Le duo Élisabeth Borne-Macron pour le pire : la liberté bat en retraite, la pauvreté gagne du terrain – « La bataille sociale est déclarée ! »

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Plus de 2 millions de manifestants à travers la France, le 31 janvier.

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Élisabeth Borne mesure-t-elle ce qui signifie la réalité de la réforme des retraites ?

Est-ce qu’ Élisabeth Borne sait pourquoi elle impose à des millions de gens ce qu’elle ne vivra jamais, et elle prévoit un avenir retraite pour une jeunesse qui doit en premier construire sa société, affronter les défis majeurs du réchauffement climatique que ces politiques ont contribué à aggraver.

La politique de l’ inutile et aggravant les conditions de vies de femmes, d’ hommes et de ce fait d’enfants qui ont besoin pour grandir de parents heureux.  

Emmanuel Macron soutient la Première ministre, lui ne pouvant gouverner sans les lobbies, milliardaires, et l’appauvrissement de la population. 

C’est de la maltraitance, et c’est par cette domination qu’il tient aussi à gagner un pouvoir international. 

Accepter de maltraiter nos propres vies, c’est le programme politique d’ Emmanuel Macron qui lui ne se couche pas le ventre vide au 10 du mois.

Dans le pays de la bouffe, des gens ont faim. Dans le pays de milliardaires, dont le premier du monde, des enfants sont pauvres, des femmes sont à la rue, des personnes âgées se retrouvent à vivre dans leur voiture, des violences et des violences sont sans cesse envers des populations dans l’indifférence d’une bourgeoisie sectaire de droite ayant gagné argent et pouvoir en héritier de ce que fut les villes où l’esclavage a enrichi les marchands. 

Les héritiers milliardaires le sont par un monde mettant en esclavage les populations pauvres, dans des sociétés qui classent l’ humain en ordre social. Cette civilisation est fondée sur des systèmes de guerre, où pour posséder, il faut détruire.

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Élisabeth Borne et Emmanuel Macron ne devraient pas pouvoir prendre des décisions arbitraires qui engagent la vie de millions de personnes, de toute une jeunesse. 

Les Assemblées où les débats seront clos et Élisabeth Borne a annoncé le non négociable. Elle est d’un autre temps, d’un capitalisme borné proposant au monde une économie suicidaire. 

Ce gouvernement devrait être destitué, Emmanuel Macron face à des élections qu’il n’a jamais gagnées, qu’il n’oublie pas, et trahissant ses propres discours où il se donnait une image plus évoluée. 

La démocratie est en peine, être révoltée de tant d’injustices, d’inégalités, de futurs qu’ils sont en train de foutre en l’air car n’ayant pas le courage de s’ occuper de leur propre vie, de savoir qui il serait sans ce conditionnement politique, économique, culturel de dominer, posséder, de la politique par la folie de vouloir diriger un avenir dans un sens pour des millions d’êtres humains quand il est des futurs possibles !  

Leur système qui aura toujours besoin de populations soumises à la pauvreté pour perdurer. C’est la Terre qui arrêtera ces systèmes politiques obtus, destructeurs.  

Au lieu d’être l’exemple conduisant à un monde plus juste, plus libre, ils veulent être à l’exemple du Japon, où des retraités ont des pensions de misère comme en Roumanie et travaillent pour certains, quand ils le peuvent, jusqu’à plus de 70 ans.

Résister pour la liberté !

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Appauvrir, le verbe définissant la réforme des retraites

La réforme des retraites soulève des problématiques fondamentales car elle évoque la vulnérabilité de la vie, notre devenir, la réalisation de notre existence, la fragilité de tout, ce tout qui vieillit et meurt.

Protéger est le sens d’une société humaine, où vivre ensemble est ce qui la constitue. Un pays, c’est en premier un peuple, des femmes et des hommes qui œuvrent en commun pour survivre et former une communauté extrêmement riche par l’existence de chacun, de ses différences, projets et rêves.

