Dans la nuit de dimanche à lundi des rafales de vent, de fortes pluies, des orages ont impactés le sud ouest de la France ce week-end et ont été présentes sur le nord ouest et la région parisienne notamment.
Une situation météorologique qualifiée d’ « exceptionnelle » par Météo France qui se produit environ tous les 100 ans.
Météo France indique qu’entre le nord des Landes, le sud de la Gironde et au sud-est du Tarn, il est tombé en 36 heures l’équivalent de 1 à 2 mois de précipitation.
Des rafales de vent froid sont présentes ce lundi 11 mai sur les régions de l’ouest et les côtes bretonnes sont en vigilance orange.
Les côtes normandes sont également touchées par des rafales de vent ce lundi 11 mai.
Une activité cyclonique très active en Atlantique nord en 2019 et plusieurs fortes tempêtes, cyclones, ont touchés l’Europe don’t la France.
2020 annonce une activité cyclonique en Atlantique Nord qui est attendue comme étant à 30 % plus active que d’ordinaire.
Une saison des ouragans du 1 juin au 30 novembre environ, plus ou moins, sera extrêmement active, selon les chercheurs de la North Carolina State University (États-Unis).
Il est annoncé de 18 à 22 tempêtes tropicales sur l’Atlantique, le golfe du Mexique et la mer des Caraïbes.
Il pourra être des tempêtes devenant des ouragans majeurs impactant gravement les terres.
Une situation inquiétante qui s’ajoute à la pandémie de coronavirus.
Une alerte climatique en corrélation avec une crise sanitaire sans précédent qui peut déclencher une crise économique, politique, écologique sociale, démocratique prenant notre civilisation qui actuellement continue les conflits armés et économiques.
Un capitalisme qui depuis des décennies enclenche l’incontrôlable d’un bouleversement planétaire.
Il n’était pas possible de le penser comme un système humaniste et progressiste pour le respect des droits humains et le respect de la Terre par les dommages graves qu’il provoque autant sur l’urgence climatique, que sur les crises humanitaires sans précédent comme celle bouleversant le Yémen.
Il est une union cruciale et évidente entre l’humanité et la Terre, une fraternité universelle entre nous tous ensemble et avec notre planète qui porte notre vie.
Notre corps et notre Terre rendent notre vie possible. Cette symbiose est notre cohérence, celle qui permet à notre humanité de perdurer en paix et sérénité.
Nous sommes arrivés à une stade de notre évolution où la Terre et l’humanité sont en droit d’attendre de nous notre capacité de compréhension de cette union primordiale et de la préserver pour permette la vie.
Une exigence la liberté et sa source qui en découle naturellement, le bonheur.
Le bonheur de la liberté qui efface la souffrance que ceux qui l’affaiblissent, provoquent.
En résultat, les actions de l’homme ont des répercutions fortes sur la biodiversité, la qualité de l’air et de l’eau mais également bien au delà de ce que nous pouvons envisager.
Les nouvelles preuves des études scientifiques faites en Antarctique démontrent la présence de ce qui constitue notre Terre depuis sa création et qui dégage une énergie extraordinaire et mystérieuse, une énergie mémoire qui émane de ce qui nous entoure l’Espace.
La Terre n’est pas suspendue dans le vide mais vit dans un Univers.
Et, nous sommes au tout début de nos connaissances en physique et il nous faudra dépasser les stratégies classiques pour entrevoir, comprendre des éléments constituant l’immensité de notre Terre et de son Univers.
L’odeur de soufre sur la région parisienne que personne n’explique, et des prélèvements sont en cours, soulève ce que nous ne pouvons pas toujours expliqué, et nos explications pourront être sur des connaissances contraintes car évoluant dans un environnement que nous avons fortement modifié.
Il est aussi la transparence du gouvernement dont on peut douter quant aux informations qu’il donne et la crise sanitaire a prouvé les incohérences et amplitudes du mensonge.
On peut pressentir que de continuer notre système n’est pas prudent pour garantir la protection de la santé des populations et de l’équilibre de notre Terre.
Que ce 11 mai recommence une consommation comme des personnes faisant la queue devant des magasins, chaînes de vêtements le font, n’est pas forcément la meilleur idée du siècle d’autant que l’industrie textile est très polluante, deuxième cause de pollution, et elle met de nombreuses populations vulnérables en esclavage pour produire à moindre coût.
Un ciel orangé, une odeur de soufre ne signifie certainement qu’une pollution qui se révèle de plus en plus grave.
Produire en respectant la vie
Des créateurs sont capables de produire des vêtements écologiques, responsables et de produire localement en respectant la nature et l’humain.
Pour que la transition soit, il faudrait accepter de ne plus consommer auprès des chaînes, lobbies et penser que la préservation de la vie est plus importante que la mode changeant à chaque saison et étant responsable d’une grave pollution.
Puis, il est à prendre conscience que l’on porte des éléments polluants sur soi et non des matières premières naturelles et saines pour nous même et notre environnement.
Laissons place aux créateurs innovant dans le respect de tous et de la nature.
Que du bon à récolter et non des odeurs de soufre !
© Fédora Hélène




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