FRANCE – L’amour de la verbalisation !
🍀 NATURE – Un cavalier à cheval ♞ verbalisé !
C’est la 7 ème compagnie, au cas où une foule déboulerait en pleine campagne !
On en parle dans LiberTerra
France – Pas de masques – UN hôpital public en souffrance, mais des verbalisations à outrance
Pas de masques pour la population , pas de gel hydroalcoolique, plus de thermomètres alors qu’il faut contrôler la température en cas de symptômes, plus d’alcool à 90 , pas de matériel de protection médicale pour les soignants en nombre suffisant, etc …
Le pire est à venir, un gouvernement informé du coronavirus avant janvier, c’est à dire en 2019 en pleine réforme des retraites, où les manifestants demandaient la grève générale, où les pompiers en grève portaient le solgan « un système à bout de souffle » et où le gouvernement a brandi l’ignoble, le 49.3 au lieu de se préoccuper du crucial, la vie !
Quand les soignants qui manifestent depuis des années, continuait à être mobilisés .
Quand la grande majorité des français ne se mobilisait pas, puisqu’au plus fort des manifestations, il y avait 0,2 % de la population présente, mobilisée dans les rues.
Un chiffre révélateur car il correspond à celui des français résistants à la fin de la seconde guerre mondiale.
Quand les français obéissent tête baissée à un gouvernement car il faut avant la vie faire de l’argent, parler sans cesse argent, s’en prendre à ceux vulnérables, les chômeurs, les pauvres, les réfugiés, son voisin qu’on dénonce, les vieux abandonnés en Ehpad, l’indifférence constante, le mépris, la violence et les castes bourgeoises en têtes pensantes.
Le plus fort ceux faisant parties des cours politiques. Le mieux les observer à tourner au tour d’un politique peu importe son titre. Les mêmes politiques se vantant dans quelques régions d’avoir obtenus quelques masques pour certains professionnels tel que le boulanger pour qu’il puisse continuer son activité.
Et dans ce même temps, ces mêmes présidents de région, iront à se glorifier de quelques masques, tout en flattant le gouvernement comme ils n’ont jamais cessé de le faire, et se vantant pour certains d’avoir « sauvé » la République des cortèges des Gilets Jaunes.
Les seuls qui avaient le courage de dire la vérité et qui soutenaient les soignants, les pompiers, les mouvements écologiques, les petits retraités dont pour la première fois, on voyait des personnes de plus de 90 ans venir manifester.
Mais tout cela n’allait pas éveiller la conscience de la majorité.
Le drame des Ehpads que le personnel à bout dénonçait.
Le gouvernement annonçait des primes pour calmer le jeu comme il le fait actuellement avec les 1 500 pour les soignants ou les 1 000 pour les personnels des supermarchés en sachant que cette prime ne sera pas forcément pour tous les membres du personnel mais en fonction de leur poste au moment de la pandémie et pourra être calculée au prorata des heures effectuées.
Puis, le gouvernement continue à parler des gestes barrières en placebo et qui seront intenables dans des écoles. Comment fera l’enseignant quand un enfant se mouchera dans son masque ?
Quand ne pas mettre ses mains à son visage sont des réflexes appris en chirurgie et non dans la vie courante que cela soit pour un enfant ou un adulte.
Quand le 1 mètre de distance n’a aucune valeur scientifique et au contraire il est démontré qu’un mètre de distance ne protège pas !
Mais à quoi bon, en France de le dire puisque tête baissée, la majorité semble accepter l’odieux, le dégueulasse de politiques.
On obéit et verbalise un cavalier seul en pleine nature, il faut bien que l’argent entre dans les caisses de l’ état et c’est avec cette lamentable mesquinerie, avec par ailleurs l’analyse fine d’un prédateur sexuel, Strauss-Kahn, qui revient sur le devant de la scène macronienne, que la France pense qu’ elle a la volonté de refonder toute une société.
Les pions n’ont jamais quitté leur place, l’argent et les forces de l’ordre se sont mis au ralenti de gaz lacrymogènes et coup de matraques pour maintenant verbaliser à tout va.
Castaner pourra fier annoncer les chiffres.
La circulation des véhicules ne passant plus au racket des radars, parcmètres et autres, il fallait bien verbaliser autrement.
Un confinement en punition car les politiques n’auront jamais l’attention de respecter la population et d’avoir un partage solidaire mais celui habituel de la répression, de la brutalité qui permet de maintenir l’emprise comme tout prédateur le fait.
D’ailleurs, ils s’entendent si bien entre eux.
Le jour où le peuple décidera de dire non, de ne pas accepter, de ne pas laisser faire des politiques responsables de l’horreur, des personnes âgées mourant seules dans des Ehpads sans recevoir des soins dignes des possibilités médicales du 21 ème siècle.
Puis, il y a ceux hospitalisés en hôpital psychiatrique où la souffrance est puissante, où le manque de moyens est également, où la conception même de ses infrastructures est une catastrophe, est inhumaine, archaïque et avec là aussi une incompétence flagrante qui renforce la souffrance.
On oublie ceux vulnérables à la rue, dans des campements de fortune, dans des squats.
On oublie les prostituées à la rue et le danger là fort et réel de contagions, de formes graves du virus qui peuvent se propager.