De manière innée tout se place en harmonie et permet à nos communautés de perdurer, de vivre et la condition pour cela soit une réalité, c’est le partage. Aucune société n’est viable sans cette valeur d’entraide, de respect, de porter à l’autre. Recevoir, nous recevons tout de la Terre, et nous pouvons en retour protéger la nature, cultiver le bien-être de l’environnement dans une cohérence rendant possible nos existences.

L’être humain sait grandir vers la paix, sait comprendre la valeur inestimable de la liberté qui a permis sa progression sur Terre, de découvrir sa planète en traversant les continents et d’apprendre à vivre sur Terre. C’est par l’alliance des peuples que tout a commencé, par cette marche des uns vers les autres, par les liens faisant d’une femme, un homme : l’humanité.

Nous avons reçu ce privilège d’être celui qui habite la Terre entière, qui peut dire que sa naissance est exceptionnelle, et l’humain acquiert aussi la connaissance de l’espace. C’est fascinant, et tout ce merveilleux a été entravé par la violence, par ce goût du pouvoir que cultive des êtres humains, qui imposeront une domination. Les empires se bâtissent, nous laissent leurs vestiges, tout de leur grandeur disparue, et l’éphémère surgit et l’humanité revient vers le point zéro.

L’humanité serait-elle condamnée à revenir vers à ce tout meurt, à l’éphémère de sa condition ? La vieillesse prenant l’être, et pouvant être aussi une renaissance par la connaissance de la vie, de sa propre existence, de l’accomplissement de ses rêves. Mais, le chemin de chaque être humain ne peut être que par la liberté et des nations se construisant par le respect des droits humains.

Le contraire définit les inégalités, les racismes, et cette violence dominante : imposer la pauvreté à son propre frère.

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La valeur définit par la rareté, c’est la puissance financière appartenant à quelques élus, l’argent en abondance devient ce qui rare, ce qui achète la liberté, vainc l’éphémère et permet à des hommes de constituer une Olympe en abandonnant leur humanité. Ce prix est à payer pour devenir très riche et faire d’héritiers ces successeurs d’empires de richesses puissantes par la valeur de rareté qu’on leur donne.

Si notre civilisation donnait à l’être humain cette valeur de rareté, de précieux, de vie, jamais il ne pourrait être les systèmes politiques actuels qui sont issus de l’antiquité, et qui perdurent par les guerres, l’esclavage, la dévalorisation de notre humanité par le pouvoir donné à l’argent, ce qui en conséquence met la nature en péril. 

Tout devient quantité négligeable, et n’est utile que pour s’enrichir, acquérir une domination. Les très riches considérés comme des capitaines d’industrie, sont surtout ceux ayant accepté la violence comme système suprême.

Un monde hostile à l’humain, le domine – un système politique violent fait de même et domine des millions d’êtres humains. Tout est une question de mental, de faire des choix et savoir ce qui est une valeur réelle, la plus inestimable. C’est la vie, et chaque vie. Ce qui exclut la volonté d’appauvrir des populations pour les soumettre à un esclavagisme ruinant le droit de vivre, le droit au bonheur,  qui deviennent alors ce qui est rare, et accordé en privilège par l’argent.

L’argent, un moyen d’échange devenu l’arme des oppresseurs contre les populations mises en état de vulnérabilité. Des êtres humains soumis à un ordre social faisant d’eux des ouvriers jusqu’à la mort, survivant sans droit au bien-être. 

Le bonheur conditionné par une culture marchande, de champs de bataille, où survivre devient l’obligation, le combat vain. 

Par le Conseil national de la résistance, la France a souhaité œuvrer pour les droits humains après le terrifiant de deux guerres mondiales qui ont révélé l’atroce dont notre civilisation est capable, ce qu’est l’homme dépourvu d’amour, cruel.

La misère, le froid et la faim subis par les plus pauvres, une France voulant sortir d’un monde bourgeois et politique revêtant des apparences de vertus, d’honorabilité et qui en réalité n’est riche que de la misère qu’il crée, indifférent aux pleurs de souffrances résonnant dans les quartiers abandonnés.

La réforme des retraites touche à la lutte pour un monde plus juste, plus équitable, combattant la pauvreté pour qu’il ne soit plus ces familles où l’on meurt de maladies évitables, de pénibilité, de dureté quotidienne, d’une alimentation misérable, de maison sans chauffage, combattant dès le lever du jour pour survivre.

