Tous en campagne pour les présidentielles 2022 dans un monde où tout peu changer en un claquement de doigt dans ce temps que l’on ne maîtrise pas.
Il pourrait être aussi en futur candidat, le général Pierre de Villiers, avec qui il faudra peut-être compter et qui aura le symbole de l’histoire avec lui, par le nom du général de Gaulle, et qui pourrait s’imposer en rassembleur d’une France regrettant son passé car elle sait qu’elle a loupé une chance et tente de revenir sur son histoire qu’elle n’a pas accomplie.
Il est également la mémoire traumatique collective que les divisions et violences imposent.
Il pourrait être aussi la candidature de Christiane Taubira dans une volonté de justice, de réconciliation, de valeur de lutte pour les droits humains.
Un équilibre qui ne demande que notre volonté pour naître, être ce fil tendu au milieu de l’instable, ce permanent que l’on redoute, ce chaos qui est là et la pauvreté en sera son premier témoin.
Un monde qui doit être en solidarité internationale et c’est certainement sur ce terrain stratégique complexe actuel où s’inscrit la géopolitique, que pourrait être freinées les ambitions de longues dates de Mélenchon.
Il faut tenir face au géant chinois, russe et américain sans oublier le Moyen Orient.
Président n’est pas une place forcément donnée par le vote et nous le voyons aujourd’hui.
Les pressions du monde sont fortes et dominantes. Trump compte sur cela et Poutine n’oublie pas sa puissance.
Ce qui ne signifie pas que Joe Biden n’est pas élu ! Nous sommes dans un contexte politique très déséquilibré et de vives tensions internationales.
La France en future province d’Europe au cœur d’une Europe qui devra faire face à des enjeux majeurs économiques et conflictuels. Une Europe qui devra déterminer son chef.
Les batailles politiques s’arment au delà des élections et il est les milliards versés durant la crise sanitaire qui ne manqueront pas de frapper sur la table et de choisir leur candidat.
Les peuples divisés, appauvris, la faim en terrible souffrance, les discriminations plus fortes, avant de poser la première pierre d’un monde nouveau meilleur, l’ancien redoutable ne voudra céder son pouvoir au moment où la technologie peut lui permettre une puissance inégalée.
2022 est encore loin et pourtant il se précipite, attiré par l’élan de la présidentielle américaine qui tient le monde dans un suspense qui se modifie en rapport de forces qui n’a pas dit son dernier mot.
Rien ne va plus, rien n’est fait car peut-être que ce système n’existe déjà plus. Il est pourtant toujours fort le carriérisme politique dans un capitalisme mondialiste qui traîne sans fin, nous semble-t-il, dans le long labyrinthe de notre civilisation.
© Fédora Hélène

Copyright © LiberTerra 2020 Tous droits réservés