On oubliera également ce qui se passe dans les prisons où là encore l’invivable est en loi et la justice pense que des personnes en sortiront prêtes à affronter la société en toute normalité d’emploi, de logement, de vie sociale.
On oublie également les femmes victimes de violences conjugales et celles qui l’ont été et qui sans droit de reconnaissance, de réparation vivent pour beaucoup d’entre elles sous le seuil de pauvreté.
La double peine, les maltraitances graves et criminelles d’un prédateur et la souffrance de la pauvreté sans droit à la moindre justice.
Pendant ce temps, on en est toujours à la maréchaussée du 19 ème siècle, la peur du gendarme et le gendarme convaincu d’être un héros !
Nous pensions qu’il était vertueux de protéger les victimes, de rechercher un enfant disparu, nous pensions à cette fraternité, à cette solidarité mais pas à verbaliser pour obéir à un pouvoir de baltringues autoritaires, manipulateurs, et continuant allègrement à se gaver et narcissiques à imposer un capitalisme cupide, suicidaire qui ne fera qu’accélerer le bouleversement.
La crise sanitaire a prouvé qui était ces politiques.
Plus de 5 millions d’enfants pauvres en France qui recevront 100 euros de la générosité macronienne, plus de 10 millions de chômeurs, les étudiants pauvres qui le seront d’autant, les petits retraités sans moyens et qui devront rester confinés, et les enfants renvoyés à l’école dans un pays où depuis 2019 les politiques sont informés de la pandémie de coronavirus.
Un masque grand public maintenu pendant des heures sur des enfants en maternelle, en primaire après un confinement !
Où est le respect de l’enfant, de son développement, de son bonheur ?
Indignez-vous, soyez choqués par autant de mensonges politiques qui ont conduit des personnes à vivre la souffrance de mourir seuls à leur domicile , en Ehpads.
Puis posez-vous la question, combien sont morts du Covid-19, du déchirement de la vie par la pauvreté dans les rues de France durant cette pandémie ?
Combien de pauvres seront à une intense souffrance pendant la grave crise qui s’annonce et où un peuple se pensera courageux à continuer à activer une société destructrice par la marchandisation de tout élément de vie.
Des milliers de dollars de dettes à travers le monde qui n’ont aucun sens, aucune valeur car aucune existence.
Si les populations pensent qu’elles vont devoir rembourser, alors qu’elles acceptent de détruire la vie de leurs enfants car les adultes d’aujourd’hui n’auront pas assez de leur vie pour rembourser.
C’est un jeu de Bourse de ce qui a toujours mis en pauvreté les peuples.
Il faudra produire, compter l’argent, lancer des crédits bancaires, polluer massivement et dépasser les prés de 2 milliards de voitures sur terre.
Une occasion de lancer sans mesure les chaînes de production de véhicules électriques en vantant son système écologique qui ne l’est pas.
Une occasion d’imposer une société numérique où l’homme vivra le plus grand esclavage de tous les temps.
La liberté vient d’être gravement impactée sans aucun débat public profond.
Des personnes seront consignées chez elle sans aucune valeur de droit en démocratie.
Par l’aberration de dire qu’à 59 ans moins une heure, la personne n’est pas considérée comme âgée, mais à une heure de plus, elle tombe sur le coup d’une réglementation de confinement.
Cela signifie également une violation du secret médical pour pouvoir confiner ceux considérés comme fragiles sans savoir comment ils vivront cet enfermement prolongé car les politiques n’ont cessé de mal agir, de manipuler et de cultiver l’argent plus que la vie.
Les charges lourdes tels que le loyer, les taxes sur l’alimentation, rien n’a été modifié.
Cela signifie également que les prestations des politiques, de leurs conseillers, chargés de mission, de projet dans toutes les infrastructures des autorités politiques et technocratiques restent inchangées.
La crise ne sera pas pour tout le monde et l’argent n’a jamais cessé d’être en profit.
Les milliardaires n’ont pas abaissé le niveau de leur fortune et ils comptent bien sur le peuple pour la conserver.
Donc le ridicule de verbaliser des promeneurs isolés en pleine nature sans risque de contaminer qui que ce soit est d’une indécence grave.
Alors que les métros, les RER où les gens sont confinés devront bientôt reprendre la cadence.
Les files d’attente dans les supermarchés sont bien plus des vecteurs de transitions du virus que toutes les personnes étant en pleine nature.
Puis si le coronavirus est dans l’air et circule en tout lieu, puisqu’on verbalise des gens se trouvant sur des sentiers déserts, alors il se dépose sur le végétal et donc dans les champs de culture, notre future alimentation …
Aujourd’hui, en France, il est plus de 20 000 personnes décédées du coronavirus.
À ceux et celles oubliés des compteurs froids.
À ceux et celles décédées pendant la pandémie, des conséquences d’un hôpital en souffrance, de la pauvreté toujours plus puissante mais pas du SARS-CoV-2
À tous ceux et celles souffrant du confinement durable par l’isolement que provoque un système cruel où l’indifférence ferme toute conscience.
© LiberTerra
© Fédora Hélène

Copyright © LiberTerra 2020 Tous droits réservés
Partie 1)
J’aimeJ’aime