Le bouleversement fait preuve d’une accélération étonnante. Il précipite avant que nous ayons le temps de nous préparer à un évènement et ceux-ci s’inscrivent dans un mouvement rapide, dans une succession d’étapes. Emmanuel Macron correspondrait à cette conception du chaos qui précipite et dirige cette cadence qui provoque des évènements forts, qui transforment durablement, profondément notre civilisation.
Lors des Gilets jaunes chaque semaine, il y allait de sa petite phrase sans sens, décalée, provoquant la colère pour que les manifestations soient bien présentes chaque samedi. Il a été une accélération destructrice qui s’est prouvée par le nombre de blessés graves, de personnes mutilées. Une violence qui ne cesse d’augmenter depuis environ 2016 et qui avait pris son essor dès le début des années 90. Il a été une courbe croissante des politiques sécuritaires et de l’enrichissement des capitalistes. Une courbe croisssante des soumissions financières par les crédits et donc dettes. Une accélération de la pollution , puis elle s’est fondue dans le mouvement brutal de nos sociétés. Les violences faites aux femmes et aux enfants ont également accéléré leur dramatique progression et les condannations des prédateurs sont en baisse depuis une dizaine d’années alors que la parole se libère et que de plus en plus de cas de violences sont révélés.
Nous sommes pris dans l’étau d’un système qui s’accélère et où tout veut être fait en un temps comme l’annonçait Emmanuel Macron dimanche 14 juin sous fond de domintion de l’Europe.
Une Europe militaire forte face aux États-Unis, à la Russie et à la Chine qu’Emmanuel Macron n’oublie pas de citer. Le mot « guerre » prend le risque de ne plus être que pour définir un virus et le virus risque d’être politque, mondialiste, capitaliste en domination de pouvoirs qui s’affrontent. Le bouleversement prend toute l’activité humaine et la nature, ce qui provoque la loi du plus fort, la survie des dominants. Nous sommes face à ce qui est incôtrolable pour l’homme et les scientifiques viennent de faire la démonstration qu’ils ne savent pas. C’est en chacun de nous, en nos émotions, en notre coeur, en notre liberté que nous pouvons pressentir ce qui vient.
Le monde a changé et les humains ont toujours un choix à faire. Il est celui de la vie ou de ce qui mettra notre humanité en souffrance. A chaque accélération du bouleversement, le chance de pouvoir choisir se referme.
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