
Le Secrétaire général de l’ONU, Antonio Guterres alerte mardi 8 mars, lors d’entretiens accordés à des membres de médias Covering climate now , que pour lutter contre le réchauffement climatique, il faut s’unir.
« Soit nous sommes unis , soit nous sommes perdus » Antonio Guterres
Notre monde « perdu »
Ce pays de liberté , la France qui a perdu la justice, l’a abandonnée, laisse des enfants naître à la rue. La France, le joli nom qui se noie, des flaques de sang de blessures des manifestants mutilés, arrêtés, condamnés, politique et son ombre construit les murs .
Des rois, des prédateurs, des manipulateurs, architectes de nos villes et les enfants pleurent, une femme donne naissance dans ce monde « perdu ».
Ce monde dans l’inversion, l’innocent est condamné et les puissants jouent au loup entre les corruptions et les manipulations.
Ce monde « perdu » qui perd son amour , vend sa liberté sur l’étalage de la Bourse, la vie se compte en milliards , à l’argent virtuel , le monde se perd.
Le soleil se lève chaque jour et jamais, il n’est celui où les peuples se révoltent, se libèrent de la politique, de l’argent, du pouvoir, des armes .
Un monde « perdu » et des enfants aux chaînes de lobbies marchands , de politiques souriants aux contrats d’argent, d’industrie en intelligence ruinant nos sols, et l’eau contaminée qui coule de nos fontaines industrielles au pétrole si cher au cœur qu’il met la pierre au fond du puits , on coule, « perdu ».
Demain, tu verras au milieu des embouteillages, ta mine défaite qui court et ta vie à crédit que les politiques agitent devant l’écran des médias qui parlent sans fin des violences et Darmanin crie à l’ensauvagement , mais des salons de velours rouge, il ne distingue pas le sang que fait verser l’argent, pauvreté à Terre.
Terre et ton sol rouge abreuve nos cultures et quelle fleur cueille -t-on entre les épines des dominants ?
La tristesse empreinte nos traits perdus. Je suis une mère et mes larmes se font cet invisible, cette goutte de rivière qui ne sera jamais au monde des États, de leurs armes dressées , des conflits et famines qui , et notre Terre mère voit ses enfants si chers à son cœur perdu.
Un peuple se lève, les préfets érigent des arrêtés interdisant de manifester dans cet absurde.
Tu ne retiens pas les hommes qui se libèrent, tu ne retiens pas le bouleversement qui se déchaîne . Trop de souffrances ont peuplé notre Terre.
Il est cette annonce d’amour, de paix, de liberté qui dépasse toutes frontières. Les incendies en fumée de nos désespoirs, de nos paroles se heurtant aux murs d’indifférence, et il ne se retient le chagrin.
Des prédateurs violant des femmes jamais face à leurs actes et la cruauté se répand en guerre redoutable, ce sont les corps en souffrance qui aujourd’hui s’expriment .
Tu ne retiens pas la parole de la vie. Préfets aux expulsions forcées si facile sur un papier administratif et la vie se perd.
Ministres à leurs discours de répression, de catastrophes humaines qu’ils commettent sans cesse sans rien savoir de ce que vivent les enfants « perdus ».
Politiques autoritaires, arbitraires baptisant République leur mensonges, corruptions, plus rien n’a de nom, que la peur qui règne maîtresse du jeu des lobbies qui poussent les gouvernements , ces hommes et femmes qui semblent oublier leur propre humanité en ordonnant la vie d’autrui.
« Aimez-vous les uns et les autres », depuis longtemps notre monde est « perdu »
Une mère met un enfant au monde et croit en la beauté de la vie, et des pères violents saccagent la vie dans l’indifférence. Justice de la honte, fermer les tribunaux qui détruisent des innocents et arment les prédateurs par leur impunité féroce.
Inhumanité, on a bien inventé ce nom pour désigner les hommes jouant aux loups, aux possédants.
Il n’est aucun roi, aucun président, tu es un homme, et c’est tout.
Le bouleversement planétaire nous perd, et tout s’accélère , le chaos , c’est notre océan , une planète en la planète, étend le bleu de son ciel et la tempête de ses colères, hommes de violences qu’avez-vous fait ?
À travers le monde , vous avez répandu votre cruauté, pensant être victorieux , vous avez accablé les villages qui peu à peu se sont endormis dans ce toujours sans appel . Des populations fuyant la violence et perdues en mer, sans liberté pour phare, sans secours que d’autres violences en réponse.
Le courage immense des peuples, d’une jeunesse qui a soif de vivre, de mères voulant que leurs enfants vivent, tout d’eux, tout de nous sera demain la richesse de notre humanité, son espérance, sa paix.
Anéantir la pauvreté, la violence sème les graines du désastre, la résilience, la survie, ce poul en chacun de nous résonne sans plus savoir, ni émettre de pensées, que de lutter pour la vie.
Des foules qu’aucune police ne retiendra seront à vouloir délivrer nos demains sans plus savoir que l’argent est le nerf de la guerre et pas de la paix.
Tous s’évertuent encore à se battre pour plus d’argent et quand il sera ce trop tard, peut-être penseront-ils alors que le combat était ailleurs.
La liberté est à une dimension qui est celle de notre chair qui a besoin de repos, de sérénité pour vivre, et les tourments que provoquent le racisme, l’économie, la politique, la blessent sans cesse.
Les hommes ne lâcheront pas les armes, les politiques garderont le pouvoir jusqu’à la dernière lettre du mot liberté qui sera alors perdue .
Une mère sert son enfant au cœur à cœur. Elle s’enfuit déjà la liberté, il n’est plus le père aimant, conquérant le bonheur en sourire au monde.
Notre monde perdu et demain aux ports les hommes porteront les tonnes de marchandises que créent nos sociétés aux drones surveillant l’air à la pureté abandonnée.
Macron ouvrira ses bras aux start-ups, martelant l’innovation artificielle, la manne d’acier et le pain s’échoue entre les lignes de Big Data et de l’IA . Son langage sera un , et nos langues disparaîtront comme neige au soleil, fondent les glaciers et l’immensité de nos émotions, de nos peuples qui par les multitudes de langues émettent l’intelligence de notre humanité.
25 langues meurent chaque année, ainsi dans moins d’un siècle , il n’en sera plus qu’une, celle numérique.
Pleure notre humanité « perdue ». Ce n’est pas notre monde qui se perd, il voudrait renouveler sa naissance sans ceux le tuant, détruisant les forêts, les oiseaux au ciel devenu silence, seuls nos feux retentissent, les explosions des ports au Liban, les feux brisant la forêt amazonienne, les bombes des guerres et terrorismes.
Le sable file entre nos mains et demain que restera-t-il de nos prières , de notre imaginaire désirant bâtir une libération ?
© Fédora Hélène
