L’ Affaire Quatennens plombe LFI pendant que l’omerta résiste – Philippe Palat ce loup de l’ombre

@liberterradaily

Témoigner est force de justice et d’humanité quand la justice n’existe pas

Pendant qu’il est le scandale d’un, il était un prédateur sexuel mis en avant sur la liste électorale et site internet d’un candidat aux élections municipales.

Comme quoi une tentative de viol, une agression sexuelle, ce n’est pas si grave.
Plainte contre cet agresseur bordelais, qui a été chargé de mission, dont au service des fonds européens et les graves pressions exercées par Philippe Palat en lien avec celui-ci, lui ayant servi de pantin en loup.

L’arrogance d’agresseurs en politique cache leur conscience et humanité en haillon.

Philippe Palat, journaliste barbouze, escroc et faussaire multiricidiviste, voyou se fichant de plaintes contre lui, dont pour viols aggravés, violences, a tenté de manipuler pour faire campagne auprès d’un politique. 

Philippe Palat @liberterradaily

Les êtres humains victimes de son extrême violence et cruauté pouvaient espérer des nouvelles de la justice !

Il se sait tellement impuni, connaît tant de la cruauté, qu’il oublie, nie la vie qu’il a détruite, ses propres enfants qu’il a traumatisé, abandonné et la vie d’un nouveau né qu’il a mis en danger, la vie d’un enfant opéré à cœur ouvert, la vie d’enfants à qui il a refusé toute once d’amour, jusqu’à leur légitimité lors du décès de leurs grands-parents.

Mais, Chut, silence ! En France, il est l’omerta, l’indifférence et on ne s’intéresse qu’à ce qui fait causer.

Mélenchon s’effondre, LFI plonge, il faudrait alors la fin des partis politiques, d’un système politique, médiatique, judiciaire et culturel tout aussi corrompu et veillant à faire briller les injustices. 

Mettre la vie d’un enfant en danger , la vie de sa mère en danger, la martyriser à coup d’alcool lancé dans ses yeux, ce n’est pas grave, n’a aucune importance. 

Le Point pourrait se souvenir de Philippe Palat, comme de Pierre Botton …

Femme Vie Liberté pour toutes les femmes, ce que le monde des médias oublie comme ils l’ont oublié durant des décennies. Il y a pas une cause à un endroit, mais une cause pour notre humanité.

Nombreux médias n’ont pas de sincérité, il manque ce véritable de l’universalité sans intérêts politiques, cloisonnement par rapport à des réseaux et limitant tout combat, restreignant la lutte contre les violences faites aux femmes. 

Elles sont passées inaperçues, la grande majorité des femmes sont oubliées , effacées encore et encore. Ces femmes et ces hommes qui grandissent dans cette culture de la violence.

Certains seront des frères et d’autres se feront ennemis. Mais à l’origine, il y a la fraternité.

@liberterradaily

Puis, il y aura toujours quelque chose de choquant dans les médias où des prédateurs s’ immiscent, comme en politique. Ils ne forment qu’un pouvoir alimenté par des milliardaires.

Il n’est pas de confiance des uns aux autres et des gens dangereux y seront comme Philippe Palat et ceux et celles les entourant. Ils savaient et ont laissé faire.

Plaintes en 2019, nous sommes en 2023 et rien. Honte à la justice de ce pays.

L’ injustice tue au pays des lumières

La rose éteinte enterrée par la violence au silence des pouvoirs politiques, d’une justice disparue

@liberterradaily

« La rose se teinte du bleu du ciel, sourire à la vie, et les larmes. Juste un peu d’eau pour que la rose ne meurt pas.

Il est ce matin frais, cette douceur de la vie, ce jour qui s’offre à nos yeux, le voir et l’aimer et c’est ainsi que la justice se révèle. Ressentir la paix en soi, dépasser les peurs qu’un homme violent impose en terrorisant et menaçant de manière récurrente la vie de sa compagne en commettant des violences conjugales et sexuelles qui impactent la vie d’une femme dans toutes ses dimensions.

Des violences capables de tuer un être humain, des actes cruels qui détruisent le merveilleux de la vie. La vie qui de toutes ses forces offre toujours son sourire à la rose libérée. « 

La prochaine fois, je ferai du cru comme Annie Ernaux ça plaira à Libération ! Mais, c’était plutôt Philippe Palat qui a été pote avec quelques journalistes. 


Il n’est pas d’écrire à la pointe de la haine pour « venger ma race », comme l’a déclaré Annie Ernaux.

Mais que l’amour soit vainqueur de notre humanité, de rêver d’elle en une unité  fraternelle pour que nos enfants connaissent l’immensité de la liberté que l’être humain n’a pas encore vécu.

Il s’est trompé de chemin, et délaissant l’amour, il a inventé le néant et de lui est née la cruauté. 

Les violences terrifiantes faites aux femmes, l’injustice à travers le monde, cette négation de la moitié du corps de notre humanité, et l’on s’étonne que l’homme a accablé la nature en voulant la dominer. Il n’a pas su respecter et aimer une partie de lui-même, de son propre corps, ni la femme lui ayant donné naissance, pourquoi aurait-il alors connu la vie ?

