
Politique – la culture de gouverner
Cultiver un jardin, c’est pour obtenir des légumes, des fruits pour nourrir une famille, partager les biens récoltés. Si tu maltraites ton jardin en mettant des pesticides pour que ça pousse plus vite, que tu bêches tous les jours, et qu’en réalité tu détestes cultiver, que tu ne ressens pas la terre, que tu n’es pas connecté à elle, ancré au sol, tu imposes une violence à la structure même de la terre. Le politique qui ne comprend pas et qui veut juste posséder, faire que la terre obéisse en pensant tout commander, pose des pièges.
Que se passe-t-il lorsque le jardin est maltraité ?
Tu gouvernes comme tu cultives ton jardin. Gouverner ce n’est pas appartenir à un système qui depuis des siècles impose une dualité à notre monde, ne s’exprime que par ce langage qui sépare l’humain de la connaissance de son humanité, de son sens. Un système qui possède par la guerre, infériorise des populations, des cultures, la nature elle-même en voulant domestiquer le vivant. Pour s’accorder ce droit, l’humain a inventé l’argent. Une donnée morte pour gérer la vie, conditionner les populations par la maltraitance. Contraindre l’humain par l’objectif de gagner un pouvoir sur la vie elle-même en maîtrisant la nature, en modifiant les paramètres de la terre pour la soumettre à une volonté de production pour enrichir des hommes se proclamant puissants.
Le pouvoir est la première erreur quand il soumet, anéantit la liberté. Un pouvoir politique qui prend l’angle de la « bonne conscience » pour imposer ses choix qui ne sont que de la pure maltraitance. Le pouvoir politique avance vers la guerre en invoquant la protection de la paix. La manipulation de la vie puisque la paix est cet élément immatériel permettant la réalité de la vie.
La paix de la Terre a permis l’éclosion de la vie. Cet état de contemplation qui est vérité et qui donne aux vivants une dimension qui n’est pas la matière visible celle que l’on peut transformer en objet, lui donner une valeur marchande, mais la matière sans laquelle aucune réalité n’est possible.
Ce qui constitue un être humain est ce corps vivant, réalisé par une dimension extraordinaire que l’on appelle l’amour, la paix, la liberté, ce que l’on ressent tel un état de grâce par la force de l’amour, ce qui transcende l’être et fait toute chose.
Faire du bien à son prochain, la pensée du bien commun, cultiver un jardin pour récolter et partager, sont les fondements essentiels d’une société. En l’absence de ce don, c’est le chaos.
Les réformes économiques dans les domaines clés de la société ne peuvent apporter l’équilibre si elles ne partent pas du fondement, fidèles au droit de vivre, aux droits humains. Sans cela, les réformes comme la réforme des retraites, où la loi travail, ou celle dite « Plein-Emploi », se justifieront par vouloir être en « bonne conscience », mais conduiront à l’échec de la conscience.
L’industrie est l’outil, celui qui domine l’architecture de nos sociétés, qui fait la machine sans laquelle nous pensons nos civilisations impossibles. La politique regarde l’objet, pas le vivant. Elle part de la production marchande, des ressources naturelles transformées et pensent détenir la ressource, alors qu’en réalité elle ne possède que l’illusion de celle-ci.
Les ressources naturelles appartiennent à la Terre, et la politique n’a aucun pouvoir autre que conditionner et produire une fausse réalité. La pollution ne cesse pas et elle est en valeur exponentielle puisque le système est prédateur et que les politiques se séparant de leur humanité et pensant en valeur de supériorité, comme s’il était une Olympe des puissants, poursuivent leur croissance vers ce sommet établissant la dualité du monde.
La politique est la folie consciente de penser cultiver le monde, quand c’est le monde qui cultive les ressources naturelles, et notre humanité en lui donnant la liberté, comme elle est en chaque élément vivant.
L’humain possède la liberté de détruire et le choix de ne pas le faire. L’humain a la force de produire par le don, connaître ses actes et agir avec l’ensemble du vivant. Nous sommes des choix, des actes, cette liberté par le consentement, créer ce qui paraît impossible, comme il a été conçu le système actuel et comme la civilisation de l’industrie telle que conçue prend fin par la domination du vivant qui prend pouvoir nous donnant conscience que sans les ressources naturelles, comme l’eau douce, tout est vain.
