français ont augmenté leur fortune de 86 % entre mars 2020 et octobre 2021, soit 236 milliards d’euros supplémentaires gagnés en 19 mois, a alerté Oxfam.

Le bilan, en France les 5 premières fortunes, avec Bernard Arnault en tête, gagnent autant que 40 % de la population, selon le rapport Oxfam 2022 intitulé : « Les inégalités tuent ».

Depuis, la pandémie de Covid, le monde compte un nouveau milliardaire toutes les 26 heures, pendant que les dix hommes les plus riches ont doublé leur fortune et que ce vertigineux de l’argent provoque de graves inégalités qui tuent par la violence de la pauvreté. Une personne au moins décède toutes les 4 secondes des conséquences des inégalités. Ce qui dresse le dramatique bilan de 21 300 personnes au moins décèdent chaque jour dans le monde à cause des inégalités, alerte le Rapport de l’Oxfam.

Un autre chiffre : les 10 hommes les plus riches du monde détiennent plus que les 3,1 milliards de personnes les plus pauvres. Pour rappel, 4 milliards de personnes manquent d’eau douce pour vivre et les plus riches ont donné une valeur d’argent à l’eau – élément vivant de la Terre ne pouvant appartenir aux plus riches, à des oppresseurs sans limite.

Nier le superprofits comme le fait le ministre Bruno Le Maire, et dans le même temps laisser les prix de l’alimentaire flamber, c’est une lourde responsabilité. Emmanuel Macron dépensant plus de 500 000  euros pour se rendre à la Coupe du monde au Qatar, parle de la fin de l’abondance concernant le primordial de la nourriture, des moyens de chauffage, quand au moins 10 000 personnes décèdent chaque année par manque de chauffage dans leur logement, que le gaz va augmenter de 15 % en janvier 2023, et que les logements les plus pauvres, nombreux logements sociaux fonctionnent par le gaz, et subissent une absence d’isolation, de chaudière performante. Un chauffage en gouffre à énergie pour avoir froid. Les politiques ont abandonné des populations dans des logements insalubres, anciens sans aucune rénovation de qualité, sans possibilité de relogement.

Ce sont des familles précaires, des mères isolées, des petits retraités, des étudiants accablés par les violences économiques conçues par un système destructeur mis en place par des décideurs politiques et validés par des profiteurs de guerre et de détresse.

Urgence alimentaire en Afrique de l’Ouest et Centrale, ainsi qu’a Madagascar, comme au Sahel, en Afghanistan

Le 8 décembre 2022, l’UNICEF, la FAO et le PAM ont alerté sur l’insécurité alimentaire dont souffrent des populations en Afrique de l’Ouest et Centrale. La faim devrait marquer des records historiques en 2023 si rien de fait persiste pour mettre en place des solutions d’urgence. Ce sont 48 millions de personnes, dont 9 millions d’enfants qui feront face à une grave pénurie alimentaire. Actuellement, selon les dernières études du Cadre Harmonisé d’analyse de la sécurité alimentaire, plus de 35 millions de personnes, dont 6,7 millions d’enfants, dans ces régions ne peuvent accéder à une alimentation, à des besoins nutritionnels de base.

C’est aussi une grande détresse à Madagascar qui subit une grave sécheresse depuis trois ans et qui a été touché par des cyclones, tempêtes tropicales qui menacent toujours plus la sécurité alimentaire.

Le 20 décembre 2022, l’Agence des États-Unis pour le développement international (USAID) a attribué au nom du peuple américain, la somme de 45 millions de dollars au programme alimentaire mondial (PAM) pour apporter une aide alimentaire vitale dans le Sud de Madagascar.

La France a contribué au Programme Alimentaire Mondial (PAM) des Nations Unies à hauteur de 2,3 millions d’euros au cours de ces trois dernières années pour mettre en place des opérations d’urgence, d’alimentation scolaire, de nutrition au sud de Madagascar.

La crise climatique aggrave la crise alimentaire mondiale

La COP 27 a mis en évidence le choc climatique qui entraîne une aggravation de l’insécurité alimentaire mondiale et qui contraint des personnes à des déplacements forcés, à une migration climatique pour laquelle de nombreux pays ne se sont pas préparés. Des migrations, et des déplacements de population à l’intérieur de pays, créant ainsi des difficultés et conflits sur des territoires déjà en difficulté alimentaire.

La fréquence accélérée des canicules, la persistance de sécheresse transformant la terre en sable et poussière incultivable, des inondations majeures et tempêtes dévastatrices affectent par leur enchaînement des populations qui n’ont plus aucun répit et des terres n’ont pas le temps de se ressourcer par elles-mêmes.