On ne peut pas aimer ce que l’on ne connaît pas. Pour que tu sois un être cher, il faut de l’amour, il faut t’écouter, ressentir la grâce de nous savoir frères et sœurs, il nous faut l’envie de vivre. Il nous faut l’acceptation du mystère et ne pas savoir comment l’eau et la lumière ont été créés, mais savoir que le vivant nait de cette source infinie à l’univers. La connaissance n’a de valeur que lorsqu’elle élevé la conscience, ne permet plus l’immoralité portant atteinte à notre humanité.

Les violences faites aux femmes perdurent et les roses s’enterrent sans que leur vie soit connue. Menacée, la parole libérée. Apeurée, l’emprise, les prédateurs menacent, terrorisent. Il faudrait mourir couverte par le drap des peines, la souffrance battant le corps après les violences imposées. Survivante et dépasser chaque jour une liberté traumatisée, être déshumanisée par la violence politique, celle de la justice au superbe des juges en nouveau rois qui accablent en noyant les témoignages.

Petite voix au silence sans jamais de chance , te voilà perdue comme au temps où cet homme cruel a violé ta vie, et la laissant morte, il est parti en voyou escroqué et volé, et au fil criminel a charmé le loup qui sans tardé à agresser la même femme.

Au miroir, le reflet de leurs visages, te poussant tous deux avec leur ventre et balançant ton corps comme une poupée de chiffon. Riant tous deux, défoulant leur haine, ce noir et tu perds connaissance sous son poids. Il t’étouffe, te fait mal , se fait de plus en plus lourd, pas un regret, ils sont fiers aux pays des injustices, prennent plaisir à faire souffrir, à voir souffrir.

Ils tiennent leur proie et au dehors sont félicités. Ils chassent comme la guerre éclate prenant la vie qui l’instant d’avant était en paix.

Ils étranglent la joie, mettent en état de choc, pas le temps de sécher les larmes, avancer et donner à l’espoir, réaliser un rêve et ils reviennent, bondissent et tuent.

@liberterradaily
@liberterradaily

Insensibles, ils abandonnent leur proie, son corps à terre et tant pis pour elle, sa tombe est déjà là, une rose dessus et son corps en survivance par la force de vivre.

Mais, eux, prédateurs ont déjà dessiné le cercueil de verre et regardent de temps à autre leur proie s’ évanouir.

Le viol est un crime et une tentative de viol aussi, mais pas en France au vernis des hypocrisies, où dans les cercles de pouvoirs , il est considéré comme un jeu sexuel.

Maltraiter est un acte de puissance, l’impunité une marque de prestige, un système prédateur s’attachant aux violences faites aux femmes en suivant les lignes de l’histoire, des empires, des extrêmes en voleurs de vie, tenant leur richesse de l’esclavage.

Une femme esclave aux temps modernes, prisonnière d’un tyran qui chaque jour est cruel. Le système lâche ses prédateurs en armée terrorisant, frappe les femmes victimes, les survivantes en concevant un système d’impunité.

La justice commet des violences psychologiques en toute impunité en humiliant et en abandonnant des femmes et des enfants. Viols et violences, combien de témoignages enterrés et maintenant une plainte oubliée, puis un jour peut-être elle viendra mettre de nouveau en grande souffrance en provoquant la mémoire traumatique, interdisant toute vie en renaissance.

Justice, elle a pris le nom de celle véritable qui meurt derrière les lourdes portes se refermant sur elle.

La monarchie règne encore et la Gauche s’est assise à table, participe au festin, la politique, cette folie consciente, comme Philippe Palat est conscient et responsable et calcule, prémédite ses actes cruels.

Pas une seconde de vie, même au moment d’un accouchement, il sera violent. « Tu ne vas pas accoucher maintenant ! Fais chier, j’ai un rendez-vous cette après-midi ». Un rendez-vous de truand dans les milieux politiques et médiatiques, entre bars et alcools au personnage jouant les grands alcooliques de comptoir, que l’on croit fou.

Jouant l’homme ivre et une seconde après il ne l’est plus. Il joue, manipule, fait son cinéma, tout est faux, tout est l’incarnation du mensonge chez cet homme sombre, extrêmement méchant.

Les violences faites aux femmes, des hommes jouent avec un être humain. Philippe Palat a détruit une vie pour s’amuser, se faire du bien, satisfaire son bien-être en se pensant tout puissant, décidant de la vie et de la mort d’une femme.

La meute, il se sert de son public qui en roue libre assomme la victime. Il se victimise, et ils alimentent mutuellement leur perversité, lâcheté si facilement, si sûrs et certains de leur impunité.

Les violences faites aux femmes, la guerre, plongent notre humanité dans l’obscurité et c’est par une constitution universelle que l’humain grandira, trouvera sa paix, et en déclarant les violences sexuelles et conjugales comme un crime contre notre humanité. 

Il n’est pas prêt, notre civilisation n’est pas prête. Le bouleversement planétaire, lui n’attend pas, n’a pas la patience d’une mère pour donner vie à cette parole, « N’en perdre aucun ».

Avant de révéler des noms, il a été cette patience, l’espérance car c’est l’amour qui sauve et il a été avant tout de reconnaître sa force de vie.

Le combat pour la liberté, la fraternité ne pourra jamais naître de la haine. Il nait de l’immense chagrin, de son innocence.  Vivre en sincérité, peu importe les blessures, il y aura toujours cette grâce de l’amour sauvant la vie.

Se souvenir de cela pour continuer à planter les roses au jardin, les voir fleurir et s’émerveiller. 

Fédora Hélène

Photo ©️ LiberTerra

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