
Emmanuel Macron – Est-il un nouveau roi à Versailles ?
Emmanuel Macron joue dans la pièce « Un roi à Versailles » – Discours de l’effondrement de la nature entre milliardaires, Elon Musk interprétant le personnage de Mars. Un jour l’ IA colonisera la planète rouge pour la teindre de bleu car la planète bleue sera devenue rouge.
Emmanuel Macron a souhaité parler durant le journal télévisé de 20 heures sur TF1 lundi 15 mai – ce qui brise la paix, la liberté, surtraumatise, à la devise de « Quoi qu’il en coûte », en ne faisant qu’ accélérer un bouleversement climatique, un verbe qu’il met en valeur et donnant une force à une économie capitaliste et destructrice, n’a qu’un mot à dire : au revoir.
Qu’il emmène sa cour et sa monarchie, le bonapartisme l’attend à table au milieu de riches flattant ce qui coule la vie.
Emmanuel Macron, c’est l’appauvrissement de familles, de personnes vulnérables, de démunis
La croissance économique est un effondrement civilisationnel. Les guerres faites à la nature sont à l’égard de l’humanité. La réindustrialisation accélérée est absurde.
Le devoir de tous est de faire les efforts nécessaires pour donner en héritage une Terre viable aux enfants.
Il est urgent de profondément changer, de dévaloriser l’argent et de donner priorité aux vivants.
La réindustrialisation verte, c’est comme l’avion à pédale ça n’existe pas et Emmanuel Macron qui a dépensé 4, 4 millions d’euros de voyage en 2021, devrait le savoir.
Un effondrement économique est inévitable car les politiques refusent de redevenir de simples êtres humains et de reconnaître qu’ils n’ont aucun pouvoir face à un bouleversement planétaire, comme face à bientôt 10 milliards d’êtres humains qui n’auront que la générosité de la Terre pour survivre, et qu’il est de penser vivre ensemble avec une devise, Tous Humains Tous Égaux pour aller sur un chemin : Aimer pour partager, réaliser l’ universalité de la paix. Ce qui pour l’instant est une utopie puisque notre civilisation est celle des guerres.
Le temps, on n’en a plus. Les discours et réformes portés par Emmanuel Macron sont des secondes perdues.
Emmanuel Macron qui peut se présenter une 3ème fois et qui sera réélu. Ça fait plus de 20 ans que l’extrême droite est au second tour. Plus de 20 ans de manipulations électoralistes au top.
Puis, il est choquant de voir Emmanuel recevoir M. Zelenski qui lui a conscience de la souffrance du peuple d’ Ukraine, de femmes et d’enfants. M. Macron met la paix en vrac dans son pays entouré d’un gouvernement où ils jouent à celui qui sera le pire entre les lignes salaces de Bruno Le Maire, Marlène Schiappa dans Play-boy, Gérald Darmanin et ses manipulations « écoterroristes », le ministre de l’écologie qui est une blague, le ministre de la santé qui joue le lapin de conte » J’suis en retard, en retard » et qui répète la conservatrice répression contre le cannabis, … et Élisabeth Borne qui trouve Marine le Pen, bonne copine !
Le monde industreil – La guerre de l’absurde contre la nature
« Moi, j’appelle à la pause réglementaire européenne », a déclaré Emmanuel Macron. Mettre en pause pour « accélérer » la réindustrialisation a déclaré Emmanuel Macron le 11 mai à l’Élysée devant des représentants de l’industrie française, des élus et associations lors de la présentation de son plan « accélérer notre réindustrialisation ».
Un événement qui s’inscrit dans la politique du gouvernement ayant initié France Relance et France 2030 en mettant en avant les emplois qui seront créés, soit 90 000 emplois industriels et l’implantation de près de 300 nouvelles usines réparties sur le territoire.
Dans un style répétitif, Emmanuel Macron insiste sur le verbe « accélérer » qu’il avait déjà mis en scène dans ses discours en accentuant aujourd’hui sur la « reconquête ». Emmanuel Macron se positionne sur une économie passée qui a causé les dégâts écologiques qui sont en valeur exponentielle, mais il ajoute « verte », tout en demandant de mettre pause sur le vert.
Accélérer signifie : 10 millions d’hectares de forêts que l’on perd chaque année. Ce sont des espaces forestiers victimes d’incendies intenses comme se déroulant en ce mois de mai au Canada et en Russie.