Les difficultés pour se nourrir sont évidentes et des pays tels que le Yémen, la Somalie et la République démocratique du Congo subissant des conflits armés, ont toujours au-dessus de leur tête la peur de la famine planant sans compassion.

Ainsi, lors de la COP 27 réunissant des dirigeants mondiaux à Charm el-Cheikh en Egypte du 6 au 18 novembre dernier, le PAM a appelé à une action urgente pour aider les populations se trouvant en première ligne de l’urgence climatique.

Les inondations dévastatrices au Pakistan qui ont touché 33 millions de personnes et qui ont submergé un tiers du pays. À ce moment-là, les Nations Unies ont lancé un appel urgent de 160 millions de dollars pour aider la population démunie. Des terres agricoles, des villages sous les eaux insalubres, « Ma maison, mon quartier et mon village ont été détruits par les inondations » a exprimé auprès du PAM, Jannat Gulzar, 52 ans et habitant dans le nord-ouest de Khyber Pakhtunkhwa, province sinistrée.

Les inégalités sociales sont une violence supplémentaire, la violence économique détruit et nie que la crise climatique est planétaire et qu’il ne peut être plus de la moitié de l’humanité abandonnée dans la pauvreté, le choc climatique extrême, et penser croissance économique au milieu d’un désastre planétaire.

Le PAM a rappelé que durant les sept dernières années, les États non fragiles ont reçu 80 fois plus de financement climatique par personne que les États extrêmement fragiles.

Les plus riches pensent sauver la planète en utilisant des patinettes électriques, en quelque sorte, pendant que la moitié de l’humanité est menacée directement par les crises mondiales et qu’il s’agit de se nourrir, de boire de l’eau potable pour survivre.

La survie de l’humanité est dans les possibilités d’eau douce, les possibilités de terres cultivables, d’exploitations familliales. La préservation de territoires à travers le monde, et certainement pas par une industrialisation de la crise climatique pour servir des profits et les plus riches qui font suffisamment de mal.

Mais, les populations aisées ne retiennent majoritairement que la croissance économique et les promesses de devenir plus riches, saluant les milliardaires de leur pays, comme des capitaines d’industries, méritants et réussissant, dans cette idée de réussite par la possession, la propriété sans aucun sens quand il est la mise en danger de la biodiversité, des ressources naturelles.

Posséder la puissance de détruire, et d’inférioriser la nature qui devient esclave des besoins humains, qui est considérée comme un objet utile sans droit, comme sans vie !

La barbarie du 21 -ème siècle ne dresse plus de bûcher, elle affame des millions d’êtres humains, détruit la nature, utilise la pauvreté pour effondrer des vies, met en place des oppresseurs élus, leurs financiers aux cours de milliardaires, parle de croissance économique, quand il est un péril économique qui ruine l’avenir de la jeunesse et de générations futures, comme il est l’avenir compromis pour les adultes que nous sommes.

La justice sans plus aucun sens et ne servant que l’État, le politique, dans cet élan suicidaire, alors qu’il serait de tout faire pour protéger la vie. On file vers le désastre en obéissant à un système prédateur, comme si nous étions des automates sans sensibilité, sans capacité de ressentir la vie, de savoir que notre cœur bat grâce à la Terre qui nous donne la possibilité de vivre. Tout devient absurde quand l’amour est abandonné et que seule la cupidité, le narcissisme, cette stupidité deviennent les qualités premières dans un monde de mensonges politiques et économiques.

S’embourgeoiser, le but d’une vie, tenu au piège à la liberté de confort, mais ignorant la liberté véritable. Les partis politiques usant d’artifice, de conservatisme, de mensonges, de trahisons, qu’ils soient de droite comme de gauche, et faisant perdurer un déséquilibre.

L’argent qui ne pourra jamais semer et rendre des champs fertiles. C’est avant tout la volonté, le courage des plus vulnérables qui œuvrent pour sortir du risque de famine, avoir une indépendance alimentaire.

Il est nécessaire de développer une économie solidaire, de partage, où chacun peut être autonome, libre et non avoir sa vie suspendue à un système. Ce sont les petits agriculteurs, des exploitations agricoles familiales qui donnent la possibilité de produire une agriculture saine, permettant à des communautés de vivre en rompant leur « dépendance à l’égard de l’aide humanitaire » a souligné le PAM.

À cet exemple dans la région du Sahel comptant cinq pays africains, le PAM et les communautés locales ont « transformé 272 000 acres de champs arides en terres agricoles productives en seulement trois ans jusqu’en 2021 », a souligné le PAM.

Puis de l’autre côté, vers l’économie capitaliste, ce sont des champs de culture contaminés par des pesticides, ceux persistant durant des décennies et contaminant tout l’environnement. Le pouvoir de l’argent, c’est aussi cela, l’épuisement de la terre pour produire de manière toujours plus intensive.