Une société se levant contre la pauvreté, pour héberger durablement ceux jetés à la rue, pour partager les richesses, pour ne plus sélectionner les êtres humains, pour en faire des compétiteurs et concurrents financiers. Diviser sans cesse notre humanité, diviser les enfants en riches et pauvres, promet l’écroulement de notre humanité.

L’humain s’éteint quand il n’aime pas et la réforme des retraites est ce qui détruit l’avenir des plus vulnérables, laisse la pauvreté grandir, la vieillesse être au tourment dans une continuité de précarité.

Quant à dire qu’elle va assurer la retraite des jeunes, c’est faux. Ce sont des futurs possibles en plein bouleversement climatique, Elisabeth Borne ne peut en aucun cas prédire cet avenir se construisant par l’instable et elle ne peut posséder le droit d’imposer à toute une jeunesse des choix que la jeunesse n’a pas choisi.

Nos sociétés auront considérablement changé d’ici 30 ans, la réforme des retraites ne peut pas se positionner en garantie pour toute une jeunesse, comme Emmanuel Macron le prétend.

Pour le moment, c’est l’aggravation de la pauvreté qui va perdurer, alors que nous avons besoin du vital de la paix. Celle-ci ne se trouve pas dans les programmes économiques du gouvernement.

Le choquant de la réforme est l’aggravation des conditions de vies des plus vulnérables, des femmes précaires. Élisabeth Borne prend le droit d’imposer la précarité pour fin de vie. Une responsabilité que ceux approuvant ne mesurent pas. 

Les plus fragiles subiront des conditions de vie toujours plus éprouvantes, l’humiliation et sont montrés du doigt par un pouvoir politique qui oublie les 100 milliards d’euros de fraude fiscale , selon une estimation du syndicat solidaire établie en 2021.

L’évasion fiscale qui selon le rapport de la commission d’enquête sur l’évasion fiscale et les actifs hors de France, pourrait représenter une perte de 50 milliards d’euros, une estimation plus réelle que celle retenant le montant entre 30 et 36 milliards. La complexité de l’évasion fiscale est au niveau international. C’est aussi une Europe gardant des paradis fiscaux « parmi les plus prospères », tels que le Luxembourg, Monaco, Jersey. L’équité et la transparence ne sont pas à l’ordre du jour.

Posséder des milliards, cela reste à la valeur de rareté et au dominant d’une économie où les jeux sont trichés.

Le gouvernement pointe du doigt les pauvres, quand les très riches sont salués, adulés, et que des politiques ont des retraites en or par l’accumulation de fonctions, par des systèmes politiques qui se protègent des décisions toxiques imposées au peuple. Un pouvoir dirigeant qui s’exclut de la société, se maintient par des privilèges par l’héritage monarchique construisant la République.

Une nouvelle République à naître, où la démocratie serait au centre, où un parti politique ne serait pas le pouvoir, mais le peuple.  Le peuple aimé et respecté, c’est certainement ce qui devrait être le sens d’une civilisation. Agir pour le respect des droits humains en osmose avec la nature, en conscience que nos actes ont un impact considérable sur le vivant, car nous faisons partie de la nature, que nous sommes le vivant.

Nous ne pouvons pas concevoir des réformes mettant en détresse le vivant dans sa globalité. La réforme des retraites inclut un monde du travail où l’humain est considéré comme un outil, celui devenant un bras de la technologie, et ainsi déshumanisé.

La réflexion du sénateur François Patriat défendant la réforme des retraites, disant, « les déménageurs, les couvreurs, les personnes qui travaillent dans les travaux publics sont équipés d’exosquelettes, de matériaux », soulignant que « La pénibilité n’est plus la même et les soins non plus », fait référence à l’industrialisation du monde primant sur l’humain, et exploitant les ressources naturelles jusqu’à détruire la biodiversité. 