Puis, Emmanuel Macron fait tout un discours pour mettre en avant les gains financiers, les trente glorieuses revenant et produisant mais en vert. Le décor, l’illusion, et la nature meurt à petit feu.
Le bleu à nos yeux, devons-nous dire adieu à notre Terre, laisser nos corps à terre, être la mécanique de la perversité politique, former une pièce de la machine, l’emploi aux promesses d’avenir à l’aride, aux déserts avançant, les murs se dressent contre la liberté.
Devons-nous être l’errance, l’absurde, la matière modelée par des milliardaires se pressant au château des rois emprisonnant leur cour, faisant de l’artiste le valet, du peuple celui tirant la lourde roue du système, celui soumis, courbé, à l’espoir trahi par les fausses promesses politiques.
Devons-nous dire à nos enfants, « demain, sera l’adieu de la liberté ». Devons-nous attendre l’effondrement pour établir le partage. Devons-nous demander la permission aux politiques pour instaurer la générosité, le partage, la gratuité, pour révolutionner nos sociétés. Devons-nous éteindre le verbe aimer par peur, l’emprise du monde des pouvoirs.
Emmanuel Macron se fait un des mécanismes du système pour combler son envie de pouvoir, pensant posséder une puissance qu’aucun être humain ne peut acquérir, sauf à accepter pour obtenir ce Saint graal de la croissance économique, la violence de l’industrie, son monde à la toxicité de la géopolitique, de l’espionnage, de la férocité de la concurrence, ce monde de guerre, de l’humain inventant ses chaînes. La grandeur de l’acier se croyant supérieur au vivant et ne prenant pas la mesure du sacré de la vie pour vouloir la soumettre à l’humain créant sa folie.
Il n’y aura jamais plus grand navire que la Terre. Elle est notre île, cette mer d’accueil, fertile et la vie lui a donné sa confiance, s’y est établie, y grandit, s’y améliore faisant du feu dévastateur ce qui s’apaise, faisant de l’océan, la vague se retirant pour que s’épanouissent nos rivages.
L’industrie a inversé le sens en oubliant qu’elle n’était pas maître et ne peut exister que par les ressources de la Terre. Aujourd’hui, la science nous a permis de conforter le fait que l’humain est le protecteur de la nature et que lorsqu’il épuise la nature pour son propre intérêt fondant la cupidité, l’idée de pouvoir domestiquant toute la planète, dominant le monde végétal et animal, et devenant ce barbare envers ses semblables par l’esclavagisme, le racisme, les violences faites aux femmes, et aux enfants, soumettant invariablement tout, il devient cette part de lui-même séparé de l’amour et il se fond en son propre ennemi.
L’humain en statue d’acier au cœur de pierre choisissant le chant de la mort et baptisant l’avenir par lui, prive la vie de son sens, la liberté, ne mettant en scène que ce qui détruit.
Emmanuel Macron ne va pas produire des batteries à l’infini, et d’ici 10 ans, cette nouvelle pollution sera toujours plus irrémédiable. De l’emploi qui tient les hommes prisonniers de la machine, ils bâtissent leur enfer. Plus que jamais, nous pourrons comprendre l’immensité de la liberté, son bien précieux commun à notre humanité. Il sera de tenir le sacré de la vie au cœur de nos sociétés quand notre humanité est dans l’impasse par le politique, les systèmes créant des milliardaires, l’inutile suprême de l’argent.
La France, c’est « renforcer notre attractivité » selon Emmanuel Macron. La France, c’est un peuple, des jeunes qui ont besoin d’un avenir radieux, des mères qui ont besoin pour vivre du bonheur de la liberté comblant leurs enfants, et non de promesses de misère, l’espérance perdant son soleil. Chaque rayon de son étoile mourant un à un, la lumière en pleurs à l’eau de nos yeux.

« Nous sommes sur Terre pour vivre », ce difficile aujourd’hui quand chante, survivre.

Emmanuel Macron est à la violence politique, « accompagner, anticiper les mutations de territoire », c’est soumettre les populations à l’ordre politique, aux réformes accélérant la folie du monde, coupant les racines vertes et puissantes des arbres. Mettre en ordre les nouveaux soldats de l’industrie, de systèmes qui seront toujours plus dépendants de l’IA en autonomie. Emmanuel Macron ne dit pas que sa volonté d’« accélérer » tient en la robotique IA contrôlant toujours plus l’environnement humain.
