
🌍 Un nouveau souffle !
🍀 Des villes sans voitures, des périphs transformés en jardin, plus de bruit et les oiseaux chantent de nouveau.
Le hibou s’est fait entendre à Caen en Normandie ville particulièrement verte.
Des canards se baladent dans Paris …
Un sanglier se promène dans Talence (Gironde)
Les animaux reprennent leurs droits et les dauphins nagent paisiblement notamment au large de la Sardaigne où transite habituellement plus de 30 millions de tonnes de marchandises chaque année.

Si le premier jour de sortie du confinement chacun réapprenait la nature, un rythme respectueux d’elle et donc bénéfique à l’être humain.
Il serait peut être enfin temps de mettre les transports gratuits et multipliés.
Si une politique écologique était réelle, il y aurait une véritable politique des transports autre que la rentabilité, le profit, qui ont abouti aux fermetures de gares, suppressions de lignes, à une baisse de la fréquence des trains sur de nombreuses lignes en province et à une augmentation permanente des tarifs de tous les transports.
Une politique écologique est sur la complexité des réseaux de transports à mettre en œuvre pour la population et pour les marchandises.
L’économie locale est à valoriser. Une politique mettant en valeur les petites et moyennes villes et non en faisant d’elles les oubliées.
Il est à penser les territoires dits comme étant devenus des « déserts économiques » par la volonté de créer des métropoles à valeur d’enrichissement d’une minorité, créant en fait des métropoles fermées, aux politiques d’exclusion, et prouvant que la technique du « ruissellement » ne fonctionne pas et qu’au contraire, les villes autour en dehors du périmètre des métropoles s’appauvrissent dès lors qu’elles ne sont pas des lieux touristiques où de snobisme.
Des métropoles conçues par une classe bourgeoise et de politiques du mensonge, dominantes par l’argent et la conception mentale du snobisme, de l’orgueil et de la cupidité se voulant supérieur à et négligeant tout humanisme, solidarité.
Les conséquences sont une aggravation de la pauvreté, un éloignement des populations aux revenus moyens accusant une baisse significative des revenus et des conditions de vie très difficiles pour les populations devenant de plus en plus pauvres. Une souffrance imposée à des millions de personnes en situation de pauvreté .
Soit plus de 9, 5 millions de personnes en prenant en compte les revenus inférieurs de 40 à 60 % au niveau de vie médian.
Des villes trop chères , aux catastrophiques politiques immobilières, sur-bétonnant et osant appeler cela des quartiers écologiques comme c’est le cas à Bordeaux.
Pendant que la gentrification s’accélère dans les grandes villes, s’accélère la pauvreté, les expulsions, le chômage et la précarité.
Entre 1 500 et 2 000 personnes vivent à la rue à Bordeaux.
Actuellement, en pleine pandémie, près de 100 personnes vivent dans un campement à Bordeaux Lac et sont de nombreuses personnes à la rue sans solution de logements, selon les associations de maraude.
Derrière le superficiel du béton et des quartiers dorés est la réalité, une pauvreté croissante.
Des investissements en caméras de surveillance, en radars haute performance, en bétonnage intensif mais pas en ce qui est primordial, le bien-être humain en osmose avec celui de la nature.
Confinement – Une ville est endormie car ceux qui y vivent, y travaillent, la font vivre sont confinés !
Les politiques peuvent partir en confinement, personne ne s’en apercevrait mais si la population est confinée, les villes s’endorment.
Demain, la démocratie directe doit être mise en œuvre car ce qui donne vie aux villes, à un pays, c’est son peuple.
Demain, la politique actuelle ne doit plus imposer ces ordres destructeurs d’un capitalisme mondialiste cherchant toujours plus à s’enrichir au détriment de la vie.
La crise ne doit pas être imposée au peuple car se sont aux politiques responsables de ce désastre par leur acharnement à ne penser que par la valeur du pouvoir et de l’argent pour arme d’en assumer les conséquences .
Renouvellement de notre démocratie
Le gouvernement ne peut plus avoir le pouvoir politique de décider seul pour tous alors que les décisions économiques, y comprit celles prises, par les mentors d’Emmanuel Macron, dont semble être Nicolas Sarkozy, ont permis la catastrophe de l’hôpital public et que seul les soignants, la population , des syndicats et politiques de gauche et non de droite socialiste avec notamment la loi travail , ont lutté pour que soit les moyens, le respect pour l’hôpital public, pour sauver des vies.
© Fédora Hélène

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