Paix en peine – Des enfants d’Ukraine blessés, tués par l’atroce de la guerre

photo ©️ LiberTerra

 Russie – Guerre contre l’ Ukraine

Ukraine – Samedi 4 mars, dimanche 5 mars dès tôt ce matin, vers 07 heures, les sirènes retentissent dans plusieurs régions, appelant la population à gagner les refuges. 

Des civils ont été blessés et tués par des attaques sur des zones urbaines, à alerté Ukraine Now. Ce dimanche midi, une attaque au mortier a eu lieu et touchant le village de Poniativka dans la communauté de Dar’iv. Un immeuble résidentiel a été touché et selon les premières informations, trois civils ont été tués.

D’ autres attaques ont eu lieu et suite à une attaque à la roquette contre un immeuble résidentiel à Zaporizhzhia, 13 civils ont été tués.

En 2015, la ville de Maryinka comptait près de 10 000 habitants. L’ armée russe a publié une photo de la ville se situant dans la région du Donetsk après que la guerre ait détruit sa prospérité, laissant les ruines pour mémoire, une population d’ Ukraine traumatisée par ce drame terrible de l’attaque de l’ Ukraine par la Russie.

L’ atroce de la guerre

@liberterradaily

Selon la plate-forme Children of war – Depuis le début du conflit en Ukraine jusqu’au 5 mars 2023 –

. 462 enfants ont été tués

. 931 enfants ont été blessés

Photo @liberterradaily

La paix, une force !

Imaginez marcher pour elle, tous ensemble, en une réconciliation, pour avancer vers cette chance, celle de savoir aimer.

La guerre est une souffrance pour les femmes, les enfants, pour tous, ainsi que pour la nature qui en porte les blessures.

Puis, cet inconcevable, les profiteurs de guerre, ce profit si humainement immoral. 

Les plus riches s’enrichissent alors que la guerre traumatise, s’ancre dans nos mémoires, que l’eau des larmes forge la colère de la Terre de voir tout de sa générosité trahie par des oppresseurs, la cupidité, le toxique de la géopolitique. 

Des enfants dessinent par l’espérance l’arbre de la liberté. Ces enfants du monde qui montrent le chemin. 

Les enfants, filles d’Iran, d’Afghanistan, les enfants de cette étoile Yémen, d’ Éthiopie, les enfants d’Europe, d’ Afrique, tous ne font qu’un vœu, vivre, être sur Terre pour vivre.

Laisser libre ce droit humain au bonheur pour qu’il soit ce droit de la Terre de vivre. Quel cœur pourrait battre sans les éléments vivants de la nature ? La guerre étouffe l’un et l’autre. 

Les peuples devraient prendre le temps de s’arrêter, de marcher ensemble pour donner aux enfants ce droit de vivre, ce droit acquis par la naissance. 

Ne pas s’arrêter de produire toujours plus dans cet absurde qu’il n’en restera que du sable. 

Il est temps de vivre autre chose, le temps de la conscience, du consentement à la liberté.  

L’art politique est celui de la manipulation. Celui qui conduit notre monde à ce qui le détruit. Cette intelligence des mots manipulés, de ceux clés et parasites, faisant de toutes les manières le mensonge, c’est destructeur. 

Les systèmes politiques et économiques portent en eux cet effondrement qui les a bâtis. Ils vendent et pour vendre la vie, il ne faut pas l’aimer, mais savoir la manipuler.

La propagande, la manipulation des émotions, et au final que restera-t-il ? Une Terre aride. 

Aujourd’hui, vivre en sincérité, est certainement ce qui est le plus difficile à conquérir pour notre humanité. Cette dimension fait partie de la liberté. Celle qui n’est pas nos codes, mais celle qui permet à la nature d’être en renaissance perpétuelle. L’humain ne l’a encore jamais vécue. 

photo ©️ LiberTerra

Russie – Guerre en Ukraine

Poutine se dresse en « sauveur » contre l’Occident dans cette dualité permanente que s’est imposée notre humanité. 

En réalité, il n’y a pas séparé l’Occident et l’Orient, il y a une civilisation et celle-ci s’est trompée de chemin en créant sa propre division. 

Nous aurions pu espérer que les progrès scientifiques nous permettant de découvrir notre environnement, la Terre et l’univers, seraient par une solidarité internationale, une paix nouvelle par notre bien commun, l’esprit humain, le savoir. Mais, là encore, c’est la dualité qui domine. 

On se souvient des propos tenus par la Russie envers l’ISS, les pressions extrêmes, comme les menaces de guerre nucléaire, alors que la guerre impose une souffrance aux femmes et aux enfants, aux personnes vulnérables en Ukraine.