La justice abandonnée pour laisser place au « Quoi qu’il en coûte », cette phrase de violences et nos enfants seront demain la main d’œuvre de l’industrie, de l’acharnement de politiques maltraitantes et des dirigeants acquérant leur puissance internationale en soumettant les populations. La Chine s’impose par sa capacité à soumettre la liberté, comme le colonialisme l’a soumise. Elle renouvelle envers elle-même ce qu’elle a subi en pensant tenir sa revanche et renverser le cycle des puissances, donnant à l’Orient sa suprématie sur l’Occident. Devenir le point culminant de l’Occident en attirant sa volonté de puissance économique pour le détruire en finalité.
La croissance économique, c’est l’effondrement économique en choc civilisationnel. La Russie unie à la Chine par la géographie, par les millénaires d’histoire des migrations, des peuples se rencontrant, des alliances, des guerres façonnant le visage de notre humanité, les traits de sa peine, et des unions. L’immensité des territoires de la Russie, les forêts boréales, le bien commun, et la guerre absurde rompant la fraternité, alors que notre monde dépend des ressources naturelles de la Russie, comme elle dépend des richesses de la nature réparties à travers la planète.
La France dépendante de la Russie par le nucléaire, comme le monde ne pourra établir la conquête de l’espace sans la Chine et la Russie. La Russie attaquant l’Ukraine, c’est une blessure pour notre humanité, et le monde politique va s’articuler autour, prenant conscience que la plaie des guerres ne se cicatrise pas dans une civilisation les concevant.
La pauvreté en futur des peuples
L’élitisme donnant aux riches héritiers leur festin et les populations modestes à pauvres contraintes, leurs rêves brisés par la volonté d’oppresseurs pensant tenir le monde entre leurs mains par la technologie, la capacité de manipulation. La norme, les codes devenant plus importants que l’être, que la sincérité de vivre, et Élisabeth Borne se tourne vers Marine le Pen respectant les « codes », selon la Première ministre, dans la tradition d’élections présidentielles aux larges manipulations conduisent l’extrême droite au second tour depuis 20 ans.
L’extrême droite montante, la posture, avoir les codes, est ce qui prime dans un monde politique artificiel où l’État séduit des milliardaires comme Elon Musk présent à Versailles pour aller toujours plus vers l’extrême capitalisme qui en finalité annule l’État. Quand on ne peut détruire la machine, on l’a pourri de l’intérieur.
Emmanuel Macron serait-il celui annulant l’État représentant le bien commun, pour celui autoritaire, celui faisant de nos sociétés l’homme surveillant l’homme par la puissance de l’IA, l’État en matrice du système à l’immoralité de placer l’humanité non comme l’objectif mais comme étant le moyen d’atteindre une forme suprême du pouvoir politique bâti sur le concept de l’homme supérieur à toute chose, centre de l’univers, celui choisi par Dieu pour dominer la vie elle-même.
La conscience n’étant plus la fraternité, la vie, le sens de vivre, mais uniquement de survivre dans un monde que nous avons rendu hostile en le privant de ses veines, la liberté. Celle circulant au-delà des montagnes, des plus hauts sommets, unissant la profondeur des océans à celle du ciel, créant cet espace de vie inégalé, surprenant et se faisant le mystère constant.
Ce mystère de vivre et la Terre en détresse, dominer par l’homme se voulant surpuissant, l’élu, et accablant ses semblables en les soumettant au salaire pour droit de survivre. Les peuples soumis au salaire pour obtenir le droit de s’alimenter, construisent l’empire des industries, ces lignes de fer qui forment les routes traversées par ce navire conquérant, le mondialisme, moteur des systèmes et la géopolitique ne serait que le maintien de la valeur de la guerre.
L’avènement de l’IA en force politique pour définir à quelle puissance appartiendra l’espace dans le contexte de la guerre en Ukraine, marquant aussi la guerre pour l’énergie nucléaire qui demain sera à un risque très élevé au niveau mondial. La gravité est à son extrême et pourrait aboutir à une violence intense des systèmes bloquant alors tout espoir pour protéger la nature.
