
La destruction du vivant de l’eau serait la pire catastrophe que l’humanité aurait à vivre.
Malheureusement, l’homme semble ne rien entendre et la pollution avance inexorablement
Chaque acte prédateur que l’homme commet à une interaction avec tout le vivant. Le respect de la vie n’est pas une limite, il doit être sur tout ce qui est vivant.
Plus l’homme est capable d’extraire les ressources de la Terre dans un but de profit, de puissance, de pouvoir, plus il détruit.
Le jour où les hommes s’arrêteront une journée partout dans le monde pour fêter la vie et prendre conscience qu’elle est précieuse, nous aurons fait un pas.
3 milliards de personnes dans le monde ont été confinées pour lutter contre le coronavirus. Des milliers de milliards ont été pour mettre une économie au point neutre et maintenir les richesses à un niveau très élevé, tout cela ne sera rien si si l’océan est meurtri.
Pour la première fois de son humour anite, l’homme est capable d’attaquer gravement sa planète et de mettre ainsi la vie en péril.
Elle est déjà là guerre. C’est l’humanité contre elle-même et non celle annoncée par Macron.
Celle qui est ne s’arrêtera pas par un confinement ni un masque ni un vaccin mais par la conscience, la reconnaissance de la vie et du verbe Aimer.
Une violence s’étend, des catastrophes s’enchaînent les unes aux autres.
Ce qui détruit ne sauve pas et ce ne sont pas les paroles de politiques qui permettront de sauver.
C’est un désir commun de vivre et de faire un choix décisif. Il faut dévaloriser l’argent et mettre le progrès au service du bien être de la Terre. C’est à dire user de nos connaissances pour apaiser, réparer le mal fait à la nature et donc à notre humanité.
L’énergie électrique ne sauvera rien et ne fera qu’accelérer le processus de déséquilibre. Ce ne sont pas des véhicules électriques qui sont la solution. Bien au contraire, il sera généré une seconde pollution.
La seule question aujourd’hui est, voulons-nous vivre ?
Une année en septembre va recommencer comme si de rien n’était, comme les gens consomment toujours de la même manière et sont aux attractions permanentes en payant pensant vivre un temps libre durant l’été.
L’eau, quel sens a-t-elle ? Celui de la vie.
La paix ne pourra être maintenue alors que nos industries, les lobbies et politiques mettent la Terre en souffrance.
C’est au peuple, paciquement, d’en prendre conscience et de désirer la paix et la liberté plus que la chimère de l’argent et de la sur-consommation permanente.
Le bouleversement actuel ne se contente pas de discours politiques, d’euros et de dollars étalés pour être résolu.
Il est à craindre un effondrement inmaitrisable si l’homme ne prend pas de lui-même les mesures permettant de vivre sereinement.
Ne pourrions nous pas réfléchir sur la gratuité pour les droits fondamentaux ?
Pas uniquement des applications permettant des trocs, des échanges solidaires mais que soit acté dans une nouvelle constitution les droits fondamentaux universels pour l’eau , l’alimentation, le logement pour tous.
La gratuité des transports et la réelle mise en place de transports en commun qu’il faudrait multiplier pour que soit les moyens de la gratuité et l’augmentation des usagers.
Les lobbies ne doivent plus être le centre du pouvoir, le marketing, le publicitaire, l’investissement financier nécessaire pour construire, l’argent ne doit plus être le cœur de notre humanité.
Nos sociétés font de l’économie une arme de guerre et pour chaque envie de création largement diffusée , il faut une pensée mercantile, un apport financier conséquent, cela signifie le fondement de l’injustice pour valeur de réussite.
Les populations riches peuvent avoir accès à des supports virtuels d’échanges, non les populations pauvres qui elles demeurent à ne pouvoir bénéficier de l’essentiel, de ce qui est vital, de ce qui est, les droits fondamentaux universels .
Devons-nous chercher à consommer différemment telle une mode, tel un réseau social, tel l’éphémère et virtuel où devons-nous être dans une envie sincère de vivre, un désir de paix, de liberté ?
La liberté qui ne pourra être tant que des enfants n’auront toujours pas le droit de boire de l’eau potable.
Cette eau qui sauve, celle nécessaire à la vie, celle gravement menacée par notre système destructeur.
Aujourd’hui, il est d’avancer réellement, sincèrement, et de dépasser la construction de notre civilisation marchande et guerrière.
Eau secours ! Il nous faudra un changement civilisationnel pour penser pouvoir accéder à un véritable respect de la vie, accéder au respect de notre Terre mère, de notre propre survie.
© Fédora Hélène
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L’eau un droit fondamental universel – https://liberterrajournal.com/2020/07/30/leau-un-droit-fondamental-universel/amp/?__twitter_impression=true

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