Ce qui nous apprend que le vivant est réalité, que la paix permet sa croissance, que la fraternité laisse à la générosité sa liberté et par elle, la nature se rééquilibre sans l’intervention de l’homme.
Plus les politiques feront des réformes pour ne permettre que la puissance d’un capitalisme destructeur, de systèmes prédateurs en invoquant la « bonne conscience » pour conditionner les populations, plus la révolution climatique sera en valeur exponentielle.
L’idée de travailler 4 jours pour une meilleure qualité de vie et toujours plus de gains, n’a aucune valeur pour protéger les ressources naturelles, puisqu’il est la volonté de produire toujours plus en inventant le capitalisme vert pour « bonne conscience ». Ce n’est pas alors améliorer la qualité de vie. Satisfaire des populations riches en leur assurant la continuité de la société dans l’indifférence de l’augmentation de la pauvreté, des violences envers les plus vulnérables, en effaçant les conflits armés, la guerre en Ukraine, le danger d’un armement nucléaire, de l’industrie de l’armement en expansion, du réchauffement climatique ne cessant pas sa course.
La semaine de 4 jours pour être plus performant, plus efficace, plus disponible pour produire, tout en pouvant répondre à des mails pendant le jour d’absence de l’entreprise. Le droit à la déconnexion disparaît, comme il est déjà souvent entravé. Augmenter la production sans finalement embaucher, et être toujours plus concurrentiel pendant que des populations précaires de plus en plus nombreuses, seront toujours plus ces funambules pouvant être exclus du jour au lendemain. Et ceux privilégiés le sont car entre 11 % et 16 % de la population ne mange pas à leur faim en France. Le sacrifice de personnes vulnérables pour satisfaire la croissance économique, comme 35 % des personnes vivant sous le seuil de pauvreté sont des mères isolées.
Toujours plus de personnes SDF, 300 000 personnes en 2022, et Emmanuel Macron et ses partenaires sont à vouloir toujours plus d’enrichissement pour une minorité.
La loi « Plein-Emploi » est une architecture pour renforcer le capitalisme, ses objectifs de croissance économique qui sont l’effondrement économique et se sont les populations vulnérables qui le subissent dans une indicible indifférence, comme il est le déni, ignorer la détresse du vivant, le silence de la nature, la disparition de nombreux oiseaux, et le bruit des villes, des activités industrielles devenant le nouveau chant, celui effaçant le printemps, la renaissance.
L’humain assommé par le bruit industriel, ce vacarme contre la liberté de vivre, le bruit des périphériques, le béton devenant supérieur devenant supérieur à la biomasse de la Terre.
La réindustrialisation voulue par Emmanuel Macron c’est la progression d’une pollution vertigineuse, le mensonge du capitalisme vert accélérant la dégradation du vivant. L’humanité est dans une impasse et les politiques n’ont de solution que de générer le seul système qu’ils connaissent, tournant en rond, donnant un peu aux uns pour assurer une liberté de confort, et laissant plus de la moitié de la population mondiale démunie.
Les réfugiés et migrants, les démunis, oubliés dans l’équation établie par Emmanuel Macron qui pense à rendre Paris au décor artificiel de la richesse pour les Jeux Olympiques en masquant les SDF, en chassant la misère pour faire place neuve aux profits, à une manipulation économique dont pourtant l’humanité subit déjà les conséquences. Rien n’arrête le capitalisme, Emmanuel Macron au déni regarde l’effondrement des ressources naturelles, entraîne un mouvement de maltraitances envers la nature et l’humain à la suite d’autres puissances, dont celle de milliardaires.
Une société au capital bancaire, vivant à crédit, aux assurances et mutuelles qui pourraient pousser la folie à vouloir assurer la planète elle-même, lui donnant un prix, comme la spéculation sur l’eau entrera dans la danse.
Emmanuel Macron, courbé aux politiques des années 80 n’en finit pas d’accélérer le choc climatique et l’innovation ne sera que donner un décor différent au système capitalisme. L’arche de Noé flottera sur du béton.
Liberté figée en statue de béton
Traverser la rue pour trouver du travail sans tenir compte des choix, de la réalisation d’une vie, des études faites, de l’investissement humain et professionnel acquis, et n’être que l’outil appartenant au système pendant que les politiques écoutent les oligarques, milliardaires dans les petits souliers de l’État.