Les investissements sont au niveau international au réarmement, au génie nucléaire en nouveau dieu dans une société qui va atteindre son point culminant d’utilisation nucléaire civil et militaire durant la décennie.
Les extrêmes droites correspondent au mental de surpuissance, de domination, de l’homme parfait par la négation de la fraternité, ne peuvent que s’étendre dans ce temps politique s’acharnant à penser par la guerre, par la volonté de posséder. La violence politique fondée par la haine de la liberté, de la multitude des cultures, de la richesse plurielle de notre humanité.
Les passeurs de mémoire, les résistants ayant vécu l’atroce, l’horreur nazie ne sont plus là pour témoigner. Leur voix, ce langage vivant, la sensibilité des mots, le regard ému, la force de la vérité, des yeux se teintant de l’eau des larmes, le visage exprimant l’histoire, la vie en dialogue, nous ressentons, nous vivons le témoignage, cette essentielle transmission n’est plus.
Nous devons à notre tour par la mémoire être ceux transmettant par le souvenir des regards, du cœur, des émotions, de l’amour unissant le témoin et celui écoutant, recevant un témoignage de la voix de celui ayant vécu. Nous devons aujourd’hui être la parole des survivants, être à notre tour ces passeurs de mémoire, redonner vie au témoignage, apprendre toujours de ceux nous ayant confié leurs mots, la matière de la souffrance qu’ils ont traversée, la valeur de liberté.
Aujourd’hui, notre monde est en résistance, la nature établit une nouvelle équation de vie pour créer un nouvel équilibre et poursuivre sa route, son évolution, sauver la vie. L’être humain n’est pas l’essentiel pour la Terre, mais la Terre est essentielle pour nous. Pas de planète bleue, pas de vie.
Les politiques en place appartiennent au système, se sont donnés à lui, ne fabriquent que l’injuste, tiennent leurs discours du mensonge, des lois tuant les promesses de vie, et la liberté derrière les barbelés, les caméras en robotiques IA. La réforme des retraites est cet obsolète quand il est de protéger l’eau, espérer ne pas mourir assoiffés quand les codes sont napoléoniens, ceux à réduire en poussière avant qu’elle ne soit celle de nos récoltes dans ce désert qui avance aux portes des villes, l’eau manquant.
La monarchie flattant Emmanuel Macron, cet esprit de l’homme au-dessus des autres et possédant un sens divin, celui choisi , le président devient le prince régnant, décidant et qualifié de « méprisant », quand pour lui , il exerce un pouvoir fidèle à l’histoire, à la puissance industrielle, du chef menant les guerres, et les hommes outils avançant pour faire de leur pays ce puissant paramètre ciblant 2030 où sera le point culminant des guerres géopolitiques par la volonté de conquérir l’espace et de devoir choisi qui dominera ce nouvel océan que l’on voudra rattacher à la Terre en y instaurant les lois ancestrales du capitalisme pour architecture politique et matière à l’espace interprété par notre civilisation.
L’espace, le nouveau continent de la Terre
La Charte des Nations Unies devra s’émanciper à un nouveau territoire, l’espace. C’est ce que des puissances politiques peuvent penser, vouloir imposer sans que les peuples soient consultés. Aujourd’hui l’ouvrier construit un monde qui ne lui appartient pas, et dont ces enfants subiront les lois et seront à leur tour soumis sans pouvoir y accéder.
La compréhension de notre civilisation sera réservée à une élite et l’ignorance dominera à nouveau les populations, ce qui permettra aux puissances politiques de diriger par cette confiscation des libertés. Les universités, grandes écoles n’étant pas l’expression du savoir en bien commun, mais réservées et délivrées qu’à une minorité qui est elle-même conditionnée par l’illusion et pensant acquérir une connaissance qui n’est que virtuelle, tant l’univers possédant le futur devance irrémédiablement nos connaissances, comme il peut les annuler par son évolution en mouvement perpétuel dans un espace-temps que nous ne pouvons absolument pas maîtriser. L’accélération du réchauffement climatique est aussi par cette donnée appartenant à l’espace qui nous domine.