Une guerre faisant partie de ce bouleversement planétaire se traduisant par les crises mondiales s’aggravant comme la sécheresse, puisque la crise climatique est celle de l’eau. 

Tout l’équilibre de la Terre est menacé, et quand il est le Sommet pour la protection des forêts, on ne peut le séparer de l’unité de la Terre. Sans eau tout sera vain et la révolution climatique surprend par son mouvement accéléré qui se révèle dévastateur. 

Par ce mouvement, il peut être la crainte d’une guerre amplifiée, devenant globale dans un effondrement civilisationnel. 

Puis, il faut revenir au fait que les politiques sont des êtres humains, que certains d’entre eux sont des personnes traumatisées, et que parfois il est ceux emprisonnés dans leurs traumatismes et n’exprimant que la négation qu’ils imposent aux autres.

Un monde, une humanité traumatisés par sa division quand le ciel et la Terre sont indivisibles. La Terre ne peut vivre sans la dimension de l’univers, notre humanité ne peut vivre sans sa dimension d’universalité.

Nous voyons une chose émanant également des crises majeures, l’injustice. 

Ce déséquilibre toxique est provoqué par les plus riches soutenus par des politiques capitalistes dans une folie de croissance économique. Elle se traduit par la guerre de la faim qui risque de devenir durable par la crise de l’eau. 

L’humanité au chaos, ce que nous n’avons jamais vécu, malgré l’atroce des guerres passées.

Pour la première fois de notre humanité, la Terre va diriger notre avenir, reprendre la main, être ce qui nous dépasse. Nous avons domestiqué la Terre, oubliant que notre rôle, c’est d’être le protecteur de la nature. Posséder pour protéger et non pour exploiter les ressources naturelles en leur donnant une valeur d’argent, de profits, de l’homme créateur de productions, de consommations par orgueil et cupidité. 

L’homme ne peut créer la vie, mais il la transmet. Nous sommes ces transmetteurs de vie et nous avons par une civilisation guerrière et marchande transmis ce qui détruit. 

Alors, c’est assez simple, il est urgent d’agir, et cela est : cesser de transmettre ce qui détruit.

Ce qui impose un effondrement économique, et la paix est existante pour éviter une catastrophe humanitaire par ce choc civilisationnel, ce choc de l’énergie, et mental, car nous avons été éduqués par ces siècles d’une humanité se constituant en empire. 

Tout le bon de nous, tout ce soleil de l’humanité doit vivre, une lumière jaillissant de la Terre. Le contraire serait un volcan éclatant, les souffrances saisissant le monde. 

Nous avons inventé les langages de la paix, les écritures aux mille cultures. Nous avons inventé le son de notre mémoire, de nos émotions, de notre amour, la musique, les arts. Nous pouvons puiser au cœur de nous-même, du précieux de nos connaissances, de nos imaginations, de nos rêves pour créer une civilisation s’épanouissant par cette énergie de la liberté.

Cet autre que la violence, la paix peut conquérir notre humanité, qu’elle puisse vivre en universalité, sans pauvreté, sans injustices, ni haine.

Ce possible voit le jour déjà dans nos yeux, témoins de la beauté de la Terre. Les sensations traversant tous les handicaps pour venir se poser au cœur, enseigner à notre être le savoir essentiel, la liberté.

Plus aucun oiseau ne tombera de ce ciel voilé par ce brouillard, les polluants éternels. Il faut croire en l’eau de pluie nouvelle, à la force de l’immensité, à ce renouvellement, cet extraordinaire. Laissons la Terre vivre, sans intervenir. Ne rien faire et regarder la liberté déployer ses ailes, grandir sous nos yeux.

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L’humain devenant l’enfant de la Terre et apprenant d’elle.

La guerre au passé des peines, nous garderons les prières nous rappelant ce qu’il est de ne plus être, cette civilisation d’hier, séparant le pain, et les pauvres mourant de faim. Les miettes aux mains des plus vulnérables, ce sont ces graines mourant dans la terre assoiffée. La poussière en récolte, les puissants ont offert ce calvaire. Si tu ne donnes pas, la terre ne donne pas, et pas à pas les déserts seront aux portes des plus riches. Ils auront faim et soif, mais il sera ce trop tard.

Et, le pire sous leurs yeux, ces peuples submergés par la misère, les territoires noyés à la montée de la mer, les incendies dévastateurs, les rivières asséchées, les oiseaux tombés, les papillons ne flirtant plus au printemps. Les enfants attendant la pluie fraîche et apaisante, et la tempête s’éloignant pour que se pose la paix en nouveau jour. Retrouver la Terre libérée.