Des populations vivant à crédit, n’ayant jamais d’argent, contrainte par la peur d’être exclues et de se retrouver à la rue. Une université de plus en plus fermée, contrainte elle aussi, et ne délivrant un savoir aboutissant à des postes de pouvoir réservés en majorité à une classe bourgeoisie et de la haute bourgeoisie.
Le renforcement de l’algorithme parcoursup entrave des choix, des réalisations de projets, impose une souffrance à ceux ne pouvant réaliser leurs objectifs, leur être et contraints à un emploi en outil correspond à une production.
Le silence des élites démontre combien il est accepté la perte des connaissances au profit des injustices ne servant que les plus riches, le verrouillage des pouvoirs dont le peuple est l’exclu.
Rares sont les héritiers de la bourgeoisie et haute bourgeoisie subissant les chaînes sociales, le RSA pour survivre. Être actionnaire pour entretenir sa fortune est le sort préférable dans un système pervers humiliant les pauvres, les maltraitant et ne cherchant absolument pas à anéantir la pauvreté.
Le choix politique de la maltraitance est celui conduisant à la croissance économique, qui n’est que l’accélération du péril pour notre humanité.
Les réformes entreprises par le gouvernement d’Emmanuel Macron ne sont que : on change le décor, mais l’architecture de la société reste identique. Par ailleurs, par l’avènement de l’IA la production sera effective en permanence sans répit. Quand nous aurons l’impression de nous reposer, et finalement d’acheter du temps de liberté, il sera en réalité un fonctionnement permanent du système, une virtualité du temps, et les fausses promesses écologiques ne donneront pas en héritage une Terre viable aux enfants et futures générations.
Un système politique prédateur qui a instauré la violence, ce qui détruit ne peut pas être ce qui sauve. La violence envers les femmes, plus de la moitié de l’humanité a ses droits humains bafoués. C’est la roulette russe pour les femmes, « tu es victime de violences ou pas ». Le conditionnement est dès la naissance par la transmission d’une culture des maltraitances, de la soumission, de l’infériorité et les violences faites aux femmes perdurent, sont en augmentation à travers le monde, y compris en France.
Les systèmes judiciaires qui ne sont pas la justice ont exclu les droits humains des femmes. Des hommes fortement présents en politique qui sont nés par le corps humain d’une femme et dont nombreux nient les droits humains de leur propre mère, en niant les droits humains des femmes.
Cette civilisation de la dualité persiste, et le gouvernement d’Emmanuel Macron voudrait dans sa prochaine loi sur le travail, faire « un cadeau » aux femmes, comme si cela était une générosité de leur part. Tout est basé sur donner l’impression de la « bonne conscience », de faire en sorte que cela soit incontestable. C’est de la manipulation politique en adéquation avec le système prédateur.
Tout est imposé au peuple comme la réforme des retraites qui n’a pas plus d’importance qu’une paille dans l’océan quand dans la décennie le paysage de la Terre va changer sous nos yeux.
Emmanuel Macron détourne le regard et occupe notre humanité à faire du commerce, à être ces marchands, l’ambition du pouvoir, produire en prenant, devenir des voleurs de vie, et celle mise en esclavage est aujourd’hui, la planète elle-même.
Le projet de planter mille arbres et de construire mille industries, il sera mille champs de blé entre mille champs de béton. Et, tout est pensé en valeur argent, c’est la Cour des comptes, et quels comptes établissent la survie du vivant ? Moins de vaches, mais toujours plus d’agriculture intensive. Diriger la consommation vers d’autres lobbies pour encore une fois dresser le nouveau décor du capitalisme.
Le projet, c’est la guerre de l’argent, et la nature pourrait arrêter l’absurde comme s’il était cette destinée de l’effondrement de l’humanité. Que reste-t-il au système que d’éliminer ce qui l’a conçu ? C’est sa fonction première, l’aboutissement. Nos systèmes ne sont pas l’infini, mais la continuité faisant du commencement la fin. Ce qui a fondé le commencement devient la fin. C’est l’être humain qui a inventé ce système, s’il n’en sort pas, ne fonde pas des futurs possibles en dehors de l’économie, des industries en masse, de l’homme outil, de la guerre, il met sa propre humanité en péril.
Après avoir voulu contrôler la nature, l’humain devient celui qui surveille l’humain. Les drones, l’IA contrôlent tout au bénéfice d’États militarisant l’espace public. Il est le fort risque de la perte de la vie privée, des libertés, de l’intime. L’humanité vit sur un sol mouvant.