Politique – l’illusion du pouvoir
Les politiques n’ont pas de pouvoir, mais créent l’illusion de le posséder. La manipulation, et notre civilisation s’identifie comme celle de l’irréelle. En déposant les armes, en condamnant la guerre, en nous défaisant du système des industries tel que conçu, nous pourrions entrevoir la réalité et cesser de détruire. Les actes politiques risquent de finir par déclencher un risque pour notre humanité après avoir enclenché l’extinction d’espèces animales et végétales.
Le pouvoir politique est un mirage, une cité grandissante et s’évanouissant, ne laissant que les traces de ses vestiges et mystères nous apprenant que le temps nous échappe, que notre propre humanité est l’innocence, et donnant à chaque civilisation le droit de créer sa propre cité. La mémoire de notre humanité est à notre inconscient, à notre corps et nous naissons innocents, devant apprendre, recevoir, imaginer, créer notre monde.
L’antiquité persiste et construit toujours notre avenir. Les temps disparus se font présents, ont tissé l’architecture de notre mémoire. Ils fascinent et sont par l’écriture, les langues, cet héritage profondément ancré, indissociable de notre avenir. L’humanité pouvant se séparer de la naissance de notre histoire, est celle de l’IA en équilibrant notre pensée sur le langage exclusif de la mathématique créant un nouveau langage, équilibrant une nouvelle équation échappant à notre mémoire, aux possibilités de transmission. C’est l’élimination d’un héritage commun qui pourait causer la perte de l’humanité. Celle devenant une mémoire mathématique, numérique séparée du corps humain, de notre humanité et dominée par une énergie nucléaire faisant vivre cet au-delà de nous, l’IA.
L’IA, cette nouvelle énergie à l’ambition de la conquête de l’ espace en devenir d’être un territoire indépendant de la Terre et défini par l’illusion comme étant le continent en bien commun à notre humanité, et dont les limites ne pourront être déterminées. Si des frontières sont établies dans l’espace, elles sont déterminées par l’absurde de puissances se faisant première par la dimension militaire. La volonté de posséder, comme nous l’avons fait sur Terre. L’idée de frontières qui se renforce par la montée des extrêmes droites établissant une guerre contre les migrations.
L’humanité est migrante, sa naissance même est par son mouvement constant, comme l’est le corps humain, en mouvement. Les réformes contre l’immigration sont aberrantes, et ne favorisent qu’une explosion des conflits, des injustices, une accélération du déséquilibre, de l’absurde, ce que deviennent nos sociétés. Vouloir arrêter les vagues migratoires, c’est comme penser stopper la montée du niveau de la mer.
Des territoires sont appelés à disparaître et le nombre des déplacés sera en valeur croissante durant la décennie. Le monde est en profonde transformation, et la paix est le langage qui peut nous permettre de réaliser des futurs libres sur une Terre viable.
La politique ce merveilleux mensonge
Laurent Fabius, président du Conseil constitutionnel touche pour cette fonction une indemnité de 15 039 euros net par mois cumulée avec sa retraite d’un montant qui gardé par l’omerta, serait d’environ 30 000 euros par mois à coup de cumuls de fonctions politiques. Le tout payé pour nous, le peuple.
Laurent Fabius ayant pris sa retraite à 50 ans.
Le social-caviar comme Emmanuel Macron, socialiste adorant les milliardaires, il est apparu, Emmanuel. Le Messie du capitalisme, le Saint patron du Medef.
Aimer son pays, ce n’est pas l’utiliser, c’est lui donner. Sa prospérité sera par la générosité lui assurant la pérennité. La politique conçoit des dominants et des dominés, quand il est de penser l’équité, la réalisation des droits humains. Le monde sous la gouvernance de l’injustice coule à pic, subit l’instable qui signifie le chaos, et c’est le réchauffement climatique.
La vie ce n’est pas s’enrichir par l’argent, mais par la fraternité. Emmanuel Macron a 40 ans de retard comme le monde économique dans lequel il évolue et qui est soumis à la géopolitique. Le monde de l’industrie qui tient l’économie. Il s’écroule et c’est un effondrement économique mondial. On peut éviter cela, et entendre chanter les paroles de Nelson Mandela :
» Cela semble toujours impossible avant qu’on le fasse ». Nelson Mandela
L’humanité n’est pas un ennemi de la Terre, et l’industrie n’est pas sacrée. Penser par le sens d’être vivant, le sens de vivre.
Fédora Hélène

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