Une inconscience absolue qui témoigne de la pensée fabricant l’avenir de celles et ceux prévus pour être les futurs robots-outils dans un capitalisme destructeur. L’humain devenant la machine, et des décideurs politiques approuvent cette œuvre du nouvel esclavagisme.

C’est inconcevable et la liberté est la réelle possibilité de vivre et d’établir la résilience pour permettre à nos enfants, à toute une jeunesse d’être en confiance pour avancer vers leur avenir.

Des jeunes témoignent de leurs inquiétudes, de traumatismes dus aux catastrophes naturelles se multipliant et laissant des populations dans le grand dénuement.

Des politiques ne prenant pas en compte le bouleversement climatique, les migrations climatiques qui seront en augmentation, l’appauvrissement des sols, avancées des zones désertiques provoquées par la culture intensive et l’épuisement de l’eau douce.

Ces crises mondiales demandent à l’humain de fonder une civilisation de paix, de solidarité, où la liberté est l’inspiratrice, celle que nous n’avons encore jamais vécue. Faire confiance au cœur de l’humanité. Être non pas au passé du siècle des lumières, mais ce rayon brillant aujourd’hui, la lumière dessinant l’horizon, et non l’obscurité de lois qui imposent la détresse par l’injustice.

Nos lois sont éphémères, mais leurs conséquences se mesure en siècles à l’échelle de notre humanité. L’esclavage est ce drame que nous appelons aujourd’hui, le trafic humain. La pauvreté, l’aggraver, c’est enclencher un mécanisme économique international néfaste pour la France, mais aussi pour les populations du monde entier.

L’argent en valeur suprême va s’effondrer, et plus nous placerons sa valeur au sommet, plus la chute sera vertigineuse.

Si, nous œuvrons pour le droit de vivre, le droit au bonheur, de vieillir en paix, nous agirons bien au-delà de nos frontières, en refusant à des supra multinationales de soumettre la vie, les ressources naturelles, l’humain à des profits éphémères, virtuels, quand la vie est elle réelle, qu’un enfant pauvre est la réalité, et non un circuit financier obscur, des intérêts mondialistes qui ne subsistent que par le mental.

Changer notre appréciation du monde, le protéger et non le soumettre. Ne pas souhaiter être riche, mais d’être vivant et libre et cela est impossible dans un monde, où les plus vulnérables sont brisés par la dureté des violences économiques et politiques.

Les anciens se sont battus, car ils ont vu leurs parents mourir d’épuisement, leurs frères et sœurs ne pas atteindre l’âge de la retraite, et eux, arriver le dos cassé à 65 ans. L’esprit fatigué, se reposer un peu, loin du bruit des industries, du féroce de la concurrence, ce bouillonnement de production accélérant la révolution climatique.

Le travail est la valeur à repenser, à sortir de ce qui l’a fondé, l’esclavagisme. Les salaires de misère, la précarité, des générations sacrifiées, le gouvernement veut aligner la France sur ce concept international en dualité : l’humanité irrémédiablement séparée entre riches et pauvres. 

Une nouvelle société doit avoir pour valeur l’entraide, le juste, le partage, la recherche de la liberté, l’épanouissement de la paix. Que cela ne soit pas rare, mais abondance. 

Refuser d’aller vers des politiques poussant notre monde au bord du précipice, comme le rappelle inlassablement Antonio Guterres, Chef de l’ONU.

Des gens laissés sur le bas-côté de la route, la loi du plus fort, de l’immoralité de faire fortune, d’économies d’actionnaires, de rentiers, pendant que les pauvres coulent à pic la faim au ventre.

Pourquoi peindre la Terre en enfer, quand elle est le paradis ? 

Puis, une réforme des retraites ouvrant grand la porte à l’extrême droite puisque conçue par les droites extrêmes qui se jouent du mouvement d’extrême droite depuis des décennies, jusqu’à compter 89 députés du RN à l’Assemblée nationale,  comme un bras du RPR, en a été l’ami.

Fédora Hélène

Emmanuel Macron en 2017, « Une gare, c’est un lieu où on croise les gens qui réussissent et les gens qui ne sont rien ».

Les gens qui ne sont rien, ça n’existe pas. Un être humain est une vie.

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