Il est nécessaire de partager équitablement la terre et de mettre fin aux exploitations industrielles, aux lobbies alimentaires, corruptions politiques sans limite qui détruisent tout sur leur passage.

L’objectif Zéro faim d’ici 2030 soutenu par les Nations Unies ne pourra être réalisé alors que nos sociétés maintiennent un engrenage destructeur. Les récents évènements en Chine et la recrudescence des cas Covid, montrent que l’emprisonnement de la liberté, la mise au pas de populations pour servir une puissance politique voulant renverser les pôles économiques, et faisant ses choix suivant les pressions de milliardaires dont elle a besoin pour dominer, exister en tant que pouvoir absolu, ne mène qu’à un péril économique, écologique, humanitaire.

Les conséquences seront mondiales et en premier pour les populations en détresse 

L’Afghanistan, les femmes sont les premières victimes de ce système destructeur, des routes du ventre, de la guerre de la faim qui envahit le monde, touche l’Europe et en France les superprofits battent des mains, pendant que des gens ont faim, se couchent le ventre vide et ont besoin d’une aide alimentaire pour survivre.

En France, l’argent est là, mais ne sert pas à protéger la vie et c’est ainsi sur tous les territoires à travers le monde. L’argent est là, la puissance de l’armement, et la paix toujours plus menacée, la guerre dessinant notre avenir dans des conflits récurrents, où les plus fragiles n’ont que peu de chances, pendant que certains politiques y tirent leur puissance.

Les migrants de la faim, tout n’est qu’au commencement du bouleversement planétaire

En France, Emmanuel Macron prônant la paix en Ukraine, et lançant de l’autre le capitalisme à vive allure, en imposant toujours plus d’État, de surveillance de l’homme par l’homme, du maintien d’une chape de plomb sur les plus vulnérables, et faisant du chômage un système bancaire de vie à crédit, renforçant toujours plus l’humain outil servant la matrice de la folie politique.

Les cartes trichées distribuées à la population, pendant que les plus riches seront à grossir leur fortune entre les Bahamas, et autres. Les populations achèteront leurs points de vie, leur compte ressources et plus la liberté sera menacée, plus la famine avancera. Puis, on leur proposera une nourriture modifiée, chimique, qu’ils accepteront en laissant la moitié de l’humanité périr et pensant se sauver d’une faillite du système qui organisera toujours que son unique survie. Le système plus important que l’humanité, elle-même, c’est une autodestruction, comme si l’humain était programmé pour s’annuler.

Les politques de profits sont absurdes et déracinent l’arbre de la liberté

Élisabeth Borne ne vivra pas le système qu’elle alimente, mais nos enfants le subiront. Emmanuel Macron ne fait que ce qu’il sait faire, il met un système bancaire en place plus puissant que jamais, qui deviendra le pouvoir économique de l’État qui ne sera qu’un système administratif de contrôle permanent, d’organisation de la société. Des vies à crédit, voilà l’avenir promis qui enchantent les investisseurs, les lobbies et les superprofits.
Nombreux ne tiennent que par des accumulations de crédits bancaires et sont pendus par la dette, et ne peuvent se révolter, puisqu’ils donnent toutes leur énergie pour payer la prochaine créance, maintenir un niveau de vie financier, payer la mutualisation de leur vie, sans conscience que la révolution climatique avance.

La violence politique a décrété la fin de l’abondance dans cet ultime mensonge, pendant que le monde peine, que les ressources naturelles seront toujours plus opprimées, et les populations épuisées.

Emmanuel Macron joue sa carrière internationale, sa présidence est déjà finie, et Élisabeth Borne met en application les réformes capitalistes de l’ancien monde. Il perdure et étouffe les chances de vivre un avenir en paix. L’administration appliquera coûte que coûte les ordres politiques dans un conditionnement mental de soumission permanente, posséder un pouvoir.

L’augmentation des prix de produits alimentaires va se poursuivre, comme l’augmentation des charges, l’augmentation des politiques sécuritaires, des injustices et discriminations dans l’indifférence de la majorité de la population subsistant par les acquis d’héritages et de corruptions, comme Bordeaux a gagné sa richesse par l’esclavagisme.

L’espérance en alliée, une révolte pacifique en atout, mais les populations aisées seront toujours à leur commerce, sans conscience et à vanter des politiques leurs faisant des promesses d’enrichissement. L’argent plus puissant, plus important que la vie, c’est notre civilisation, sa brutalité et sa cruauté. 

Mais chacun de nous peut tout bouleverser et donner à la vie tout son amour et là ça change tout !

Fédora Hélène

@liberterradaily

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