La liste de la Honte – L’Onu alerte !

Ce lundi 24 février 2020, l’Onu par la voix de son Secrétaire général, s’inquiète fortement du recul des droits humains , des droits des femmes et d’une recrudescence de la violence à l’égard des femmes, celles et ceux vulnérables. Il n’ y aura pas de sociétés prospères bâties sur la souffrance, l’indifférence et l’orgueil de la cupidité.

La liste de la Honte créée par l’Onu pour y inscrire le nom d’hommes ayant commis des violences sexuelles. Pour la reconnaissance de celles que l’Onu appelle les survivantes et pour qu’elles puissent recevoir le droit à la reconnaissance. Aucune société ne peut se dire libre et évoluée quand des enfants et des femmes y sont maltraités, violés.

L’Onu s’engage à anéantir pour 2030 toutes les violences faites aux femmes et aux enfants

L’Onu reconnaît la force du témoignage et la France doit rétablir l’équilibre de sa justice et résoudre ses dysfonctionnements qu’elle fait porter directement sur les épaules des victimes.

Plus jamais l’horreur de vies détruites par des prédateurs se sentant puissants par leur constante impunité.

Il est temps que la France qui est le deuxième pays d’Europe où il y a le plus de féminicides, où le nombre de viols est établi en dessous de la réalité, où les violences conjugales ne sont que rarement prises en compte, où des plaintes sont laissées à l’abandon, imposant une souffrance aux victimes et les laissant sans protection, se remette fortement en question au delà du grenelle des violences conjugales.

Des moyens réels, et un changement des mentalités par une prise de conscience forte se doivent être sans délai car le temps où rien ne se passe se sont des vies qui sont en danger.

Ne plus accepter des candidats politiques ne reconnaissant pas les victimes comme cela l’est toujours aujourd’hui. Au delà des discours hypocrites, il y a bien dans la réalité de leur pensée, des politiques qui soutiennent des prédateurs car ils sont de grands manipulateurs et quoi de mieux pour maintenir un pouvoir !

Comment aujourd’hui un candidat à une élection peut-il se revendiquer d’un soutien qui est un prédateur ? Pourtant cela est. L’indifférence, l’intérêt, les manipulations, les lâchetés sont toujours choisis avant de soutenir une victime. Et, ce genre de candidat peut se prétendre de gauche et écologique ! La méchenceté n’a pas de frontière. Puis, comment un tel candidat, pourrait-il respecter la Terre, le fondamental de la vie alors qu’il est incapable de respecter une victime et qu’il est incapable de faire la différence entre un manipulateur et l’honnêteté ? À moins qu’il ne comprenne que trop bien.

La France étouffe sous le poids de la culture du viol qui persiste, sous la culture patriarcale qui ne cesse de s’imposer. La vie faut plus qu’un carcan culturel, que l’endoctrinement par des décennies d’éducation en fardeau. Puis, la violence s’impose quand la liberté n’est pas. À partir du moment où des enfants et des femmes ne peuvent vivre en paix et en sécurité dans un pays, c’est que celui-ci n’est pas un pays libre.

La liberté n’est pas la maltraitance, la cruauté, les féminicides. Aujourd’hui, la France n’est pas un pays libre. Il n’y a aucune once de violence extrême en la liberté. Le déni, la consommation de tout et du vivant, la pauvreté grandissante maintenant nombre de victimes sous l’emprise de prédateurs, ce n’est pas être libre.

Aujourd’hui, est une chance, nous avons la liberté à conquérir.

Le silence de la souffrance, celle qui transperse notre monde

« Il a le droit de hurler, il est chez lui » disait la police.
La victime n’était pas chez elle et ses enfants non plus.

La victime sans refuge, parfois à fuir en pleine nuit avec ses enfants dans cet état de choc qu’impose la violence des hurlements du prédateur accablant sa proie d’insultes, de coups, de menaces de mort, de viols, de brûlures de cigarettes , d’alcool ménager jeter au visage, dans les yeux, d’un couteau à la main menaçant, lui répétant que sa vie n’est qu’une mort lente.

Et l’amour de vivre des survivantes, de leurs sourires, de leur paix qui a tout moment peut s’éteindre, mourir, tué par un prédateur qui ne sera jamais face à ces actes, qui restera impuni, et ça c’est fait, le mal est fait mais plus loin des victimes sans droit de reconnaissance et de réparation.
L’indifférence, cette cruauté, aucune aide portée aux victimes pour être en résilience, être à vivre.

Elles sont à survivre et chaque jour à dépasser la douleur de vivre, leur mémoire cassée par les traumatismes.

Un 21 ème siècle en sciences neurologiques qui sait que ces prédateurs blessent gravement le cerveau humain de leurs victimes, et une justice qui reste à ses pouvoirs, dominations et ne se donne pas aux victimes.

« La liste de la honte » crée par l’Onu pour accueillir la force du témoignage et y inscrire les prédateurs raisonnablement suspectés d’abus.

Une liste de la honte qui ne sera jamais pour accueillir les témoignages des millions de femmes civiles attaquées par des prédateurs.

Une liste vide sans nom.

Il ne figure que le nom des femmes tuées par un prédateur.

LiberTerra va donner deux noms à cette liste de la honte, deux noms symbolisant les prédateurs, pour que les victimes aient le droit de vivre en sécurité et en paix.

Philippe pour le P de la Paix et Vincent pour le V de la liberté.

Rendre aux victimes ce que les prédateurs leur volent, la paix et la liberté.

©Fédora Hélène

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