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Le temps de s’arrêter

Il est ce temps arrivé de nous poser à notre tour, de faire de nos corps les chemins de paix, de renoncer aux profits, chimères de pouvoir, abandonner les mensonges, dénis et pierres au cœur. Il est temps de marcher ensemble sans s’arrêter jusqu’à ce que nous ayons tracé le sillon dans ces champs de blé renaissant, resplendissants.

L’État ne sauvera pas, il tente de ralentir sa chute. La fin des systèmes politiques et économiques est à leur commencement. La pauvreté dressée en arme: épuiser, sur traumatiser les plus vulnérables, une administration à la violence politique, des ordres donnés, de l’humain en matricule dans la matrice. L’humain normé, productif, apprenant à se maltraiter, à se dire qu’il répond à ce que le système attend de lui. Enchaîné, l’humain esclave de politiques traumatisantes, et les politiques eux-mêmes traumatisés, ils ont peur, se rappellent leur humanité, qu’ils sont des êtres humains.

Les oppresseurs et leurs armes n’arrêteront pas un bouleversement planétaire, il n’y a pas d’armement pour lutter contre cet ennemi, les catastrophes naturelles que les activités humaines, la cupidité ont provoqué. Les industries d’armement ne feront rien d’autre que d’enclencher cette continuité de la guerre, quand notre humanité à en premier besoin de poser les armes.

La Russie attaquant l’Ukraine met en péril la paix mondiale. Il serait que Vladimir Poutine puisse céder à la paix, mettre fin à l’absurde, à cette volonté d’empire, de conflit entre l’Occident et l’Orient. Renverser les pôles de pouvoir, penser grandir en détruisant, en saccageant des vies innocentes, ce n’est qu’imposer au monde le terrifiant.

Des femmes et des enfants, victimes des pires violences, des violences sans fin, des traumatismes enfermant la vie, et lui laissant les larmes de souffrance pour mémoire.

Les violences sexuelles subies par des femmes en Ukraine lors du conflit armé, ce sont des viols, nudité forcée, tortures sexuelles, a alerté l’ONU. Selon Ukraine Now, 171 cas de violences sexuelles commises par l’occupant ont été recensés. 

Les violences sexuelles sont un crime contre notre humanité et les pays laissant cette arme destructrice, le viol, être une culture du viol, et les agresseurs impunis par un système élisant la perversité des lois contre des êtres humains car elles sont des filles, des femmes, ne pourront être la paix à sa réelle dimension, l’ universalité.  

La politique effondre la vie

Des pays sont riches, et a été confondu la valeur de l’argent et celle de la paix. La France, est ce pays riche et non un pays de paix quand les violences sexuelles sont définies par une culture très sexiste faisant la culture du viol, quand ces tortures sexuelles sont un crime contre l’humanité.  Le viol est un crime. 

La Russie a basculé par les pouvoirs politiques dominant tout, faisant des choix pour des millions de personnes, et tuant les chances de survivance pour notre humanité.

Il est contre l’Ukraine, des bombardements, des attaques massives, des zones urbaines victimes du feu de missiles, des immeubles écroulés, des civils blessés, tués. Ce crime contre l’humanité, la guerre.

« Format Normandie » pour la paix, ce pont entre les rives, les négociations, et l’espoir de la désescalade. Puis, il est l’extrême de la géopolitique, les corruptions, les secrets, Traités de paix brisés, tout à la complexité extrême quand des êtres humains se font ennemis, et quittent l’alliance, la fraternité. La Russie aurait dû être cette sœur, et aujourd’hui, l’histoire est marquée par l’irrémédiable, la guerre.

Ce printemps pourrait être l’aggravation de la guerre en Ukraine. Cet alarmant qui pourrait dépasser les frontières et la liberté pleure. Le ciel au rouge feu, quand on rêve au bleu des jours heureux. La paix à quel prix, cet incompréhensible de la gagner par les armes. Combattre, résister pour offrir aux enfants la liberté.

Fermer les yeux un instant, effacer le cauchemar et rendre à l’Ukraine, l’avant. Ces longs chemins où il n’aurait été que l’enfant sautillant pour aller à l’école, souriant et disant ce simple « bonjour » aux amis -es sans qu’aucun d’eux ne disparaissent des dessins ornant les murs, ces arc-en-ciel de bleu et de jaune, ces étoiles d’espérance flottant dans l’air, ces couloirs où il étaient les enfants en rang, deux par deux, les fous-rire, ce sage de la joie. 

Fédora Hélène

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Ukraine – Paix au cœur

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