Maïewen se fend d’une interview dans Paris Match où elle défend ce qu’elle semble aimer en déclarant qu’elle ne sait « jamais sentie offensée parce qu’un homme portait un regard bestial sur elle« .
D’une part, on s’en fout et d’autre part les femmes qui luttent contre les violences faites aux femmes et aux enfants dont 135 000 sont chaque année agressés en France par des prédateurs ne sont pas à tenir la bavasse au comptoir avec des alcoolos pervers qui seraient à la grande joie de se taper la bavette avec elle, pour comprendre la grande portée de sa diatribe .
Comme elle dit, les féministes sont trop occupées à leur « connerie » comme elle les définit, qui consiste à vouloir que la vie de millions de femmes et filles à travers le monde ne subissent plus les violences inouïes et cruelles qu’infligent des prédateurs.
Puis, dans sa lecture de comptoir, elle confond l’homme qui est un frère avec des prédateurs qui tuent, détruisent des vies.
Les féministes ne luttent pas contre les hommes, et d’ailleurs nombreux sont ceux qui luttent auprès des féministes, à commencer par ceux œuvrant auprès de ONU Femmes, et le Secrétaire général de l’ONU voulant tenir l’engagement pour que soit en 2030, Zéro violence faite aux femmes, mais contre des prédateurs, pervers, qui violent, blessent, tuent un être humain car il est une femme.
De la même manière, les féministes, luttent pour tous les enfants victimes de ces prédateurs, et les pères cruels également. Et, il est 35 000 garçons victimes de la barbarie de prédateurs en France chaque année.
Il est également des garçons anéantis par la violence ignoble de pères indignes qui par le patriarcat sont impunis, légitimés et peuvent anéantir la vie d’un enfant, fille ou garçon.
Un mère protège ses enfants, filles ou garçons qui deviendront des femmes et des hommes adultes et qui pourront subir de graves traumatismes car la violence d’un prédateur aura été, ainsi que celle de la justice qui est un pouvoir, un pouvoir politique, un pouvoir d’État mais non sens véritable de Justice réconfortant et donnant reconnaissance à la victime, à l’innocence, en respect profond des droits humains.
Sur ce, Maïewen sera ravie dans sa diatribe de bistrot de partager son goût des regards bestiaux avec des experts de violences et irrespects des femmes, accoudés devant des litrons de bière . Et, ils seront en accord sur le soutien à Polansky, sifflements de rue et mains au cul.
Le microcosme de bazar toujours à parader dans les pages de médias qui font la Une des salles d’attente.
Ah, c’est ballot, avec le Covid plus de magazines à feuilleter entre la reine d’Angleterre et la famille princière de Monaco et le bla bla de Pingeot et Maïewen.
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