Cultiver avec bienveillance, c’est mettre au cœur de nos sociétés les droits humains, qu’ils soient le point d’ancrage des politiques en actes
Le jardin, c’est la terre, c’est l’eau, le climat, le monde végétal, animal et les êtres humains réunis en un espace. C’est l’harmonie et la vie de l’un fait la vie de l’autre.
Tu ne dis pas : moi je fais ça et toi tu ne fais pas ça. On fait ensemble chacun selon sa vie et donnant le meilleur car chacun se sait aimer et respecter, qu’il sait qu’il peut accomplir sans être maltraité.
Je peux obtenir la production, la croissance en maltraitant, c’est l’esclavagisme, soumettre par la maltraitance.
La maltraitance est un fondement politique. Posséder la terre, et la politique peut faire le choix de la maltraiter. C’est un choix politique. Il peut être le choix d’arrêter et d’aller plus loin vers notre humanité, d’avancer vers l’universalité de la paix qui demande l’anéantissement de la pauvreté. On ne peut soumettre les plus vulnérables et établir la paix.
L’être humain et la Terre ont besoin pour vivre d’une science qui est nommée par le verbe aimer et qui dit : aime.
Aimer est un acte humain, maltraité est un acte inhumain. Inhumain signifie en dehors de l’humain et ce qui le brise à l’intérieur.
Comme l’humain vit sur Terre, inhumain signifie ce qui est en dehors de la vie et ce qui brise la vie, c’est l’enclenchement du réchauffement climatique.
L’homme peut cultiver la terre, il est le seul à pouvoir le faire, il est le seul à pouvoir aimer la terre par ses actes. C’est protéger, partager, la générosité source d’abondance, et donc la fin de « l’abondance », citée par Emmanuel Macron, c’est la fin de la générosité, et l’amplification des maltraitances, des injustices, inégalités.
L’abondance ne signifie pas à elle seule la générosité. C’est la générosité qui produit l’abondance, c’est-à-dire : donner à chacun ce dont il a besoin pour vivre.
C’est la volonté de la fraternité, et la valeur d’enrichissement, devenir très riche, est une valeur de maltraitance. Être très riche, ça ne signifie rien.
La Terre, elle, n’a pas besoin de gens riches. Ça n’existe pas et ne sert à rien l’argent. Elle a besoin de personnes cultivant le jardin en possédant la valeur de la vie, pas la valeur de l’argent.
Olivier Dussopt, ministre du travail, devrait être sur le terrain, près de la terre et regarder ce que signifie la maltraitance. C’est la sécheresse.
Le gouvernement d’Emmanuel Macron établit des réformes conçues par des technocrates, des politiques capitalistes qui ont effondré le climat. Mais, avant, il peut faire le choix d’arrêter les lois contraires à l’équité, à la paix. Il peut arrêter de satisfaire un système prédateur, d’être dans ce piège, et préférer l’eau qui abreuve le jardin.
Le gouvernement d’Emmanuel Macron, comment cultive-t-il le jardin ?
Une augmentation de la pauvreté, des maltraitances, des injustices, l’accélération du réchauffement climatique et la vantardise de la croissance économique.
La croissance économique, c’est l’effondrement économique. Cela signifie l’appauvrissement de l’eau, de la circulation de la vie. La nature a créé l’économie avant les politiques, ça s’appelle le printemps. La renaissance, la source qui va donner et les vivants qui reçoivent.
Emmanuel Macron, il est comme chaque être humain, il est un instant sur Terre, et notre travail c’est de protéger cet instant de vie et de le transmettre. Demain, les enfants auront besoin d’eau, d’alimentation saine, d’air pur, pas d’être submergés par une autre pollution que la capitalisme met en place en voulant toujours plus produire, et en premier ce qui tient cette structure économique destructrice, c’est l’armement.
Dans le principe économique actuel, ce qui est dominateur, c’est la guerre. La concurrence, vouloir posséder le pouvoir, et la Chine n’a pas l’intention d’être dominée par l’Occident, et dans le système tout devient opposé à tout, brise la fraternité.
Comme les jeux Olympiques sont devenus un objet politique, un profit économique, un effacement de la pauvreté en maltraitant les pauvres et le gouvernement d’Emmanuel Macron veut une capitale riche, un décor artificiel, des personnes SDF déplacées pour les Jeux Olympiques mais pas logées de manière pérenne.
