

Terremer au bonheur de la liberté
Prendre soin de soi , de la nature, nous dessinons l’alliance entre nous et la Terre, cette mer.
Prends soin de toi, cette semaine vois le ciel en rose, donne tout de ton cœur, être en paix, ce lien des uns aux autres.
Cette semaine fait une pause pour regarder ce merveilleux, la nature si belle.

Imaginer une journée aux bureaux vides, aux silences de la ville, où tout serait fermé pour ouvrir nos yeux sur la vie, sa liberté.
Lutter contre les systèmes politiques et économiques violents par leur contraire, la paix.
Une journée de fraternité, solidarité, une journée pour dire aux populations pauvres, nous sommes ensemble : Une humanité sur Une Terre.
Une journée de liberté que le peuple choisit, une journée devenant la durée, anéantissant la pauvreté, partager en verbe aimer.

Est-ce que le peuple possède cette possibilité de donner à la liberté par son consentement, ou ne peut-il qu’obéir à des politiques, systèmes en Hydre, jusqu’à la fin où il ne pourra plus vivre en sérénité sous un ciel rose ?

Si la population ne s’arrête pas, ne fait pas le choix de décider, de contrer un gouvernement obtus, l’oreille tendue vers un capitalisme suicidaire, gardant fortes les injustices, aucun des adultes d’aujourd’hui ne pourra regarder un enfant en lui promettant le droit de vivre heureux, le droit de vivre le bonheur de la liberté, une humanité réconciliée.
Si la France a un soleil particulier, si elle veut être autre chose qu’une dictature mondialiste par l’argent, si elle veut dire « nous serons ce phare dans la nuit », ce sera par sa générosité qui fera sa réelle prospérité, par la confiance et le respect donnés à chacun d’entre nous.
La France au clair-obscur, ses artisans de paix, et ceux qui l’écroulent sous le poids d’une culture colonialiste, esclavagiste, bonapartiste, très sexiste, aux injustices mettant à la rue des enfants, des femmes, des femmes retraitées, plus de 10 millions de travailleurs pauvres, plus de 1000 enfants à la rue la nuit, la peur de l’extrême pauvreté pour les plus vulnérables se couchant le ventre vide au 10 du mois.

Cette France à l’obscurité prenant le champagne au 14 juillet en VIP, pendant que le peuple est maintenu derrière des barrières, n’est pas notre ciel de paix, celui qui permet aux enfants de construire leurs futurs possibles, leurs droits humains fondamentaux car la naissance est une liberté pour tous et ne doit plus être attachée à des systèmes destructeurs classant les êtres humains en castes sociales d’argent qui ne sont que la corruption façonnée par une pseudo élite suffisante, méprisante, s’imposant par le mensonge.
Tous Humains Tous Égaux, anéantir la pauvreté, ce sera ce ciel rose, ce ciel bleu, ce ciel d’or, la liberté.

La France belle pourrait-elle vivre la liberté aux reflets de son ciel dans l’eau des mers, des fontaines, de ces villages paisibles aux charmes des rêves coloriant l’espérance, lui donnant le jour, au voile ondulant à la fenêtre, ce léger courant d’air, et ne tremblent plus les innocents, les peines à leurs âmes fragiles. Délivrée, France, loin des naufrages, des politiques se faisant l’ombre, gravant les drames et la vague inonde les chemins de paix, aux tempêtes, au train sifflant le début des guerres, l’histoire et les hommes, la haine fracassant, nos mémoires brisées, traumatisées.
Nos sacrifices et nos pas sur la Terremer, on n’aura pas vécu pour rien s’il est la lumière de cette étoile de paix accompagnant nos vies, celles inconnues, invisibles au secret des cœurs, quand rien n’est oublié de nous, de notre humanité, ce voyage en Terremer.

Nous pourrions fermer les usines, fabriquer de nos mains en partage ce meuble renfermant ce peu de nous, ces lettres, ces photos, cette dernière médaille, cette fleur séchée, une rose, et un cadre, ce berceau, tout s’échappe, il ne reste plus que le grand arbre aux millénaires.
France, habille toi de toujours à la paix à perdre le souffle que s’étirent tes ailes, ce drapeau nouveau flottant à l’air libre. Dessinons les nouveaux rivages, les nouvelles lois. Ne posons plus sur le sol cette couverture et la pauvreté s’endormant, mourant au froid, ce visage, l’injustice.
Celui au miroir des rois, des républiques, des guerres, l’enfant à terre, recouvert de poussière. Pleurer, d’être né sur une terre bleutée au sang des malheureux, ne plus croire que la vie est belle, et l’illusion remplace la vérité. Relever des haines, hisser l’amour et prononcer la vie est merveilleuse à la rosée de chaque matin.

Voir la mer en rose, ce ciel au bonheur et l’orage l’accueillir sans crainte. Penser notre humanité réconciliée, les hommes frères, est-il loin ce temps ? Des champs de blé s’entremêlant à la lumière du soleil, dansant doucement, virevoltant au creux de nos mains. Quitter les cités bruyantes fortes d’inégalités, bâtir un peu, beaucoup de maisons claires à l’orée des forêts, des jardins partagés, des routes pavées d’abondance, sans quartiers bourgeois ou populaires, juste pour nous en harmonie, cet équilibre perdu, la Terremer en détresse.
Ces futurs possibles sont à nous, aux peuples, à leur liberté, aux enfants réunis, sans pauvres, ni riches, sans division ni bataille, et nous porterons cette chance pour les enfants d’Ukraine tombés, pour ceux d’Afghanistan, du Yémen, de Syrie, de Turquie aux tremblements de terre, aux enfants du sahel, enfants de lumière.

Elle, ma France, aux enfants à la rue, aux enfants traumatisés, ces pères de violences, ces femmes et ces hommes brisant la vie innocente dans les palais aux pouvoirs, mais nous savons que l’or n’est qu’à nos cœurs, de vague en vague sur la Terremer, éclairant la nuit, ils nous disent tout bas, écoute-moi, l’amour en premier.

De fil en aiguille, je fais coudre cette robe de baptême, l’humanité et la Terremer, l’enfant et sa mère, la paix et la liberté, la vie et l’avenir. La vie est ce temps, la lumière ayant un temps d’avance. Elle ne peut être que si l’avenir l’attend déjà, est créé avant elle, cet éternel refuge. Nous sommes avant de naître, ce monde s’unissant, précédé. La vie n’aura toujours qu’un avenir, cette promesse est notre espérance, à nous de lui donner le bonheur pour matière, existence.

Le futur de l’univers existe déjà, c’est ainsi que nous pouvons désirer nous y rendre un jour, y vivre dans cet absolu de nos vies incertaines qui peuvent s’échapper comme ces pétales s’envolant dans un ciel rose, bleu et d’or. Mais ce ciel conçu est dans l’infini temps. À nous d’y penser notre vie, de lui donner le verbe aimer.
Fédora Hélène

Copyright ©️ LiberTerra 2023 – Tous droits réservés – Tous droits de production et de diffusion réservés