Le gouvernement a demandé aux préfets d’ouvrir des « sas d’accueil temporaires régionaux » dans différentes régions pour éviter la présence de SDF en île de France à l’approche des jeux Olympiques. Emmanuel Macron trahit une fois de plus sa promesse qui annonçait l’objectif zéro SDF. Déplacer des personnes sans qu’il soit le respect de leur choix, c’est un acte de maltraitance politique.
La politique de résilience absente, des personnes vivent dans la rue, subissent la violence de la pauvreté, la violence de nos sociétés s’abattant de plein fouet sur ceux ayant leurs droits humains fondamentaux bafoués. Ainsi les actes politiques dans leur globalité ne peuvent être l’expression de la paix, ni avoir la volonté de la réconciliation.
Des personnes démunies, fragiles qui vont subir un ordre politique qui sera présenté comme celui de la « bonne conscience » pour botter en touche les critiques qui sont déjà.
Paris 2024 – Emmanuel cache la misère, façonne un décor de mensonges pour les invités. Le mensonge, la maltraitance est issue de ce langage, de la haine.
Emmanuel Macron dépense une énergie de maltraitance pour cultiver le jardin et ceux qui le suivent comptent l’argent, les profits, concurrences, investissements financiers, oligarques milliardaires en puissants soutiens de l’édifice écroulé.
Emmanuel Macron n’a pas compris que sa politique est vaine, qu’un bouleversement planétaire est enclenché et que sa politique court après le vent.
Aujourd’hui, il est de préserver le jardin, pas de le saccager.
Paix en Ukraine et dans le monde
2023 – révèle un idéal à réaliser : l’universalité de la paix, l’engagement pour le désarmement, l’élimination des armes nucléaires.
Le soutien à l’Ukraine est primordial.
En France par la montée des extrêmes droites, par le fait que 67 % de Français écoutent les thèses conspirationnistes de la fachosphère, dont la théorie du grand remplacement, qu’à l’intérieur de l’Union européenne des pays comme la Hongrie choisissent une politique dangereuse d’extrême droite, cela impose une instabilité de notre monde, un mouvement contraire à la paix qui signifie le droit de vivre.
La France doit se relever en mettant fin aux discours haineux des extrêmes droites, ne plus se couvrir de honte car des néonazis défilent dans Paris.
La paix n’est pas un jeu politique, et il doit être la conscience de ce que signifie la haine, la guerre pour véritablement lutter pour un monde fraternel.
Aujourd’hui, il est la menace nucléaire, celle pouvant déclencher un chaos. L’ambition est de faire de la paix une force et elle a besoin des populations.
La production de nucléaire militaire pourrait devenir le poison de notre siècle. Il n’y a pas d’armes nucléaires qui soient autres que destructrices pour l’humain et la nature. Elles s’inscrivent dans un système prédateur et tout ce qui l’alimente va le renforcer.
Les conséquences seront dramatiques pour toute notre humanité. La guerre en Ukraine pourrait se durcir, durer et si la guerre est analysée comme une guerre d’usure, elle use avant tout notre capital de survie quand un bouleversement climatique impose au monde ses choix.
L’humain n’est plus le seul décisionnaire et s’il suit un mouvement destructeur, il compromet l’avenir de l’humanité.
Que cela soit les politiques, où les populations, aucun d’entre nous a été confronté à un tel chaos. La conscience doit être là et penser par le vivant, par ce qui est sens de vivre.
L’argent est le nerf de la guerre, l’industrie un outil de la guerre, mais qu’est-ce qui est ce qui porte la paix, la rend puissante, libérée de la dualité, c’est cette question qui doit être la nôtre.
L’ONU organise une exposition à l’occasion du 75ème anniversaire du maintien de la paix qui est intitulée, « La paix commence par moi ».
La paix n’est pas une question qui se tourne vers les puissants de ce monde, mais vers chacun d’entre nous. La question posée est : quels sont tous les actes pouvant mettre en œuvre une paix globale et durable ?
Si on abat un arbre puis un autre, la forêt disparaît. La paix vivante en chacun de nous est cet air vital.
Fédora Hélène

Copyright © LiberTerra 2023 – Tous droits réservés -Tous droits de production et de diffusion réservés